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Même pendant le repos...

22/07/2015 12:14

Même pendant le sommeil, on a besoin d'énergie pour:

  • Température du corps
  • Contractions musculaires
  • Respiration
  • Digestion, élimination

C'est le métabolisme basal. Il nécessite 7000 kJ/24h ou 1673 cal 

 
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Métabolisme

22/07/2015 09:19

Le métabolisme, c'est l'ensemble des réactions biochimiques qui ont lieu dans notre organisme (dans nos cellules). C'est la repiration cellulaire qui en assure le rôle principal. Équation de la respiration cellulaire:

C6H12O6 + 6O2 --> 6CO2 + 6H2O + Énergie

Glucose + Dioxygène --> Dioxyde de carbone + Eau + Énergie (Kilojoules)

 

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Valeur énergétique des aliments

22/07/2015 09:10

La plupart des aliments libèrent de l'énergie. Cette énergie provient de la transformation des aliments. On mesure cette énergie en kilojoules (kJ). La calorie (cal) est une autre unité de mesure de l'énergie. 1cal = 4,184 kJ

Exemple:

Deux tranches de pain fournissent 300 cal. Combien de Kilojoules cela fait-il?

300 cal x 4,184 kJ = 1255,2 kJ

 

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Les sels minéraux

22/07/2015 09:03

Rôles:

  1. Développement du squelette
  2. Contractions musculaires
  3. Composition d'hormones
  4. Transport de l'O2
Sources:
  • L'eau
  • Viandes et substituts
  • Fruits
  • Légumes
 
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Les vitamines

22/07/2015 08:50

Rôles:

  1. Survie de l'organisme
  2. Croissance
  3. Antioxydants pour les cellules
On les identifie par une lettre.
Vitamines: ABCDEK
Certaines sont liposolubles: ADEK (solubles dans les graisses).
D'autres hydrosoluble: BC (solubles dans l'eau).
Sources:
  • La plupart des aliments en contiennent une ou plusieurs
 
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Protides (protéines)

22/07/2015 08:42

Rôles:

  1. Composition des organes
  2. Assurent la croissance, réparation
  3. Participent au transport de l'O2
  4. Forment les anticorps
Elles sont 10 à 15% de l'apport alimentaire.
Sources:
  • Oeufs
  • Viandes
  • Poissons
  • Noix
  • Légumineuses
  • Lait
  • Fromage
 
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La pollution par le bruit

21/06/2015 16:20

De nos jours, peu importe où l'on se trouve, le bruit vient souvent troubler notre qualité de vie. Voilà pourquoi on dit que le bruit est l'un des polluants les plus répandus dans notre environnement.

En ville, la circulation automobile, les sirènes et les klaxons font un tapage infernal. En classe, les cris des élèves, le glissement des chaises sur le plancher et les aiguisoirs électriques forcent les enseignants à hausser la voix.

Même à la campagne, notre quiétude est souvent troublée par le grondement des tondeuses à gazon, des bateaux à moteur ou des véhicules tout-terrains. Il y a de quoi s'arracher les cheveux!

La pollution par le bruit est très présente dans la vie de tous les jours.

 

Qu'est-ce qu'un son?

Le son se propage dans l'espace sous forme d'ondes qu'on appelle «ondes sonores». Ces ondes sont créées par les vibrations très rapides d'éléments ou d'objets dans l'air. Par exemple, si on pince une corde de guitare, on peut voir la corde vibrer et entendre le son produit par ces vibrations. Ou encore, si on pose la main sur un haut-parleur qui fonctionne à plein régime, on peut sentir les vibrations qui créent les ondes sonores!

Évidemment, les sons peuvent être plus ou moins forts. On les mesure en décibels (dB). Un son à peine audible, un chuchotement par exemple, équivaut à 10 dB. À titre de comparaison, une ,motocyclette émet 90 dB lorsque son moteur gronde à 8 m de nos oreilles.

 

Qu'est-ce qu'un bruit?

On peut classer les sons en deux grandes catégories: les sons agréables à nos oreilles et les sons déplaisants. Le chant d'un oiseau, le vent dans les arbres, un ruisseau qui coule... Tous ces sons entrent habituellement dans la première catégorie. On associe ces sons à de la musique ou à des jolies mélodies.

Un chien qui jappe sans arrêt, un aspirateur vrombissant et un avion qui décolle émettent des sons classés dans la seconde catégorie. On utilise des mots comme «bruit», «vacarme», «tapage» ou «tintamarre» pour en parler. Ces bruits sont les grands responsables de la pollution sonore.

Un son peut être agréable pour une personne et très désagréable pour une autre.

Certaines personnes peuvent considérer qu'un son est agréable, d'autres le jugeront déplaisant. L'interprétation dépend de la culture, de l'âge et de l'humeur de la personne qui l'entend. Selon toi, le rock heavy metal, c'est de la musique ou du bruit? Demande à tes parents ou à tes grands-parents ce qu'ils en pensent.

 

Ouille!

Plus un bruit est fort, plus il est agressant. Par ailleurs, si on entend au même moment des sons qui proviennent de plusieurs sources à la fois, cela devient très désagréable. Par exemple, écouter la radio est agréable. Toutefois, si l'aspirateur fonctionne au même moment, cela devient contrariant. Si le téléphone se met à sonner par-dessus le marché, ces sons deviennent une véritable agression.

De nos jours, l'agression par les bruit est devenue une habitude. Les bruits font partie de notre environnement. On ne s'en rend parfois même plus compte, mais il faut prendre garde! La pollution par le bruit, lorsqu'elle est importante, a des effets considérables sur notre santé.

En premier lieu, les bruits peuvent causer des dommages physiques. Les scientifiques savent qu'une exposition prolongée à un bruit de 100 dB peut réduire nos capacités auditives de façon permanente. Des bruits de cette intensité sont courants dans les usines, sur les chantiers de construction et dans les discothèques. Plus le bruit est intense, plus les dommages sont importants. Des explosions de 130 dB ou d'autres bruits fracassants peuvent entraîner la surdité instantanément.

En second lieu, les bruits peuvent entraîner des troubles psychologiques. Le stress, l'irritabilité, la perturbation du sommei et  l'agressivité sont tous des symptômes que l'on trouve chez les personnes exposées à la pollution par le bruit. Il est difficile de rester calme et concentré lorsque le vacarme nous casse les oreilles.

 

Comment se protéger?

Les dirigeants des villes sont de plus en plus conscients des problèmes occasionnés par le bruit sur leur territoire. Lorsqu'ils développent de nouveaux quartiers résidentiels, ils le font loin des routes passantes où circulent camions et autobus. Quand cela n'est pas possible, ils installent des panneaux accoustiques le long des routes pour éviter que les bruits ne se propagent dans l'environnement.

De leur côté, les fabricants d'automobiles et d'avions tentent de mettre au point des moteurs moins bruyants. Les aéroports sont désormais construits en retrait des villes. Dans les usines bruyantes, on place sur les murs des matériaux qui absorbent les sons. En plus, on fournit aux travailleurs des bouchons ou des casques pour protéger leurs oreilles.

Les individus peuvent également contribuer à réduire la pollution par le bruit. Chacun peut améliorer l'environnement sonore et faire de son milieu un endroit paisible. Il suffit parfois de peu de chose comme baisser le volume du téléviseur ou de la radio, privilégier les transports en commun, ou tout simplement baisser le ton de sa voix.

 

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Les lipides (graisses)

21/06/2015 16:01

Elles sont composées d'acides gras et de glycérol. Elles sont 25 à 30% de l'apport alimentaire.

Rôles:

  1. Forment les tissus adipeux (gras)
  2. Formation des membranes
  3. Isolation thermique
  4. Entrent dans les hormones
  5. Très riches en énergie
  6. Assimilation de vitamines
Sources de lipides:
  • Viandes
  • Poissons
  • Fromages
  • Noix
  • Huiles
 
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Les fibres

14/06/2015 19:12

Elles sont des glucides non-digestibles ni absorbables. Elles sont décomposées par des bactéries dans le colon. Elles facilitent l'élimination.

 

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Deux sortes de glucides

14/06/2015 15:04
  • Glucides simples: (fruits, lait) sont absobées en moins de 15 minutes.
  • Glucides complexes: (pain, riz, pâtes...) sont absorbées en 30 minutes.
 
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Les glucides

14/06/2015 14:26

Elles fournissent notre énergie et gardent notre température à 37°C. Elles sont 50% de notre apport alimentaire. On les retrouve dans les fruits, les légumes, le pain, le lait, la viande (glycogène), les pâtes alimentaires et le riz.

 

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L'eau

07/06/2015 20:09
  • Permet les réactions chimiques
  • Transporte les nutriments
  • Élimination des déchets (urine)
  • Régularise notre température
On trouve l'eau dans les aliments et les breuvages.
 
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Quelles sont les substances nutrtives essentielles à notre organisme?

07/06/2015 19:59
  1. L'eau
  2. Les glucides (sucres naturels)
  3. Les lipides (graisse)
  4. Les protides (protéines)
  5. Les vitamines
  6. Les minéraux
 
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Métabolisme

07/06/2015 19:53

C'est l'ensemble des réactions biochimiques dans notre organisme.

 

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L'ADN

07/06/2015 19:45

L'ADN est constitué de quatres bases azotées:

  • Adénine
  • Thymine
  • Cytosine
  • Guanine
 
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Reproduction

07/06/2015 19:38
Système Rôle
Reproducteur Donner des descendants

 

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Relation

07/06/2015 19:26
Systèmes Rôles
Nerveux Contrôle
Musculaire Mouvement
Squelettique Support

 

 

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Nutrition

07/06/2015 19:18
Systèmes Rôles
Digestif Digestion
Respiratoire O2/CO2
Circulatoire Transport
Excréteur Élimination

 

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Fonctions vitales

07/06/2015 19:11

Les trois fonctions vitales de l'organisme sont:

  1. Nutrition
  2. Relation
  3. Reproduction
 
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Les fonctions et les Systèmes

07/06/2015 18:57

Un système est composé d'organes qui assurent une fonction. Par exemple le coeur, le sang, les vaisseaux, les artères font partie du système circulatoire. L'ensemble des systèmes assure le bon fonctionnement de l'organisme.

 

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Organigramme d'un organisme vivant

07/06/2015 18:49

Cellules --> Tissus --> Organes --> Systèmes (ensemble d'organes) --> Organisme (inclus tous les systèmes)

 

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Le cancer

07/06/2015 18:35

Les cellules cancéreuses sont des cellules qui ont perdu leur spécialisation. Elles se multiplient de façon incontrôlée, forment une tumeur et sont responsables de mauvais fonctionnements de l'organisme. Des cellules tumorales peuvent quitter la tumeur et aller à d'autres organes: ce sont des métastases.

Causes (facteurs mutagènes):

  • Tabagisme
  • Mauvaise alimentation (surplus de poids)
  • Virus
  • Produits chimiques (par exemple, des pesticides)
  • Rayonnements (UV, nucléaires)
  • Oncogènes (gène précurseur possible d'un cancer)
  • Vieillissement
Traitements:
  1. Chimiothérapie
  2. Chirurgie
  3. Radiothérapie
  4. Anticorps monoclonaux
  5. Antiangiongéniques
 
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Organe

07/06/2015 18:30

Un organe est un partie du corps assurant une fonction (par exemple, le coeur). Il regroupe les quatre tissus.

 

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Les tissus

07/06/2015 18:22

Lorsqu'un ensemble de cellules identiques sont regroupées, elles forment un tissu. Elles assurent la même fonctions. Le corps humain comprends quatre tissus de base:

  1. Tissus musculaires (muscles)
  2. Tissus épithéliaux (paroi des organes)
  3. Tissus nerveux (cerveau, nerfs)
  4. Tissus conjonctif (sang, graisses)
 
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Des cellules en division mitose

07/06/2015 18:10

Quatre phases:

  1. Prophase
  2. Métaphase
  3. Anaphase
  4. Télophase
 
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Méiose

07/06/2015 17:36
  • La cellule mère se divise en quatre cellules filles génétiquement différentes.
  • Les cellules sont haploïdes, 23 chromosomes.
  • Chaque chromosomes d'une cellule fille est différent de celui de la cellule mère.
  • Chaque chromosomes d'une cellule fille est différent de celui de la cellule mère.
  • La méiose sert à la reproduction de l'individu.
 
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Mitose

07/06/2015 17:25
  • La cellule mère se divise en deux cellules filles génétiquement identiques.
  • Les cellules sont diploïdes, 46 chromosomes.
  • Les chromosomes des cellules filles sont identiques à ceux de la cellule mère.
  • La mitose permet la régénerescence des tissus, la croissance de l'individu et la reproduction des cellules.
 
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La division cellulaire

07/06/2015 17:12

Les cellules doivent se reproduire pour:

  1. Assurer la croissance.
  2. Assurer la réparation (usure, blessures).
  3. Assurer la reproduction des organismes.
Il existe deux modes de division cellulaire: la mitose et la méiose.
 
 
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Cellules reproductrices

07/06/2015 16:25

On les appelle gamètes mâles et femelles.

  • Spermatozoïdes
  • Ovule
Elles sont haploïdes (23 chromosomes). Elles assurent la reproduction. Leur mode de division est la méiose.
 
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Cellules somatiques

07/06/2015 16:14

Les cellules somatiques sont diploïdes (46 chromosomes). Elles assurent le bon fonctionnement du corps. Leur mode de division est la mitose.

Cellules différenciées (spécialisées) comme les globules rouges.

Cellules souches (non spécialisées) comme la moëlle osseuse.

 

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Les sortes de cellules

07/06/2015 15:09

Il y a deux sortes de cellules: les cellules somatiques et les cellules reproductrices.

 

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Qu'est-ce qu'un OGM

31/05/2015 20:32

Un OGM est un Organisme Génétiquement Modifié. On insère ou on enlève un gène dans le génome d'un vivant. Par exemple, on peut modifier le génome d'une bactérie pour lui faire fabriquer de l'insuline. On utilise les OGM en agriculture, en alimentation, en médecine...

 

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Noyau de la cellule

31/05/2015 18:25

C'est un centre de commande. Dans le noyau de nos cellules, il y a 46 chromosomes. Sauf dans nos cellules reproductrices, elles en ont 23. Un chromosomes a la forme d'une double hélice. Un chromosome est consitué d'ADN.

 

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Métabolisme

31/05/2015 18:22

Nos cellules accomplissent un grand nombre de réactions biochimiques: c'est le métabolisme.

 

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Réticulum endoplasmique et ribosomes

31/05/2015 18:18

Ils ont un rôle dans la fabrication des protéines.

 

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Appareil de Golgie

31/05/2015 18:16

L'appareil de Golgie emmagasine les protéines fabriquées et s'occupe des activités sécrétrices.

 

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Vacuole

31/05/2015 18:11

Les vacuoles sont des réservoir de liquide (eau).

 

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Mitochondries

31/05/2015 18:06

Les mitochondries assurent la respiration cellulaires pour  donner de l'énergie.

 

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Organites

26/04/2015 13:12

Éléments spécialisés, inclus dans le cytoplasme de la cellule:

  • Mitochondries
  • Vacuoles
  • Appareil de Golgie
  • Réticulum endoplasmique et les ribosomes
 
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Cytoplasme

06/04/2015 18:33

Composé du cytosol, un liquide gélatineux contenant tous les organites et des protéines.

 

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Noyau

06/04/2015 18:28

Il contient l'ADN. Il gère toutes les activités de la cellule.

 

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Membrane cellulaire

06/04/2015 18:22

Elle est composée de lipides. C'est une barrière sélective qui contrôle les entrées (nutrition)  et sorties de substances (sécrétions, déchets).

 

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Composition de la cellule

06/04/2015 18:16
  • Membrane cellulaire
  • Noyau
  • Cytoplasme
  • Organites
 
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Cellule

06/04/2015 18:09

La cellule est l'unité de structure et fonctionnelle de tout vivant.

 

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Organismes vivants

06/04/2015 18:02

Il existe deux grandes catégories d'organismes vivants:

  1. Aérobiques: ce sont des organismes qui utilisent le dioxygène.
  2. Anaérobiques: ce sont des organisme qui ne peuvent pas utiliser le dioxygène.
 
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Extinctions massives

06/04/2015 17:39

Il y a eu trois extinctions massives. Voici les quatres causes:

  1. Glaciations
  2. Effet de serre
  3. Éruptions volcaniques
  4. Météroites (Astéroïdes)
 
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Le cabrien

06/04/2015 17:29

Quatrième Éon: Phanérozoïque

Cet Éon se divise en trois Ères:

1. Paléozoïque:

  • Apparition de la vie marine
2. Mésozoïque:
  • Domination des reptiles
  • Dinosaures
3. Cénozoïque: Apparition des:
  • Mammifères
  • Primates
  • Hommes
 
 
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Eucatyote

06/04/2015 17:23

C'est un organisme dont l'ADN est contenue dans le noyau.

 

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Qu'est-ce qu'un procaryote?

06/04/2015 17:17

Ce sont des organismes dont l'ADN est libre dans le cytoplasme.

 

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Protérozoïque

06/04/2015 17:11
  • Utilisation du dioxygène
  • Organisme aérobie: besoin de O2 pour survivre
  • Apparition des eucaryotes
 
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Archéen

06/04/2015 17:06
  • Premiers unicellulaires: des procaryotes (vivants) 3,8 Ga
  • Début de la photosynthèse
  • Production de dioxygène
 
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Hardéen

06/04/2015 17:01
  • Structuration de la Terre
  • Formation de l'atmosphère
  • Formation des océans
 
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Le précambien

06/04/2015 16:55

Il se divise en 3 Éons:

  1. Hardéen (4,5 Ga à 3,8 Ga)
  2. Archéen (3,8 Ga à 2,5 Ga)
  3. Protérozoïque (2,5 Ga à 500 Ma)
 
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L'échelle des temps géologiques

06/04/2015 16:48

Les 4,5 milliards d'années de la Terre sont divisées en Éons.

Les Éons sont divisés en Ères.

Les Ères sont divisés en Périodes.

 

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La datation absolue

06/04/2015 16:41

Méthode qui consiste à mesure l'activité radioactive dans la matière organique ou dans les roches. On emploie:

  • Carbone 14 (jusqu'à 50 000 ans)
  • L'argon 40 (milliards d'années)
 
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La datation relative

06/04/2015 16:35

Méthode qui consiste à évaluer, par l'observation, la position des roches les unes par rapport aux autres. Plus une roche est profonde dans les couches stratigraphiques, plus elle est vieille.

 

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La datation des roches

06/04/2015 16:22

Les roches sédimentaires se forment par l'accumulation de dépôts de sédiments qui forment des couches (ou strates) successives appelées couches stratigraphiques. Une couche correspond à un épisode de l'histoire du vivant. Pour déterminer le moment (date) quand une roche s'est formée, on utilise la datation relative et la datation absolue.

 

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Les temps géologiques

06/04/2015 16:17

L'échelle des temps géologiques comporte trois grandes divisions:

  1. Les Éons
  2. Les Ères
  3. Les Périodes
 
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Qu'est-ce que les fossiles peuvent nous apprendre?

03/04/2015 17:06
  1. Que la vie sur la Terre n'a jamais cessé d'évoluer.
  2. L'extinction de plusieurs espèces.
  3. Les continents ont dérivés les uns par rapport aux autres.
 
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Les cinq étapes du processus de fossilisation

03/04/2015 16:58
  1. L'organisme meurt.
  2. Il est enfoui dans les sédiments.
  3. Les parties dures (os) se cristallisent.
  4. Les sédiments déposés en couches stratigraphiques sur l'organisme.
  5. Elles durcissent à leur tour pour former de la roche sédimentaire.
 
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Les fossiles

03/04/2015 16:50

Un fossile est l'empreinte ou les restes d'un organisme vivant (animal ou végétal) préservé dans la roche. On trouve les fossiles dans les roches sédimentaires.

 

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Photosynthèse

03/04/2015 16:42

Réaction biochimique qui est responsable du maintien de la vie sur terre (chez les végétaux).

 

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Résumé

01/03/2015 20:46
Nom Rôles Caractéristiques
1. Lithosphère Enveloppe extérieure de la Terre (croûte terrestre). Surface solide de la planète (du fond des océans jusqu'aux sommets des montagnes). Noyau (centre) danse, métallique.
2. Hydrosphère Facteur essentiel à l'apparition et au maintien de la vie sur Terre. L'eau occupe 70% de la surface de la Terre.
3. Atmosphère Protège des rayons nocifs (UV) provenant de l'espace (O3). Excerce une pression. Effet de serre régularise la température. Elle est composée à 78% de diazote (N2) et à 21% de dioxygène (O2). 0,04% CO2
 
 
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Le développement de la vie

06/01/2015 10:50

Zone habitable: c'est la partie située dans une étroite bande d'orbites dans un système planétaire. La vie peut se développer et se maintenir sur une planète si:

  1. C'est une planète tellurique (solide) située dans la zone habitable.
  2. La température est ni trop chaude ni trop froide.
  3. C'est une planète possédant une lithosphère (enveloppe externe solide d'une planère)
  4. C'est une planère possédant une hydrosphère (eau à la surface d'une planète)
  5. C'est une planète possédant une atmosphère (couche de gaz qui enveloppe la planète: O2, N2, CO2)
  6. Une couche de gaz, l'ozone, qui protège contre les radiations dangereuses.
 
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La mesure des distances

06/01/2015 09:41

1) L'unité astronomique (UA) sert surtout à mesurer des distances à l'interieur du système solaire.

*** 1 UA est la distance moyenne qui sépare la Terre du Soleil.

1 UA = 150 000 000 Km.

 

2) L'année lumière (AL) sert à mesurer des distances extrêmement grandre comme entre la Terre et des corps célestres situés à l'extérieur du système solaire.

Ex.: Une étoile, Une galaxie.

1 AL c'est la distance que parcourt la lumière en une année.

Vitesse de la lumière: 300 000 km/sec

 

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Rapport de laboratoire de la conductibilité électrique et les électrolytes ST

05/12/2014 10:54

Valérie Beaulieu

Marie-Soleil Langlois

 

Analyse et conclusion pour le premier but (ST)

 

En analyse, nous avons remarqué que certaines solutions observées lors de notre laboratoire étaient acides. Ces solutions étaient le (HCl), le (NHO3) et le (H2SO4). Les acides ont des caractéristiques propres à eux-mêmes. Ils rougissent les papiers tournesols rouges et bleus, la lumière du détecteur de conductibilité allume, donc les acides conduisent l'électricité. Ils ont d'autres propriétés que nous n'avons pas testées lors de notre laboratoire, tels les goûter pour savoir s'ils avaient un goût aigre comme le vinaigre, la neutralisation des bases et mettre une goutte d'acide sur un métal et remarquer s'il y avait effervescence. Les acides ont un pH inférieur à 7. Pour distinguer un acide des autres solutions, il y a deux formules chimiques. La première formule chimique est l'élément périodique «H» suivit d'un non-métal comme le (HI) et le (HF). La seconde formule chimique est l'élément périodique «H» suivit d'un groupe d'atomes (radical) comme le (HNO3) et le (H2SO4). Certains produits du quotidien sont des acides comme les jus de fruits, les jus de légumes, le lait et même la pluie.

 

Ensuite, nous avons remarqué que certaines solutions observées lors de notre laboratoire étaient basiques. Ces solutions étaient le (NaOH) et le (KOH). Les bases ont des caractéristiques propres à eux-mêmes. Elles bleuissent les papiers tournesols rouges et bleus, la lumière du détecteur de conductibilité électrique allume, donc les bases conduisent l'électricité. Elles ont d'autres propriétés que nous n'avons pas testées lors de notre laboratoire tels que les goûter pour savoir si elles avaient un goût amer, les toucher pour savoir si elles étaient visqueuses et la neutralisation des acides. Les bases ont aussi un pH supérieur à 7. Pour distinguer une base des autres solutions, il y a deux formules chimiques. La première formule est un métal suivit du radical «OH» comme le (LiOH) et le (NaOH). La seconde formule chimique est le radical «NH4» suivit du radical «OH» comme le (NH4OH), aussi connu sous le nom d'ammonium. Certains produits du quotidien sont des bases tels les produits nettoyants, le savon à linge, le savons à vaisselle et les produits pour déboucher les tuyaux.

 

Aussi, nous avons remarqué que certaines solutions observées lord de notre laboratoire étaient neutres. Ces solutions étaient le (NaCl), le (NaNO3), le (C2H5OH), le (MgSO4) et le (C12H22O11). Les solutions neutres ont des caractéristiques qui peuvent varier dépendant si c'est un sel, de l'alcool, du sucre ou de l'eau pure. Ils ont tous deux caractéristiques qui ne changent pas. Soit un pH égale à 7 et ils ne rougissent pas les papiers tournesols bleu et ne bleuissent pas les papiers tournesols rouges. Pour l'alcool, les sucres et l'eau pure, la lumière du détecteur de conductibilité électrique n'allume pas, donc ils ne conduisent pas l'électricité. Pour les sels, la lumière du détecteur de conductibilité électrique allume, ils conduisent donc l'électricité. Il y a une autre propriété que nous n'avons pas testée qui est les goûter pour savoir si les solutions avaient un goût salé ou non. Pour distinguer les sels, il y a quatre formules chimiques. Ces formules chimiques sont un métal avec un non-métal comme le (NaI), un métal avec groupe d'atomes comme le (LiNO3), le radical «NH4» avec un métal comme le (NH4Cl) ou le radical «NH4» avec un groupe d'atomes comme le (NH4MnO). Dans notre laboratoire, nous avons remarqué qu'une des solutions que nous avions à analyser, le (C2H5OH), était un alcool. Nous avons aussi remarqué qu'une autre des solutions que nous avions à analyser, le (C12H22O11), était un sucre.

 

Aussi, les électrolytes est une propriété physique qui correspond à la capacité d'une substance qui, une fois dissoute dans l'eau distillée, lui permette le passage du courant électrique. Il y a trois conditions qui doivent être respectées. Ces conditions sont la présence de charge ou d'ion, le mouvement des charges dans le solvant et l'orientation du mouvement des charges vers le bon électrode. Il y a trois grandes catégories d'électrolytes. Ces catégories sont les acides, les bases et les sels. Parmi les solutions observées, certaines étaient des électrolytes. Ces solutions sont le (NaOH), le (NaCl), le (HCl), le (NaNO3), le (HNO), le (H2SO4), le (KOH) et le (MgSO4). Parmi les solutions observées, certaines n'étaient pas des électrolytes. Ces non-électrolytes sont le (C2H5OH) et le (C12H22O11).

 

Pour finir, nos résultats auraient pu être modifiés à cause de deux choses en particulier. Premièrement, nous avons peut-être oublié de rincer et d'essuyer les électrodes du détecteur de conductibilité électrique entre chaque solutions. La deuxième cause possible est que nous ayons mal lavé les béchers avant de mettre nos solutions à l'intérieur.

Régime Anglais

05/12/2014 10:50

1763-1867

1) Population et peuplement

Influence de la conquête sur l’organisation de la société et du territoire :

  • Conquête de 1760 mets fin à l’immigration française

  • Forte natalité : majorité francophone

  • Arrivée des Loyalistes 91783) – augmentation de la population anglaise

  • 1815 : famine en Irlande, crise agricole en G.-B. = intensification de l’immigration brit.

Conséquences de l’immigration :

  • Surpeuplement des seigneuries

  • Migration de la pop. vers les villes et les nouvelles régions de colonisation

  • Propagation des maladies (1832 – quarantaine à Grosse-Île)


 

L’industrie du bois se développe :

  • Menace le mode de vie et l’identité des amérindiens


 


 


 

2) Économie et développement

La Grande-Bretagne protège ses colonies par des tarifs préférentiels sur le blé et le bois. (Protectionnisme : elle taxe davantage les produits venant des autres pays que ceux qui proviennent de sa colonie)

LE DÉCLIN DES FOURRURES EN 1800 :

  • Baisse de la demande européenne

  • Forte concurrence entre les compagnies de fourrures

  • Augmentation des coûts de production

L’AGRICULTURE :

  • 1800-1820 : bas-Canada = forte production de blé (agriculture commerciale)

  • 1820 : mauvaises récoltes = le bas-canada se réoriente vers l’élevage, la culture du fourrage et la pomme de terre

  • 1830 : épuisement des sols, rareté des terres fertiles, mauvaises récoltes = grave crise agricole

Conséquences :

  • Appauvrissement des agriculteurs

  • Agriculture de subsistance

  • Exode rural vers les villes, régions de colonisation, États-Unis

LE COMMERCE DU BOIS :

  • Blocus de Napoléon en 1806 oblige l’Angleterre à s’approvisionner au Canada

  • Construction de navires de guerre

  • Protectionnisme de l’Angleterre

Effets :

  • Amène le développement du secteur secondaire : scieries, construction navale

  • Outaouais, Saguenay et Mauricie se développent

  • Création de nombreux emplois non-spécialisés : bûcherons, draveurs, débardeurs, équarisseurs, cageux ou raftman

NOUVEAUTÉS :

  • Construction de canaux permettant de contourner les rapides pr acheminer les marchandises vers les G-L

  • Opérations financières facilitées par la création de la Bank of Montreal en 1817

INDUSTRIALISATION : 1850 : machine à vapeur , CHAT BOIT LAIT ASSIS urbanisation

3) Culture et mouvement de pensée

Le nombre croissant de britanniques dans la colonie amène la diffusion de nouveaux mouvements de pensée.

  • Libéralisme : idée selon laquelle tous les individus sont égaux

  • Républicanisme : idée selon laquelle le peuple décide de son avenir

Grâce aux journaux, les idées libérales se diffusent :

  • Limiter le pouvoir du roi par un parlement élu représentant le peuple

  • Garantir les droits des individus (habeas corpus, liberté de presse et d’expression)

Développement d’une presse d’opinion :

  • 1805 : Quebec Mercury, journal anglophone qui prône les intérêts des marchands/députés britanniques

  • 1806 : Le Canadien, journal francophone qui défend les intérêts des députés canadiens à l’assemblée, le français et réclame un gouvernement responsable.

VERS LA FIN DU RÉGIME BRITANNIQUE :

Les rébellions et l’Acte d’Union ont des répercussions sur les idées qui circulent dans la colonie

  • Le nationalisme de survivance : après l’échec des Rébellions et l’Acte d’Union, bcp de canadiens estiment avoir perdu leur influence politique et économique. L’Église = dernière institution capable de défendre leur identité

  • Sauvegarde de la langue, des traditions et de la religion catho. = conditions essentielles à la survie culturelle des can. Fr.

  • Le clergé en profite pour lancer un programme d’éducation religieuse contribuant à relancer la foi catholique.

PÉRIODE DE RENOUVEAU RELIGIEUX :

  1. Processions religieuses prennent de l’importance

  2. Augmentation des effectifs du clergé

  3. Les congrégations religieuses se multiplient

  4. Des prédicateurs parcourent les villes (appellent les gens à se soumettre à la volonté divine)

  5. Création d’associations de tempérance dont les membres s’engagent à renoncer à l’abus d’alcool

ULTRAMONTANISME : doctrine politique et religieuse qui place l’Église catholique au-dessus de tous les pouvoirs (zouaves pontificaux – soldats du pape)

ANTICLÉRICALISME : prône la séparation de l’Église et de l’État

  • 4) Pouvoirs politiques et groupes d’influence

1763-1867

LE CHANGEMENT D’EMPIRE :

La guerre de succession d’Espagne est mise à terme par le traité d’Utrecht. La France devra donc céder de grandes parties de son territoire à l’Angleterre (L’ACADIE, TERRE-NEUVE ET LA BAIE D’HUDSON) Cette situation entraînera :

  1. La guerre de 7 ans : France/Angleterre, 1756-1763

  2. La guerre de la conquête : N.F/13 colonies, 1754-1760

Causes de la guerre de la conquête :

  • Contrôle du commerce des fourrures

  • Occupation de la vallée de l’Ohio par les 13 colonies

  • Contrôle de la pêche sur l’Atlantique

  • Contrôle du commerce avec l’Europe : rivalité entre Boston et Louisbourg

Principales causes de la défaite française :

  • Territoire immense, difficile à défendre et peu peuplé

  • Peu d’appui de la métropole, seulement 20 000 soldats et 75 navires

  • Économie peu diversifiée, non essentielle à la métropole

  • Peu d’autonomie politique, la métropole prendre toutes les décisions

  • La France veut contrôler l’Europe d’abord

Pis là c’est le moment ou je suis trop lâche pour dire les causes de la victoire anglaises, parce que c’est juste l’inverse #paresse

LES ÉTAPES DE LA GUERRE DE LA CONQUÊTE :

  1. 1755 : déportation des Acadiens

  2. 1759 : bataille des plaines d’Abraham

  3. 1760 : capitulation de Montréal

  4. On attend la fin de la guerre de 7 ans en 1763 pour connaître le sort de la Nouvelle-France.

LE RÉGIME MILITAIRE :

  • Les militaires qui dirigent la colonie en attendant la fin de la guerre de 7 ans.

LE TRAITÉ DE PARIS : février 1763

Mets fin à la guerre de 7 ans et cède la N-F à l’Angleterre. (religion catholique permise en autant que le permettent les lois anglaises, qui ne le permettent pas #jerks)

LA PROCLAMATION ROYALE : Octobre 1763

Première constitution anglaise -> la Province of Quebec est née

  • Application des lois civiles et criminelles anglaises

  • Tenure en cantons/townships

  • Le gouverneur doit encourager l’immigration anglaise

  • Obligation de prêter le serment du test pour accéder à un poste administratif dans la colonie

  • Interdit d’admettre des évêques catholiques dans la colonie

  • Implantation d’églises/écoles protestantes

  • L’Ohio devient un territoire indien


 

[Musique dramatique] CEPENDANT, les premiers gouverneurs anglais (James Murray et Guy Carleton) seront tolérants dans l’application de la proclamation royale.

Parce que :

  • Les canadiens-français forment plus de 95% de la population

  • L’immigration anglaise est faible

  • Ça aiderait les canadiens à développer un sentiment d’appartenance envers l’empire britannique

  • Éviter que l’agitation and les 13 colonies gagne la Province of Quebec.

Cette tolérance déplaît aux nouveaux arrivants anglais. Ils réussiront à renvoyer Murray, et Carleton prendra sa place.

Pendant ce temps, l’agitation dans les 13 colonies s’intensifie. À la suite du Boston Tea Party, (taxes blablabla) l’Angleterre réagit en fermant le port de boston et en votant l’Acte de Québec.

L’ACTE DE QUÉBEC : 1774-1791

2e constitution anglaise, remplace la proclamation royale -> vise à s’assurer l’appui canadien

  • Lois criminelles anglaises mais civiles françaises

  • Retour du régime seigneurial

  • Territoire triplé

  • Reconnaissance de la religion catholique

  • Dîme rétablie

  • Serment du test remplacé par un serment d’allégeance au roi d’Angleterre<

  • Entraîne la guerre d’indépendance américaine (1776-1783)

 

Presque fini alors un peu d’encouragements : BENEDICT CUMBERBATCH LOVES YOU

LE TRAITÉ DE VERSAILES : 1783

Mets fin à la guerre d’indépendance américaine -> Ohio = usa

Les loyalistes qui arrivent se lient aux montrealers et réclament une chambre d’assemblé, les cantons et un territoire séparé des canadiens.

Ces demandes seront satisfaites dans une 3e constitution : l’Acte constitutionnel

L’ACTE CONSTITUTIONNEL : 1791

  • Province divisée en 2 : Haut-canadas et bas-canada

  • Chaque canada a sa chambre d’assemblée : démocratie

  • Le droit de vote n’est pas accordé à tous

  • Pas de salaire de député donc seules les personnes riches peuvent l’être

  • Le gouverneur et le conseil législatif peuvent s’opposer aux projets de lois votés par la chambre d’assemblée – démocratie truquée bitches

Deux partis politiques and le bas-Canada :

Parti canadien : Patriote (Papineau) : Le canadien (journal), majoritaires à la chambre d’assemblée mais minoritaires dans les 2 conseils.

Parti anglais : British Party (Thomas Brown) The Gazette(journal), minoritaires à la chambre d’assemblée ais majoritaire dans les 2 conseils, appuyés par le clergé catholique et certains nobles canadiens-français.

ACTE D’UNION : 1840

  • une seule chambre d’assemblée pour les 2 canadas

  • Le gouverneur a toujours le droit de veto (fucking attention whore) et nomme les membres des 2 conseils

  • Anglais déclaré seule langue officielle

  • Liberté religieuse maintenue

L’absence de la responsabilité ministérielle permet à la métropole de garder le contrôle sur la colonie.

En 1846, Londres adopte le libre-échange et cesse de protéger économiquement ses colonies (tarifs préférentiels)

En 1848, afin de permettre à la colonie de trouver des solutions à ses problèmes économiques et de se gouverner, LONDRES ACCORDE LA RESPONSABILITÉ MINISTÉRIELLE.

 

 

LA RESPONSABILITÉ MINISTÉRIELLE : 1848

Modification de la constitution britannique

  • Le droit de veto du gouverneur général devient symbolique (ne peut pas refuser les lois

  • Le chef du gouvernement est un premier ministre, chef du parti qui a fait élire le plus de députés. Il choisit parmi les députés élus les ministres qui formeront le conseil exécutif.

  • Responsabilité ministérielle = personnes élues qui ont le pouvoir politique /doivent démissionner si elles perdent la confiance de la chambre d’assemblée

ACTE D’AMÉRIQUE DU NORD BRITANNIQUE : 1867

5e constitution britannique -> solution aux problèmes politiques, économiques et militaires.

Causes :

  1. Instabilité politique : 10 gouvernements en 10 ans

  2. Traité de réciprocité n’est pas renouvelé

  3. Expansion américaine vers l’ouest

  4. Londres relâche ses liens avec le canada-uni : retrait de l’armée britannique

  5. Nécessité de construire un chemin de fer pour relier les colonies anglaises d’Amérique du Nord

ÉTAPES VERS L’A.A.N.B. :

  • Conférence de Charlottetown : septembre 1864 – entente sur un principe d’union fédérale

  • Conférence de Québec : octobre 1864 – écriture du texte de la constitution : 72 résolutions

  • Conférence de Londres : décembre 1866 – vote de la nouvelle constitution : AANB

Contenu de l’AANB :

  • Qc, Ont, N.-É. Et N.-B. formeront le Dominion du canada en 1867 (indépendance intérieure seulement)

  • Union Fédérale : pouvoirs politiques séparés entre deux niveaux de gouvernement : provincial et fédéral.

  • Conseil législatif aboli en 1968

 
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Régime Français

05/12/2014 10:48

1608-1760

Avant 1663 : Colonie-comptoir

1 )Population et peuplement

  • 1608 - Fondation de Québec

  • 1634 - Fondation de Trois-Rivières

  • 1642 - Fondation de Montréal

Occupation du territoire :

  • Postes de traite

  • Des centaines d’hommes, motivés par le commerce des fourrures, se lancent à la découverte de grands espaces.

  • Distribution des terres : régime seigneurial (seigneuries)

  • Territoire amérindien : nation algonquienne forcée à se replier vers le Nord et l’Ouest, assimilation dans des missions/réductions.

Évolution du peuplement :

AVANT 1663 : système des compagnies

  • Peuplement lent

  • Coloniser est coûteux

  • La traite des fourrures n’attire pas le peuplement

APRÈS 1663 : Gouvernement Royal

  • Le gouverneur Jean Talon mets en place des mesures pour peupler

  • Filles du roi, engagés soldats et familles pauvres

  • Favoriser la natalité par des primes au mariage et aux naissances nombreuses

 

FACTEURS QUI NUISENT AU PEUPLEMENT DE LA COLONIE :

  1. Dangers de la traversée

  2. Rigueur du climat

  3. Éloignement de la métropole

  4. Peur des iroquois

  5. Manque de femmes


Portrait de la population canadienne :

  • Faiblesse de l’immigration compensée par une forte natalité

  • Organisation sociale BEAUCOUP MOINS stricte qu’en France, quoique semblable

  • 75% à la campagne, 25% (riches, nobles, marchands, officiers) à la ville

 

2) Économie et développement

1608- 1760

Mercantilisme : doctrine économique dont le but est l’enrichissement de la métropole (La colonie fournit à bas prix la matière première à sa métropole et achète à gros prix les produits finis)

Pêcheries :

  • Laisse des traces sur le territoire (fours, vigneaux, cabanes de pêcheurs)

  • Nécessite peu de main-d’œuvre

Fourrures :

  • Moteur de l’économie

  • Amène une forte expansion du territoire

  • Construction de forts/postes de traite

  • Crée peu d’emplois

  • Alliances français/algonkiens&hurons, anglais/iroquois

Agriculture :

  • Se développe à partir de 1663

  • Occupation graduelle de la vallée du St-Laurent

  • Prends de 5 à 10 ans pour qu’une terre puisse faire vivre une famille

Production artisanale :

  • Les villes et les villages se développent

Forges et construction navale :

  • Forges du st-Maurice : fabrication de poêles, marmites, canons, etc.

  • Exploitation du fer et du bois

  • Création d’emplois spécialisés

COMMERCE À L’INTÉRIEUR DE LA COLONIE :

  • Fourrures, pêche et agriculture, voies de communication déficientes

  • Construction du chemin du roi entre Qc/Mtl

  • Économie se développe lentement

COMMERCE À L’EXTÉRIEUR DE LA COLONIE

  • Commerce avec la France (commerce triangulaire)

  • Louisbourg devient un port important

  • Profite surtout aux grands marchands métropolitains

3) Culture et mouvement de pensée

L’Église catholique est partout : écoles, hôpitaux, services sociaux

La vie des habitants est ponctuée de :

  • jours de jeûne

  • Longues prières quptidiennes

  • Messes

  • Processions

L’Église s’oppose aux multiples formes d’expressions artistiques

Temps des sucres = moment apprécié

4) Pouvoir politique et groupes d’influence

AVANT 1663 :

Roi -> compagnies -> gouverneur

APRÈS 1663 :

Roi -> Ministre de la marine -> gouverneur / intendant -> conseil souverain (GIE, tribunal, règles) -> capitaine de milice (représenter le Gouverneur Général, lire les ordonnances, entraîner els hommes à la guerre, responsable des corvées) -> peuple (STFU)

Roi : absolutisme de droit divin, prières lorsque malade, congés lors de naissances/mariages, on reproduit les modes de la cour

GROUPES D’INFLUENCE SOUS LE RÉGIME FRANÇAIS

L’Église : santé, hôpitaux, éducation, conversion des amérindiens, encadrement des paroisses par les curé.

Elle enseigne aux fidèles à accepter leur sort et à obéir aux autorités. Elle est soumise au pouvoir royal.

Les Amérindiens : colonie repose sur les alliances avec les amérindiens

Alliances économiques (ils traitent d’égal à égal avec la colonie, 5 à 10% du budget = cadeaux)

Alliances militaires (les amérindiens appuient les français contre les anglais)

La Noblesse : ont comme rôle de servir l’État

Privilégiés : postes importants / se font donner des seigneuries

Influence importante sur les décisions de l’État

 

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Premiers Occupants

05/12/2014 10:46

1500-1608

1) Population et peuplement

1500

Trois grandes théories de migration :

  1. Le détroit de Béring – route terrestre

  2. L’Océan Pacifique – route maritime (sauts d’îles en îles pour atterrir en Amérique Du sud)

  3. L’Océan Atlantique – route maritime (longé par bateaux les glaciers de l’océan atlantique

 

Trois grandes familles amérindiennes :

NAP- Algonquiens : nomade, chasse-pêche-cueillette, patriarcale, wigwam, Appalaches-bouclier canadien

SIM -Iroquoiens : sédentaire, agriculture-chasse-pêche, matriarcale, maisons longues, basses-terres du st-Laurent et des Grands Lacs

NIP -Inuits : nomade, chasse-pêche-cueillette, patriarcale, igloo en hiver/maison de peaux en été, Nord du Québec.

 

2) Économie et développement

  • Économie de subsistance (qui vide la production de biens essentiels)

  • Mode de production domestique (gens fabriquent eux-mêmes les objets dont ils ont besoin)

  • Moyens de transport : canot, raquette, toboggan, traîneau, kayak

  • Réseau d’échanges (échange de biens en surplus contre des produits manquants entre les tribus)

  • Mode d’échange : troc (fourrure, mais, objets de cuivre, silex, coquillages, tabac)

 

3) Culture et mouvement de pensée

L’environnement détermine : la culture matérielle (vêtements, habitations, moyens de transport), Le mode de vie et leur spiritualité.

UNIVERS PEUPLÉ D’ESPRITS : animisme (chaque chose est habitée par un esprit)

Médecine amérindienne : soigne le corps (plantes médicinales) et l’esprit (hochet, os d’omoplate, tambour, fumée, rêves)

Valeurs amérindiennes : Éloquence, générosité (cadeaux mutuels), pas de hiérarchie sociale (tous sont égaux), Habileté à la chasse, courage, sagesse

Préservation de la culture par les mythes (transmis oralement et par les wampums)

 

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Barack Obama

05/12/2014 10:39

 

Barack Obama


Portrait officiel de Barack Obama, en 2012.

Fonctions

44e président des États-Unis

En fonction depuis le 20 janvier 2009
(4 ans, 9 mois et 6 jours)

Élection

4 novembre 2008

Réélection

6 novembre 2012

Vice-président

Joe Biden

Prédécesseur

George W. Bush

Sénateur des États-Unis
pour l'Illinois

4 janvier 2005 – 16 novembre 2008

Prédécesseur

Peter Fitzgerald

Successeur

Roland Burris

Sénateur de l'Illinois
pour le treizième district

8 janvier 1997 – 4 novembre 2004

Prédécesseur

Alice Palmer

Successeur

Kwame Raoul

Biographie

Nom de naissance

Barack Hussein Obama II

Date de naissance

4 août 1961 (52 ans)

Lieu de naissance

Honolulu (HawaïÉtats-Unis)

Nationalité

 Américaine

Parti politique

Parti démocrate

Conjoint

Michelle Robinson

Diplômé de

Université Columbia (B.A.)
Université Harvard (J.D.)

Profession

Avocat
Professeur
Travailleur social

Religion

Protestantisme



Présidents des États-Unis

modifier 

Barack Hussein Obama II, né le 4 août 1961 à Honolulu dans l'État d'Hawaï, est un homme d'État américain. Il est l'actuel et le 44eprésident des États-Unis d'Amérique, élu pour un premier mandat le 4 novembre 2008, et réélu le 6 novembre 2012.

Fils d'un Kényan noir et d'une Américaine blanche du Kansas de souche irlandaise, il est le premier Afro-Américain ayant accédé à la présidence des États-Unis. Son parcours a suscité chez les électeurs comme dans les médias du monde entier un grand intérêt.

Né à Hawaï, élevé plusieurs années en Indonésie, diplômé de l'université Columbia et de la Faculté de droit de Harvard, il est, en 1990, le premier Afro-Américain à présider la prestigieuse Harvard Law Review, événement historique dans un pays qui a connu une ségrégation raciale jusque dans les années 1960.

Après avoir été travailleur social, plus spécifiquement « organisateur de communauté » (community organizer en anglais) dans les quartiers sud de Chicago durant les années 1980, puis avocat en droit civil à sa sortie d'Harvard, il enseigne le droit constitutionnel à l'Université de Chicago de 1992 à 2004.

Barack Obama entre en politique en 1996 : il est élu au Sénat de l'Illinois où il effectue trois mandats, de 1997 à 2004. Il connaît l'échec lors de sa candidature à l'investiture du Parti démocrate pour la Chambre des représentants en 2000, mais l'obtient en mars 2004 pour le Sénat des États-Unis. Barack Obama se distingue notamment par son opposition précoce à la guerre d'Irak lancée par George W. Bush, et par le discours qu'il prononce en juillet 2004 lors de la convention démocrate qui désigne John Kerry comme candidat à la présidence, prestation remarquée qui le fait connaître pour la première fois au plan national.

Élu au Sénat des États-Unis en novembre 2004, il déclare sa candidature à l'investiture démocrate pour la présidence des États-Unis le10 février 2007 à Springfield. Il remporte les primaires face à Hillary Rodham Clinton et est officiellement désigné candidat lors de la convention de son parti à Denver, le 27 août 2008.

Après avoir obtenu 52,9 % des voix et 365 grands électeurs à l'élection présidentielle du 4 novembre 2008 contre le républicain John McCain, Barack Obama entre en fonction le 20 janvier 2009. Sa présidence intervient dans un contexte de guerre en Irak, de guerre en Afghanistan, de crise au Moyen-Orient, d'importante récession de l'économie américaine et de crise financière et économique mondiale. Le9 octobre 2009, il reçoit le prix Nobel de la paix.

Durant son premier mandat, Barack Obama promulgue notamment un plan de relance économique en février 2009, la loi sur l'allègement d'impôts, le renouvellement d'autorisation des assurances-chômages et les créations d'emplois, celle sur la protection des patients et des soins abordables ainsi qu'une réforme de la régulation financière en 2010. En termes de politique étrangère, il retire progressivement les troupes américaines d'Irak, augmente celles présentes en Afghanistan et signe un traité de contrôle des armements avec la Russie. Il commande également l'opération qui aboutit à la mort d'Oussama Ben Laden, tué par les forces spéciales américaines à Abbottabad au Pakistan le 1er mai 2011.

Le 4 avril 2011, Barack Obama annonce qu'il est candidat à un second mandat lors de l'élection présidentielle de 2012. Opposé au républicain Mitt Romney, il est réélu le 6 novembre 2012 pour un second mandat présidentiel en remportant 332 voix du collège électoralcontre 206 à son rival et 51 % des suffrages au plan national.

Origines familiales, enfance et jeunesse

Barack1 Hussein Obama II est né le 4 août 1961 à 19 h 24 à la maternité de Kapiolani à Honolulu2. Ses parents se sont rencontrés à l'Université d'Hawaï où ils étaient tous deux étudiants.

Famille paternelle

Son père, Barack Obama Senior (né à Nyang'oma Kogelo en 1936 - † 24 novembre 1982), économiste et homme politique kényan, issu de l'ethnie luo3. Ses parents se sont rencontrés en 1960 lors de classes de langue russe à l'Université de Hawaï à Manoa4,5. Dans son autobiographie, troisième partie, notamment le récit de Granny sur les origines familiales et la vie d'Hussein et de Barack Sr., Barack Obama fournit une assez longue généalogie en ligne paternelle (12 générations au-dessus de lui, voir ci-dessous) et indique que la famille vivait de l'élevage nomade dans la région de l'Ouganda avant de venir se fixer au Kenya, à Alego6 puis à Kendu Bay7.

L'arrière-grand-père de Barack Obama Jr. s'appelait simplement Obama (il est donc l'ancêtre éponyme) et vivait à Kendu Bay à la fin du xixe siècle et au début du xxe. Son grand-père, Hussein Onyango Obama (1895-1979), est présenté comme un personnage assez original ; il est le premier habitant de Kendu Bay à entrer en contact avec les Anglais à Kisumu, autour de 1910 ; immédiatement, il adopte un mode de vie moderne (vêtements européens, apprentissage de la lecture et de l'écriture, souci exceptionnel d'hygiène) et, désavoué par son père et ses frères, se met au service du colonisateur. Pendant la Première Guerre mondiale, il est responsable de l'organisation de corvées au Kenya puis au Tanganyika. Après la guerre, il exerce la profession de domestique et cuisinier pour différents patrons britanniques ; en même temps, il effectue un retour aux origines en achetant des terres à Kendu Bay et en prenant une épouse, Helima (puis une seconde, Akumu, puis une troisième, Sarah). Pendant la Seconde Guerre mondiale, il est au service d'un officier britannique dans différents endroits (Birmanie, Thaïlande, Ceylan, Europe). Après son retour, il cesse de travailler comme domestique et devient agriculteur à plein temps ; c'est aussi le moment où il quitte Kendu Bay et s'installe à Alego.

Dans les années 1950, il est détenu durant six mois à la suite d'une dénonciation calomnieuse à propos de liens avec le mouvement nationaliste kényan (KANU). Reconnu innocent, il sort malgré tout affaibli physiquement et moralement de cette épreuve8.

De ses trois épouses, il a eu huit enfants9.

Barack Obama Sr. est le deuxième enfant à être né en 1936 à Kendu Bay. Sa mère est Akumu. Barack Obama Sr., qui est décédé en 1982, a été éduqué dans la religion musulmane mais était néanmoins athée10. Après le départ11 d'Akumu en 1945, il a été élevé par la troisième épouse de Hussein Onyango dans le village d'Alego ; quand il termine ses études primaires brillantes, quoique peu assidues, il est admis dans l'école des missionnaires de Maseno, mais en est renvoyé pour indiscipline, avant d'avoir mené à leur terme ses études secondaires. Il travaille plusieurs années comme employé de bureau à Mombasa et Nairobi et épouse sa première femme, Kezia. Il a la chance d'être repéré comme très doué par deux universitaires américaines qui lui font prendre un cours par correspondance et lui font passer l'examen de fin d'études secondaires à l'ambassade des États-Unis ; c'est encore avec leur appui, qu'il sollicite une bourse auprès de plusieurs universités américaines, et en 1959, il reçoit une réponse favorable de l'université d'Hawaii. Il va y suivre un cursus d'économétrie, obtient les meilleures notes de sa promotion et y fonde l'association des étudiants étrangers12.

Famille maternelle

Sa mère, Stanley13 Ann Dunham (1942 - 1995) était la fille de Stanley (23 mars 1918 – 8 février 1992) et de Madelyn Dunham (26 octobre 1922 – 3 novembre 2008)14. La famille Dunham étaitchrétienne, mais Ann, adulte, était agnostique. L'ascendance de la famille blanche de Stanley Ann Dunham semble avoir compté le premier esclave noir du continent John Punch selonAncestry.com.

Ann Dunham, est née à Wichita dans le Kansas3, près d'une base militaire2, son père ayant été appelé en 1942 pour servir comme GI dans l'armée américaine. Pendant la guerre, Madelyn Dunham travaille dans les usines aéronautiques de Wichita. Après avoir servi en Europe dans l'armée de George Patton, Stanley Dunham devient vendeur représentant en meubles. La famille Dunham déménage assez souvent, habitant successivement la Californie, le Kansas, le Texas, l'État de Washington (Seattle) avant de partir pour Hawaï en 1959. Stanley y connaît des déboires professionnels, mais Madelyn occupe avec un certain succès un emploi de cadre de banque.

Stanley Ann suit des études d'anthropologie à l'université d'Hawaï quand elle rencontre Barack Sr15.

Barack Obama a été élevé par ses grands-parents maternels à partir de 1971. Étant très attaché à Madelyn (« Toot », américanisation de Tutu, « grand-mère » en hawaïen), le candidat a même interrompu sa campagne pour s'occuper d'elle alors qu'elle était souffrante à Hawaii. Madelyn Dunham est décédée le 3 novembre 200814, la veille même de l'élection de son petit-fils à la présidence des États-Unis.

Une famille recomposée

Les parents de Barack Obama se marient le 2 février 196116. En août 1963, son père est accepté à l'Université Harvard mais il part seul pour le Massachusetts car la bourse qu'il a obtenue ne lui permettrait pas de subvenir aux besoins de son épouse et de son fils. Le divorce sera prononcé en janvier 1964. Diplômé en économie en 1965, le père de Barack Obama repart au Kenya où il fonde une nouvelle famille. D'abord homme en vue proche du gouvernement de Jomo Kenyatta, il finit par s'opposer aux projets du président. Limogé et boycotté, il sombre dans la pauvreté et l'alcoolisme avant de se tuer dans un accident de voiture en 198212. Son fils ne l'aura revu qu'une fois, à 10 ans, lors d'un séjour de son père à Hawaï (décembre 1971/janvier 1972).

Ann Dunham s'est remariée en 1965 avec un étudiant originaire d'Indonésie, Lolo Soetoro, qui regagne son pays dès 1966 ; Ann et Barack le rejoignent à Jakarta17 en 1967. Barack va passer quatre ans en Indonésie. Il fréquente d'abord pendant deux ans l'école primaire catholique St-François d'Assise, puis une école publique où il est le seul étranger16. Dans son dossier d'inscription il aurait choisi, parmi les cinq religions proposées celle de son beau-père, le javanisme18, une branche locale de la religion musulmane19. Pendant la campagne électorale pour l'investiture de 2008, l'éditorialiste néo-conservateur Daniel Pipes a prétendu qu'Obama avait été un musulman pratiquant durant son séjour en Indonésie (donc entre 6 et 10 ans)20. Obama affirme quant à lui que son foyer n'était pas religieux.

En 1971, sa mère le fait revenir à Hawaï chez ses grands-parents maternels, afin qu'il puisse faire des études secondaires américaines (depuis le début du séjour indonésien, elle lui faisait suivre un cours par correspondance, et dans les derniers mois, lui imposait de se lever très tôt pour travailler avec elle avant d'aller à l'école) ; il est inscrit à l'Académie Punahou, prestigieuse école privée d'Hawaii21 pour laquelle il a obtenu une bourse. L'année suivante, Ann, séparée de Lolo Soetoro, le rejoint avec Maya et reprend ses études avec un mastère consacré à l'anthropologie de l'Indonésie. Selon Maya, l'éducation que sa mère a donnée à cette époque à ses deux enfants était « idéaliste et exigeante22 ». En 1975, elle retourne en Indonésie pour effectuer les travaux de terrain obligatoires pour son diplôme, mais Barack refuse de la suivre22. Elle devient responsable d'un programme d'aide aux femmes pauvres organisé par la fondation Ford puis contribue à développer le système de microcrédit indonésien22. Elle achève son doctorat en 1992 avec une thèse sur The peasant blacksmithing in Indonesia. Mais elle meurt à Hawaii à 52 ans le7 novembre 1995 d'un cancer de l'ovaire. Obama affirme que sa plus grande erreur a été de ne pas avoir été à ses côtés au moment de sa mort.

Barack Obama a raconté son enfance et sa jeunesse (jusqu'en 1988) dans son autobiographie Les rêves de mon père23.

Généalogie

Études et carrière professionnelle

Après ses études secondaires, Barack Obama passe deux ans à Occidental College à Los Angeles (Californie) puis entre à l'Université Columbia de New York. Il en sort diplômé en 198324 avec un Bachelor of Arts en sciences politiques, spécialité relations internationales.

Premières expériences professionnelles (1983-1985)

Avant25 même d'obtenir son diplôme de l'université Columbia, Barack Obama envisageait de devenir « organisateur communautaire » (community organizer, et non pas social worker26), mais ses démarches auprès de différents organismes (notamment la mairie de Chicago, depuis peu dirigée par un Noir, Harold Washington) n'aboutissent pas. Il entre à New York dans un cabinet de consultants ((en) Business International Corporation (en)27) travaillant pour des multinationales, d'abord comme assistant de recherche, puis comme analyste financier, fonction importante qui lui permet de disposer d'un bureau et d'une secrétaire. À la suite d'une prise de contact avec sa tante Auma[réf. nécessaire], il décide de se réorienter vers le travail communautaire et quitte son entreprise. Toujours à New York, il connaît une période de travail précaire (il travaille notamment pendant trois mois pour l'organisation de Ralph Nader), puis est recruté par un militant associatif de Chicago, Jerry Kellman (qu'il appelle Marty Kaufman dans son autobiographie).

Chicago (1985-1988)

À l'été 198528, il choisit de travailler comme organisateur communautaire dans le quartier noir défavorisé de Bronzeville. Il devient adjoint de Jerry Kellman, travailleur social chrétien, membre d'un réseau d'Églises progressistes. Jusqu'en 1987, Barack Obama, surnommé « Baby Face » par les pasteurs locaux, arpente South Side pour aider les résidents à s'organiser dans la défense de leurs intérêts, pour obtenir le désamiantage des logements sociaux, l'ouverture de bureaux d'embauche, ou pour lutter contre la délinquance des jeunes. C'est durant cette période que Barack Obama, élevé sans religion29, se rapproche de l'Église unie du Christ dirigée dans le quartier par le pasteur antisémite Jeremiah Wright, issu de la secte islamique Nation of Islam30, et embrasse la religion protestante.

Harvard (1988-1991)

Au cours de l'année 1987, il pose sa candidature à plusieurs universités et reçoit un agrément de Harvard en février 1988. Il quitte Chicago en mai 1988 et après un séjour touristique en Europe, part pour son premier voyage au Kenya. Il étudie ensuite pendant trois ans28 à la faculté de droit de Harvard (Harvard Law School) à Cambridge près de Boston ; il en sort diplômé avec la mentionmagna cum laude. En 1990, il est le premier Afro-Américain31 élu (face à 18 autres candidats) rédacteur en chef de la prestigieuse Harvard Law Review, événement qui fait l'objet d'une information dans des journaux nationaux.

Chicago (depuis 1991)

Barack et Michelle Obama en 2008

À la fin de ses études, au lieu de devenir adjoint au juge Abner Mikva, Barack Obama revient à Chicago pour devenir enseignant en droit constitutionnelà l'Université de Chicago où il travaille jusqu'en 200428. Il entre dans un cabinet juridique spécialisé dans la défense des droits civiques.

Vie et soutien familial

En 1992, il épouse Michelle Robinsonjuriste originaire de Chicago rencontrée en 1989 dans le cabinet d'avocats où il travaille et où elle est avocate associée. Le couple Obama aura deux filles, Malia Ann (née en 1998) et Natasha, plus connue par son surnom Sasha (née en 2001). Michelle Robinson-Obama est alors une avocate renommée, figure influente du Parti démocrate local et proche du maire de ChicagoRichard M. Daley. C'est elle qui va propulser la carrière politique de son époux32,28 alors qu'il n'a, jusque-là, milité activement que pour soutenir la candidature de Bill Clinton à la présidence des États-Unis, et celle de Carol Moseley-Braun au Sénat.

Carrière politique locale (1994-2004)

Article détaillé : Élections législatives américaines de 2000 en Illinois.

En 1996, Barack Obama est élu au Sénat de l'Illinois dans la 13e circonscription, couvrant les quartiers de South Side à Chicago28, dont le quartier de Hyde Park, où lequel il vivra avec sa femme et ses deux filles jusqu'à son entrée à la Maison-Blanche. Il préside la commission de santé publique quand les démocrates reprennent la majorité au Sénat de l'État.

Il soutient les législations en faveur de l'extension de la couverture médicale aux plus démunis, se fait le défenseur de la cause des homosexuels et fait augmenter les fonds destinés à la lutte contre le SIDA. Son mandat est marqué par sa capacité à obtenir, par le biais de compromis, l'assentiment des républicains sur des lois comme celles contre le profilage racial, pour lavidéosurveillance des interrogatoires de police ou encore un moratoire sur l'application de la peine de mort dans l'Illinois33.

En 2000, il tente de se faire désigner aux primaires démocrates pour être candidat à la Chambre des représentants des États-Unis mais il est battu avec 30 % des voix contre 61 % à Bobby Rush, le titulaire démocrate sortant et ancienne figure historique du Black Panther Party.

Barack Obama se fait aussi remarquer à l'échelle nationale en 2002 lorsqu'il refuse de cautionner les explications des néo-conservateurs au sujet d'une invasion nécessaire de l'Irak. « Je ne suis pas quelqu'un qui s'oppose à la guerre en toutes circonstances. Je suis opposé à une guerre stupide, non pas basée sur la raison, mais sur la passion, non sur les principes, mais sur la politique », déclare-t-il le 2 octobre 2002 à Chicago34. Cette opposition à la guerre lancée par l'administration Bush le 19 mars 2003 et approuvée par une large majorité du Sénat des États-Unis (notamment par Hillary Clinton35), lui servira de référence tout au long de sa campagne pour l'investiture de l'élection présidentielle américaine de 2008 pour contrer ses adversaires.

Carrière nationale (2004-2008)

Article détaillé : Élection sénatoriale américaine de 2004 en Illinois.

Barack Obama, sénateur de l'Illinois.

À l'automne 2002, il engage le consultant politique David Axelrod et annonce officiellement sa candidature au Sénat des États-Unis en janvier 200336. Parmi les membres du comité pour le financement de sa campagne se trouve un repris de justice notoire, Tony Rezko (en)37,38. En juillet 2004, il prononce un discours de la Convention démocrate de Boston désignant John Kerry comme candidat du parti à l'élection présidentielle. Il y fait l'apologie du rêve américain, de l'Amérique généreuse, en rappelant ses origines familiales. Il en appelle à l'unité de tous les Américains et dénonce les « errements » et l'« extrémisme »diviseur de l'administration de George W. Bush. Ce discours « The Audacity of Hope »39 repris dans la presse écrite et à la télévision fait connaître Barack Obama aux militants démocrates mais également à de nombreux Américains40.

Le 2 novembre 2004, après avoir battu quelques mois plus tôt ses adversaires démocrates lors des primaires, Barack Obama est élu au Sénat des États-Unisavec 70 % des voix contre 27 % à son adversaire républicain, l'ancien ambassadeur et chroniqueur politique conservateur afro-américain Alan Keyes. Le score ne fut pas une surprise car pendant plusieurs mois, Barack Obama avait fait une grande partie de sa campagne électorale sans aucun opposant désigné contre lui à la suite du retrait en dernière minute de Jack Ryan, le candidat républicain ; ce dernier avait lui-même succédé à Blair Hull, le vainqueur desprimaires, et tous deux étant englués dans des affaires scabreuses avec leurs épouses respectives. Ce n'est que deux mois avant l'élection, qu'Alan Keyes avait été désigné comme candidat républicain en dépit du fait qu'il résidait au Maryland, qu'il n'avait aucun lien avec l'Illinois et qu'en 2000, il avait dénoncé le parachutage d'Hillary Clinton à New York.

Barack Obama succède alors au sénateur républicain sortant Peter Fitzgerald. Il prête serment comme sénateur le 4 janvier 2005, devenant le seul homme de couleur à siéger au Sénat, et le cinquième de l'histoire41. Il démissionne de son poste de sénateur le 16 novembre 2008, après son élection à la présidence des États-Unis.

Élection présidentielle de 2008

Les élections primaires

Article détaillé : Primaires présidentielles du parti démocrate de 2008.

Barack Obama en campagne électorale enCaroline du Sud en août 2007

Le 16 janvier 2007, il annonce la création d'un comité exploratoire en vue de lever des fonds pour une candidature à l'élection présidentielle de 2008 ; le10 février 2007, il déclare sa candidature à l'investiture démocrate42 et ce, malgré son inexpérience relative et la concurrence dans le camp démocrate d'Hillary Clinton, jusque-là favorite pour les primaires. Le 15 décembre 2007, il reçoit l'appui du prestigieux quotidien national The Boston Globe43.

Tout au long de l'année 2007, il a insisté sur le fait qu'il incarnait le changement et qu'il s'opposait à la politique partisane44. Sa candidature enthousiasme une partie des électeurs indépendants et des jeunes44. Il obtient le ralliement de nombreuses personnalités comme le sénateur John Kerry, les hommes d'affairesWarren Buffett et George Soros, les acteurs George ClooneyMatt DamonWill SmithBen AffleckRobert De Niro, les actrices Halle BerrySophia Bush etScarlett Johansson, le rocker Bruce Springsteen, la chanteuse Nicole Scherzinger, le rappeur Nas, la romancière Toni Morrison ou l'animatrice de télévision Oprah Winfrey, personnalité extrêmement influente dans son pays, notamment au sein de la communauté afro-américaine45. Le 21 avril 2008, il obtient également le soutien du cinéaste Michael Moore.

Le 3 janvier 2008, Barack Obama crée la surprise46 en remportant les premières primaires, les caucus de l'Iowaétat blanc à plus de 96 %, avec 38 % des suffrages exprimés, loin devant le sénateur John Edwards (30 %) et l'ancienne First Lady Hillary Clinton qui a obtenu 29 %47, démontrant ainsi pour la première fois qu'un métis pouvait avoir de réelles chances au niveau national.

Il réussit alors à imposer à la campagne des primaires, aussi bien démocrates que républicaines, le thème du « changement » (« Change »). Le 8 janvier, il perd dans le New Hampshire (37 %) contre Hillary Clinton (39 %) malgré des sondages l'annonçant grand favori avec 10 points d'avance48. Son discours de défaite est teinté d'espoir et de remotivation. De cette défaite Barack Obama tire son nouveau slogan : « Yes we can » (« Oui, nous pouvons »).

Barack Obama et sa famille à Springfield (Illinois)le 10 février 2007

Après une polémique avec Hillary Clinton sur les droits civiques et les rôles respectifs de Martin Luther King et du président Lyndon Baines Johnson, il arrive de nouveau deuxième en nombre de voix, derrière Hillary Clinton, lors du caucus du Nevada du 19 janvier (51 % contre 45 %). Néanmoins Barack Obama obtient une majorité de 13 délégués contre 12 pour Hillary Clinton, raison pour laquelle il refuse de concéder sa défaite. Il évoque également des irrégularités dans le vote qu'il impute au camp Clinton, accusant Bill Clinton et sa femme, de déformer les faits à son encontre49.

Le 27 janvier, sa très large victoire (55 % contre 27 % pour Hillary Clinton) lors des primaires de Caroline du Sud50 relance sa candidature dans la perspective du Super Tuesday du 5 février.

Le 28 janvier, il obtient le soutien de Caroline Kennedy51, ainsi que d'Edward Moore Kennedy et Patrick Kennedy52.

Lors du Super Tuesday, le 5 février, Barack Obama remporte 13 États, face à 9 pour Hillary Clinton.

Le 2 févrierWill.i.am enregistre Yes We Can, une chanson inspirée d'un discours prononcé par Obama, à la suite de la primaire du New Hampshire de 2008. Mixée avec des images et des extraits du discours, elle est interprétée par de nombreuses célébrités (la plupart des musiciens, chanteurs et comédiens américains) soutenant le sénateur Obama. La chanson a été produite par Will.i.am, le clip a été réalisé par Jesse Dylan, le fils du chanteur Bob Dylan53.

Liesse populaire autour de Barack Obama lors d'un meeting dans le Connecticuten février 2008

Le 9 février, il remporte les États de Washington, du Nebraska et de Louisiane ainsi que les îles Vierges. Le lendemain 10 février, il remporte l'État du Maine. Le 12 février, en remportant les trois élections primaires démocrates en Virginie, au Maryland et dans la capitale fédérale Washington, Barack Obama prend un avantage dans la course aux 2 025 délégués nécessaires pour obtenir l'investiture démocrate. Avec 1 231 délégués, il devance dorénavant Hillary Clinton (1 196 délégués), s'adjugeant au passage la confiance non seulement d'une bonne partie de l'électorat afro-américain mais aussi celui des personnes âgées (53 % contre 47 % à Hillary Clinton) et des femmes (58 %) ; les Blancs demeurent plutôt favorables à Hillary Clinton (48 % contre 51 %)54.

Le 19 février, il gagne les primaires dans le Wisconsin et à Hawaï, signant là dix victoires consécutives sur Hillary Clinton.

Le 22 février, avec plus de 65 % des voix, Barack Obama, sénateur de l'Illinois, a largement remporté la primaire des démocrates expatriés. En France, il dépasse la barre des 70 %55.

Le 4 mars, il gagne dans l'État du Vermont mais perd dans l'Ohio et le Rhode Island. Au Texas, il obtient plus de représentants à la convention que Hillary Clinton (99 contre 94). Il conserve une avance de plus de 100 délégués.

Il remporte les primaires du Wyoming le 8 mars, puis celles du Mississippi trois jours plus tard.

Le 18 mars 2008, il prononce l'important Discours de Philadelphie56 sur la question raciale.

Le 22 avril, Hillary Clinton remporte la primaire de Pennsylvanie57 ; sa campagne qui ne pouvait se permettre d'accroître davantage son retard, bénéficie alors d'un second souffle aux dépens de celle d'Obama. Ce dernier a été fragilisé dans l'opinion par son attitude ambiguë à l'égard des dérapages verbaux de son ancien pasteur, le communautariste Jeremiah Wright58, ainsi que par des accusations d'élitisme.

Ainsi, le 3 mai, il remporte avec seulement 7 voix d'écart les caucus de Guam, île du Pacifique, avec 50,08 % des voix contre 49,92 % pour Hillary Clinton.

Le 6 mai, il remporte l'État de Caroline du Nord avec 56 % des voix mais perd avec 22 000 voix d'écart dans l'Indiana (49 % des voix)59.

Le 13 mai, Hillary Clinton remporte la primaire en Virginie-Occidentale avec 67 % des voix contre 26 % pour Barack Obama. La candidate bénéficie d'un vote massif des électeurs blancs et modestes, très nombreux dans cet État60. Obama peut néanmoins rattraper son retard auprès de cette dernière catégorie d'électeurs et auprès des « cols bleus » (ouvriers blancs) grâce au ralliement de poids de John Edwards, annoncé dès le lendemain de la primaire de Virginie-Occidentale61.

À ce stade des primaires, les cinq dernières consultations à venir seront d'une importance toute relative, aucun des deux candidats ne pouvant obtenir la majorité qualifiante des délégués ordinaires, tandis que les super-délégués, qui restent partagés entre Obama (282), Clinton (273) et l'indécision (environ 240), auront probablement le dernier mot lors de la Convention démocrate du mois d'août. Certains observateurs misent cependant sur un retrait de Clinton avant la fin du processus62.

Le 20 mai, Obama et Clinton remportent l'un et l'autre une primaire. Le premier s'impose dans l'Oregon (58 % des voix), la seconde dans le Kentucky (65 % des voix)63.

Affiche « HOPE » à Denver (Colorado).

Le 30 mai, il quitte l'Église unie du Christ à la suite des polémiques engendrées par les propos du pasteur Wright et du révérend Michael Pfleger. Obama était membre de cette Église depuis une vingtaine d'années64,65.

Le 3 juin, à l'issue des dernières primaires (Montana et Dakota du Sud), il atteint le seuil requis des 2 118 délégués, ainsi que le soutien de nombreux super-délégués66. Malgré la revendication par Clinton de la majorité du « vote populaire » (en nombre de voix de militants) et le refus de la sénatrice de se déclarer vaincue, Obama est désormais quasiment assuré d'être désigné candidat à la Maison-Blanche lors de la convention démocrate de la fin du mois d'août.

Le 7 juin, Hillary Clinton « suspend » sa campagne à l'investiture démocrate et apporte son soutien à Barack Obama dans sa campagne présidentielle contre le républicain John McCain67.

Le 27 août, troisième jour de la Convention démocrate à Denver, Obama est officiellement investi par acclamation, ou roll call, lancée par la sénatrice Hillary Clinton68. Plus de vingt ans après le révérend Jesse Jackson, trois fois candidat à l'investiture démocrate et premier à remporter des primaires, notamment en 1988, c'est le premier Afro-Américain31 investi pour la présidentielle par un parti majeur69.

Financement de sa campagne électorale

Concernant le financement des campagnes électorales, fortement encadrées par la législation américaine, Barack Obama se déclare partisan d'un système de financement public et a indiqué avant même sa déclaration de candidature qu'il financerait ainsi sa campagne présidentielle si son rival républicain faisait de même.

Cependant, en juin 2008, il décide de baser sa campagne sur la collecte de fonds privés, échappant ainsi à la limite de collecte imposée en cas de financement par les fonds publics. Il devient alors le premier candidat à se passer de ces fonds fédéraux depuis l'adoption par le Congrès des lois sur le financement des campagnes électorales, élaborées après le scandale du Watergate70.

Campagne présidentielle

Article détaillé : Campagne présidentielle de 2008 de Barack Obama.

Élection (4 novembre 2008)

Article détaillé : Élection présidentielle américaine de 2008.

Répartition du collège électoral par État en 2008. En bleu, les États remportés par Obama/Biden ; en rouge, ceux remportés par McCain/Palin. Pour chaque État est indiqué le nombre de grands électeurs.

Avec un taux de participation record de 63 % des électeurs inscrits71, Barack Obama a remporté l'élection présidentielle du 4 novembre 2008 avec plus de 9 millions de voix d'avance72 sur son adversaire John McCain. La victoire est nette aussi bien au niveau des grands électeurs (365 à 17373,74) que dans dans le vote populaire (52,9 % à 45,6 %)75. Outre ses victoires dans les États-clés âprement disputés de l'Ohio et de la Floride, Obama a fait basculer, de justesse, des bastions républicains traditionnels comme l'Indiana76, et a même obtenu les suffrages de deux anciens États confédérés (en plus de la Floride) : la Virginie77 et la Caroline du Nord78. Barack Obama l'emporte dans toutes les classes d'âge, sauf chez les plus de 65 ans, et bénéficie d'une plus forte mobilisation des jeunes électeurs, alors que 68 % des 18-25 ans se sont prononcés en sa faveur79. Il obtient également le suffrage de 54 % des catholiques, de 78 % des Israélites, ainsi que de 67 % des Latinos et de 95 % des Afro-Américains80.

Au soir du 4 novembre 2008, il prononce devant plusieurs centaines de milliers de personnes son discours de victoire à Grant Park, dans la ville de Chicago (Illinois)81. Après avoir remercié tous ses soutiens (famille, collaborateurs, électeurs), il évoque les enjeux majeurs de son mandat à venir ; en particulier les guerres d'Irak et d'Afghanistan et la crise économique. Son discours est teinté de références significatives aux discours d'investiture de John F. Kennedy, d'Abraham Lincoln et également aux discours prononcés parMartin Luther King ; il cite notamment mot pour mot un passage du discours que fit Abraham Lincoln lors de sa première investiture82.

L'élection de Barack Obama est dans l'ensemble très bien accueillie à l'étranger, où elle est souvent l'occasion de célébrations populaires. Le Kenya, pays natal de son père, décrète même un jour férié. Fait également sans précédent – et bien que la Russie fasse montre de froideur –, des gouvernements traditionnellement en très mauvais termes avec les États-Unis adressent leurs félicitations au nouveau président, ainsi Raúl Castro (Cuba), Hugo Chávez (Venezuela) ou Mahmoud Ahmadinedjad (Iran). Depuis l'Afrique du Sud, il est aussi félicité par le prix Nobel de la Paix et ancien président Nelson Mandela83.

Barack Obama a été formellement élu par les grands électeurs le 15 décembre 2008 – sa victoire ayant été officiellement proclamée au Congrès des États-Unis par Dick Cheney le 8 janvier 2009)84 – et il a succédé à George W. Bush le 20 janvier 2009. Il est alors devenu le quarante-quatrième président des États-Unis, et le premier Afro-Américain31 à accéder à la Maison-Blanche.

Le début de sa présidence commence dans un contexte de guerre en Irak, de guerre en Afghanistan et d'une importante récession de l'économie américaine et de crise financière et économique mondiale.

Analyse d'une victoire

Barack Obama doit notamment sa victoire au vote de très nombreux primo-votants, recrutés grâce à une campagne révolutionnaire de mobilisation des donateurs, des militants, et enfin des électeurs. Cette mobilisation fut basée sur trois leviers principaux : le message, les nouvelles technologies et l'organisation de terrain.

Le message, c'est le « changement », fondé sur l'émotion, sur le modèle des campagnes de community organizing, faisant des électeurs les acteurs de ce changement. La capacité de la campagne (ou organisation) mise en place par Obama à canaliser les flux monétaires et de bénévoles, a constitué un élément déterminant de sa victoire ; en s'inspirant du modèle mis en place par les Républicains huit ans auparavant et en l'améliorant, Obama a su canaliser et tirer parti de son succès populaire85.

Les nouvelles technologies, ce sont les outils Internet qui sont utilisés avant tout pour recruter les sympathisants et organiser le militantisme. On y trouve les réseaux sociaux, de type Facebook, sur lequel Barack Obama est de loin la personne au monde ayant le plus de partisans déclarés, avec près de cinq millions de supporters en janvier 200986, mais aussi une exceptionnelle base de données appelée Catalist, « un fichier unique qui répertorie individuellement 220 millions d'Américains, avec jusqu'à 600 informations par personne », et permettant d'effectuer un ciblage précis sur tous les électeurs afin d'élaborer des messages personnalisés87.

Enfin, l'organisation de terrain combine une communication de mobilisation, le militantisme de proximité et une campagne de financement, structurée en groupes géographiques (DC for Obama, etc.) ou thématiques (Students for Obama, Lawyers for Obama, etc.), organisée sur le modèle du téléthon, qui permet à Barack Obama de bénéficier in fine d'un budget de 750 M$ contre 350 M$ pour John McCain. Au total, Barack Obama a levé une armée de 1,2 million de militants, représentant 25 % du budget de campagne (200 M$). Ces militants ont approché, directement ou par téléphone, près de 68 millions d'Américains, soit plus de la moitié des électeurs et 99 % des électeurs cibles87.

Transition présidentielle (novembre 2008 - janvier 2009)

Article connexe : Administration Obama.

L'élection présidentielle américaine indirecte fait que le président élu ne prend ses fonctions qu'onze semaines après le suffrage populaire. Cette période entre l'Election Day du 4 novembre et l'Inauguration Day, jour de la prise de fonction présidentielle le 20 janvier, est une phase de nomination de la nouvelle administration présidentielle et de transition avec l'administration sortante. La première nomination de la nouvelle administration est celle de Rahm Emanuel au poste de Chef de cabinet de la Maison-Blanche. De nombreux noms circulent quant aux différents secrétaires et le 1er décembre, il est annoncé que son ancienne rivale à l'investiture Hillary Clinton sera proposée par l'administration Obama comme secrétaire d'État88. Les principaux postes sont pourvus dès début décembre (voir Administration Obama). Bien qu'Obama ait axé sa campagne présidentielle sur le slogan du changement, on note la prépondérance de vétérans de l'administration Clintondans la nouvelle équipe, par souci revendiqué de bénéficier de leur expérience face à la crise.

Rencontre entre le président en exerciceGeorge W. Bush et le président élu Barack Obama dans le bureau ovale le 10 novembre 2008

Conformément à ses promesses de dépasser le clivage bipartite89, Obama maintient à la Défense son titulaire nommé par George W. Bush en 2006,Robert Gates, un proche des républicains90 et de la famille Bush en particulier91 ; il rencontre aussi à deux reprises son adversaire malheureux John McCain à la mi-novembre 2008 et le 19 janvier 2009, lors d'un bal rendu en l'honneur de l'ancien vétéran du Viêt Nam92. Il nomme également deux autres hommes proches des républicains dans son gouvernement, Ray LaHood (ancien représentant républicain) comme secrétaire au transport et le général James L. Jones, proche de John McCain93, comme conseiller à la sécurité nationale.

Le président Bush ayant souhaité que cette transition se passe au mieux, Obama bénéficie rapidement d'un accès aux informations classées secret défense et reçoit les mêmes rapports de sécurité que le président toujours en exercice, par la CIA et le FBI.

Avançant qu'il ne peut y avoir qu'un président américain en exercice à la fois, Barack Obama fait le choix discuté de rester globalement silencieux en décembre 2008 et janvier 2009 lors de l'offensive israélienne contre le Hamas à Gaza. Celle-ci se ralentit très sensiblement quelques jours avant son investiture.

Obama bénéficie d'une sécurité renforcée, très proche de celle du président en exercice. Elle est assurée par le Secret Service, l'agence fédérale chargée de la protection du président, du vice-président et de diverses personnalités. Il circule ainsi en convoi blindé et sa maison de Hyde Park ainsi que le bâtiment fédéral de Chicago lui servant de quartier général pendant cette période de transition sont étroitement surveillés. Le président-élu ne déménage à Washington que début janvier 2009.

Lors des campagnes électorales, les principaux candidats à l'élection présidentielle américaine bénéficient d'une protection du Secret Service. Le candidat Obama fut le premier, en mai 2007, à en bénéficier du fait du risque d'attentats par des suprémacistes blancs94. Cette protection fut, comme pour le candidat républicain, renforcée après leur désignation respective comme candidat de leur parti.

Présidence

Article détaillé : Présidence de Barack Obama.

Investiture

Article détaillé : Investiture de Barack Obama.

Prestation de serment le 20 janvier 2009 de Barack Obama qui devient le 44eprésident des États-Unis

Barack Obama dans le Bureau ovale, le premier jour de sa présidence.

Le 20 janvier 2009 à 12 h 07, Barack Obama prête serment au Capitole de Washington, D.C., devant une foule sans précédent estimée à plus de 2 millions de personnes, et sous les yeux de plusieurs centaines de millions de téléspectateurs du monde entier. Il est ainsi officiellement investi comme 44e président, dans une atmosphère de ferveur nationale et internationale peu habituelle (près de 8 Américains sur 10 lui accordent alors leur confiance face à la crise). Symboliquement, le premier président afro-américain réutilise la Bible qui avait servi en 1861 pour l'investiture d'Abraham Lincoln. Dans les jours précédents, il avait refait en train le trajet dePhiladelphie à Washington accompli par ce dernier cette année-là, et s'était adressé à la foule depuis le Lincoln Memorial.

En signe d'unité nationale, Barack Obama choisit un évêque épiscopalien gay pour dire la prière d'ouverture des festivités de son investiture, un pasteur évangélique anti-avortement pour la prière d'ouverture de la cérémonie, et un célèbre vétéran du mouvement des droits civiques, ancien compagnon de Martin Luther King, pour la prière de clôture. Le discours d'investiture du nouveau président insiste sur « le triomphe de l'espérance sur la peur », sur le « refus du choix entre nos idéaux et notre sécurité » et sur le dialogue international, sans cacher aux Américains les difficultés qui les attendent95.

Le président de la Cour suprême John G. Roberts Jr. ayant mal placé un adverbe en récitant la formule constitutionnelle, et fait ainsi hésiter le nouveau président, la prestation de serment est refaite en privé le lendemain 21 janvier à la Maison-Blanche afin d'éviter toute contestation juridique éventuelle96. Le membre de phrase mal prononcé était : « that I will faithfully execute the Office of President of the United States », le juge avait déplacé le mot « faithfully » ainsi : « That I will execute the Office of President to the United States faithfully ».

Doctrine politique

Barack Obama est considéré comme un homme politique pragmatique, adepte du compromis pour faire avancer ses idées et ses projets et capable de rassembler diverses catégories de l'électorat, même si ses votes au Congrès ont pu le classer à la gauche du parti97. Son discours sur l'état de l'Union de janvier 2010, venant peu de temps après avoir perdu la super majorité auSénat avec l'élection du successeur de Ted Kennedy au Massachusetts, a mis l'accent sur la nécessité de réformer la finance mondiale, à la suite de la crise financière de 2008, et appelle les démocrates et républicains à voter une loi afin de contre-carrer l'arrêt de la Cour suprêmeCitizens United v. Federal Election Commission, du 21 janvier 2010, qui étend les possibilités de financement électoral par les entreprises (nationales et étrangères)98. La perte de la majorité au Sénat hypothèque la réforme du système de protection sociale. Obama est aussi adepte d'une large ouverture de l'information (non classifiée) détenue par les administrations et les Agences gouvernementales, vers le public, ainsi que d'une approche participative et collaborative, ce qu'il a traduit, dès son premier jour de travail à la Maison-Blanche par l'Open Government Initiative.

Politique étrangère

Barack Obama rencontre le pape Benoît XVI le 10 juillet 2009 au Vatican.

Barack Obama est présenté comme un adepte du multilatéralisme, partisan de la realpolitik, et prend pour modèle James Baker, saluant la politique étrangère américaine menée sous la présidence de George H. W. Bush pendant la première guerre du Golfe en 1991 et lors de la chute du Mur de Berlin en 198999. Sa politique étrangère est mise en œuvre par sa Secrétaire d'État, Hillary Clinton. S'il veut être plus ferme à l'égard du programme nucléaire de la Corée du Nord, ses principales propositions sont un retrait en 16 mois des troupes américaines (combattantes) d'Irak, qui commencerait dès sa prise de fonction, et le commencement d'un dialogue « sans préconditions » avec l'Iran100. Il affirme cependant après son élection qu'il considère le programme nucléaire iranien comme « inacceptable ». Cette déclaration a été critiquée par le président du Parlement iranien, Ali Larijani101.

Concernant les relations avec Israël et avec les Palestiniens, après avoir été ambivalent, il prononçait, le 4 juin 2008 à la conférence du lobby pro-israélien Aipac (American Israel Public Affairs Committee) un discours dans lequel il apportait son soutien au statut de Jérusalem en tant que capitale indivisible de l'État d'Israël102,61. Les observateurs notent néanmoins que les relations entre Barack Obama et les dirigeants israéliens, en particulierBenyamin Nétanyahou, sont moins chaleureuses que celles entretenues par ses prédécesseurs103.

Le 10 juillet 2009, il rencontre au Vatican le pape Benoît XVI, en marge du sommet du G8. Le président Obama s'est notamment engagé auprès de lui à tenter de réduire le nombre d'avortements.

Fichier:President Obama on Death of Osama bin Laden.ogv

Déclaration de Barack Obama sur la mort d'Oussama ben Laden.

Le 1er mai 2011, à approximativement 23 h 20 (heure de l'Est), il annonce la mort, par les forces spéciales des États-Unis, du dirigeant principal du réseau jihadiste al-QaidaOussama ben Laden104, commanditaire présumé des attentats du 11 septembre 2001. Cette annonce suscite des scènes de liesse aux États-Unis, et de nombreuses réactions positives à travers le monde105. Dans les heures d'extrême tension précédant un assaut tenu secret et à l'issue incertaine, il effectuait lors du dîner des correspondants de la Maison Blanche, un mémorable exercie de style où il déployait tout son humour106.

Discours du Caire

Il a prononcé à l'université al-Azhar du Caire le 4 juin 2009 un discours considéré comme présentant un changement de cap majeur en matière derelations internationales entre les États-Unis et les musulmans107. Cette université est le centre le plus important du monde arabe pour la formation des ulémas108. Au cours de ce discours, en présence de Frères musulmans invités d'honneur contre l'avis d'Hosni Moubarak, le président Obama a attribué à l'islam quasiment toutes les inventions majeures de l'histoire de l'humanité, présentant aussi les États-Unis comme « un grand pays musulman »109. Il s'est également prononcé en faveur de la non-réglementation du port du voile : « Il est important pour les pays occidentaux d'éviter de gêner les citoyens musulmans de pratiquer leur religion comme ils le souhaitent, et par exemple en dictant les vêtements qu'une femme doit porter » et d'ajouter : « On ne doit pas dissimuler l'hostilité envers une religion devant le faux-semblant du libéralisme ». Cette critique envers un pays occidental vise selon de nombreux observateurs laFrance et sa politique de laïcité110,111,112.

Chine

Le 18 février 2010, Barack Obama rencontre le dalaï-lama dans la Map Room à la Maison-Blanche

En octobre 2010, concernant l'attribution du prix Nobel de la paix au Chinois Liu Xiaobo, il déclare :

« Le comité Nobel a choisi un porte-parole éloquent et courageux de la cause des valeurs universelles… Au cours des trente dernières années, la Chine a accompli des progrès spectaculaires… Cette récompense nous rappelle que la réforme politique n'a pas suivi le même rythme et que les droits humains doivent être respectés »113.

En janvier 2011, recevant Hu Jintao en visite d'État, Barack Obama aborde la question des droits de l'homme et suggère le dialogue entre la Chine et le dalaï-lama114.

Antiterrorisme

En 2013, John Camille Pecastaing, professeur à l'université Johns-Hopkins juge que « la politique étrangère des États-Unis sous Obama est devenue minimaliste et réactive. Elle se résume à l'emploi de drones tueurs dans la lutte antiterroriste »115

Intérieur et société

NASA

L'ancien astronaute Charles Bolden est nommé Administrateur de la NASA en juillet 2009 et le Programme Constellation est annulé. À la place, l'administration Obama souhaite confier au secteur privé le transport des astronautes vers la Station spatiale internationale. Après une valse-hésitation, le programme de véhicule habité Orion est rétabli, et un objectif à long terme d'exploration habitée des astéroïdes et finalement de Mars est donné à la NASA, en utilisant un nouveau lanceur géant, le Space Launch System. La première mission d'Orion est prévue en 2014.

Peine de mort

À l'instar de Bill Clinton, Barack Obama radicalisa sa position au fur et à mesure de son ascension politique. Lorsqu'il était sénateur dans l'Illinois, Obama a fait voter une loi qui rend obligatoire pour la police de filmer les interrogatoires des accusés encourant la peine de mort, sous peine de voir les aveux non-filmés annulés. Lorsqu'il fut candidat pour devenir sénateur fédéral de l'Illinois, Obama déclara à la télévision que la peine de mort était utilisée « trop fréquemment et inconsciemment » et rappela que « treize condamnés à mort ont été libérés en Illinois pour cause d'innocence ». Il conclut en déclarant que même s'il approuvait la peine de mort lorsque « la communauté est fondée à exprimer la pleine mesure de son indignation », il fallait réduire le nombre de crimes capitaux116. Durant la campagne présidentielle, Obama déclara également que Ben Laden justifiait le recours à la peine de mort117. Enfin il condamna, le jour-même où elle fut rendue, une décision118 de la Cour suprême qui déclarait la peine de mort anticonstitutionnelle pour les personnes condamnées pour viol sur mineur sans homicide (John McCain venait de faire la même chose dans la matinée). Une fois élu, Obama nomma Eric Holder, personnellement opposé à la peine de mort, comme procureur général (poste crucial dans le fonctionnement de la peine de mort fédérale). Lors de son audition, Holder déclara qu'il appliquerait « la loi faite par le Congrès ». C'est avec son autorisation que la peine de mort fut ainsi requise devant une cour fédérale dès sa prise de fonction en janvier 2009119,120.

Armes à feu

Il se déclare également en faveur du 2e amendement sur le droit de posséder des armes à feu mais reconnaît l'utilité des « lois de bon sens pour empêcher les armes de tomber dans les mains d'enfants ou de membres de gangs120 ».

Avortement et homosexualité

Barack Obama est favorable au droit à l'avortement ; il s'est d'abord déclaré partisan des contrats d'union civile entre personnes de même sexe puis a souhaité la généralisation de l'extension des droits et avantages matrimoniaux aux homosexuels jusqu'au mariage, tant au niveau de chaque État qu'au niveau fédéral121. Enfin, en mai 2012, il devient, lors d'une annonce officielle très médiatique, le premier Président américain à se déclarer en faveur du mariage entre personnes de même sexe122.

Immigration

Article détaillé : Immigration aux États-Unis.

S'il est favorable au renforcement des contrôles à la frontière mexicaine, il défend une régularisation des immigrés clandestins déjà présents auxquels il envisage l'octroi du permis de conduire97. Il considère notamment que sans l'apport de main-d'œuvre immigrée, l'agriculture américaine mettrait la « clef sous la porte », signifiant concrètement son intention de favoriser le regroupement familial et d'augmenter le nombre d'immigrés réguliers123.

Économie et politique sociale

Réforme de la santé

Article détaillé : Patient Protection and Affordable Care Act.

Lors de sa campagne électorale de 2008, Obama proposait de mettre en place une importante réforme du système de santé américain permettant la création, au niveau fédéral, d'une « assurance santé universelle », sans pour autant imposer une couverture santé obligatoire à l'exception des enfants100. C'est alors un de ses projets phares de sa campagne. Néanmoins, une fois élu président, pour faire adopter son texte, Obama fut contraint à des concessions pour faire adopter son projet par le Congrès. Le 7 novembre 2009, soit presque 11 mois après son investiture et en dépit d'une majorité confortable à la Chambre des représentants, il obtint de justesse, par 220 voix contre 215, l'adoption d'un texte réformant le système de santé. Un seul républicainJoseph Cao, avait alors voté pour la réforme. Le Sénat américain adopta également son propre texte le 24 décembre, après un long débat et de multiples amendements par 60 voix contre 40. Finalement, après maintes péripéties, le 21 mars 2010, en dépit de sondages d'opinion défavorables, d'une polarisation aggravée de la classe politique et des citoyens américains, d'une popularité présidentielle en berne symbolisée par la victoire d'un républicain dans le Massachusetts pour succéder à Ted Kennedy, en dépit enfin des réticences d'une partie des élus démocrates, le texte voté par le Sénat est adopté tel quel par la Chambre des représentants par 219 voix contre 212.

Qualifié d'historique, le texte, qui n'a reçu aucune voix de l'opposition (une première historique pour ce genre de législation), permet de garantir une couverture santé à 32 millions d'Américains qui en sont dépourvus. Il reste néanmoins bien en deçà des promesses électorales de Barack Obama car elle n'inclut pas, notamment, de régime public universel ni même d'assurance publique, et laissera 5 % des résidents américains (23 millions de personnes) sans aucune couverture maladie (contre 15 % avant la réforme)124.

En vertu du texte ainsi adopté, la plupart des Américains auront l'obligation de s'assurer avant 2014, sous peine de se voir infliger des pénalités125. Des subventions seront accordées par le gouvernement fédéral pour aider les familles aux plus bas revenus à payer leurs cotisations (revenus inférieurs à 88 000 dollars par an125). Les entreprises de plus de 50 salariés (PME et commerçants) qui ne fourniront pas de couverture devront également payer des pénalités126. Par ailleurs, le texte interdit aux assurances de refuser de couvrir des personnes en raison de leurs antécédents médicaux125. Les parents pourront également protéger leurs enfants jusqu'à l'âge de 26 ans. Néanmoins, pour parvenir à ses fins et faire adopter cette loi, Barack Obama annonce qu'il signera un décret garantissant que la réforme ne modifierait en rien les restrictions interdisant l'utilisation de fonds fédéraux pour des avortements127, ce qu'il fait le 24 mars au lendemain de la promulgation de la loi128. Plusieurs correctifs doivent encore être adoptés par une loi budgétaire par les deux chambres. La réforme devrait coûter 940 milliards de dollars (695 milliards d'euros) sur dix ans125. Son financement devrait être assuré par des taxes sur les revenus élevés et la baisse des dépenses de soins125.

Cela faisait près d'un siècle que le Congrès débattait de cette question de la santé. Le président républicain Théodore Roosevelt en parlait déjà dans son programme, mais il fut battu à l'élection présidentielle américaine de 1912 par le candidat démocrate Woodrow Wilson. En 1965, le président démocrate Lyndon Johnson avait promulgué le Medicare et le Medicaid, respectivement assurances pour les personnes âgées et pour les personnes pauvres, après avoir rallié à lui la moitié des voix républicaines du Congrès. Le président démocrate Bill Clinton tenta lui aussi de faire passer un projet ambitieux en 1993, mais échoua.

Dès la promulgation de la loi par Barack Obama le 23 mars 2009, les attorneys généraux (ministres de la Justice) de douze (puis quatorze) États américains déclareront mettre en œuvre une procédure judiciaire fédérale visant à contester la constitutionnalité de la nouvelle loi pour violation de la souveraineté des États129 alors que les législatures de 37 États entament des débats visant à adopter un statut dérogatoire pour ne pas avoir à appliquer la réforme130. Puis, le 24 mars, après l'adoption au Sénat de deux amendements déposés par les républicains concernant des vices de procédure, la loi de conciliation, adoptée par la chambre des représentants pour appliquer la nouvelle loi et qui prévoit notamment une extension des subventions fédérales, une aide accrue de l'État au programme Medicaid, un élargissement de l'assiette de l'impôt et une réforme du programme des prêts aux étudiants, doit être renvoyée de nouveau à la chambre pour faire l'objet d'un nouveau vote, retardant ainsi la mise en œuvre du texte131.

La loi de conciliation est à son tour adoptée par le Sénat le 25 mars 2010132. La réforme devient alors l'un des thèmes principaux de la campagne électorale de mi-mandat de 2010, les républicains ayant promis de l'abroger ou de la modifier.

Lutte contre la crise économique

Nicolas Sarkozy accueille Barack Obama lors du sommet du G20 à Cannes, le 3 novembre 2011.

Lors de sa campagne électorale, Barack Obama a également préconisé une hausse du salaire minimum afin qu'il soit indexé sur l'inflation133, des baisses d'impôts massives pour la classe moyenne (pour les personnes gagnant moins de 250 000 $ par an)134, le recours au crédit d'impôt pour aider les ménages les plus modestes, et a promis de renégocier le traité de libre-échange nord-américain (l'ALÉNA). Dans le contexte de la crise des subprimes et du poids des crédits, il déclarait vouloir protéger les citoyens américains contre les abus des prêts de toutes sortes et annonçait un plan de grands travaux publics sur dix ans, financés par le retrait des forces de combat d'Irak97.

À la suite de son investiture, le président Barack Obama procéda à des annulations de programmes industriels considérés jugés trop coûteux, non budgétés ou à l'ambition détournée de leur finalité : ce fut notamment le cas du programme Constellation (annulé le 1er février 2010) ou du projet de bouclier radar européen annulé le 18 septembre 2009 en vue d'obtenir l'appui du Kremlin sur la demande d'arrêt du programme nucléaire iranien135.

Environnement

L'agence pour la protection de l'environnement, Environmental Protection Agency (EPA), peut, depuis mars 2009, réglementer toute activité économique produisant du dioxyde de carbone, au motif qu'au-delà d'un certain seuil non défini, il constitue un polluant majeur, qualifié « d'injustice sociale »136. Ainsi, 20 % des centrales thermiques en activité en janvier 2009 ont dû cesser leurs activités ; pour lutter contre le réchauffement climatique, Barack Obama propose d'augmenter le prix de l'électricité, d'investir dans les biocarburants, les énergies alternatives100,137 et se déclare favorable à l'instauration d'un marché du CO2 obligeant les entreprises polluantes à racheter un « droit à polluer » auprès d'entreprises non polluantes97. Des subventions sont distribuées aux entreprises spécialisées dans l'énergie éolienne et le photovoltaïque, entreprises qui produisent très peu d'électricité et qui sont structurellement déficitaires138,139 ; dans le même temps, la construction d'un oléoduc permettant d'acheminer du pétrole depuis l'Alberta au Canada a été interrompue à la demande de l'EPA, et la prospection du sous-sol des États-Unis a cessé depuis avril 2009140. Comme son ancien adversaire républicain à l'élection présidentielle de 2008, John McCain, il est plutôt favorable également au développement de l'énergie nucléaire comme solution aux problèmes climatiques mais sa position sur le sujet est devenue ambivalente durant la campagne électorale141. Le 1er juin 2009, le Secrétaire à l'Énergie Steven Chu a annoncé un fonds de 256 millions de dollars afin d'améliorer l'efficience énergétique des principales industries aux États-Unis142.

Faute de majorité de 60 voix au Sénat, l'examen du projet de loi sur l'énergie, adopté par la Chambre des représentants en 2009, a été ajourné le 22 juillet 2010, ce qui rend son adoption peu probable. Ce recul, qui ne traduit pas en loi les engagements pris à Copenhague, fragilise la position de l'exécutif américain dans les négociations internationales à venir143.

Bilan du premier mandat

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Pour l'universitaire Francis Fukuyama, lors de son premier mandat Obama « n'a pas fait preuve d'un grand leadership, notamment à l'occasion des deux actions les plus importantes de son mandat : sa politique de relance et sa réforme du système de santé. Il a donné trop de latitude au Congrès et n'a pas assez porté personnellement ses deux réformes : il n'en fut pas le moteur. […] Fondamentalement, je ne le trouve pas très bon politique. Il est beaucoup moins charismatique à la Maison Blanche que lorsqu'il était candidat. Il a aussi commis des erreurs : il a attendu deux ans et demi pour rencontrer en tête-à-tête John Boehner, le chef de la minorité républicaine à la Chambre des représentants, devenu son président depuis les élections de novembre dernier. Ronald Reagan l'aurait fait ! Bill Clinton aussi. À la différence de ses deux prédécesseurs, Obama est trop froid, trop intellectuel et trop réfléchi. De par son éducation élitiste, à Columbia et à Harvard, et son enfance à Hawaï, à la marge du pays, il semble déconnecté de la société, des petites villes du Middle West par exemple. Il ne comprend pas les gens des Tea Party, ils lui sont étrangers ». Il lui reproche surtout d'avoir raté une chance historique : la réforme de l'industrie financière, quand, en 2009, les démocrates contrôlaient les deux Chambres du Congrès et les [que] les Américains auraient suivi Obama dans le sillage de son élection et de la crise financière144.

Réélection en 2012 et second mandat

Article détaillé : Élection présidentielle américaine de 2012.

Le 4 avril 2011, Barack Obama annonce qu’il se porte candidat pour un second mandat présidentiel dans une vidéo postée sur son site internet et intitulée « It Begins With Us » (« Cela commence avec nous »)145,146,147. En tant que président sortant, il n’a pas d’opposant pour les primaires du Parti démocrate148. Le 3 avril 2012, il réunit les 2 778 délégués de son parti dont il a besoin pour être désigné et lors de la convention démocrate à Charlotte (Caroline du Nord), l'ancien président Bill Clinton nomme formellement Obama et Joe Biden candidats aux élections générales pour les postes de président et vice-président149. Les Républicains désignent de leur côté Mitt Romney lors de la convention républicaine qui se tient à Tampa, en Floride, le 28 août 2012 ; celui-ci choisit comme colistier Paul Ryan.

Au cours de la campagne, quatre débats télévisés sont organisés, les 3 octobre, 11 octobre (débat entre Biden et Ryan pour la vice-présidence), 16 octobre et 22 octobre150,151. Mitt Romney se révèle globalement meilleur que le président sortant lors du premier débat et la campagne d'Obama est considérée comme manquant de souffle, si bien que plusieurs sondages indiquent une possible victoire de son adversaire républicain152. Mais, fin octobre, l'ouragan Sandy marque un coup d'arrêt à l'ascension de Romney et permet à Obama de mettre en avant son rôle de chef de l'État153.

Le mardi 6 novembre 2012, jour de l'élection nationale, Obama obtient 332 grands électeurs, dépassant les 270 nécessaires à sa réélection154,155,156. Avec 51 % du vote populaire, il devient le premier président depuis Franklin D. Roosevelt à remporter deux élections consécutives avec la majorité au plan national, ayant obtenu 61 % des voix des grands électeurs (332 contre 206 pour son rival), 51 % des 129 millions de suffrages exprimés (pour environ 200 millions d'inscrits sur 300 millions d'habitants aux États-Unis) – soit une avance d'environ 4,7 millions de voix sur son adversaire – et remportant 26 États contre 24 à Mitt Romney. Obama perd néanmoins 3 583 000 voix et 2 points de pourcentage par rapport à 2008, et l'emporte en obtenant une large majorité chez les jeunes, les femmes et les minorités157,158,159.

Au soir de sa victoire, il s’adresse à ses partisans à Chicago et déclare : « Aujourd’hui, vous avez voté pour l’action, pas pour la politique. Vous nous avez élus pour que nous nous concentrions sur vos emplois, pas sur les nôtres. Et ces prochaines semaines et mois, j’escompte bien parvenir à travailler avec les leaders des deux partis »160. Barack Obama est officiellement investi pour un second mandat en prêtant serment d'abord à la Maison-Blanche, le 20 janvier 2013, puis au pied du Capitole en public, le 21 janvier.

La première année du second mandat d'Obama est marquée par une série de polémiques qui affectent son image et son autorité : le drame de Benghazi, l'échec de la loi sur le contrôle des armes à feu, les écoutes de la National Security Agency (NSA), l'usage excessif de drones tueurs contre des suspects islamistes dans le monde, ses hésitations sur la question de l'intervention militaire en Syrie161,162. Si le président dénonce l'« obstructionnisme » systématique des élus républicains, décidés à mettre à mal la mise en place de sa réforme du système de santé ainsi que la légalisation massives d'immigrés clandestins latino-américains, ceux-ci critiquent l'attitude de leurs collègues démocrates ainsi que l'autoritarisme et la distance du chef de l'État. Afin d'inverser la tendance, Obama a annoncé plusieurs réformes en faveur de la classe moyenne, appelées « Grand Bargain » et inspiré du New Deal de Roosevelt, comme la réduction des taxes professionnelle et d'incitation à l'embauche ; pour ce faire, il multiplie les déplacements dans les États du pays, mais avec un succès mitigé163. Il doit faire face à la défiance de sa propre majorité, de nombreux démocrates ayant notamment soutenu un texte déposé à la Chambre des représentants pour limiter les prérogatives de la NSA et s'étant opposé à la nomination de l'économiste Lawrence Summers à la tête de la Réserve fédérale américaine, à laquelle le chef de l'État a dû renoncer164.

Le blocage des représentants du Parti républicain sur le budget fédéral des États-Unis, dont ils veulent obtenir l'abandon de la Patient Protection and Affordable Care Act, fait que, pour 18e fois de son histoire et la première fois depuis 1996165166, l'administration fédérale américaine effectue un lock-out (« Shutdown ») le 1er octobre 2013167. Le 17 octobre, un accord est finalement trouvé entre les Démocrates et les Républicains qui met fin au shutdown tout en relevant le plafond de la dette. L'Obamacare n'a donc pas été modifiée. Mais l'accord ne porte que jusqu'au 15 janvier 2014 pour le budget fédéral, et au 7 février pour l'autorisation donnée au Trésor d'emprunter sur les marchés (plafond de la dette)168.

Vie privée et personnalité

Obama jouant au basket-ball avec l'armée américaine au camp Lemonnier, àDjibouti en 2006.

Personnalité attachée à ses racines afro-américaines, il a des goûts culturels éclectiques169 ; c'est un grand lecteur, écrivant lui-même ses livres et ses discours les plus importants, Barack Obama doit une bonne partie de son ascension politique à ses talents d'orateur et à son charisme170,171,172.

Dans sa déclaration de revenus de 2007, le couple Obama a inscrit 4,2 millions de dollars, provenant largement des droits d'auteur des livres de Barack Obama.

Le couple Obama a déclaré un revenu brut ajusté de 2 656 902 dollars (environ 2 millions d'euros) en avril 2009 pour ses déclarations de 2008. Ils ont payé, en 2008, 855 323 dollars (environ 647 000 euros) d'impôts fédéraux et 77 883 dollars (environ 59 000 euros) à l'État de l'Illinois et donné 172 050 dollars à 37 œuvres caritatives173.

Barack Obama est un grand amateur de basket-ball, qu'il continua à pratiquer presque chaque matin pendant sa campagne électorale, y compris le jour de son élection. Il promit l'installation d'une salle appropriée à la Maison-Blanche. Pendant la campagne présidentielle, il fit beaucoup rire par une tentative pour s'essayer maladroitement sous les caméras au bowling, sport très populaire en Amérique. Une fois à la Maison-Blanche, on le verra aussi jouer au golf avec le vice-président Biden sur le green du jardin de la résidence officielle174.

Barack Obama se trouve être le cinquième président gaucher en trente ans, après Gerald Ford, Ronald Reagan, Georges H. Bush et Bill Clinton. Ainsi qu'il le lança aux photographes lors de la signature de ses premiers documents officiels de président : « Je suis gaucher, il va falloir vous y faire175 ».

Prix Nobel de la paix 2009

Le 9 octobre 2009, Barack Obama reçoit le prix Nobel de la paix176, suscitant la surprise et une certaine incrédulité dans le monde, alors qu'il n'entame que son dixième mois de mandat présidentiel. Le comité du Nobel justifie sa décision en évoquant « les efforts extraordinaires [du président américain] en faveur du renforcement de la diplomatie internationale et de la coopération entre les peuples ». Cette décision est souvent qualifiée de politique et de partisane, récompensant plus des paroles et des bonnes intentions que des actes concrets177,178,179,180. Obama devient ainsi le quatrième président américain et le troisième en fonction à recevoir le prix après Woodrow WilsonTheodore Roosevelt et Jimmy Carter.

Controverse

Dix jours avant de recevoir le prix Nobel, le président américain décide, avec l'accord du Sénat, l'envoi de 30 000 soldats américains pour poursuivre la guerre d'Afghanistan de 2001181. Cela déclencha une forte controverse obligeant le « président de guerre », surnom qu'il a reçu et qu'il ne rejette pas182, à aller chercher son prix Nobel en toute discrétion183. Seuls 19 % des Américains pensent que leur président méritait le prix Nobel de la Paix183.

Notes et références

  1.  Nom qu'on retrouve en arabe et swahili, voire en hébreu, traduit par « béni » par Obama lui-même —Corine Lesnes, « Barack Obama, l'homme sans bagages » [archive]Le Monde, 4 janvier 2007. Consulté le 3 juin 2008

  2. ↑ a et b Barack Obama publie tout son acte de naissance [archive] dans Le Figaro du 27 avril 2011.

  3. ↑ a et b Obama (1995, 2004), p. 12.

  4.  (en) Tim Jones, « Barack Obama: Mother not just a girl from Kansas; Stanley Ann Dunham shaped a future senator », Chicago Tribune, 27 mars 2007, p. 1 (Tempo)

  5.  Obama (1995, 2004), p. 9–10.

  6.  Dans son autobiographie, Barack Obama écrit toujours Alego ; le village proprement dit s'appelle Nyang'oma Kogelo, mais fait partie de la circonscription électorale d'Alego, district de Siaya, province de Nyanza, dont le chef-lieu est Kisumu ; Barack Obama Sr est inhumé à Alego ; une école et le collège d'Alego portent le nom de Senator Barack Obama.

  7.  Kendu Bay est la dénomination utilisée par Barack Obama ; le nom africain du village est Kanyadhiang'-Karachuonyo, district de Rachuonyo, province de Nyanza.

  8.  D'après le Times, il a été torturé pour fournir des informations sur la rébellion : (en) « Beatings and abuse made Barack Obama's grandfather loathe the British » [archive]The Times, 3 décembre 2008. Cette référence donne une version qui ne correspond pas vraiment à ce qu'écrit Barack Obama dans son autobiographie.

  9.  Helima n'a pas eu d'enfants ; Akumu en a eu trois : Sarah (née en 1934), Barack (1936-1982), Auma (née ca 1945) ; Sarah (née en 1922, épousée en 1938) en a eu cinq : Omar, Zeitouni, Yusuf, Sayid. Renseignements plus détaillés sur la page anglaise : Family of Barack Obama

  10.  (en) Barack Obama, « My Spiritual Journey » [archive]Time Magazine.

  11.  Source pour la suite : Autobiographie de Barack Obama, Dreams from My Father

  12. ↑ a et b Philippe Coste, « Qui est Barack Obama? » [archive]L'Express, 17 janvier 2008. Consulté le23 juillet 2008

  13.  Son père lui a donné ce prénom de garçon car il désirait avoir un fils.

  14. ↑ a et b (en) Madelyn Dunham, octobre 26, 1922 - novembre 3, 2008 [archive]. Consulté le5 novembre 2008

  15.  (en) Amanda Ripley, « The Story of Barack Obama's Mother » [archive]Time avec CNN, 9 avril 2008. Consulté le 9 juin 2008

  16. ↑ a et b (en) Ripley, Amanda, « The Story of Barack Obama's Mother » [archive]Time, 9 avril 2008. Consulté le 5 janvier 2009

  17.  où naîtra Maya Soetoro, la demi-sœur de Barack Obama, de neuf ans sa cadette

  18.  (en) « Lolo Soetoro et la religion sur le site officiel de Barack Obama » (Archive • Wikiwix • Que faire ?). Consulté le 2013-03-20

  19.  (en) Obama Debunks Claim About Islamic School [archive] sur le site du Washington Post

  20.  (« Was Barack Obama a Muslim? » [archive]FrontPageMagazine.com24 décembre 2007)

  21.  (en) « Article sur la scolarité de Barack Obam à Punahou sur le site du Honolulu Star-Bulletin » (Archive• Wikiwix • Que faire ?). Consulté le 2013-03-20

  22. ↑ ab et c (en) Article du New York Times [archive]

  23.  Barack Obama (trad. Danièle Darneau), Les rêves de mon père, Presses de la Cité, 19 mars 2008, 453 p.(ISBN 2-258-07597-1 et 978-2-25807-597-9)

  24.  Informations de l'Université de Columbia [archive]

  25.  Pour ce paragraphe : cf. Dreams from my Father, Canongate (paperback edition), Londres, 2007, pages 133 à 140

  26.  Il fait une différence entre l'assistant social, qui s'occupe de cas individuels, et l'organisateur communautaire, qui s'occupe de la structuration de groupes d'action

  27.  (en) David Remnick (en), The Bridge: The Life and Rise of Barack Obama (New York: Alfred A. Knopf, 2010), p. 118.

  28. ↑ abcd et e Pap Ndiaye, « L'homme de Chicago », dans L'Histoire (ISSN 0184-2339), no 339, février 2009,p. 64

  29.  Mustapha Cherif, « L'élection présidentielle aux États-Unis : Guerre ou paix en 2009 ? [archive] »,L'Expression, 28 février 2008, page 15.

  30.  Ed. Lasky, The Said-Khalidi-Obama Connection, 22 octobre 2008. [archive]

  31. ↑ ab et c Ayant des ancêtres Noirs d'Afrique, il est classé Afro-Américain par les média américains. Par ailleurs, cette question a été analysée par au moins Leslie Fulbright qui a publié (en) Obama's candidacy sparks debates on race. Is he African American if his roots don't include slavery? [archive] - San Francisco Chronicle, 19 février 2007

  32.  Article de l'Express, ibid.

  33.  Article de l'Express, no 2950, ibid.

  34.  (en) le discours du 2 octobre 2002 sur wikisource

  35.  discours pro-guerre d'Hillary Clinton au Sénat en octobre 2002 [archive]

  36.  (en) Barack Obama, Defining Moments : An early defeat launched a rapid political climb [archive] sur le site du Boston Globe

  37.  Aaron Klein, Brenda Elliott, The Manchurian President : Barack Obama's ties to communists, socialists and other anti-American extremists, WND Books, 2010.

  38.  Stanley Kurtz, Radical-in-Chief : Barack Obama and the untold story of American socialism, Threshold Editions, 2010

  39.  Vidéo du discours « The Audacity of Hope » [archive] sur le site de l'Express.

  40.  (en) « Obama rising » (Archive • Wikiwix • Que faire ?). Consulté le 2013-03-20 sur le site Diverse : Issues In Higher Education (formerly Black Issues In Higher Education) [archive]

  41.  Les sénateurs noirs de l'histoire du Sénat américain [archive]

  42.  Obama entre dans la course [archive]L'Express avec Reuters, 12 février 2007. Consulté le9 juillet 2008

  43.  (en) Boston.com staff, « Globe endorses McCain, Obama » [archive]The Boston Globe,15 décembre 2007. Consulté le 12 juillet 2008

  44. ↑ a et b Corine Lesnes, « Coup d'envoi dans l'Iowa des primaires américaines » [archive]Le Monde,3 janvier 2008. Consulté le 8 juillet 2008

  45.  Pour qui roulent les « people » ? [archive]Le Figaro, 17 juin 2008. Consulté le 7 juillet 2008

  46.  L'Iowa, épicentre d'un mouvement historique? [archive]

  47.  (en) Candy Crowley, Suzanne Malveaux, Jessica Yellin, « Obama wins Iowa as candidate for change » [archive]CNN, 4 janvier 2008. Consulté le 7 juillet 2007

  48.  New Hampshire: Clinton et McCain vainqueurs [archive]L'Express, 9 janvier 2008. Consulté le24 juillet 2008

  49.  Barack Obama rouvre les hostilités autour du rôle de Bill Clinton [archive]7s7 [archive] avec AFP,21 janvier 2008. Consulté le 9 juin 2008

  50.  (fr) « Barack Obama remporte la primaire démocrate de Caroline du Sud » sur Wikinews,27 janvier 2008.

  51.  (en) Caroline Kennedy, « A President Like My Father » [archive]The New York Times,27 janvier 2008. Consulté le 6 juin 2008

  52.  Richard Hétu, « Kennedy passe le flambeau à Obama » [archive], Cyberpresse, 29 janvier 2008. Consulté le 31 mai 2008

  53.  (en) New Celeb-Filled Music Video for Obama [archive] sur ABC News [archive], 2 février 2008. Consulté le 3 février 2008

  54.  L.S., « Obama se détache après les primaires du Potomac » [archive]Le Figaro avec AFP et AP,13 février 2008. Consulté le 24 avril 2008

  55.  Les expatriés démocrates ont voté Obama [archive] sur L'Express, 21 février 2008. Consulté le19 mars 2008

  56.  Discours sur la question raciale [archive] du 18 mars 2008 sur le blog de Philippe Boulet-Gercourt du nouvelobs.com

  57.  Caren Bohan, traduit par Gwénaelle Barzic, « Hillary Clinton a gagné en Pennsylvanie mais tout reste à jouer » [archive] sur L'Express, Reuters, 23 avril 2008. Consulté le 23 avril 2008

  58.  Corine Lesnes, « Le candidat démocrate Barack Obama rompt avec le pasteur controversé Jeremiah Wright » [archive]LeMonde.fr [archive], 30 avril 2008. Consulté le 9 juin 2008

  59.  États-Unis: Obama large vainqueur en Caroline du Nord, Clinton gagne l'Indiana [archive] surAFP [archive], AFP, 7 avril 2008. Consulté le 7 avril 2008

  60.  Steve Helber, « Hillary Clinton remporte la primaire en Virginie occidentale avec 67 % des voix » [archive] sur Le Monde.fr [archive]Le Monde avec AP, 14 mai 2008. Consulté le 14 mai 2008

  61. ↑ a et b Fabrice Aubert, « Primaires USA - Edwards rejoint Obama » [archive] sur LCI.fr [archive],15 mai 2008. Consulté le 17 mai 2008

  62.  Fabrice Aubert, « Clinton-Obama, et maintenant ? » [archive] sur LCI.fr [archive], 13 mai 2008. Consulté le 14 mai 2008

  63.  Fabrice Aubert, « Obama tout près de l'investiture » [archive] sur LCI.fr [archive], 21 mai 2008. Consulté le 21 mai 2008

  64.  Barack Obama quitte la paroisse du révérend Wright, auteur de propos polémiques [archive]La Presse Canadienne [archive], 1er juin 2008. Consulté le 2 juin 2008

  65.  M. Obama mêlé à une nouvelle polémique impliquant un révérend [archive]Le Monde.fr [archive]avec AP, 30 mai 2008. Consulté le 2 juin 2008

  66.  (en) Ben Smith, « Obama locks in Democratic nomination » [archive], Politco.com, 3 juin 2008. Consulté le 4 juillet 2008

  67.  Hillary Clinton suspend sa campagne et soutient Obama [archive]Liberation.fr [archive] avec AFP,7 juin 2008. Consulté le 7 juin 2008

  68.  « Obama candidat officiel à l'élection présidentielle, enfin » [archive], France Info, 28 août 2008.

  69.  (en) « Obama clinches nomination » (Archive • Wikiwix • Que faire ?). Consulté le 2013-03-20 - John Whitesides, The Herald Sun, 4 juin 2008

  70.  (en) Jonathan D. Salant, « Obama Won't Accept Public Money in Election Campaign » [archive],Bloomberg, 19 juin 2008. Consulté le 8 novembre 2008

  71.  Les recettes de la victoire d'Obama : une passionnante étude de Terra Nova [archive] par Renaud Revel, journaliste à l'Express. Cette participation bat le précédent rercord de 2004 et n'a jamais atteint un niveau aussi haut depuis l'élection de William Howard Taft en 1908

  72.  soit un écart équivalent à ceux de George H. W. Bush en 1988 et Bill Clinton en 1996

  73.  résultats définitifs sur le site du New York Times consulté le 20/11/08 [archive]

  74.  Le score en termes de grands électeurs et en terme géographique est sensiblement le même que celui deBill Clinton en 1992 et 1996.

  75.  66 728 126 voix à 58 119 030, consulté sur le site du New York Times le 2 décembre 2008 [archive]

  76.  Résultats sur CNN [archive]. Moins de 1 % des voix séparent les candidats en Indiana

  77.  Résultats en Virginie [archive], sur CNN

  78.  Résultats en Caroline du Nord [archive], sur CNN. Seules 0,4 % des voix séparent les deux candidats.

  79.  Melissa Dahl, « Young voters had 'record turnout,' preferred Democrat by wide margin » [archive] surmsnbc.com5 novembre 2008. Consulté le 26 avril 2009

  80.  David Paul Kuhn, « Exit polls: How Obama won » [archive] sur politico.com5 novembre 2008. Consulté le 26 avril 2009

  81.  (en) The Washington Post« Sen. Barack Obama's Acceptance Speech in Chicago, Ill. » [archive],The Washington Post, 5 novembre 2008. Consulté le 8 novembre 2008

  82.  « Nous ne devons pas être ennemis. Bien que la passion ait pu avoir tendu nos liens d'affection, elle ne doit pas les rompre. Les cordes mystiques de la mémoire, s'étendant de chaque champ de bataille et de chaque tombe de patriote, jusqu'à chaque cœur vivant et chaque foyer partout dans ce pays immense, feront résonner encore le chœur de l'Union, une fois touchées encore, autant qu'elles le seront certainement par les meilleurs anges de notre nature ».

  83.  Nelson Mandela, premier président noir sud-africain, félicite Obama [archive] - AFP, 5 novembre 2008

  84.  Corine Lesnes, « Dick Cheney, un nationaliste sans états d'âme » dans Le Monde daté du vendredi 16 janvier 2009, page 8

  85.  « Et Obama conquit l'Amérique » [archive]Mouvements, février 2009.

  86.  (en) Facebook, page de Barack Obama [archive] - consultée le 30 janvier 2009.

  87. ↑ a et b « Les recettes de la victoire d'Obama : une passionnante étude de Terra Nova » [archive],L'Express, par Renaud Revel.

  88.  (en) Obama Confirms Hillary In Top Job [archive]Sky News1er décembre 2008. Consulté le17 décembre 2008

  89.  Le fait de nommer un membre du parti adverse dans son gouvernement est courant aux États-Unis. Ainsi, par exemple, en 1971, le républicain Richard Nixon avait nommé l'ancien gouverneur démocrate du Texas,John Bowden Connally, comme secrétaire au trésor. En 1997, le démocrate Bill Clinton avait nommé le sénateur républicain du Maine, William Cohen, à la Défense et en 2001, le républicain Bush avait maintenu le démocrate Norman Mineta dans son gouvernement.

  90.  Gates Remaining at Defense 'A Done Deal' [archive], The Washington Independent, 25 novembre 2008. Gates est enregistré comme indépendant sur les fichiers électoraux mais a servi de nombreuses administrations républicaines.

  91.  Gates & the Iran-Contra Legacy [archive], 15 novembre 2006. Il fut aussi le doyen de la George Bush School of Government and Public Service à la Texas A&M University.

  92.  Washington mène le bal de l'investiture [archive] - Philippe Grangereau, Libération, 19 janvier 2009

  93.  Un gouvernement pragmatique pour Barack Obama [archive] - Le Monde, 13 janvier 2009

  94.  Obama bénéficie d'une sécurité renforcée [archive] - Le Figaro, 29 octobre 2008

  95.  (en) Intégrale du discours d'investiture sur le site de la Maison-Blanche [archive]

  96.  Obama prête serment une deuxième fois [archive] - Le Figaro22 janvier 2009

  97. ↑ abc et d Priscille Lafitte, Moïna Fauchier Delavigne, « Obama - Clinton : et le programme? » [archive],France 24, 25 février 2008. Consulté le 17 juillet 2008

  98.  Robert BarnesReactions split on Obama's remark, Alito's response at State of the Union [archive],Washington Post, 29 janvier 2010

  99.  Philippe Grangereau, « L'Amérique de Barack Obama » [archive] sur Libération [archive],21 mai 2008

  100. ↑ ab et c Philippe Grangereau, « Obama, son Amérique à lui » [archive]Libération avec Reuters,21 mai 2008. Consulté le 26 juin 2008

  101.  Ali Larijani : « Obama devrait donner des signes de changement aux peuples de la région » [archive] -IRNA, 8 novembre 2008

  102.  Philippe Grangereau, « Obama plus ferme que Bush sur Jérusalem » [archive]Libération avec Reuters,7 juin 2008. Consulté le 2 juillet 2008

  103.  Obama/Nétanyahou : chronique d'un désamour [archive], Anne-Laure Frémont, Le Figaro.fr, 19 mars 2013

  104.  5h30 : Obama annonce la mort d'Oussama ben Laden [archive] leparisien.fr, 2 mai 2011

  105.  Scènes de liesse aux États-Unis après la mort de Ben Laden [archive] nouvelobs.com, 2 mai 2011

  106.  Barack Obama fait de l’humour aux dépens de Donald Trump [archive] fr.euronews, 1er mai 2011

  107.  Obama, l'islam et le choc des civilisations. Discours prononcé par Barack Obama le 4 juin 2009 à l'université du Caire (préf. André-Julien Mbem), Paris, L'Harmattan, 2009, 42 p. (ISBN 978-2296104372)

  108.  Le fondateur de la confrérie des Frères musulmansHassan al Banna, ainsi qu'un responsable de l'attentat contre le World Trade Center en 1993, sont issus de l'université al-Azhar

  109.  Daniel Pipes, Assessing Obama's Cairo speech. [archive]

  110.  « Port du voile : Obama égratigne la France » [archive]Le Monde, 4 juin 2009.

  111.  « Barack Obama égratigne les pays réfractaires » [archive]Le Point, 4 juin 2009.

  112.  « Port du voile : Barack Obama écorne l'image de la laïcité à la française ! » [archive]oumma.com, 5 juin 2009.

  113.  Le Figaro des 9 et 10 octobre 2010 : Un prix historique pour un homme courageux page 8

  114.  Visite d'État : Obama parle des droits de l'Homme à Hu Jintao [archive], Le Parisien, 19 janvier 2011

  115.  Cité par Maurin Picard, « Washington paralysé par la peur d'un effet domino [archive] », in Le Figaro, samedi 17 / dimanche 18 août 2013, page 4.

  116.  YouTube - Barack Obama on the Death Penalty [archive]

  117.  YouTube - Obama: Crime of Bin Laden "Justifies" Use of Death Penalty [archive]

  118.  Aux États-Unis, il est interdit de condamner à mort les violeurs d'enfants [archive]

  119.  « Eric Holder requiert la peine de mort pour les 2 meurtriers d'un gardien de la prison de Fresno » (Archive• Wikiwix • Que faire ?). Consulté le 2013-03-20

  120. ↑ a et b « Barack Obama soutient la peine de mort pour les violeurs d'enfants » (Archive • Wikiwix • Que faire ?). Consulté le 2013-03-20

  121.  Patricia Zengerle, « Barack Obama hostile à une mesure anti-mariages homosexuels » [archive],Reuters, 2 juillet 2008. Consulté le 2 juillet 2008

  122.  https://www.lemonde.fr/ameriques/article/2012/05/11/barack-obama-et-le-mariage-gay-un-changement-decisif-et-risque_1699743_3222.html [archive]

  123.  Obama face au défi environnemental [archive], 24 novembre 2008, site d'information sur le développement durable.

  124.  Obama et la santé : les États-Unis rejoignent le xxe siècle [archive] - Rue89, 22 mars 2010

  125. ↑ abcd et e Assurance-santé : la ténacité de Barack Obama [archive] - Corine Lesnes, Le Monde, 20 mars 2010

  126.  Couverture santé : Obama remporte un vote historique [archive] - Le Figaro, 22 mars 2010

  127.  La Maison-Blanche annonce un décret sur l'avortement [archive] - AP, 22 mars 2010

  128.  Obama signe un décret sur l'avortement et déçoit des partisans [archive] - Reuters, 24 mars 2010

  129.  Obama: 12 États contre la réforme [archive] - Le Journal du dimanche, 23 mars 2010

  130.  Attention à la suite ! [archive] - François Clemenceau, Europe 1, 23 mars 2010

  131.  Le texte sur la réforme de l'assurance-maladie devra être revoté [archive] - Le Monde, 25 mars 2010

  132.  Le Congrès américain adopte définitivement la réforme de santé [archive] - Le Point, 26 mars 2010

  133.  « USA 2008: Obama, un candidat aux facettes multiples (livre) », L'Écho, 7 octobre 2008, recension d'Obama, le nouveau rêve américain, de Martin Even. [archive]

  134.  Obama revendique une baisse des impôts plus juste [archive], Romandie avec AFP, 12 juin 2008

  135.  USA/Russie - Bouclier antimissile : l'offre d'Obama à Moscou [archive] sur lci.frLCI, 2009. Consulté lemardi 3 mars 2009

  136.  Nicolas Loris, EPA Formally declares CO2 a dangerous pollutant, The Foundry, 7 décembre 2009. [archive]

  137.  Virginie Robert, « Barack Obama, un programme économique pour la classe moyenne » [archive]Les Échos, 18 février 2008. Consulté le 26 juin 2008

  138.  Henry Payne, The Obama EPA's attack on coal, National Review, 29 mars 2012. [archive]

  139.  Rich Trzupek, Regulators gone wild : How the EPA is ruining American industry, Encounter Books, 2011.

  140.  Guy Millière, Le désastre Obama, Tatamis, 2012, p. 29-30.

  141.  Emmanuel Garessus, « Les contradictions de Barack Obama sur le nucléaire » [archive]Le Temps,10 juin 2008. Consulté le 23 juin 2008

  142.  (en) Secretary Chu Announces $256 Million Investment to Improve the Energy Efficiency of the American Economy [archive]Département de l'Énergie des États-Unis. Consulté le 06-06-2009

  143.  Le Sénat inflige un revers à Barack Obama sur le climat (Corine Lesnes), Le Monde, 26 juillet 2010, page 4

  144.  Francis Fukuyama interviewé par Olivier Guez, « L'Amérique a perdu de sa superbe », in Le Monde Magazine, semaine du 10 septembre 2011, pages 18-21.

  145.  (en) The New York Times [archive] Michael D.Shear, "Obama Begins Re-Election Facing New Political Challenge", 4 avril 2011

  146.  (en) Associated press [archive] "Obama announces re-election bid", 4 avril 2011

  147.  (en) The New York Times [archive] Jeff Zelezny, "Obama Opens 2012 Campaign, With Eye on Money and Independent Voters", 4 avril 2011

  148.  (en) CNN.com [archive] Robert Yoon, "Leading presidential candidate to clinch nomination Tuesday" 3 avril 2012

  149.  (en) CNN.com [archive] "Obama clinches Democratic nomination", 3 avril 2011

  150.  (en) "Commission on Presidential Debates Announces Sites, Dates, and Candidate Selection Criteria for 2012 General Election" [archive]Commission on Presidential Debates.

  151.  (en)"2012 Candidate Selection Criteria" [archive], Commission on Presidential Debates.

  152.  https://www.liberation.fr/monde/2012/10/09/debat-rate-obama-a-perdu-son-avance-sur-romney_851888 [archive]

  153.  https://www.lepoint.fr/dossiers/monde/election-presidentielle-americaine-2012/ouragan-sandy-obama-retrouve-son-costume-de-president-29-10-2012-1522592_539.php [archive]

  154.  David Lauter, « Romney campaign gives up in Florida », Chicago Tribune, 8 novembre 2012 (lire en ligne [archive])

  155.  Robert Barnes, « Obama wins a second term as U.S. president », The Washington Post,6 novembre 2012 (lire en ligne [archive])

  156.  William M. Welch et Gary Strauss, « With win in critical battleground states, Obama wins second term »,USA Today, 7 novembre 2012 (lire en ligne [archive])

  157.  (en) Obama est réélu. [archive]. Consulté le 7 novembre 2012

  158.  Ronald Brownstein, « The U.S. has reached a demographic milestone -- and it's not turning back »,National Journal, 9 novembre 2012 (lire en ligne [archive])

  159.  John Nichols, « Obama's 3 Million Vote, Electoral College Landslide, Majority of States Mandate », The Nation, 9 novembre 2012 (lire en ligne [archive])

  160.  Kristen A. Lee, « Election 2012: President Obama gives victory speech in front of thousands in Chicago, 'I have never been more hopeful about America' », New York Daily News, 7 novembre 2012 (lire en ligne [archive])

  161.  « L'incroyable perte de leadership de Barack Obama » [archive]Les Échos, 27 septembre 2013.

  162.  « Y a-t-il un "effet Syrie" sur les popularités d'Obama, Hollande et Merkel ? » [archive]Metronews, 11 septembre 2013.

  163.  Maurin Picard, « Les déboires d'Obama ne prennent pas de vacances [archive] », in Le Figaro, 6 août 2013, page 4.

  164.  Erreur de référence : Balise  incorrecte ; aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Les_.C3.89chos_27.2F09.2F2013.

  165.  A Brief History Of Federal Government Shutdowns [archive]Outside The Beltway, 8 avril 2011. Consulté le 28 septembre 2013

  166.  Wonkblog: Here is every previous government shutdown, why they happened and how they ended [archive]The Washington Post, 25 septembre 2013. Consulté le 29 septembre 2013

  167.  Etats-Unis : faute de budget, l’Etat fédéral à l’arrêt [archive] sur Les Échos, 1er octobre 2013. Consulté le 1er octobre 2013

  168.  "A la une : fin du shutdown [archive] RFI, consulté le 19/10/2013

  169.  « Quand Obama ne fait pas de politique… » [archive]Le Figaro, 20 janvier 2009.

  170.  « Cicéron speechwriter d'Obama ? : l'éloquence revient à la Maison-Blanche » [archive], analyse sur le site d'histoire non-fiction.fr

  171.  « Barack Obama : un grand orateur à la Maison-Blanche » [archive], vidéos des discours importants du nouveau président sur le site Jeune-Afrique.

  172.  « Les discours d'Obama allient puissance du verbe et force du symbole » [archive]La Croix, 21 janvier 2009.

  173.  (fr) « « USA : les Obama déclarent au fisc 2,65 millions de dollars au titre de 2008 » » (Archive • Wikiwix •Que faire ?). Consulté le 2013-03-20France 24, jeudi 16 avril 2009.

  174.  « L'album-photo d'Obama à la Maison-Blanche » [archive]Le Figaro, 4 mai 2009.

  175.  « Les gauchers sur un pied d'égalité » [archive]Libération, 23 février 2009

  176.  (en) The Nobel Peace Prize 2009 [archive]

  177.  Obama, Prix Nobel des bonnes intentions [archive]Time Magazine repris dans Courrier International, 9 octobre 2009

  178.  L'attribution du Nobel a surpris le monde et suscité des réactions contrastées [archive]Le Monde du 11 octobre 2009 (article payant)
    Le sens du Nobel [archive], éditorial du Monde, 10 octobre 2009

  179.  « Un Nobel encombrant pour Obama » [archive], Laure Mandeville, Le Figaro du 10 octobre 2009

  180.  « Obama, Nobel de la paix : un espoir mais un paradoxe total » [archive]Le Nouvel observateur du 12 octobre 2009

  181.  Afghanistan : le pari risqué de Barack Obama [archive], Le Monde.fr, publé le 2 décembre 2009.

  182.  Barack Obama, un prix Nobel de la paix qui divise [archive], LePoint.fr, publié le 9 décembre 2009.

  183. ↑ a et b Barack Obama va chercher son prix Nobel controversé en catimini [archive], Le Monde.fr, publié le 10 décembre 2009.

Annexes

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

Ouvrages de Barack Obama

Préface

Ouvrages et articles sur Barack Obama

Filmographie

  • Histoire d'une victoire, Nacarat, 2009

  • Barack Obama, l'homme que l'on n'attendait pas de Roxanne Frias et Perrine Dutreil, Naive, 2009

  • Barack Obama : Yes, We Can, 2009

  • Barack Obama, une élection historique de Alicia Sams et Amy Rice, Sony Pictures Entertainment, 2010

  • Au cœur de la Maison-Blanche : Barack Obama de William Karel, 2012

  • Obama, l'homme qui voulait changer le monde de Laurent Jaoui, 2012

Articles connexes

Liens externes

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Barack Obama

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Président des États-Unis

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Administration du président Barack Obama (depuis 2009)

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Sénateurs représentant l'Illinois au Sénat des États-Unis

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Parti démocrate (États-Unis)

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Chefs d’État ou de gouvernement des pays du G8

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Chefs d’État ou de gouvernement des pays du G20

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Lauréats du prix Nobel de la paix

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Critique du roman Rita Hayworth et la rédemption de Shawshank

05/12/2014 10:37

Dernièrement, j'ai lu le roman Rita Hayworth et la rédemption de Shawshank de Stephen King. Je l'ai adoré surtout à cause de l'intensité des personnages. Celui qui m'a le plus impressionnée est Andy.

 

Andrew Dufresne est décrit comme étant quelqu'un de discret. Il ne parle à personne et sa confiance est dure à gagner. Il a l'air de quelqu'un qui suit les règles. Pourtant, il réussi à s'échapper de la prison! De plus, il s'est fait arrêter pour meurtre. Il n'est même pas coupable! Tout au long du roman, on apprend à le connaître de mieux en mieux. On le voit évoluer tout au long de l'histoire et c'est évolution qui retient l'attention du lecteur.

 

J'ai beaucoup aimé ce roman. Il m'a captivée du début à la fin. Je le conseille à ceux qui n'ont pas peur du langage grossier et des scènes violentes.

 

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Compte rendu de Uglies - Scott Westerfeld

05/12/2014 10:35

Récemment, j'ai lu le livre Uglies de Scott Westerfeld. Ce livre, faisant parti de la collection Pocket moyens format, a été publié le 17 avril 2007 par Pocket Jeunesse. Ce roman jeunesse est composé de 380 pages.

 

Tally Youngblood, une adolescente de 15 ans, attend impatiemment son seizième anniversaire. À leur 16 ans, tous les adolescents de Uglyville, la ville où vit Tally, subissent une opération les rendant beaux. Durant les trois mois qui la séparent de son anniversaire, l'adolescente se fait une nouvelle amie, Shay. Celle-ci est contre l'Opération et s'enfuit avant son anniversaire. Dans la salle d'attente de l'hôpital où Tally doit subir l'Opération, on la fait attendre un long moment avant qu'un homme vienne la chercher. Les Specials Circumstance, les autorités, rencontrent Tally et la forcent à rejoindre Shay à La Fumée, petit village où elle s'est enfuie, pour être espionne. Si elle ne le fais pas, elle restera moche à vie. Elle accepte, mais arrivée à destination, elle change d'idée et décide, elle aussi, d'être une fugitive. Elle tombe aussi amoureuse du beau David. Tout allait merveilleusement bien, jusqu'à ce que les Specials débarquent.

 

J'ai adoré ce livre. L'intrigue nous tient en haleine jusqu'à la fin du livre et nous donne même le goût de lire la suite, ce que je compte faire. De plus, l'histoire d'amour entre Tally et David est attachante. Avis aux sentimentaux, larmes garanties! Scott Westerfield réussit à nous faire entrer dans l'histoire en choisissant les bons mots pour nous faire ressentir l'émotion. Les mots qu'il utilise sont comme la musique dans les films. De la musique ou des mots tristes pour les moments tristes, ça a le même effet. Je conseille ce livre aux sentimentaux, mais aussi aux assoiffés d'aventure et de science fiction.

 

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Le mur - Présentation Orale

05/12/2014 10:28

Le mur

 

Bonjour! Je m'appelle Marie-Soleil Langlois et voici ma collègue, Valérie Beaulieu. On est ici aujourd'hui pour vous parler d'un produit révolutionnaire : Le Mur. Premièrement, nous allons vous décrire le produit. Deuxièmement, nous vous dirons les besoins et le avantages. Troisièmement, nous allons vous dire quelques informations que nous dirons au public. Quatrièmement, nous allons vous parler de la production. Cinquièmement, nous vous parlerons du public cible. Sixièmement, nous vous dirons pourquoi nous avons besoin de vous et pour finir, nous vous parlerons de la publicité.

 

Le Mur est un mur de maison qui ressemble beaucoup à un tableau interactif. Il est fabriqué en plusieurs tailles et grandeurs. Il ne se brise et ne se salit pas. Il peut avoir n'importe quelle couleur ou n'importe quel motif comme peinture. On peut même naviguer sur le net et mettre des photos. Il marche à l'électricité.

 

Ce produit fera appel aux contracteurs, aux gens qui détestent peinturer et aux agrophobes. L'agrophobie est la peur des hauteurs. Ce mur est donc idéal lorsqu'on veut changer la couleur des cages d'escaliers ou des murs hauts. De plus, on n'a pas besoin d'acheter de peinture et de faire de deuxième couche. Il n'a aucune odeur. Il est économique à long terme et ne se tache pas. C'est un processus qui ne prend pas de temps. On peut changer notre design autant de fois qu'on le souhaite, grâce à ce mur. On peut même mettre des affiches!

 

C'est une utilisation très simple. Il change de couleur rapidement. Le pris varie entre 100 et 200$ le mur selon sa superficie. Il se vend en quincaillerie.

 

Les coûts de production sont d'environ 75$ par mur. Évidemment, ça varie selon la grandeur du mur. Pour le fabriquer, on utilise principalement un écran de plastique et des pixels. Comme nous n'avons pas de budget, nous produisons ce mur dans une petite usine désafectée.

 

Les personnes qui nous visons sont les contracteurs et le personnes qui bâtissent des maisons. Évidemment, nous ne ciblons que des adultes puisque ce sont eux qui font des maisons et qui en achètent.

 

Nous avons besoin de votre aide parce que nous manquons d'investissement, parce que nous avons besoin d'aide pour faire connaître notre produit et parce que nous avons besoin d'aide pour une future expansion.

 

Nous ferions des publicités sur le web, à la télévision et sur les journaux. Ce serait pour vendre le produit. À la télé, nous pensions faire une annonce comme celles du shamwow. Nous rencontrons quelques problèmes. Notre usine est trop petite. Nous ne fabriquons pas assez de mur par jour pour la vente au détail. De plus, nous n'avons pas de camion pour acheminer notre produit.

 

Merci beaucoup à vous de nous avoir écoutées. Nous espérons avoir fait bonne impression et que nous aurons votre appui!

 

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Pluralisme

05/12/2014 10:23

nom masculin

(de plural)


 

  • Système reconnaissant l'existence de plusieurs modes de pensée, de comportement, d'opinions politiques et religieuses, de plusieurs partis politiques, etc. ; existence même de ces courants de pensée.

 
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Pluralisme

05/12/2014 10:20

En sciences sociales, le pluralisme est un système d'organisation politique qui reconnaît et accepte la diversité des opinions et de leurs représentants.

Polysémie

Le pluralisme est un cadre d'interaction dans lequel différents groupes montrent suffisamment de respect et de tolérance pour coexister et interagir dans un climat plus harmonieux que conflictuel et sans volonté d'assimilation.

En religion, il y existe une théologie du pluralisme religieux qui fut élaborée par le jésuite Jacques Dupuis.

En art, le mouvement d'art contemporain se termine par le pluralisme, c'est l'âge d'or de la multiplicité, la « Mondrian »isation.

Le pluralisme est une perspective d'analyse que l'on retrouve également dans plusieurs science sociale. Les conceptions du pluralisme que l'on retrouve en relations industrielles proviennent essentiellement de la science politique des années 1950.

Le terme « pluralisme » est d'usage récent. C'est le philosophe allemand Christian Wolff qui l'aurait utilisé pour la première fois vers 1720. Il n'apparaît dans les dictionnaires français qu'en 1932 cependant1. L'idée pluraliste, pour sa part, est déjà présente dans la Grèce antique. Le polythéisme, la multiplicité des dieux, légitimait la variété des modèles. L'unité dans la diversité résume bien l'idée pluraliste2.

Le pluralisme comme principe d'organisation sociale se caractérise comme suit3 :

  1. La perméabilité des frontières, la valorisation des échanges, la libre circulation des personnes, des idées, etc.

  2. Un préjugé favorable à l'égard du principe du changement.

  3. La société se définit par la réciprocité entre l'initiative individuelle et la sauvegarde collective des valeurs.

  4. La liberté de l'individu constitue la valeur suprême.

  5. La propriété privée constitue un appui essentiel à l'expression de l'individu.

  6. l'État de droit doit être ni trop fort, ni trop faible.

  7. Il y a acceptation de la persistance de tensions et de conflits4.

  8. Il y a une reconnaissance et un respect des différences.

  9. On y voit un idéal d'un équilibre des rapports de force.

Pluralisme personnel

Sur le plan personnel, le pluralisme repose sur l'idée d'une identité plurielle, le pluralisme du « moi » : chaque individu doit se concevoir à travers un prisme qui le présente sous différentes facettes. Chaque personne possède plus d'un profil. C'est cette idée que défendront les peintres cubistes, par exemple, dont Picasso au premier chef. Sur les plans social et culturel chaque acteur est le produit d'une socialisation dans des contextes sociaux multiples5. Entre la famille, l'école, les groupes de pairs, les multiples institutions culturelles, les médias, etc. les enfants sont de plus en plus confrontés à des situations hétérogènes, concurrentes et parfois même en contradiction les unes avec les autres6.L'acteur possède un stock de schèmes d'actions ou d'habitudes non homogène, non unifié dans lequel il sera amené à puiser7.

Références

  1.  A. Reszler, Le pluralisme. Une idée dominante de notre fin de siècle, Genève, Georg, 1990, p.5

  2.  Ibid.

  3.  Toujours selon Reszler

  4.  Ces sociétés prévoient des procédures d'arbitrage de ces conflits d'où résultent des compromis

  5.  Lahire, p.42

  6.  Lahire, p.31

  7.  Lahire, p.35

Annexes

Bibliographie

Voir aussi

 
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Mariage homosexuel

05/12/2014 10:17

Le mariage homosexuel, ainsi qu'il est généralement nommé, est la possibilité pour les couples de personnes de même sexe de contracter un mariage, ce qui peut aussi, dans certains cas, donner accès à une forme de parentalité et à l'adoption. Il est rendu possible par des législations autorisant le mariage aux personnes de même sexe, par opposition aux législations qui considèrent que ne peuvent être mariées que deux personnes de sexe opposé, c'est-à-dire un homme et une femme.

Des mariages homosexuels ont été pratiqués par certaines civilisations anciennes. Or, durant les xixeet xxe siècles, l'homosexualité a été généralement criminalisée ou considérée comme une maladie mentaleN 1. Depuis la fin du xxe siècle, les demandes des couples homosexuels conduisent un nombre croissant d'États à faire évoluer leur législation pour que la reconnaissance légale d'unions civiles ou de mariages n'exclue pas deux personnes de même sexe.

Au 22 octobre 2013, dix-huit États disposent d'une législation rendant accessible le mariage aux couples de même sexe, dont trois États sur une partie de leur territoire seulement.

Si la légalisation du mariage homosexuel concerne d'abord le mariage civil, le mariage religieux est également pratiqué dans certains cas. Les pays ayant accordé un statut légal au mariage homosexuel ont pour la quasi-totalité d'entre eux également légalisé l'adoption par les couples homosexuelsN 2.

Terminologie[modifier | modifier le code]

Dans le langage juridique, on parle de « mariage civil » ouvert aux « personnes de même sexe »1,2. Dans les médias, les termes couramment utilisés sont « mariage homosexuel » ou « mariage gay » (anglicisme)3. Cette dernière expression peut toutefois être considérée comme restrictive car elle exclut « les lesbiennes, les bisexuels et les transgenres »3.

Tout comme un mariage entre personnes de sexes différents, un mariage entre personnes de même sexe n'est pas juridiquement défini en fonction de l'orientation sexuelle des membres du couple, mais en fonction de leur sexe. Il ne concerne donc pas seulement les couples homosexuels mais est ouvert, ainsi que ses conséquences juridiques4,5, à tous les couples de personnes de même sexe auxquels ne s'applique pas d'empêchement légal, et donc, par exemple, aux couples de personnes d'orientations sexuelles différentes (mixed-orientation marriages)6,7,8,3. Selon glbtq.com et un rapport parlementaire britannique, considérer qu'un couple de personnes de même sexe est obligatoirement composé d'homosexuels et qu'un couple formé par un homme et une femme est obligatoirement composé d'hétérosexuels est une forme de discrimination à l'égard des personnes bisexuelles9,10.

En France, les mouvements LGBT et le gouvernement Ayrault préfèrent parler de « mariage pour tous »3, terme considéré comme « impropre » par la sociologueNathalie Heinich11, voire comme « fallacieux », par le directeur de la revue Études, Pierre de Charentenay12, le « mariage pour tous » n'étant en réalité pas ouvert « à tous » en France, puisque interdit dans certains cas, notamment aux personnes mineures et aux membres d'une même famille13.

Histoire[modifier | modifier le code]

 

 

À la suite de son mariage hétérosexuel avec Poppée, l'empereur romain bisexuel Néron épouse un jeune homme, Sporus.

Des mariages entre personnes de même sexe ont eu lieu dans le passé.

Nombre d'empereurs romains s'engageaient dans des relations homosexuelles, certains s'étant même mariés à leur amant14. L'empereur Néron épouse par exemple l’éphèbe Sporus, après l'avoir fait castrer15. Il apparaît que des unions entre deux personnes de même sexe ont tout à fait pu être considérées dans la Rome antique comme ayant les caractéristiques culturelles et légales du mariage. On sait par exemple que Cicéron pressait Curion l'Ancien d'honorer lui-même les dettes de son fils, qui les avait contractées au nom d'un autre homme, Antonious ; Cicéron décrit le fils de Curion et Antonious comme« unis dans un mariage stable et permanent, comme si on avait donné à Antonious la stola » (robe traditionnelle des femmes romaines mariées)16. Les lois de la République romaine n'interdisaient pas les mariages entre personnes de même sexe17.

L'émergence du christianisme va faire reculer ces pratiques, la situation se dégradant de plus en plus avec la déliquescence de l'Empire18.

Dans la Grèce antique, les hommes s'engageaient généralement dans des relations avec les deux sexes. Dans ce cadre, des relations de nature pédérastiques nouaient des hommes jeunes avec des adolescents, alors que des mariages hétérosexuels servant à la procréation étaient également pratiqués. Ainsi, si les relations homosexuelles n'étaient pas techniquement des « mariages », certains historiens les ont considérées comme des quasi-« équivalents » des mariages hétérosexuels19. Ainsi, le britannique Kenneth Dover estime que l'on peut rapprocher ces deux types de relations, notant comme communs le processus de « cour » de la part du « dominant » (l'homme) envers la partie « réceptive » (femme ou adolescent), l'implication de la famille de la partie réceptive dans sa prise de décision, et la forte désapprobation sociale de relations sexuelles en dehors du cadre du procédé formel de séduction19.

En étudiant les relations homosexuelles ritualisées en Crète de la même époque, d'autres historiens emploient bien le terme de « mariage19. »

L'universitaire italienne Eva Cantarella voit certaines relations lesbiennes dans des communautés féminines en Grèce antique comme des « mariages d'imitation19. »

Après la chute de l'empire romain, l'Église entretient un certain flou : si elle condamne théoriquement les relations entre personnes de même sexe, parce qu'elles ne produisent pas d'enfants, elle tolère de fait des unions homosexuelles, que ce soit à l'intérieur même de son clergé, ou entre professeurs et étudiants dont elle a la charge19. Les sources qui nous sont parvenues attestent que l'Église participait activement à certaines cérémonies, dont l'objet était l'union spirituelle de deux personnes de même sexe19, que l'universitaire américain John Boswell considère comme de véritables mariages homosexuels sanctionnés par l'autorité religieuse20.

Il existe de nombreux documents attestant du fait qu'en dehors de l'Occident, nombre de cultures, particulièrement africainesamérindiennes ou asiatiques, acceptaient les relations entre personnes de même sexe, et également pour certaines les mariages homosexuels21.

Des explorateurs Européens, notamment Espagnols, rapportent dans leurs récits de voyage que des mariages homosexuels, y compris entre femmes, existent dans les cultures amérindiennes22. Dans les Amériques pré-coloniales existaient les berdaches, hommes transgenres qui s'occupaient de certains travaux typiquement féminins ou qui officiaient en tant que shamans. Certains d'entre eux étaient mariés à d'autres hommes ; Crazy Horse, par exemple, comptait un berdache comme épouse23. En synthétisant les données universitaires disponibles en un ouvrage, The Spirit and the Flesh, Walter Williams indique que les berdaches sont une institution reconnue dans la majorité des tribus amérindiennes avant leur contact avec l'Occident24. Les hommes qui se mariaient avec des berdaches étaient généralement également attirés par les femmes24.
Il existait également des femmes 
berdaches, au comportement masculin, tenant généralement des rôles destinés aux hommes, comme la chasse ou la direction du foyer. Ces femmes pouvaient se marier à d'autres femmes selon un système de complémentarité de genre : une femme berdache, assurant les rôles masculins, ne peut se marier à une autre femme berdache25.

Des mariages homosexuels existaient dans l'Afrique pré-coloniale. L'anthropologue britannique Edward Evan Evans-Pritchard rapporte que des mariages homosexuels transgénérationnels étaient pratiqués dans la tribu des Azandes (vers ce qui est aujourd'hui le Soudan), entre des hommes et des garçons, considérés comme de véritables « épouses » ; les hommes dédommageaient financièrement la famille du garçon, et l'aidaient de temps en temps comme ils l'auraient fait de leur belle-famille, ils appelaient le garçon « ma femme » et se faisaient appeler en retour « mon mari » ; si un autre homme avait une relation avec le garçon, l'époux trompé pouvait engager une action en justice pour adultère26.

Situation générale[modifier | modifier le code]

Pays autorisant le mariage homosexuel[modifier | modifier le code]

En date du 5 février 2014, dix-huit pays autorisent les couples de même sexe à se marier (dont trois sur une partie de leur territoire seulement), représentant un territoire de près de 700 millions d'habitants. De tels mariages sont possibles depuis le printemps 2014 en Angleterre et au Pays de Galles. D'autre part, des projets de loi visant à ouvrir le mariage aux couples de même sexe sont en cours de discussion, de vote ou d'application au Luxembourg27, au Népal, à Taïwan, enThaïlande, au Vietnam, au Chili, en Slovénie, en Finlande, et dans plusieurs États des États-Unis au niveau fédéral28.

  •  Afrique du Sud (depuis novembre 2006)

  •  Argentine (depuis juillet 2010)

  •  Belgique (depuis janvier 2003)

  •  Brésil (certains États à partir de janvier 2012, puis au niveau national en mai 2013)

  •  Canada (certaines provinces à partir de 2003, puis au niveau national depuis juillet 2005)

  •  Danemark (partenariat enregistré, 1989 ; mariage, juin 2012)

  •  Espagne (depuis juillet 2005)

  •  États-Unis, dans les 19 États suivants (reconnus par niveau fédéral depuis 2013) :

Tous ces pays ont également légalisé l'adoption par les couples homosexuels, à l'exception de quatre provinces et territoires du Canada (Île-du-Prince-Édouard,Nouveau-BrunswickNunavut et Yukon)[réf. nécessaire]. L'adoption est en outre possible, soit conjointe en Australie (Australie-OccidentaleTerritoire de la capitale australienne) et au Royaume-Uni, soit d'un des membres du couple envers les enfants naturels du partenaire en Australie (Tasmanie), Allemagne, Islande, Israël et la Norvège. Le Portugal autorise depuis mai 2013, l'adoption d'un enfant naturel ou adopté par l'autre conjoint.

Homophobie[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Homophobie.

L'homosexualité reste interdite dans quatre-vingts États164.

Dans les débats entourant l'instauration du mariage homosexuel, une partie de ses opposants revendique la défense d'un modèle familial mais récuse l'homophobie. À l'inverse, d'autres estiment que c'est bel et bien la question du regard porté sur l'homosexualité au sens large et les personnes LGBT que posent les manifestations d'opposition165,166.

 

 

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Homosexualité

05/12/2014 10:15

L'homosexualité (ou l'homophilie1) est le désir, l'amour, l'attirance sexuelle ou les rapports sexuels entre individus du mêmesexe, selon une perspective comportementaliste ou empirique. C'est également un goût, une orientation sexuelle, selon une perspective psychologique ou sociologique. L'homosexualité fait partie de la sexualité humaine, mais on trouve également des comportements homosexuels chez de nombreux animaux.

Dans l'Occident moderne, s'est établie une nomenclature pour définir les orientations sexuelles. Par exemple, une lesbienneou un gay sont exclusivement attirés par des personnes de même sexe2, alors qu'un homme ou une femme bisexuel sont attirés, à des degrés divers, par des personnes des deux sexes2. Aujourd'hui, ces personnes sont parfois regroupées sous l'appellation de communauté LGBT (qui comprend également les hommes et les femmes transgenre).

Selon les époques et les cultures, l'homosexualité est plus ou moins acceptée ou réprimée dans ses différentes incarnations. Au début du xxie siècle, la tendance, dans les sociétés occidentales, est à l'acceptation et, dans certains pays, à l'établissement d'un statut légal (union civile ou mariage entre personnes de même sexe). Toutefois, 88 pays (principalement en Afrique et au Moyen-Orient) condamnent les auteurs d'actes homosexuels à des peines plus ou moins importantes, allant jusqu'à l'emprisonnement à perpétuité ou à la peine de mort.

Appellations[modifier | modifier le code]

Définitions[modifier | modifier le code]

L'homosexualité fait référence à l'attirance et/ou à la pratique d'actes sexuels entre personnes de même sexe. Il n'existe cependant pas de définition universelle de l'homosexualité : d'après Marina Castañeda, « un grand nombre de personnes pratiquent des actes homosexuels sans pour autant se considérer comme homosexuelles ; d'autres se croient homosexuelles sans avoir jamais eu de relations avec quelqu'un de leur sexe. » L'homosexualité ne se résume donc pas au seul aspect de la sexualité, au coït entre personnes du même sexe. Elle est aussi, et parfois pour certaines personnes exclusivement, un sentiment amoureux et un comportement social. Le psychiatre américain Judd Marmor, connu pour son implication pour la suppression de la mention de l’homosexualité dans le manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, propose la définition suivante : « Peut être considérée comme homosexuelle une personne qui, durant sa vie adulte, manifeste une préférence pour des personnes de son propre sexe, est sexuellement attirée par ces personnes et a habituellement, mais pas nécessairement, des relations sexuelles avec une ou plusieurs de ces personnes. »3

L'homosexualité masculine était autrefois appelée en français : sodomiebougrerieamour des garçonsamour grecantiphysiqueinversion sexuelle ou uranisme. Le terme pédérastie, qui désigne, selon l'étymologie, l'attirance d'hommes adultes envers les adolescents du même sexe, a fini par désigner aussi l'attirance entre les hommes d'âges semblables, ou encore l'acte de sodomie. Cet amalgame s'est poursuivi en ce qui concerne les relations avec des enfants, si bien que les homosexuels masculins sont parfois considérés comme des pédophiles. Or, la sexologie moderne ne retrouve, chez les homosexuels masculins, aucune tendance particulière à la pédophilie, par comparaison avec les hommes hétérosexuels4.

Chez les femmes, l'homosexualité est appelée lesbianisme (ou plus anciennement saphisme). Ces termes font référence à Sappho, une poétesse grecque de l'île deLesbos qui tenait une sorte de collège de jeunes filles, et à laquelle les poèmes passionnés qu'elle adressait à ses amies, ainsi que sa vie entourée d'autres femmes, ont valu la réputation d'homosexuelle. On disait aussi fricarelle ou tribadisme, mots qui désignent, de nos jours, une pratique sexuelle spécifique.

L'homosexualité aujourd'hui

Statistiques[modifier | modifier le code]

Dans les années 1950, les rapports Kinsey ont montré que 46 % des hommes interrogés ont eu une « expérience homosexuelle », sans que cela ne remette nécessairement en cause leurs rapports hétérosexuels12. Des recherches plus récentes indiquent que 2 à 7 % des hommes et 1 % des femmes se considéreraient comme homosexuels13.

Au Canada, 1,1 % des gens se déclarent homosexuels14.

Entre controverse et banalisation[modifier | modifier le code]

L'apparition de l'homosexualité dans le débat public des sociétés occidentales a suscité la controverse. Les débats politiques à l'occasion de la modification des législations sont souvent passionnés même si ce n'est pas toujours le cas (au Portugal en 201019). Le vote des lois permettant l'égalité de tous les couples devant le mariage s'est fait à une courte majorité en Argentine (après quinze heures de débats houleux20), dans l’État de New York en 2011 et celui de Washington en 2012. Le droit de véto est parfois employé par la personne chargée de promulguer la loi (New Jersey21 en 2012). Les négociations avec les églises sont courantes aux États-Unis avec le vote d'exemptions religieuses pour que les églises ne soient pas dans l'obligation de marier les couples de même sexe. Aux États-Unis certains États ont modifié leur constitution pour définir le mariage comme étant celui d'un homme et d'une femme. En France, les débats ont donnés lieu à des échanges parfois violents (comparaison avec la zoophilie22, la pédophilie23). Le chef de l’Église catholique, Benoît XVI, a mis en garde : « le mariage homosexuel menace l'avenir de l'humanité »24.

Dans plusieurs pays, notamment occidentaux et d'Asie du Sud-Est, l'homosexualité est relativement considérée comme une forme « banale » de sexualité n'ayant pas à faire l'objet de stigmatisation particulière, d'où la reconnaissance officielle de la possibilité de mariage homosexuel. Ceci dit, même dans les pays acceptant ces unions, les sondages reflètent un certain désaccord social sur le bien-fondé de cette institution25.

Certains en viennent à soutenir26 que l'homosexualité correspondrait à une tendance naturelle chez l'être humain, même hétérosexuel, à être attiré par des individus de même sexe. L'expression de cette attirance serait un facteur important de l'équilibre du comportement sexuel. Ils soulignent volontiers les comportements homosexuels observés (tout comme les comportements hétérosexuels) chez certains enfants et adolescents, considérant que ceux-ci seraient de nature à constituer une étape fondamentale de la différenciation sexuelle et de l'émergence du sentiment d'appartenance au sexe féminin ou masculin. Par ailleurs, même dans les pays où l'homosexualité est relativement banalisée, tous les homosexuels ne vivent pas forcément bien leur homosexualité, et leurs proches ne l'acceptent pas forcément27.

La controverse religieuse[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Homosexualité dans les religions.

Comme la sexualité hétérosexuelle hors mariage, l’homosexualité est rejetée par la plupart des instances religieuses, même s'il existe une forte disparité d'appréciation chez les fidèles.

Évolution des mentalités depuis 1945[modifier | modifier le code]

Point de vue de l’Église catholique romaine[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Homosexualité dans le christianisme.

Avec l'aggiornamento souhaité par le pape Jean XXIII, l'Église latine a reformulé son magistère à la lumière de la constitution Lumen Gentium.

Un premier document de la Congrégation pour la doctrine de la foi daté de 197583 trace une limite claire entre ce qui est appelé « tendances homosexuelle » et« pratique homosexuelle actives ». Les tendances sont reconnues comme étant un élément intrinsèque de la personne et indépendante de sa volonté. À ce titre elles ne peuvent être condamnées. Dans la mesure où le ministère presbytéral ou épiscopal appelle à une continence sexuelle absolue, il n'y a pas d'empêchement à ordonner une personne homosexuelle.

Un deuxième document de 1986, est publié par la Congrégation pour la doctrine de la foi sous forme de lettre aux évêques catholiques et signé par son préfet, alors le cardinal Ratzinger, avec mention de l'approbation explicite du pape Jean-Paul II84. Ce texte est nettement en recul par rapport à celui de 1975 puisqu'il est écrit :« l'inclination particulière de la personne homosexuelle constitue une tendance, plus ou moins forte, vers un comportement intrinsèquement mauvais du point de vue moral ». Il n'est donc plus admis que la tendance homosexuelle est indépendante de la volonté de la personne. La fin du document donne des instructions assez précises concernant le refus d'accès aux locaux appartenant à l’Église des groupes de défense des droits des homosexuels.

Un droit évolutif

Union civile, mariage partiellement légalisés, mariage[modifier | modifier le code]

Articles détaillés : Mariage homosexuel et Union civile.

Le 1er octobre 1989, la Loi sur le partenariat entre en vigueur au Danemark (1996 au Groenland), qui devient ainsi le premier pays dans l'histoire à autoriser l'union civile entre deux personnes majeures du même sexe (si l'une est citoyenne danoise ou vit au Danemark). Un rituel religieux pour couples de même sexe y est accepté en 1997 mais très peu officié.

Le 15 novembre 1999 en France, le Parlement vote la loi sur le PACS, forme d'union civile accordant certains droits et devoirs aux couples aussi bien homosexuels qu'hétérosexuels, dans le maintien d'un esprit universel.

Dans une résolution votée le 5 juillet 200187 (à la suite du rapport Cornillet de 2000), le Parlement européen recommande aux États membres de l'Union européenne « la modification de leur législation dans le sens d'une reconnaissance des relations non maritales entre personnes du même sexe ou de sexes différents et l'attribution de droits égaux à ces personnes » ainsi que « l'inscription à l'ordre du jour de l'Union européenne de la question de la reconnaissance mutuelle des relations non maritales reconnues légalement ».

Dans un rapport adopté fin 200288, le Parlement recommande de reconnaître les relations non maritales, tant entre personnes de sexe différent qu'entre personnes du même sexe, et d'associer à ce type de relations des droits égaux à ceux qui découlent du mariage, tout en inscrivant « à l'agenda politique la reconnaissance mutuelle des relations non maritales et du mariage entre personnes du même sexe ».

Enfin, dans une résolution de 200389, le Parlement européen réitère sa demande « d'abolir toute forme de discrimination — législatives ou de facto — dont sont encore victimes les homosexuels, notamment en matière de droit au mariage et d'adoption d'enfants ».

En 2001, les Pays-Bas reconnaissent le mariage homosexuel, suivi, en février 2003, de la Belgique, en 2004, du Canada, en 2005 de l'Espagne qui devient le premier pays du sud de l'Europe à le reconnaître et, le 15 novembre 2006, de l'Afrique du Sud.

Le 10 novembre 2000, le Bundestag adopte en Allemagne la loi sur le partenariat enregistré, dit partenariat de vie ou communauté de vie déclarée (Eingetragenen Lebenspartnerschaft ou LPartG), ouvert aux couples homosexuels.

Le 5 juin 2004, le député-maire Vert de BèglesNoël Mamère célèbre le premier mariage gay français en dépit des avertissements du ministère de l’intérieur. Ce mariage est annulé en appel par le tribunal de Bordeaux.

En juillet 2005 a lieu le premier mariage homosexuel en Espagne à la suite de la législation autorisant le mariage entre personnes du même sexe, adoptée le 21 avril2005.

Le 5 décembre 2005, l'entrée en vigueur de la Loi sur le Civil Partnership ouvre l'union civile aux couples homosexuels au Royaume-Uni

En juillet 2005, le Parlement du Canada modifie sa Loi sur le mariage et la définition qu'elle contient pour reconnaître et permettre les unions entre personnes du même sexe en modifiant la définition, qui est maintenant « l'union de deux personnes, à l'exclusion de toute autre ».

Le 19 décembre 2005, la première union homosexuelle est célébrée en Irlande du Nord. Cette union civile donne les mêmes droits aux couples hétérosexuels et homosexuels.

En 2007, à la suite d'une loi adoptée le 18 juin 2004 et acceptée par référendum le 5 juin 2005, entre en vigueur en Suisse la Loi fédérale sur le partenariat enregistré entre personnes du même sexe90 ou LPart.

Le 15 mai 2008, la Cour Suprême de Californie a légalisé le mariage homosexuel dans cet État. Elle a mis en valeur « la discrimination entre les couples homosexuels et hétérosexuels » étant anticonstitutionnelle91. Un référendum concomitant à l'élection présidentielle a rejeté cette légalisation.

Le 1er mai 2009, le mariage homosexuel entre en vigueur en Suède. La même année, l'Église luthérienne de Suède a accepté de célébrer des mariages homosexuels. En 2009, le mariage a été ouvert aux couples du même sexe en Norvège. Le 17 mai 2010, le Portugal ouvre à son tour le mariage aux personnes homosexuelles. En juin 2010, l'Islande a autorisé le mariage homosexuel. Première à en profiter : Johanna Sigurdardottir, la Première ministre. En juillet 2010, c'est au tour de l'Argentine de modifier son Code civil en remplaçant l'expression « un homme et une femme » par « deux contractants ».

En 2012, le Danemark ouvre le mariage à tous les couples dans l'Église de l'État.

Le 6 novembre 2012, aux États-Unis, l'État de Washington, le Maine et le Maryland ont autorisé le mariage gay lors de référendums organisés parallèlement à l'élection présidentielle américaine ; le mariage homosexuel était déjà reconnu dans six autres États américains (Connecticut, Iowa, Massachusetts, New Hampshire, New York et le district de Columbia de la capitale, Washington)92.

Le 17 mai 2013, la France ouvre le mariage civil aux couples de même sexe.

 

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Le mythe d'Eros et Psyché

05/12/2014 10:02

1er octobre 2013                                                                                                                                                    Valérie Beaulieu

Le mythe d'Eros et Psyché

Psyché est la fille d’un roi. Elle a deux sœurs. La particularité de ces trois femmes est qu’elles sont toutes d’une extrême beauté. Les sœurs de Psyché ne mettent donc pas longtemps avant de trouver un époux. Or la cadette désespère de ne pas avoir trouvé l’amour. Sa beauté est si déconcertante que les hommes viennent l’admirer, l’aduler mais aucun d’eux n’osent demander la merveilleuse demoiselle en mariage. Un jour Aphrodite, la déesse de la beauté se rend compte que sa popularité baisse, la référence même de la beauté n’est plus Aphrodite mais Psyché. Furieuse, la déesse décida alors de s’en débarrasser. Elle appela alors son fils Eros, le dieu de l’amour et lui ordonna de la rendre amoureuse de l’être mortel le plus affreux qu’il soit. Mais alors qu’Eros prend son arc et ses flèches pour piquer Psyché, le dieu se blesse avec l’une d’elles et tombe instantanément amoureux de la belle.

Pendant ce temps, Psyché pleurait sur son sort, aucun homme n’osait l’épouser. Inquiet, son père partit consulter un oracle. Là-bas, la Pythie lui révéla qu’il devait emmener sa fille sur un rocher au sommet d’une colline où son futur époux, un monstrueux serpent géant, viendra la chercher. Attristé, le roi conduit tout de même sa fille sur la colline indiquée par la Pythie et abandonna sa fille. Psyché était apeurée, le jour de son union sera aussi celui de sa mort. Mais alors que le serpent s’approchait d’elle pour la dévorer, un vent doux, le Zéphyr emporta Psyché. Il la conduit dans un palais inconnu, d’une extrême beauté. Des servantes accoururent et prirent soin de la jeune femme. Le soir venu on la conduisit dans une merveilleuse suite où Psyché trouva le sommeil. Or, pendant la nuit un être se faufila entre les draps. Paniquée Psyché tenta de s’enfuir mais la voix de l’homme s’éleva et lui dit qu’elle n’avait pas de crainte à avoir, qu’il était son mari et qu’il prendra soin d’elle éternellement, à une seule condition : que Psyché ne cherche jamais à voir le visage de son mari. Mais la jeune mariée prit plaisir à cet amour masqué, sans se douter que l’homme qu’elle aimait n’est autre qu’Eros. Les deux êtres vécurent des jours heureux, toujours dans le secret. Mais un jour Psyché demanda à voir ses sœurs. Eros se méfiait, car il savait que les sœurs de Psyché étaient des femmes malsaines, rempli de haine et de méchanceté. Pourtant il accepta, et tout comme Psyché, il envoya le vent Zephyr apporter les deux sœurs de sa femme. Psyché leur fit découvrir son univers, son palais et ses richesses. Mais les sœurs malfaisantes, tentèrent d’en savoir plus sur l’identité de son mari. Alors Psyché leur avoua qu’elle ne l’avait jamais vu, qu’il lui défendait de voir son visage. Mesquines, les sœurs semèrent le doute chez Psyché. Pour elles, si son mari ne veut absolument pas que sa femme le regarde c’est qu’il doit être un personnage monstrueux, qui n’attend qu’une chose, que Psyché tombe enceinte et la dévore. Elles conseillèrent alors à leur sœur de vérifier et lui donnèrent un couteau ainsi qu’une lampe. Paniquée, Psyché se posa de plus en plus de questions et décida d’en avoir le cœur net. Le soir, elle attendit que son mari s’endorme et alluma la lampe. Là, elle découvrit un être splendide, muni d’ailes éclatantes de beauté, un visage fin et délicat, une peau douce et veloutée. Jamais Psyché n’avait vu d’être aussi beau. Mais à force de le contempler elle ne remarqua pas que la lampe coulait et une goutte d’huile tomba sur l’épaule d’Eros. Réveillé en sursaut par la douleur, Eros vit sa femme, lampe et couteau à la main. Déçu par cette trahison, il la quitta sur le champ, mais Psyché tenta de s’accrocher à l’une de ses ailes qui céda. Étalée sur le sol, elle perdit à tout jamais son amour. Dans un premier temps, elle chercha à se suicider dans l’eau d’un fleuve. Mais celui-ci s’anima et d’une voix, encouragea Psyché à ne pas baisser les bras et rechercher son époux.

Pendant ce temps, Aphrodite apprit toute l’histoire et vit son fils brûlé. Elle entra dans une rage folle contre Eros qui l’avait trahie, mais surtout contre Psyché. Alors, elle proposa une mission à tous les hommes mortels : celui qui parviendra à capturer Psyché et la ramener à Aphrodite aura le droit à sept baisers de miel. C’est donc sans trop tarder que Psyché se retrouva face à la déesse qui lui infligea une lourde peine. Elle exigea que sa bru trie une montagne de graines avant l’aube. Techniquement, il faudrait des années avant d’arriver au bout de cette tâche. Désespérée, Psyché commencait déjà à baisser les bras. Mais à ce moment même, une fourmi qui passait par là, pris en pitié la jeune fille et ameuta une armée de fourmis qui en à peine une nuit, vinrent à bout de cette montagne de graines.

Le lendemain matin, Aphrodite fut stupéfaite devant le résultat mais n’abandonna pas si vite. Elle exiga que la jeune femme aille chercher de la laine d’or sur les brebis situées dans le champ d’à côté. Or, ces brebis étaient assez spéciales. Elles ne se laissaient jamais approcher et leur morsure était mortelle. Psyché tenta alors de sauter dans un torrent, mais un roseau lui indiqua la marche à suivre pour récupérer la laine. Tous les soirs, au coucher du soleil, les brebis venaient s’abreuver dans ce fleuve et laissaient des fils d’or sur les buissons. Une fois parties, Psyché pourrait recueillir aisément la laine accrochée sur les feuillages. C’est ainsi que la jeune femme réussit la seconde épreuve infligée par sa belle-mère. Au sommet de la fureur, Aphrodite envoya sa victime dans le royaume des morts afin qu’elle aille chercher un pot de crème de beauté à Perséphone. Cette fois-ci, Psyché ne savait plus quoi faire, elle savait pertinemment que toute personne qui tente d’entrer dans le monde des morts n’en sort plus jamais. Alors, elle grimpa en haut d’une tour afin de se donner la mort, mais cette tour commença à s’animer et lui conseilla de tenter sa mission. Elle recommanda également de prendre avec elle deux pièces d’or qu’elle donnera à Charon et deux galettes pour calmer le chien Cerbère. Et surtout, si un mort ou un noyé interpelle Psyché, qu’elle ne se retourne pas et trace sa route. Enfin, Psyché ne devait en aucun cas ouvrir le pot de crème donné par Perséphone. Sur ces précieux conseils, Psyché se mit en route et parvint sans mal à entrer dans le royaume des défunts grâce à ses deux pièces et ses deux galettes. Là-bas, elle demanda à la reine des morts son pot de crème de beauté, demandé par Aphrodite. Sans un mot Perséphone le lui tendit et Psyché repartit. Une fois hors de l'Enfer, Psyché fut intriguée par ce pot de crème. Elle souhaitait plus que tout retrouver son mari, et pour lui plaire une nouvelle fois, elle ouvrit le pot sans prendre en compte le conseil de la tour. Et là, de grandes volutes noires sortirent du pot et plongèrent Psyché dans un lourd et profond sommeil. Cette dernière mission n’était en réalité qu’une ruse d’Aphrodite. Alors qu’Eros passait dans les alentours, il aperçut au sol sa femme Psyché inanimée. Pris de chagrin,il l’a pris dans ses bras et l’emporta devant Zeus, le dieu suprême. Là, il l’implora de donner à Psyché, sa femme, le don de l’immortalité. Sceptique, Zeus hésita quelques temps, mais il appréciait Eros et savait qu’il aurait certainement besoin de lui un moment ou à un autre. Alors, il accepta et redonna la vie à Psyché ainsi que l’immortalité.

Peu de temps après les Dieux organisèrent un immense banquet en l’honneur du mariage d’Eros et Psyché. Parmi les invités, Aphrodite était présente revenant sur son jugement en estimant que si Psyché était une déesse maintenant, elle ne risquait plus de lui faire de l’ombre.

Quelques mois plus tard les deux amoureux donnèrent naissance à une fille du nom de Volupté.

 

Source :https://mythe.canalblog.com/archives/2010/08/06/18754550.html

 

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Reading Log Fahrenheit 451 Part III

05/12/2014 09:59

 

  1. ''Lights flicked on and house-doors opened all down the street, to watch the carnival set up.'' The carnival is the scene in front of Montag's house.

     

  2. ''Now, Montag, you're a burden.'' Montag is compared to a burden because he is a responsibility to deal with.

     

  3. The bombing is like the 09/11/01.

     

  4. Granger remembers his grandfather for what he did. It's like history classes... We remembers what people did.

 
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Reading Log Fahrenheit 451 Part II

05/12/2014 09:56

 

  1. In the book, there is rich and well-fed people and there is poor and starved people, just like in the real life.

     

 

  1. In the book and in the real life, there is always the same advertisements that say always the same things. It's like a brainwashing to make people buy some stuff.

     

     

  2. Everyone does everything as quickly as possible. The highways at 300 km/h are an exemple of that. In the real life, we try to do everything as quickly as possible, but the highways are not at 300 km/h.

     

     

  3. In the book, they minimize the war. It's normal for them. In real life, there is war in Afghanistan, in Pakistan, etc. and sometime, we act like we don't care.

     

 

  1. In the book, Mildred's friends thinks that everything happens only to the other people. In real life, we think the same thing until it happens to us.

 
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Reading Log Fahrenheit 451 Part I

05/12/2014 09:53

 

  1. What happens in the book is like our futur. If the society continues like this, it will be a dystopian society. In the novel, all the books are banned and burned. In the real life, few books are banned and sometimes, we burn them.

 

 

  1. He felt that the stars had been pulverized by the sound of the black jets (…)” It means that the black jets are very loud.

 

 

  1. There are too many of us, he thought. There are billions of us and that's too many. Nobody knows anyone. Strangers come and violate you. Strangers come and cut your heart out. Strangers come and take your blood. Good God, who were those men? I never saw them before in my life!” This is real. In real life, we don't even know everyone in our classroom! Just like Montag says, nobody knoes anyone.

 

 

  1. Mildred's overdose proves that she is like everyone. She doesn't have a personality. She is too conformed to the society. In real life, people begin to lose their personality. A lot of people have the same haircut, the same way to be dressed, etc.

 

 

  1. The more Montag talks to Clarisse, the more he is happy and relaxed. That's because with her, he learn to appreciates the little things. In real life, it works exactly like this. If we appreciate the little things like the smell of the rain or the smell of old leaves, we will be more happy and relaxed.

 

 

  1. I'm a little bit sad that the author decided to kill Clarisse. I think she was there to help Montag to understand that he is not happy and to help him to understand why.

 

 

  1. I think it was a good idea from the author to burn the old woman because it makes Montag realize that he is really unhappy. It makes things change in his life.

 
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Je répondrai à toutes vos questions! :)

 

Questions Part III Fahrenheit 451

05/12/2014 09:50

 

  1. Would you consider Montag's attack on Beatty a murder or self-defence?

    It was a murder because Montag knew it would have killed him and Beatty didn't physically attacked him, but Beatty forced Montag to do it.

     

  2. Why do the authorities have to stage Montag's death?
    To prove that the government is almighty.

     

  3. What is the meaning of the phoenix as a symbol?

    The phoenix represents the renaissance of the society after the bombing.

     

  4. What is the message of the book?

    Even if what you do is bad, if it's good for the society, do it.

 
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Questions Part II Fahrenheit 451

05/12/2014 09:48

 

  1. Who is Profesor Faber?

    Profesor Faber is an english teacher who is afraid of society and who Montag met a year ago.

     

  2. What does Faber think about the fear of this society for books?

    Faber thinks that society sucks because the fear of books isn't based because books are not dangerous, it's what's wrote in books that is important

     

  3. Why is reading a poem in front of Mildred's friends such a big mistake for Montag?

    It was a mistake for Montag because he exposed the fact that he owned books and Mildred's friends did not reacted the way that Montag thought. At the end of the chapter, Montag arrived at his house because someone called the firemen because that person knew that Montag had books.

     

  4. Explain the title of part 2 in relation to Montag.

    The title's meaning is that the sieve represents Montag because he lets the information pass through him because he doesn't seem to have a side. The sand represents the information.

 
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Questions Part I Fahrenheit 451

05/12/2014 09:45

 

  1. How does Montag feel about his job at the beginning of the novel? How can you tell?

    Montag feels that it's normal but when Clarisse began to talk to him, he realized he wasn't happy and he began to unlike his job.

     

  2. Identify a passage containing imagery (a metaphor) and explain it.

    «With the brass nozzle in his fist, with this python spitting its venomous kerosene upon the world, the blood pounded in his head, and his hands were the hands of some amazing conductor playing all the symphonies of blazing and burning to bring down the latters and chacoal ruins of history.»

    The metaphor refer to a gas container and the venomous kerosene is gasoline.

     

  3. Compare and contrast Clarisse and Mildred.

    Clarisse and Mildred are both always happy but they don't have the same vision of if books are good or not.

     

  4. What the does the Hound growling at Montag foretell?

    I think that Montag will face the Hound because the Hound doesn't seem to really like him.

     

  5. Explain why/how the incident in the old woman's house would/could have an impact on Montag.

    Montag looks really shocked by what happened to the old woman because she decided to burn herself with her books and always tought that people who owned books were criminals.

     

  6. Explain the title of part 1.

    The heart in the title represents Montag's feelings when he meets Clarisse and he discovers he wasn't happy at all. The salamander represents the firemen.

 
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Fahrenheit 451 - Part III

05/12/2014 09:42
PART III
BURNING BRIGHT
LIGHTS flicked on and house-doors opened all down the street, to watch the carnival
set up. Montag and Beatty stared, one with dry satisfaction, the other with disbelief,
at the house before them, this main ring in which torches would be juggled and fire
eaten.
"Well," said Beatty, "now you did it. Old Montag wanted to fly near the sun and now
that he's burnt his damn wings, he wonders why. Didn't I hint enough when I sent the
Hound around your place?"
Montag's face was entirely numb and featureless; he felt his head turn like a stone
carving to the dark place next door, set in its bright borders of flowers.
Beatty snorted. "Oh, no! You weren't fooled by that little idiot's routine, now, were
you? Flowers, butterflies, leaves, sunsets, oh, hell! It's all in her file. I'll be damned.
I've hit the bullseye. Look at the sick look on your face. A few grass-blades and the
quarters of the moon. What trash. What good did she ever do with all that?"
Montag sat on the cold fender of the Dragon, moving his head half an inch to the left,
half an inch to the right, left, right, left right, left ....
"She saw everything. She didn't do anything to anyone. She just let them alone."
"Alone, hell ! She chewed around you, didn't she? One of those damn do-gooders
with their shocked, holier-than-thou silences, their one talent making others feel
guilty. God damn, they rise like the midnight sun to sweat you in your bed!"
The front door opened; Mildred came down the steps, running, one suitcase held with
a dream-like clenching rigidity in her fist, as a beetle-taxi hissed to the curb.
"Mildred! "
She ran past with her body stiff, her face floured with powder, her mouth gone,
without lipstick.
"Mildred, you didn't put in the alarm!"
She shoved the valise in the waiting beetle, climbed in, and sat mumbling, "Poor
family, poor family, oh everything gone, everything, everything gone now ...."
Beatty grabbed Montag's shoulder as the beetle blasted away and hit seventy miles
an hour, far down the street, gone.
There was a crash like the falling parts of a dream fashioned out of warped glass,
mirrors, and crystal prisms. Montag drifted about as if still another incomprehensible
storm had turned him, to see Stoneman and Black wielding axes, shattering windowpanes
to provide cross-ventilation.
The brush of a death's-head moth against a cold black screen. "Montag, this is
Faber. Do you hear me? What is happening
"This is happening to me," said Montag.
"What a dreadful surprise," said Beatty. "For everyone nowadays knows, absolutely
is certain, that nothing will ever happen to me. Others die, I go on. There are no
consequences and no responsibilities. Except that there are. But let's not talk about
them, eh? By the time the consequences catch up with you, it's too late, isn't it,
Montag?"
"Montag, can you get away, run?" asked Faber.
Montag walked but did not feel his feet touch the cement and then the night grasses.
Beatty flicked his igniter nearby and the small orange flame drew his fascinated gaze.
"What is there about fire that's so lovely? No matter what age we are, what draws us
to it?" Beatty blew out the flame and lit it again. "It's perpetual motion; the thing man
wanted to invent but never did. Or almost perpetual motion. If you let it go on, it'd
burn our lifetimes out. What is fire? It's a mystery. Scientists give us gobbledegook
about friction and molecules. But they don't really know. Its real beauty is that it
destroys responsibility and consequences. A problem gets too burdensome, then into
the furnace with it. Now, Montag, you're a burden. And fire will lift you off my
shoulders, clean, quick, sure; nothing to rot later. Antibiotic, aesthetic, practical."
Montag stood looking in now at this queer house, made strange by the hour of the
night, by murmuring neighbour voices, by littered glass, and there on the floor, their
covers torn off and spilled out like swan-feathers, the incredible books that looked so
silly and really not worth bothering with, for these were nothing but black type and
yellowed paper, and ravelled binding.
Mildred, of course. She must have watched him hide the books in the garden and
brought them back in. Mildred. Mildred.
"I want you to do this job all by your lonesome, Montag. Not with kerosene and a
match, but piecework, with a flamethrower. Your house, your clean-up."
"Montag, can't you run, get away!"
"No!" cried Montag helplessly. "The Hound! Because of the Hound!"
Faber heard, and Beatty, thinking it was meant for him, heard. "Yes, the Hound's
somewhere about the neighbourhood, so don't try anything. Ready?"
"Ready." Montag snapped the safety-catch on the flamethrower.
"Fire!"
A great nuzzling gout of flame leapt out to lap at the books and knock them against
the wall. He stepped into the bedroom and fired twice and the twin beds went up in a
great simmering whisper, with more heat and passion and light than he would have
supposed them to contain. He burnt the bedroom walls and the cosmetics chest
because he wanted to change everything, the chairs, the tables, and in the diningroom
the silverware and plastic dishes, everything that showed that he had lived here
in this empty house with a strange woman who would forget him tomorrow, who had
gone and quite forgotten him already, listening to her Seashell radio pour in on her
and in on her as she rode across town, alone. And as before, it was good to burn, he
felt himself gush out in the fire, snatch, rend, rip in half with flame, and put away the
senseless problem. If there was no solution, well then now there was no problem,
either. Fire was best for everything!
"The books, Montag!"
The books leapt and danced like roasted birds, their wings ablaze with red and
yellow feathers.
And then he came to the parlour where the great idiot monsters lay asleep with their
white thoughts and their snowy dreams. And he shot a bolt at each of the three blank
walls and the vacuum hissed out at him. The emptiness made an even emptier
whistle, a senseless scream. He tried to think about the vacuum upon which the
nothingness had performed, but he could not. He held his breath so the vacuum
could not get into his lungs. He cut off its terrible emptiness, drew back, and gave the
entire room a gift of one huge bright yellow flower of burning. The fire-proof plastic
sheath on everything was cut wide and the house began to shudder with flame.
"When you're quite finished," said Beatty behind him. "You're under arrest."
The house fell in red coals and black ash. It bedded itself down in sleepy pink-grey
cinders and a smoke plume blew over it, rising and waving slowly back and forth in
the sky. It was three-thirty in the morning. The crowd drew back into the houses; the
great tents of the circus had slumped into charcoal and rubble and the show was well
over.
Montag stood with the flame-thrower in his limp hands, great islands of perspiration
drenching his armpits, his face smeared with soot. The other firemen waited behind
him, in the darkness, their faces illuminated faintly by the smouldering foundation.
Montag started to speak twice and then finally managed to put his thought together.
"Was it my wife turned in the alarm?"
Beatty nodded. "But her friends turned in an alarm earlier, that I let ride. One way or
the other, you'd have got it. It was pretty silly, quoting poetry around free and easy
like that. It was the act of a silly damn snob. Give a man a few lines of verse and he
thinks he's the Lord of all Creation. You think you can walk on water with your books.
Well, the world can get by just fine without them. Look where they got you, in slime
up to your lip. If I stir the slime with my little finger, you'll drown ! "
Montag could not move. A great earthquake had come with fire and levelled the
house and Mildred was under there somewhere and his entire life under there and he
could not move. The earthquake was still shaking and falling and shivering inside him
and he stood there, his knees half-bent under the great load of tiredness and
bewilderment and outrage, letting Beatty hit him without raising a hand.
"Montag, you idiot, Montag, you damn fool; why did you really do it?"
Montag did not hear, he was far away, he was running with his mind, he was gone,
leaving this dead soot-covered body to sway in front of another raving fool.
"Montag, get out of there! " said Faber.
Montag listened.
Beatty struck him a blow on the head that sent him reeling back. The green bullet in
which Faber's voice whispered and cried, fell to the sidewalk. Beatty snatched it up,
grinning. He held it half in, half out of his ear.
Montag heard the distant voice calling, "Montag, you all right?"
Beatty switched the green bullet off and thrust it in his pocket. "Well--so there's more
here than I thought. I saw you tilt your head, listening. First I thought you had a
Seashell. But when you turned clever later, I wondered. We'll trace this and drop it on
your friend."
"No! " said Montag.
He twitched the safety catch on the flame-thrower. Beatty glanced instantly at
Montag's fingers and his eyes widened the faintest bit. Montag saw the surprise there
and himself glanced to his hands to see what new thing they had done. Thinking
back later he could never decide whether the hands or Beatty's reaction to the hands
gave him the final push toward murder. The last rolling thunder of the avalanche
stoned down about his ears, not touching him.
Beatty grinned his most charming grin. "Well, that's one way to get an audience. Hold
a gun on a man and force him to listen to your speech. Speech away. What'll it be
this time? Why don't you belch Shakespeare at me, you fumbling snob? `There is no
terror, Cassius, in your threats, for I am arm'd so strong in honesty that they pass by
me as an idle wind, which I respect not!' How's that? Go ahead now, you secondhand
litterateur, pull the trigger." He took one step toward Montag.
Montag only said, "We never burned right..."
"Hand it over, Guy," said Beatty with a fixed smile.
And then he was a shrieking blaze, a jumping, sprawling, gibbering mannikin, no
longer human or known, all writhing flame on the lawn as Montag shot one
continuous pulse of liquid fire on him. There was a hiss like a great mouthful of spittle
banging a redhot stove, a bubbling and frothing as if salt had been poured over a
monstrous black snail to cause a terrible liquefaction and a boiling over of yellow
foam. Montag shut his eyes, shouted, shouted, and fought to get his hands at his
ears to clamp and to cut away the sound. Beatty flopped over and over and over, and
at last twisted in on himself like a charred wax doll and lay silent.
The other two firemen did not move.
Montag kept his sickness down long enough to aim the flame-thrower. "Turn around!"
They turned, their faces like blanched meat, streaming sweat; he beat their heads,
knocking off their helmets and bringing them down on themselves. They fell and lay
without moving.
The blowing of a single autumn leaf.
He turned and the Mechanical Hound was there.
It was half across the lawn, coming from the shadows, moving with such drifting ease
that it was like a single solid cloud of black-grey smoke blown at him in silence.
It made a single last leap into the air, coming down at Montag from a good three feet
over his head, its spidered legs reaching, the procaine needle snapping out its single
angry tooth. Montag caught it with a bloom of fire, a single wondrous blossom that
curled in petals of yellow and blue and orange about the metal dog, clad it in a new
covering as it slammed into Montag and threw him ten feet back against the bole of a
tree, taking the flame-gun with him. He felt it scrabble and seize his leg and stab the
needle in for a moment before the fire snapped the Hound up in the air, burst its
metal bones at the joints, and blew out its interior in the single flushing of red colour
like a skyrocket fastened to the street. Montag lay watching the dead-alive thing
fiddle the air and die. Even now it seemed to want to get back at him and finish the
injection which was now working through the flesh of his leg. He felt all of the mingled
relief and horror at having pulled back only in time to have just his knee slammed by
the fender of a car hurtling by at ninety miles an hour. He was afraid to
get up, afraid he might not be able to gain his feet at all, with an anaesthetized leg. A
numbness in a numbness hollowed into a numbness....
And now...?
The street empty, the house burnt like an ancient bit of stage-scenery, the other
homes dark, the Hound here, Beatty there, the three other firemen another place,
and the Salamander . . . ? He gazed at the immense engine. That would have to go,
too.
Well, he thought, let's see how badly off you are. On your feet now. Easy, easy . . .
there.
He stood and he had only one leg. The other was like a chunk of burnt pine-log he
was carrying along as a penance for some obscure sin. When he put his weight on it,
a shower of silver needles gushed up the length of the calf and went off in the knee.
He wept. Come on! Come on, you, you can't stay here!
A few house-lights were going on again down the street, whether from the incidents
just passed, or because of the abnormal silence following the fight, Montag did not
know. He hobbled around the ruins, seizing at his bad leg when it lagged, talking and
whimpering and shouting directions at it and cursing it and pleading with it to work for
him now when it was vital. He heard a number of people crying out in the darkness
and shouting. He reached the back yard and the alley. Beatty, he thought, you're not
a problem now. You always said, don't face a problem, bum it. Well, now I've done
both. Good-bye, Captain.
And he stumbled along the alley in the dark.
A shotgun blast went off in his leg every time he put it down and he thought, you're a
fool, a damn fool, an awful fool, an idiot, an awful idiot, a damn idiot, and a fool, a
damn fool; look at the mess and where's the mop, look at the mess, and what do you
do? Pride, damn it, and temper, and you've junked it all, at the very start you vomit
on everyone and on yourself. But everything at once, but everything one on top of
another; Beatty, the women, Mildred, Clarisse, everything. No excuse, though, no
excuse. A fool, a damn fool, go give yourself up!
No, we'll save what we can, we'll do what there is left to do. If we have to burn, let's
take a few more with us. Here!
He remembered the books and turned back. Just on the off chance.
He found a few books where he had left them, near the garden fence. Mildred, God
bless her, had missed a few. Four books still lay hidden where he had put them.
Voices were wailing in the night and flashbeams swirled about. Other Salamanders
were roaring their engines far away, and police sirens were cutting their way across
town with their sirens.
Montag took the four remaining books and hopped, jolted, hopped his way down the
alley and suddenly fell as if his head had been cut off and only his body lay there.
Something inside had jerked him to a halt and flopped him down. He lay where he
had fallen and sobbed, his legs folded, his face pressed blindly to the gravel.
Beatty wanted to die.
In the middle of the crying Montag knew it for the truth. Beatty had wanted to die. He
had just stood there, not really trying to save himself, just stood there, joking,
needling, thought Montag, and the thought was enough to stifle his sobbing and let
him pause for air. How strange, strange, to want to die so much that you let a man
walk around armed and then instead of shutting up and staying alive, you go on
yelling at people and making fun of them until you get them mad, and then ....
At a distance, running feet.
Montag sat up. Let's get out of here. Come on, get up, get up, you just can't sit! But
he was still crying and that had to be finished. It was going away now. He hadn't
wanted to kill anyone, not even Beatty. His flesh gripped him and shrank as if it had
been plunged in acid. He gagged. He saw Beatty, a torch, not moving, fluttering out
on the grass. He bit at his knuckles. I'm sorry, I'm sorry, oh God, sorry ....
He tried to piece it all together, to go back to the normal pattern of life a few short
days ago before the sieve and the sand, Denham's Dentifrice, moth-voices, fireflies,
the alarms and excursions, too much for a few short days, too much, indeed, for a
lifetime.
Feet ran in the far end of the alley.
"Get up!" he told himself. "Damn it, get up!" he said to the leg, and stood. The pains
were spikes driven in the kneecap and then only darning needles and then only
common, ordinary safety pins, and after he had dragged along fifty more hops and
jumps, filling his hand with slivers from the board fence, the prickling was like
someone blowing a spray of scalding water on that leg. And the leg was at last his
own leg again. He had been afraid that running might break the loose ankle. Now,
sucking all the night into his open mouth, and blowing it out pale, with all the
blackness left heavily inside himself, he set out in a steady jogging pace. He carried
the books in his hands.
He thought of Faber.
Faber was back there in the steaming lump of tar that had no name or identity now.
He had burnt Faber, too. He felt so suddenly shocked by this that he felt Faber was
really dead, baked like a roach in that small green capsule shoved and lost in the
pocket of a man who was now nothing but a frame skeleton strung with asphalt
tendons.
You must remember, burn them or they'll burn you, he thought. Right now it's as
simple as that.
He searched his pockets, the money was there, and in his other pocket he found the
usual Seashell upon which the city was talking to itself in the cold black morning.
"Police Alert. Wanted: Fugitive in city. Has committed murder and crimes against the
State. Name: Guy Montag. Occupation: Fireman. Last seen . . ."
He ran steadily for six blocks, in the alley, and then the alley opened out on to a wide
empty thoroughfare ten lanes wide. It seemed like a boatless river frozen there in the
raw light of the high white arc-lamps; you could drown trying to cross it, he felt; it was
too wide, it was too open. It was a vast stage without scenery, inviting him to run
across, easily seen in the blazing illumination, easily caught, easily shot down.
The Seashell hummed in his ear.
"... watch for a man running ... watch for the running man . . . watch for a man alone,
on foot . . . watch..."
Montag pulled back into the shadows. Directly ahead lay a gas station, a great chunk
of porcelain snow shining there, and two silver beetles pulling in to fill up. Now he
must be clean and presentable if he wished, to walk, not run, stroll calmly across that
wide boulevard. It would give him an extra margin of safety if he washed up and
combed his hair before he went on his way to get where . . . ?
Yes, he thought, where am I running?
Nowhere. There was nowhere to go, no friend to turn to, really. Except Faber. And
then he realized that he was indeed, running toward Faber's house, instinctively. But
Faber couldn't hide him; it would be suicide even to try. But he knew that he would go
to see Faber anyway, for a few short minutes. Faber's would be the place where he
might refuel his fast draining belief in his own ability to survive. He just wanted to
know that there was a man like Faber in the world. He wanted to see the man alive
and not burned back there like a body shelled in another body. And some of the
money must be left with Faber, of course, to be spent after Montag ran on his way.
Perhaps he could make the open country and live on or near the rivers and near the
highways, in the fields and hills.
A great whirling whisper made him look to the sky.
The police helicopters were rising so far away that it seemed someone had blown the
grey head off a dry dandelion flower. Two dozen of them flurried, wavering,
indecisive, three miles off, like butterflies puzzled by autumn, and then they were
plummeting down to land, one by one, here, there, softly kneading the streets where,
turned back to beetles, they shrieked along the boulevards or, as suddenly, leapt
back into the sir, continuing their search.
And here was the gas station, its attendants busy now with customers. Approaching
from the rear, Montag entered the men's washroom. Through the aluminium wall he
heard a radio voice saying, "War has been declared." The gas was being pumped
outside. The men in the beetles were talking and the attendants were talking about
the engines, the gas, the money owed. Montag stood trying to make himself feel the
shock of the quiet statement from the radio, but nothing would happen. The war
would have to wait for him to come to it in his personal file, an hour, two hours from
now.
He washed his hands and face and towelled himself dry, making little sound. He
came out of the washroom and shut the door carefully and walked into the darkness
and at last stood again on the edge of the empty boulevard.
There it lay, a game for him to win, a vast bowling alley in the cool morning. The
boulevard was as clean as the surface of an arena two minutes before the
appearance of certain unnamed victims and certain unknown killers. The air over and
above the vast concrete river trembled with the warmth of Montag's body alone; it
was incredible how he felt his temperature could cause the whole immediate world to
vibrate. He was a phosphorescent target; he knew it, he felt it. And now he must
begin his little walk.
Three blocks away a few headlights glared. Montag drew a deep breath. His lungs
were like burning brooms in his chest. His mouth was sucked dry from running. His
throat tasted of bloody iron and there was rusted steel in his feet.
What about those lights there? Once you started walking you'd have to gauge how
fast those beetles could make it down here. Well, how far was it to the other curb? It
seemed like a hundred yards. Probably not a hundred, but figure for that anyway,
figure that with him going very slowly, at a nice stroll, it might take as much as thirty
seconds, forty seconds to walk all the way. The beetles? Once started, they could
leave three blocks behind them in about fifteen seconds. So, even if halfway across
he started to run . . . ?
He put his right foot out and then his left foot and then his right. He walked on the
empty avenue.
Even if the street were entirely empty, of course, you couldn't be sure of a safe
crossing, for a car could appear suddenly over the rise four blocks further on and be
on and past you before you had taken a dozen breaths.
He decided not to count his steps. He looked neither to left nor right. The light from
the overhead lamps seemed as bright and revealing as the midday sun and just as
hot.
He listened to the sound of the car picking up speed two blocks away on his right. Its
movable headlights jerked back and forth suddenly, and caught at Montag.
Keep going.
Montag faltered, got a grip on the books, and forced himself not to freeze.
Instinctively he took a few quick, running steps then talked out loud to himself and
pulled up to stroll again. He was now half across the street, but the roar from the
beetle's engines whined higher as it put on speed.
The police, of course. They see me. But slow now; slow, quiet, don't turn, don't look,
don't seem concerned. Walk, that's it, walls, walk.
The beetle was rushing. The beetle was roaring. The beetle raised its speed. The
beetle was whining. The beetle was in high thunder. The beetle came skimming. The
beetle came in a single whistling trajectory, fired from an invisible rifle. It was up to
120 m.p.h. It was up to 130 at least. Montag clamped his jaws. The heat of the racing
headlights burnt his cheeks, it seemed, and jittered his eye-lids and flushed the sour
sweat out all over his body.
He began to shuffle idiotically and talk to himself and then he broke and just ran. He
put out his legs as far as they would go and down and then far out again and down
and back and out and down and back. God ! God! He dropped a book, broke pace,
almost turned, changed his mind, plunged on, yelling in concrete emptiness, the
beetle scuttling after its running food, two hundred, one hundred feet away, ninety,
eighty, seventy, Montag gasping, flailing his hands, legs up down out, up down out,
closer, closer, hooting, calling, his eyes burnt white now as his head jerked about to
confront the flashing glare, now the beetle was swallowed in its own light, now it was
nothing but a torch hurtling upon him; all sound, all blare. Now-almost on top of him !
He stumbled and fell.
I'm done! It's over!
But the falling made a difference. An instant before reaching him the wild beetle cut
and swerved out. It was gone. Montag lay flat, his head down. Wisps of laughter
trailed back to him with the blue exhaust from the beetle.
His right hand was extended above him, flat. Across the extreme tip of his middle
finger, he saw now as he lifted that hand, a faint sixteenth of an inch of black tread
where tyre had touched in passing. He looked at that black line with disbelief, getting
to his feet.
That wasn't the police, he thought.
He looked down the boulevard. It was clear now. A carful of children, all ages, God
knew, from twelve to sixteen, out
124 FAHRENHEIT 451
whistling, yelling, hurrahing, had seen a man, a very extraordinary sight, a man
strolling, a rarity, and simply said, "Let's get him," not knowing he was the fugitive Mr.
Montag, simply a,number of children out for a long night of roaring five or six hundred
miles in a few moonlit hours, their faces icy with wind, and coming home or not
coming at dawn, alive or not alive, that made the adventure.
They would have killed me, thought Montag, swaying, the air still torn and stirring
about him in dust, touching his bruised cheek. For no reason at all in the world they
would have killed me.
He walked toward the far kerb telling each foot to go and keep going. Somehow he
had picked up the spilled books; he didn't remember bending or touching them. He
kept moving them from hand to hand as if they were a poker hand he could not
figure.
I wonder if they were the ones who killed Clarisse?
He stopped and his mind said it again, very loud.
I wonder if they were the ones who killed Clarisse!
He wanted to run after them yelling.
His eyes watered.
The thing that had saved him was falling flat. The driver of that car, seeing Montag
down, instinctively considered the probability that running over a body at that speed
might turn the car upside down and spill them out. If Montag had remained an upright
target. . . ?
Montag gasped.
Far down the boulevard, four blocks away, the beetle had slowed, spun about on two
wheels, and was now racing back, slanting over on the wrong side of the street,
picking up speed.
But Montag was gone, hidden in the safety of the dark alley for which he had set out
on a long journey, an hour or was it a minute, ago? He stood shivering in the night,
looking back out as the beetle ran by and skidded back to the centre of the avenue,
whirling laughter in the air all about it, gone.
Further on, as Montag moved in darkness, he could see the helicopters falling,
falling, like the first flakes of snow in the long winter. to come....
The house was silent.
Montag approached from the rear, creeping through a thick night-moistened scent of
daffodils and roses and wet grass. He touched the screen door in back, found it
open, slipped in, moved across the porch, listening.
Mrs. Black, are you asleep in there? he thought. This isn't good, but your husband
did it to others and never asked and never wondered and never worried. And now
since you're a fireman's wife, it's your house and your turn, for all the houses your
husband burned and the people he hurt without thinking. .
The house did not reply.
He hid the books in the kitchen and moved from the house again to the alley and
looked back and the house was still dark and quiet, sleeping.
On his way across town, with the helicopters fluttering like torn bits of paper in the
sky, he phoned the alarm at a lonely phone booth outside a store that was closed for
the night. Then he stood in the cold night air, waiting and at a distance he heard the
fire sirens start up and run, and the Salamanders coming, coming to bum Mr. Black's
house while he was away at work, to make his wife stand shivering in the morning air
while the roof let go and dropped in upon the fire. But now, she was still asleep.
Good night, Mrs. Black, he thought. -
"Faber! "
Another rap, a whisper, and a long waiting. Then, after a minute, a small light
flickered inside Faber's small house. After another pause, the back door opened.
They stood looking at each other in the half-light, Faber and Montag, as if each did
not believe in the other's existence. Then Faber moved and put out his hand and
grabbed Montag and moved him in and sat him down and went back and stood in the
door, listening. The sirens were wailing off in the morning distance. He came in and
shut the door.
Montag said, "I've been a fool all down the line. I can't stay long. I'm on my way God
knows where."
"At least you were a fool about the right things," said Faber. "I thought you were
dead. The audio-capsule I gave you--"
"Burnt."
"I heard the captain talking to you and suddenly there was nothing. I almost came out
looking for you."
"The captain's dead. He found the audio-capsule, he heard your voice, he was going
to trace it. I killed him with the flamethrower."
Faber sat down and did not speak for a time.
"My God, how did this happen?" said Montag. "It was only the other night everything
was fine and the next thing I know I'm drowning. How many times can a man go
down and still be alive? I can't breathe. There's Beatty dead, and he was my friend
once, and there's Millie gone, I thought she was my wife, but now I don't know. And
the house all burnt. And my job gone and myself on the run, and I planted a book in a
fireman's house on the way. Good Christ, the things I've done in a single week! "
"You did what you had to do. It was coming on for a long time."
"Yes, I believe that, if there's nothing else I believe. It saved itself up to happen. I
could feel it for a long time, I was saving something up, I went around doing one thing
and feeling another. God, it was all there. It's a wonder it didn't show on me, like fat.
And now here I am, messing up your life. They might follow me here."
"I feel alive for the first time in years," said Faber. "I feel I'm doing what I should have
done a lifetime ago. For a little while I'm not afraid. Maybe it's because I'm doing the
right thing at last. Maybe it's because I've done a rash thing and don't want to look
the coward to you. I suppose I'll have to do even more violent things, exposing
myself so I won't fall down on the job and turn scared again. What are your plans?"
"To keep running."
"You know the war's on?"
"I heard."
"God, isn't it funny?" said the old man. "It seems so remote because we have our
own troubles."
"I haven't had time to think." Montag drew out a hundred dollars. "I want this to stay
with you, use it any way that'll help when I'm gone."
"But-- "
"I might be dead by noon; use this."
Faber nodded. "You'd better head for the river if you can, follow along it, and if you
can hit the old railroad lines going out into the country, follow them. Even though
practically everything's airborne these days and most of the tracks are abandoned,
the rails are still there, rusting. I've heard there are still hobo camps all across the
country, here and there; walking camps they call them, and if you keep walking far
enough and keep an eye peeled, they say there's lots of old Harvard degrees on the
tracks between here and Los Angeles. Most of them are wanted and hunted in the
cities. They survive, I guess. There aren't many of them, and I guess the
Government's never considered them a great enough danger to go in and track them
down. You might hole up with them for a time and get in touch with me in St. Louis,
I'm leaving on the five a.m. bus this morning, to see a retired printer there, I'm getting
out into the open myself, at last. The money will be put to good use. Thanks and God
bless you. Do you want to sleep a few minutes?"
"I'd better run."
"Let's check."
He took Montag quickly into the bedroom and lifted a picture frame aside, revealing a
television screen the size of a postal card. "I always wanted something very small,
something I could talk to, something I could blot out with the palm of my hand, if
necessary, nothing that could shout me down, nothing monstrous big. So, you see."
He snapped it on. "Montag," the TV set said, and lit up. "M-O-N-T-A-G." The name
was spelled out by the voice. "Guy Montag. Still running. Police helicopters are up. A
new Mechanical Hound has been brought from another district.. ."
Montag and Faber looked at each other.
". . . Mechanical Hound never fails. Never since its first use in tracking quarry has this
incredible invention made a mistake. Tonight, this network is proud to have the
opportunity to follow the Hound by camera helicopter as it starts on its way to the
target..."
Faber poured two glasses of whisky. "We'll need these."
They drank.
". . . nose so sensitive the Mechanical Hound can remember and identify ten
thousand odour-indexes on ten thousand men without re-setting! "
Faber trembled the least bit and looked about at his house, at the walls, the door, the
doorknob, and the chair where Montag now sat. Montag saw the look. They both
looked quickly about the house and Montag felt his nostrils dilate and he knew that
he was trying to track himself and his nose was suddenly good enough to sense the
path he had made in the air of the room and the sweat of his hand hung from the
doorknob, invisible, but as numerous as the jewels of a small chandelier, he was
everywhere, in and on and about everything, he was a luminous cloud, a ghost that
made breathing once more impossible. He saw Faber stop up his own breath for fear
of drawing that ghost into his own body, perhaps, being contaminated with the
phantom exhalations and odours of a running man.
"The Mechanical Hound is now landing by helicopter at the site of the Burning!"
And there on the small screen was the burnt house, and the crowd, and something
with a sheet over it and out of the sky, fluttering, came the helicopter like a grotesque
flower.
So they must have their game out, thought Montag. The circus must go on, even with
war beginning within the hour....
He watched the scene, fascinated, not wanting to move. It seemed so remote and no
part of him; it was a play apart and separate, wondrous to watch, not without its
strange pleasure. That's all for me, you thought, that's all taking place just for me, by
God.
If he wished, he could linger here, in comfort, and follow the entire hunt on through its
swift. phases, down alleys across streets, over empty running avenues, crossing lots
and playgrounds, with pauses here or there for the necessary commercials, up other
alleys to the burning house of Mr. and Mrs. Black, and so on finally to this house with
Faber and himself seated, drinking, while the Electric Hound snuffed down the last
trail, silent as a drift of death itself, skidded to a halt outside that window there. Then,
if he wished, Montag might rise, walk to the window, keep one eye on the TV screen,
open the window, lean out, look back, and see himself dramatized, described, made
over, standing there, limned in the bright small television screen from outside, a
drama to be watched objectively, knowing that in other parlours he was large as life,
in full colour, dimensionally perfect! And if he kept his eye peeled quickly he would
see himself, an instant before oblivion, being punctured for the benefit of how many
civilian parlour-sitters who had been wakened from sleep a few minutes ago by the
frantic sirening of their living-room walls to come watch the big game, the hunt, the
one-man carnival.
Would he have time for a speech? As the Hound seized him, in view of ten or twenty
or thirty million people, mightn't he sum up his entire life in the last week in one single
phrase or a word that would stay with them long after the. Hound had turned,
clenching him in its metal-plier jaws, and trotted off in darkness, while the camera
remained stationary, watching the creature dwindle in the distance--a splendid fadeout!
What could he say in a single word, a few words, that would sear all their faces
and wake them up?
"There," whispered Faber.
Out of a helicopter glided something that was not machine, not animal, not dead, not
alive, glowing with a pale green luminosity. It stood near the smoking ruins of
Montag's house and the men brought his discarded flame-thrower to it and put it
down under the muzzle of the Hound. There was a whirring, clicking, humming.
Montag shook his head and got up and drank the rest of his drink. "It's time. I'm sorry
about this:"
"About what? Me? My house? I deserve everything. Run, for God's sake. Perhaps I
can delay them here--"
"Wait. There's no use your being discovered. When I leave, burn the spread of this
bed, that I touched. Burn the chair in the living room, in your wall incinerator. Wipe
down the furniture with alcohol, wipe the door-knobs. Burn the throwrug in the
parlour. Turn the air-conditioning on full in all the rooms and spray with moth-spray if
you have it. Then, turn on your lawn sprinklers as high as they'll go and hose off the
sidewalks. With any luck at all, we can kill the trail in here, anyway..'
Faber shook his hand. "I'll tend to it. Good luck. If we're both in good health, next
week, the week after, get in touch. General Delivery, St. Louis. I'm sorry there's no
way I can go with you this time, by ear-phone. That was good for both of us. But my
equipment was limited. You see, I never thought I would use it. What a silly old man.
No thought there. Stupid, stupid. So I haven't another green bullet, the right kind, to
put in your head. Go now!"
"One last thing. Quick. A suitcase, get it, fill it with your dirtiest clothes, an old suit,
the dirtier the better, a shirt, some old sneakers and socks . . . ."
Faber was gone and back in a minute. They sealed the cardboard valise with clear
tape. "To keep the ancient odour of Mr. Faber in, of course," said Faber sweating at
the job.
Montag doused the exterior of the valise with whisky. "I don't want that Hound picking
up two odours at once. May I take this whisky. I'll need it later. Christ I hope this
works!"
They shook hands again and, going out of the door, they glanced at the TV. The
Hound was on its way, followed by hovering helicopter cameras, silently, silently,
sniffing the great night wind. It was running down the first alley.
"Good-bye ! "
And Montag was out the back door lightly, running with the half-empty valise. Behind
him he heard the lawn-sprinkling system jump up, filling the dark air with rain that fell
gently and then with a steady pour all about, washing on the sidewalks, and draining
into the alley. He carried a few drops of this rain with him on his face. He thought he
heard the old man call good-bye, but he-wasn't certain.
He ran very fast away from the house, down toward the river.
Montag ran.
He could feel the Hound, like autumn, come cold and dry and swift, like a wind that
didn't stir grass, that didn't jar windows or disturb leaf-shadows on the white
sidewalks as it passed. The Hound did not touch the world. It carried its silence with
it, so you could feel the silence building up a pressure behind you all across town.
Montag felt the pressure rising, and ran.
He stopped for breath, on his way to the river, to peer through dimly lit windows of
wakened houses, and saw the silhouettes of people inside watching their parlour
walls and there on the walls the Mechanical Hound, a breath of neon vapour,
spidered along, here and gone, here and gone! Now at Elm Terrace, Lincoln, Oak,
Park, and up the alley toward Faber's house.
Go past, thought Montag, don't stop, go on, don't turn in!
On the parlour wall, Faber's house, with its sprinkler system pulsing in the night air.
The Hound paused, quivering.
No! Montag held to the window sill. This way! Here!
The procaine needle flicked out and in, out and in. A single clear drop of the stuff of
dreams fell from the needle as it vanished in the Hound's muzzle.
Montag held his breath, like a doubled fist, in his chest.
The Mechanical Hound turned and plunged away from Faber's house down the alley
again.
Montag snapped his gaze to the sky. The helicopters were closer, a great blowing of
insects to a single light source.
With an effort, Montag reminded himself again that this was no fictional episode to be
watched on his run to the river; it was in actuality his own chess-game he was
witnessing, move by move.
He shouted to give himself the necessary push away from this last house window,
and the fascinating seance going on in there! Hell! and he was away and gone! The
alley, a street, the alley, a street, and the smell of the river. Leg out, leg down, leg out
and down. Twenty million Montags running, soon, if the cameras caught him. Twenty
million Montags running, running like an ancient flickery Keystone Comedy, cops,
robbers, chasers and the chased, hunters and hunted, he had seen it a thousand
times. Behind him now twenty million silently baying Hounds ricocheted across
parlours, three-cushion shooting from right wall to centre wall to left wall, gone, right
wall, centre wall, left wall, gone !
Montag jammed his Seashell to his ear.
"Police suggest entire population in the Elm Terrace area do as follows: Everyone in
every house in every street open a front or rear door or look from the windows. The
fugitive cannot escape if everyone in the next minute looks from his house. Ready! "
Of course! Why hadn't they done it before! Why, in all the years, hadn't this game
been tried! Everyone up, everyone out! He couldn't be missed! The only man running
alone in the night city, the only man proving his legs!
"At the count of ten now! One! Two!"
He felt the city rise. Three .
He felt the city turn to its thousands of doors.
Faster! Leg up, leg down !
"Four ! "
The people sleepwalking in their hallways.
"Five! "
He felt their hands on the doorknobs!
The smell of the river was cool and like a solid rain. His throat was burnt rust and his
eyes were wept dry with running. He yelled as if this yell would jet him on, fling him
the last hundred yards.
"Six, seven, eight ! "
The doorknobs turned on five thousand doors. "Nine!"
He ran out away from the last row of houses, on a slope leading down to a solid
moving blackness. "Ten!"
The doors opened.
He imagined thousands on thousands of faces peering into yards, into alleys, and
into the sky, faces hid by curtains, pale, night-frightened faces, like grey animals
peering from electric caves, faces with grey colourless eyes, grey tongues and grey
thoughts looking out through the numb flesh of the face.
But he was at the river.
He touched it, just to be sure it was real. He waded in and stripped in darkness to the
skin, splashed his body, arms, legs, and head with raw liquor; drank it and snuffed
some up his nose. Then he dressed in Faber's old clothes and shoes. He tossed his
own clothing into the river and watched it swept away. Then, holding the suitcase, he
walked out in the river until there was no bottom and he was swept away in the dark.
He was three hundred yards downstream when the Hound reached the river.
Overhead the great racketing fans of the helicopters hovered. A storm of light fell
upon the river and Montag dived under the great illumination as if the sun had broken
the clouds. He felt the river pull him further on its way, into darkness. Then the lights
switched back to the land, the helicopters swerved over the city again, as if they had
picked up another trail. They were gone. The Hound was gone. Now there was only
the cold river and Montag floating in a sudden peacefulness, away from the city and
the lights and the chase, away from everything.
He felt as if he had left a stage behind and many actors. He felt as if he had left the
great seance and all the murmuring ghosts. He was moving from an unreality that
was frightening into a reality that was unreal because it was new.
The black land slid by and he was going into the country among the hills: For the first
time in a dozen years the stars were coming out above him, in great processions of
wheeling fire. He saw a great juggernaut of stars form in the sky and threaten to roll
over and crush him.
He floated on his back when the valise filled and sank; the river was mild and
leisurely, going away from the people who ate shadows for breakfast and steam for
lunch and vapours for supper. The river was very real; it held him comfortably and
gave him the time at last, the leisure, to consider this month, this year, and a lifetime
of years. He listened to his heart slow. His thoughts stopped rushing with his blood.
He saw the moon low in the sky now. The moon there, and the light of the moon
caused by what? By the sun, of course. And what lights the sun? Its own fire. And the
sun goes on, day after day, burning and burning. The sun and time. The sun and
time and burning. Burning. The river bobbled him along gently. Burning. The sun and
every clock on the earth. It all came together and became a single thing in his mind.
After a long time of floating on the land and a short time of floating in the river he
knew why he must never burn again in his life.
The sun burned every day. It burned Time. The world rushed in a circle and turned
on its axis and time was busy burning the years and the people anyway, without any
help from him. So if he burnt things with the firemen, and the sun burnt Time, that
meant.that everything burned!
One of them had to stop burning. The sun wouldn't, certainly. So it looked as if it had
to be Montag and the people he had worked with until a few short hours ago.
Somewhere the saving and putting away had to begin again and someone had to do
the saving and keeping, one way or another, in books, in records, in people's heads,
any way at all so long as it was safe, free from moths, silver-fish, rust and dry-rot,
and men with matches. The world was full of burning of all types and sizes. Now the
guild of the asbestos-weaver must open shop very soon.
He felt his heel bump land, touch pebbles and rocks, scrape sand. The river had
moved him toward shore.
He looked in at the great black creature without eyes or light, without shape, with only
a size that went a thousand miles without wanting to stop, with its grass hills and
forests that were waiting for him.
He hesitated to leave the comforting flow of the water. He expected the Hound there.
Suddenly the trees might blow under a great wind of helicopters.
But there was only the normal autumn wind high up, going by like another river. Why
wasn't the Hound running? Why had the search veered inland? Montag listened.
Nothing. Nothing.
Millie, he thought. All this country here. Listen to it! Nothing and nothing. So much
silence, Millie, I wonder how you'd take it? Would you shout Shut up, shut up! Millie,
Millie. And he was sad.
Millie was not here and the Hound was not here, but the dry smell of hay blowing
from some distant field put Montag on the land. He remembered a farm he had
visited when he was very young, one of the rare times he had discovered that
somewhere behind the seven veils of unreality, beyond the walls of parlours and
beyond the tin moat of the city, cows chewed grass and pigs sat in warm ponds at
noon and dogs barked after white sheep on a hill.
Now, the dry smell of hay, the motion of the waters, made him think of sleeping in
fresh hay in a lonely barn away from the loud highways, behind a quiet farmhouse,
and under an ancient windmill that whirred like the sound of the passing years
overhead. He lay in the high barn loft all night, listening to distant animals and insects
and trees, the little motions and stirrings.
During the night, he thought, below the loft, he would hear a sound like feet moving,
perhaps. He would tense and sit up. The sound would move away, He would lie back
and look out of the loft window, very late in the night, and see the lights go out in the
farmhouse itself, until a very young and beautiful woman would sit in an unlit window,
braiding her hair. It would be hard to see her, but her face would be like the face of
the girl so long ago in his past now, so very long ago, the girl who had known the
weather and never been burned by the fire-flies, the girl who had known what
dandelions meant rubbed off on your chin. Then, she would be gone from the warm
window and appear again upstairs in her moon-whitened room. And then, to the
sound of death, the sound of the jets cutting the sky into two black pieces beyond the
horizon, he would lie in the loft, hidden and safe, watching those strange new stars
over the rim of the earth, fleeing from the soft colour of dawn.
In the morning he would not have needed sleep, for all the warm odours and sights of
a complete country night would have rested and slept him while his eyes were wide
and his mouth, when he thought to test it, was half a smile.
And there at the bottom of the hayloft stair, waiting for him, would be the incredible
thing. He would step carefully down, in the pink light of early morning, so fully aware
of the world that he would be afraid, and stand over the small miracle and at last
bend to touch it.
A cool glass of fresh milk, and a few apples and pears laid at the foot of the steps.
This was all he wanted now. Some sign that the immense world would accept him
and give him the long time needed to think all the things that must be thought.
A glass of milk, an apple, a pear.
He stepped from the river.
The land rushed at him, a tidal wave. He was crushed by darkness and the look of
the country and the million odours on a wind that iced his body. He fell back under
the breaking curve of darkness and sound and smell, his ears roaring. He whirled.
The stars poured over his sight like flaming meteors. He wanted to plunge in the river
again and let it idle him safely on down somewhere. This dark land rising was like
that day in his childhood, swimming, when from nowhere the largest wave in the
history of remembering slammed him down in salt mud and green darkness, water
burning mouth and nose, retching his stomach, screaming! Too much water!
Too much land!
Out of the black wall before him, a whisper. A shape. In the shape, two eyes. The
night looking at him. The forest, seeing him.
The Hound!
After all the running and rushing and sweating it out and half-drowning, to come this
far, work this hard, and think yourself safe and sigh with relief and come out on the
land at last only to find . . .
The Hound!
Montag gave one last agonized shout as if this were too much for any man.
The shape exploded away. The eyes vanished. The leafpiles flew up in a dry shower.
Montag was alone in the wilderness.
A deer. He smelled the heavy musk-like perfume mingled with blood and the
gummed exhalation of the animal's breath, all cardamon and moss and ragweed
odour in this huge night where the trees ran at him, pulled away, ran, pulled away, to
the pulse of the heart behind his eyes.
There must have been a billion leaves on the land; he waded in them, a dry river
smelling of hot cloves and warm dust. And the other smells! There was a smell like a
cut potato from all the land, raw and cold and white from having the moon on it most
of the night. There was a smell like pickles from a bottle and a smell like parsley on
the table at home. There was a faint yellow odour like mustard from a jar. There was
a smell like carnations from the yard next door. He put down his hand and felt a weed
rise up like a child brushing him. His fingers smelled of liquorice.
He stood breathing, and the more he breathed the land in, the more he was filled up
with all the details of the land. He was not empty. There was more than enough here
to fill him. There would always be more than enough.
He walked in the shallow tide of leaves, stumbling.
And in the middle of the strangeness, a familiarity.
His foot hit something that rang dully.
He moved his hand on the ground, a yard this way, a yard that.
The railroad track.
The track that came out of the city and rusted across the land, through forests and
woods, deserted now, by the river.
Here was the path to wherever he was going. Here was the single familiar thing, the
magic charm he might need a little while, to touch, to feel beneath his feet, as he
moved on into the bramble bushes and the lakes of smelling and feeling and
touching, among the whispers and the blowing down of leaves.
He walked on the track.
And he was surprised to learn how certain he suddenly was of a single fact he could
not prove.
Once, long ago, Clarisse had walked here, where he was walking now.
Half an hour later, cold, and moving carefully on the tracks, fully aware of his entire
body, his face, his mouth, his eyes stuffed with blackness, his ears stuffed with
sound, his legs prickled with burrs and nettles, he saw the fire ahead.
The fire was gone, then back again, like a winking eye. He stopped, afraid he might
blow the fire out with a single breath. But the fire was there and he approached
warily, from a long way off. It took the better part of fifteen minutes before he drew
very close indeed to it, and then he stood looking at it from cover. That small motion,
the white and red colour, a strange fire because it meant a different thing to him.
It was not burning; it was warming!
He saw many hands held to its warmth, hands without arms, hidden in darkness.
Above the hands, motionless faces that were only moved and tossed and flickered
with firelight. He hadn't known fire could look this way. He had never thought in his
life that it could give as well as take. Even its smell was different.
How long he stood he did not know, but there was a foolish and yet delicious sense
of knowing himself as an animal come from the forest, drawn by the fire. He was a
thing of brush and liquid eye, of fur and muzzle and hoof, he was a thing of horn and
blood that would smell like autumn if you bled it out on the ground. He stood a long
long time, listening to the warm crackle of the flames.
There was a silence gathered all about that fire and the silence was in the men's
faces, and time was there, time enough to sit by this rusting track under the trees,
and look at the world and turn it over with the eyes, as if it were held to the centre of
the bonfire, a piece of steel these men were all shaping. It was not only the fire that
was different. It was the silence. Montag moved toward this special silence that was
concerned with all of the world.
And then the voices began and they were talking, and he could hear nothing of what
the voices said, but the sound rose and fell quietly and the voices were turning the
world over and looking at it; the voices knew the land and the trees and the city which
lay down the track by the river. The voices talked of everything, there was nothing
they could not talk about, he knew from the very cadence and motion and continual
stir of curiosity and wonder in them.
And then one of the men looked up and saw him, for the first or perhaps the seventh
time, and a voice called to Montag:
"All right, you can come out now ! "
Montag stepped back into the shadows.
"It's all right," the voice said. "You're welcome here."
Montag walked slowly toward the fire and the five old men sitting there dressed in
dark blue denim pants and jackets and dark blue suits. He did not know what to say
to them.
"Sit down," said the man who seemed to be the leader of the small group. "Have
some coffee?"
He watched the dark steaming mixture pour into a collapsible tin cup, which was
handed him straight off. He sipped it gingerly and felt them looking at him with
curiosity. His lips were scalded, but that was good. The faces around him were
bearded, but the beards were clean, neat, and their hands were clean. They had
stood up as if to welcome a guest, and now they sat down again. Montag sipped.
"Thanks," he said. "Thanks very much."
"You're welcome, Montag. My name's Granger." He held out a small bottle of
colourless fluid. "Drink this, too. It'll change the chemical index of your perspiration.
Half an hour from now you'll smell like two other people. With the Hound after you,
the best thing is Bottoms up."
Montag drank the bitter fluid.
"You'll stink like a bobcat, but that's all right," said Granger.
"You know my name;" said Montag.
Granger nodded to a portable battery TV set by the fire.
"We've watched the chase. Figured you'd wind up south along the river. When we
heard you plunging around out in the forest like a drunken elk, we didn't hide as we
usually do. We figured you were in the river, when the helicopter cameras swung
back in over the city. Something funny there. The chase is still running. The other
way, though."
"The other way?"
"Let's have a look."
Granger snapped the portable viewer on. The picture was a nightmare, condensed,
easily passed from hand to hand, in the forest, all whirring colour and flight. A voice
cried:
"The chase continues north in the city! Police helicopters are converging on Avenue
87 and Elm Grove Park!"
Granger nodded. "They're faking. You threw them off at the river. They can't admit it.
They know they can hold their audience only so long. The show's got to have a snap
ending, quick! If they started searching the whole damn river it might take all night.
So they're sniffing for a scape-goat to end things with a bang. Watch. They'll catch
Montag in the next five minutes! "
"But how--"
"Watch."
The camera, hovering in the belly of a helicopter, now swung down at an empty
street.
"See that?" whispered Granger. "It'll be you; right up at the end of that street is our
victim. See how our camera is coming in? Building the scene. Suspense. Long shot.
Right now, some poor fellow is out for a walk. A rarity. An odd one. Don't think the
police don't know the habits of queer ducks like that, men who walk mornings for the
hell of it, or for reasons of insomnia Anyway, the police have had him charted for
months, years. Never know when that sort of information might be handy. And today,
it turns out, it's very usable indeed. It saves face. Oh, God, look there!"
The men at the fire bent forward.
On the screen, a man turned a corner. The Mechanical Hound rushed forward into
the viewer, suddenly. The helicopter light shot down a dozen brilliant pillars that built
a cage all about the man.
A voice cried, "There's Montag ! The search is done!"
The innocent man stood bewildered, a cigarette burning in his hand. He stared at the
Hound, not knowing what it was. He probably never knew. He glanced up at the sky
and the wailing sirens. The cameras rushed down. The Hound leapt up into the air
with a rhythm and a sense of timing that was incredibly beautiful. Its needle shot out.
It was suspended for a moment in their gaze, as if to give the vast audience time to
appreciate everything, the raw look of the victim's face, the empty street, the steel
animal a bullet nosing the target.
"Montag, don't move!" said a voice from the sky.
The camera fell upon the victim, even as did the Hound. Both reached him
simultaneously. The victim was seized by Hound and camera in a great spidering,
clenching grip. He screamed. He screamed. He screamed!
Blackout.
Silence.
Darkness.
Montag cried out in the silence and turned away.
Silence.
And then, after a time of the men sitting around the fire, their faces expressionless,
an announcer on the dark screen said, "The search is over, Montag is dead; a crime
against society has been avenged."
Darkness.
"We now take you to the Sky Room of the Hotel Lux for a half-hour of Just-Before-
Dawn, a programme of-"
Granger turned it off.
"They didn't show the man's face in focus. Did you notice?
Even your best friends couldn't tell if it was you. They scrambled it just enough to let
the imagination take over. Hell," he whispered. "Hell."
Montag said nothing but now, looking back, sat with his eyes fixed to the blank
screen, trembling.
Granger touched Montag's arm. "Welcome back from the dead." Montag nodded.
Granger went on. "You might as well know all of us, now. This is Fred Clement,
former occupant of the Thomas Hardy chair at Cambridge in the years before it
became an Atomic Engineering School. This other is Dr. Simmons from U.C.L.A., a
specialist in Ortega y Gasset; Professor West here did quite a bit for ethics, an
ancient study now, for Columbia University quite some years ago. Reverend Padover
here gave a few lectures thirty years ago and lost his flock between one Sunday and
the next for his views. He's been bumming with us some time now. Myself: I wrote a
book called The Fingers in the Glove; the Proper Relationship between the Individual
and Society, and here I am! Welcome, Montag! "
"I don't belong with you," said Montag, at last, slowly. "I've been an idiot all the way."
"We're used to that. We all made the right kind of mistakes, or we wouldn't be here.
When we were separate individuals, all we had was rage. I struck a fireman when he
came to burn my library years ago. I've been running ever since. You want to join us,
Montag?"
"Yes."
"What have you to offer?"
"Nothing. I thought I had part of the Book of Ecclesiastes and maybe a little of
Revelation, but I haven't even that now."
"The Book of Ecclesiastes would be fine. Where was it?"
"Here," Montag touched his head.
"Ah," Granger smiled and nodded.
"What's wrong? Isn't that all right?" said Montag.
"Better than all right; perfect!" Granger turned to the Reverend. "Do we have a Book
of Ecclesiastes?"
"One. A man named Harris of Youngstown."
"Montag." Granger took Montag's shoulder firmly. "Walk carefully. Guard your health.
If anything should happen to Harris, you are the Book of Ecclesiastes. See how
important you've become in the last minute!"
"But I've forgotten!"
"No, nothing's ever lost. We have ways to shake down your clinkers for you."
"But I've tried to remember!"
"Don't try. It'll come when we need it. All of us have photographic memories, but
spend a lifetime learning how to block off the things that are really in there. Simmons
here has worked on it for twenty years and now we've got the method down to where
we can recall anything that's been read once. Would you like, some day, Montag, to
read Plato's Republic?"
"Of course!"
"I am Plato's Republic. Like to read Marcus Aurelius? Mr. Simmons is Marcus."
"How do you do?" said Mr. Simmons.
"Hello," said Montag.
"I want you to meet Jonathan Swift, the author of that evil political book, Gulliver's
Travels! And this other fellow is Charles Darwin, and-this one is Schopenhauer, and
this one is Einstein, and this one here at my elbow is Mr. Albert Schweitzer, a very
kind philosopher indeed. Here we all are, Montag. Aristophanes and Mahatma
Gandhi and Gautama Buddha and Confucius and Thomas Love Peacock and
Thomas Jefferson and Mr. Lincoln, if you please. We are also Matthew, Mark, Luke,
and John."
Everyone laughed quietly.
"It can't be," said Montag.
"It is," replied Granger, smiling. " We're book-burners, too. We read the books and
burnt them, afraid they'd be found. Micro-filming didn't pay off; we were always
travelling, we didn't want to bury the film and come back later. Always the chance of
discovery. Better to keep it in the old heads, where no one can see it or suspect it.
We are all bits and pieces of history and literature and international law, Byron, Tom
Paine, Machiavelli, or Christ, it's here. And the hour is late. And the war's begun. And
we are out here, and the city is there, all wrapped up in its own coat of a thousand
colours. What do you think, Montag?"
"I think I was blind trying to do things my way, planting books in firemen's houses and
sending in alarms."
"You did what you had to do. Carried out on a national scale, it might have worked
beautifully. But our way is simpler and, we think, better. All we want to do is keep the
knowledge we think we will need, intact and safe. We're not out to incite or anger
anyone yet. For if we are destroyed, the knowledge is dead, perhaps for good. We
are model citizens, in our own special way; we walk the old tracks, we lie in the hills
at night, and the city people let us be. We're stopped and searched occasionally, but
there's nothing on our persons to incriminate us. The organization is flexible, very
loose, and fragmentary. Some of us have had plastic surgery on our faces and
fingerprints. Right now we have a horrible job; we're waiting for the war to begin and,
as quickly, end. It's not pleasant, but then we're not in control, we're the odd minority
crying in the wilderness. When the war's over, perhaps we can be of some use in the
world."
"Do you really think they'll listen then?"
"If not, we'll just have to wait. We'll pass the books on to our children, by word of
mouth, and let our children wait, in turn, on the other people. A lot will be lost that
way, of course.
But you can't make people listen. They have to come round in their own time,
wondering what happened and why the world blew up under them. It can't last."
"How many of you are there?"
"Thousands on the roads, the abandoned railtracks, tonight, bums on the outside,
libraries inside. It wasn't planned, at first. Each man had a book he wanted to
remember, and did. Then, over a period of twenty years or so, we met each other,
travelling, and got the loose network together and set out a plan. The most important
single thing we had to pound into ourselves was that we were not important, we
mustn't be pedants; we were not to feel superior to anyone else in the world. We're
nothing more than dust-jackets for books, of no significance otherwise. Some of us
live in small towns. Chapter One of Thoreau's Walden in Green River, Chapter Two
in Willow Farm, Maine. Why, there's one town in Maryland, only twenty-seven
people, no bomb'll ever touch that town, is the complete essays of a man named
Bertrand Russell. Pick up that town, almost, and flip the pages, so many pages to a
person. And when the war's over, some day, some year, the books can be written
again, the people will be called in, one by one, to recite what they know and we'll set
it up in type until another Dark Age, when we might have to do the whole damn thing
over again. But that's the wonderful thing about man; he never gets so discouraged
or disgusted that he gives up doing it all over again, because he knows very well it is
important and worth the doing."
"What do we do tonight?" asked Montag.
"Wait," said Granger. "And move downstream a little way, just in case."
He began throwing dust and dirt on the fire.
The other men helped, and Montag helped, and there, in the wilderness, the men all
moved their hands, putting out the fire together.
They stood by the river in the starlight.
Montag saw the luminous dial of his waterproof. Five. Five o'clock in the morning.
Another year ticked by in a single hour, and dawn waiting beyond the far bank of the
river.
"Why do you trust me?" said Montag.
A man moved in the darkness.
"The look of you's enough. You haven't seen yourself in a mirror lately. Beyond that,
the city has never cared so much about us to bother with an elaborate chase like this
to find us. A few crackpots with verses in their heads can't touch them, and they
know it and we know it; everyone knows it. So long as the vast population doesn't
wander about quoting the Magna Charta and the Constitution, it's all right. The
firemen were enough to check that, now and then. No, the cities don't bother us. And
you look like hell."
They moved along the bank of the river, going south. Montag tried to see the men's
faces, the old faces he remembered from the firelight, lined and tired. He was looking
for a brightness, a resolve, a triumph over tomorrow that hardly seemed to be there.
Perhaps he had expected their faces to burn and glitter with the knowledge they
carried, to glow as lanterns glow, with the light in them. But all the light had come
from the camp fire, and these men had seemed no different from any others who had
run a long race, searched a long search, seen good things destroyed, and now, very
late, were gathering to wait for the end of the party and the blowing out of the lamps.
They weren't at all certain that the things they carried in their heads might make
every future dawn glow with a purer light, they were sure of nothing save that the
books were on file behind their quiet eyes, the books were waiting, with their pages
uncut, for the customers who might come by in later years, some with clean and
some with dirty fingers.
Montag squinted from one face to another as they walked.
"Don't judge a book by its cover," someone said.
And they all laughed quietly, moving downstream.
There was a shriek and the jets from the city were gone overhead long before the
men looked up. Montag stared back at the city, far down the river, only a faint glow
now.
"My wife's back there."
"I'm sorry to hear that. The cities won't do well in the next few days," said Granger.
"It's strange, I don't miss her, it's strange I don't feel much of anything," said Montag.
"Even if she dies, I realized a moment ago, I don't think I'll feel sad. It isn't right.
Something must be wrong with me."
"Listen," said Granger, taking his arm, and walking with him, holding aside the
bushes to let him pass. "When I was a boy my grandfather died, and he was a
sculptor. He was also a very kind man who had a lot of love to give the world, and he
helped clean up the slum in our town; and he made toys for us and he did a million
things in his lifetime; he was always busy with his hands. And when he died, I
suddenly realized I wasn't crying for him at all, but for the things he did. I cried
because he would never do them again, he would never carve another piece of wood
or help us raise doves and pigeons in the back yard or play the violin the way he did,
or tell us jokes the way he did. He was part of us and when he died, all the actions
stopped dead and there was no one to do them just the way he did. He was
individual. He was an important man. I've never gotten over his death. Often I think,
what wonderful carvings never came to birth because he died. How many jokes are
missing from the world, and how many homing pigeons untouched by his hands. He
shaped the world. He did things to the world. The world was bankrupted of ten million
fine actions the night he passed on."
Montag walked in silence. "Millie, Millie," he whispered. "Millie."
"What?"
"My wife, my wife. Poor Millie, poor Millie. I can't remember anything. I think of her
hands but I don't see them doing anything at all. They just hang there at her sides or
they lie there on her lap or there's a cigarette in them, but that's all."
Montag turned and glanced back.
What did you give to the city, Montag?
Ashes.
What did the others give to each other?
Nothingness.
Granger stood looking back with Montag. "Everyone must leave something behind
when he dies, my grandfather said. A child or a book or a painting or a house or a
wall built or a pair of shoes made. Or a garden planted. Something your hand
touched some way so your soul has somewhere to go when you die, and when
people look at that tree or that flower you planted, you're there. It doesn't matter what
you do, he said, so long as you change something from the way it was before you
touched it into something that's like you after you take your hands away. The
difference between the man who just cuts lawns and a real gardener is in the
touching, he said. The lawn-cutter might just as well not have been there at all; the
gardener will be there a lifetime."
Granger moved his hand. "My grandfather showed me some V-2 rocket films once,
fifty years ago. Have you ever seen the atom-bomb mushroom from two hundred
miles up? It's a pinprick, it's nothing. With the wilderness all around it.
"My grandfather ran off the V-2 rocket film a dozen times and then hoped that some
day our cities would open up and let the green and the land and the wilderness in
more, to remind people that we're allotted a little space on earth and that we survive
in that wilderness that can take back what it has given, as easily as blowing its breath
on us or sending the sea to tell us we are not so big. When we forget how close the
wilderness is in the night, my grandpa said, some day it will come in and get us, for
we will have forgotten how terrible and real it can be. You see?" Granger turned to
Montag. "Grandfather's been dead for all these years, but if you lifted my skull, by
God, in the convolutions of my brain you'd find the big ridges of his thumbprint. He
touched me. As I said earlier, he was a sculptor. 'I hate a Roman named Status Quo!'
he said to me. 'Stuff your eyes with wonder,' he said, 'live as if you'd drop dead in ten
seconds. See the world. It's more fantastic than any dream made or paid for in
factories. Ask no guarantees, ask for no security, there never was such an animal.
And if there were, it would be related to the great sloth which hangs upside down in a
tree all day every day, sleeping its life away. To hell with that,' he said, 'shake the
tree and knock the great sloth down on his ass.'"
"Look!" cried Montag.
And the war began and ended in that instant.
Later, the men around Montag could not say if they had really seen anything.
Perhaps the merest flourish of light and motion in the sky. Perhaps the bombs were
there, and the jets, ten miles, five miles, one mile up, for the merest instant, like grain
thrown over the heavens by a great sowing hand, and the bombs drifting with
dreadful swiftness, yet sudden slowness, down upon the morning city they had left
behind. The bombardment was to all intents and purposes finished, once the jets had
sighted their target, alerted their bombardiers at five thousand miles an hour; as
quick as the whisper of a scythe the war was finished. Once the bomb-release was
yanked it was over. Now, a full three seconds, all of the time in history, before the
bombs struck, the enemy ships themselves were gone half around the visible world,
like bullets in which a savage islander might not believe because they were invisible;
yet the heart is suddenly shattered, the body falls in separate motions and the blood
is astonished to be freed on the air; the brain squanders its few precious memories
and, puzzled, dies.
This was not to be believed. It was merely a gesture. Montag saw the flirt of a great
metal fist over the far city and he knew the scream of the jets that would follow, would
say, after the deed, disintegrate, leave no stone on another, perish. Die.
Montag held the bombs in the sky for a single moment, with his mind and his hands
reaching helplessly up at them. "Run!" he cried to Faber. To Clarisse, "Run!" To
Mildred, "Get out, get out of there! " But Clarisse, he remembered, was dead. And
Faber was out; there in the deep valleys of the country somewhere the five a.m. bus
was on its way from one desolation to another. Though the desolation had not yet
arrived, was still in the air, it was certain as man could make it. Before the bus had
run another fifty yards on the highway, its destination would be meaningless, and its
point of departure changed from metropolis to junkyard.
And Mildred . . .
Get out, run!
He saw her in her hotel room somewhere now in the halfsecond remaining with the
bombs a yard, a foot, an inch from her building. He saw her leaning toward the great
shimmering walls of colour and motion where the family talked and talked and talked
to her, where the family prattled and chatted and said her name and smiled at her
and said nothing of the bomb that was an inch, now a half-inch, now a quarter-inch
from the top of the hotel. Leaning into the wall as if all of the hunger of looking would
find the secret of her sleepless unease there. Mildred, leaning anxiously, nervously,
as if to plunge, drop, fall into that swarming immensity of colour to drown in its bright
happiness.
The first bomb struck.
"Mildred! "
Perhaps, who would ever know? Perhaps the great broadcasting stations with their
beams of colour and light and talk and chatter went first into oblivion.
Montag, falling flat, going down, saw or felt, or imagined he saw or felt the walls go
dark in Millie's face, heard her screaming, because in the millionth part of time left,
she saw her own face reflected there, in a mirror instead of a crystal ball, and it was
such a wildly empty face, all by itself in the room, touching nothing, starved and
eating of itself, that at last she recognized it as her own and looked quickly up at the
ceiling as it and the entire structure of the hotel blasted down upon her, carrying her
with a million pounds of brick, metal, plaster, and wood, to meet other people in the
hives below, all on their quick way down to the cellar where the explosion rid itself of
them in its own unreasonable way.
I remember. Montag clung to the earth. I remember. Chicago. Chicago, a long time
ago. Millie and I. That's where we met! I remember now. Chicago. A long time ago.
The concussion knocked the air across and down the river, turned the men over like
dominoes in a line, blew the water in lifting sprays, and blew the dust and made the
trees above them mourn with a great wind passing away south. Montag crushed
himself down, squeezing himself small, eyes tight. He blinked once. And in that
instant saw the city, instead of the bombs, in the air. They had displaced each other.
For another of those impossible instants the city stood, rebuilt and unrecognizable,
taller than it had ever hoped or strived to be, taller than man had built it, erected at
last in gouts of shattered concrete and sparkles of torn metal into a mural hung like a
reversed avalanche, a million colours, a million oddities, a door where a window
should be, a top for a bottom, a side for a back, and then the city rolled over and fell
down dead.
Montag, lying there, eyes gritted shut with dust, a fine wet cement of dust in his now
shut mouth, gasping and crying, now thought again, I remember, I remember, I
remember something else. What is it? Yes, yes, part of the Ecclesiastes and
Revelation. Part of that book, part of it, quick now, quick, before it gets away, before
the shock wears off, before the wind dies. Book of Ecclesiastes. Here. He said it over
to himself silently, lying flat to the trembling earth, he said the words of it many times
and they were perfect without trying and there was no Denham's Dentifrice
anywhere, it was just the Preacher by himself, standing there in his mind, looking at
him ....
"There," said a voice.
The men lay gasping like fish laid out on the grass. They held to the earth as children
hold to familiar things, no matter how cold or dead, no matter what has happened or
will happen, their fingers were clawed into the dirt, and they were all shouting to keep
their eardrums from bursting, to keep their sanity from bursting, mouths open,
Montag shouting with them, a protest against the wind that ripped their faces and tore
at their lips, making their noses bleed.
Montag watched the great dust settle and the great silence move down upon their
world. And lying there it seemed that he saw every single grain of dust and every
blade of grass and that he heard every cry and shout and whisper going up in the
world now. Silence fell down in the sifting dust, and all the leisure they might need to
look around, to gather the reality of this day into their senses.
Montag looked at the river. We'll go on the river. He looked at the old railroad tracks.
Or we'll go that way. Or we'll walk on the highways now, and we'll have time to put
things into ourselves. And some day, after it sets in us a long time, it'll come out of
our hands and our mouths. And a lot of it will be wrong, but just enough of it will be
right. We'll just start walking today and see the world and the way the world walks
around and talks, the way it really looks. I want to see everything now. And while
none of it will be me when it goes in, after a while it'll all gather together inside and it'll
be me. Look at the world out there, my God, my God, look at it out there, outside me,
out there beyond my face and the only way to really touch it is to put it where it's
finally me, where it's in the blood, where it pumps around a thousand times ten
thousand a day. I get hold of it so it'll never run off. I'll hold on to the world tight some
day. I've got one finger on it now; that's a beginning.
The wind died.
The other men lay a while, on the dawn edge of sleep, not yet ready to rise up and
begin the day's obligations, its fires and foods, its thousand details of putting foot
after foot and hand after hand. They lay blinking their dusty eyelids. You could hear
them breathing fast, then slower, then slow ....
Montag sat up.
He did not move any further, however. The other men did likewise. The sun was
touching the black horizon with a faint red tip. The air was cold and smelled of a
coming rain.
Silently, Granger arose, felt his arms, and legs, swearing, swearing incessantly under
his breath, tears dripping from his face. He shuffled down to the river to look
upstream.
"It's flat," he said, a long time later. "City looks like a heap of baking-powder. It's
gone." And a long time after that. "I wonder how many knew it was coming? I wonder
how many were surprised?"
And across the world, thought Montag, how many other cities dead? And here in our
country, how many? A hundred, a thousand?
Someone struck a match and touched it to a piece of dry paper taken from their
pocket, and shoved this under a bit of grass and leaves, and after a while added tiny
twigs which were wet and sputtered but finally caught, and the fire grew larger in the
early morning as the sun came up and the men slowly turned from looking up river
and were drawn to the fire, awkwardly, with nothing to say, and the sun coloured the
backs of their necks as they bent down.
Granger unfolded an oilskin with some bacon in it. "We'll have a bite. Then we'll turn
around and walk upstream. They'll be needing us up that way."
Someone produced a small frying-pan and the bacon went into it and the frying-pan
was set on the fire. After a moment the bacon began to flutter and dance in the pan
and the sputter of it filled the morning air with its aroma. The men watched this ritual
silently.
Granger looked into the fire. "Phoenix."
"What?"
"There was a silly damn bird called a Phoenix back before Christ: every few hundred
years he built a pyre and burned himself up. He must have been first cousin to Man.
But every time he burnt himself up he sprang out of the ashes, he got himself born all
over again. And it looks like we're doing the same thing, over and over, but we've got
one damn thing the Phoenix never had. We know the damn silly thing we just did. We
know all the damn silly things we've done for a thousand years, and as long as we
know that and always have it around where we can see it, some day we'll stop
making the goddam funeral pyres and jumping into the middle of them. We pick up a
few more people that remember, every generation."
He took the pan off the fire and let the bacon cool and they ate it, slowly, thoughtfully.
"Now, let's get on upstream," said Granger. "And hold on to one thought: You're not
important. You're not anything. Some day the load we're carrying with us may help
someone. But even when we had the books on hand, a long time ago, we didn't use
what we got out of them. We went right on insulting the dead. We went right on
spitting in the graves of all the poor ones who died before us. We're going to meet a
lot of lonely people in the next week and the next month and the next year. And when
they ask us what we're doing, you can say, We're remembering. That's where we'll
win out in the long run. And some day we'll remember so much that we'll build the
biggest goddam steam-shovel in history and dig the biggest grave of all time and
shove war in and cover it up. Come on now, we're going to go build a mirror-factory
first and put out nothing but mirrors for the next year and take a long look in them."
They finished eating and put out the fire. The day was brightening all about them as if
a pink lamp had been given more wick. In the trees, the birds that had flown away
now came back and settled down.
Montag began walking and after a moment found that the others had fallen in behind
him, going north. He was surprised, and moved aside to let Granger pass, but
Granger looked at him and nodded him on. Montag went ahead. He looked at the
river and the sky and the rusting track going back down to where the farms lay,
where the barns stood full of hay, where a lot of people had walked by in the night on
their way from the city. Later, in a month or six months, and certainly not more than a
year, he would walk along here again, alone, and keep right on going until he caught
up with the people.
But now there was a long morning's walk until noon, and if the men were silent it was
because there was everything to think about and much to remember. Perhaps later in
the morning, when the sun was up and had warmed them, they would begin to talk,
or just say the things they remembered, to be sure they were there, to be absolutely
certain that things were safe in them. Montag felt the slow stir of words, the slow
simmer. And when it came to his turn, what could he say, what could he offer on a
day like this, to make the trip a little easier? To everything there is a season. Yes. A
time to break down, and a time to build up. Yes. A time to keep silence and a time to
speak. Yes, all that. But what else. What else? Something, something . . .
And on either side of the river was there a tree of life, which bare twelve manner of
fruits, and yielded her fruit every month; And the leaves of the tree were for the
healing of the nations.
Yes, thought Montag, that's the one I'll save for noon. For noon...
When we reach the city.
THE END
 
Des questions? Ecrivez-moi au vaaaalerie.beaulieu@gmail.com
Je répondrai à toutes vos questions! :)

 

Fahrenheit 451 - Part II

05/12/2014 09:36
PART II
THE SIEVE AND THE SAND
THEY read the long afternoon through, while the cold November rain fell from the sky
upon the quiet house. They sat in the hall because the parlour was so empty and
grey-looking without its walls lit with orange and yellow confetti and sky-rockets and
women in gold-mesh dresses and men in black velvet pulling one-hundred-pound
rabbits from silver hats. The parlour was dead and Mildred kept peering in at it with a
blank expression as Montag paced the floor and came back and squatted down and
read a page as many as ten times, aloud.
" `We cannot tell the precise moment when friendship is formed. As in filling a vessel
drop by drop, there is at last a drop which makes it run over, so in a series of
kindnesses there is at last one which makes the heart run over.'"
Montag sat listening to the rain.
"Is that what it was in the girl next door? I've tried so hard to figure."
"She's dead. Let's talk about someone alive, for goodness' sake."
Montag did not look back at his wife as he went trembling along the hall to the
kitchen, where he stood a long .time watching the rain hit the windows before he
came back down the hall in the grey light, waiting for the tremble to subside.
He opened another book.
" `That favourite subject, Myself."'
He squinted at the wall. " `The favourite subject, Myself."'
"I understand that one," said Mildred.
"But Clarisse's favourite subject wasn't herself. It was everyone else, and me. She
was the first person in a good many years I've really liked. She was the first person I
can remember who looked straight at me as if I counted." He lifted the two books.
"These men have been dead a long time, but I know their words point, one way or
another, to Clansse."
Outside the front door, in the rain, a faint scratching.
Montag froze. He saw Mildred thrust herself back to the wall and gasp.
"I shut it off."
"Someone--the door--why doesn't the door-voice tell us--"
Under the door-sill, a slow, probing sniff, an exhalation of electric steam.
Mildred laughed. "It's only a dog, that's what! You want me to shoo him away?"
"Stay where you are!"
Silence. The cold rain falling. And the smell of blue electricity blowing under the
locked door.
"Let's get back to work," said Montag quietly.
Mildred kicked at a book. "Books aren't people. You read and I look around, but there
isn't anybody!"
He stared at the parlour that was dead and grey as the waters of an ocean that might
teem with life if they switched on the electronic sun.
"Now," said Mildred, "my `family' is people. They tell me things; I laugh, they laugh!
And the colours!"
"Yes, I know."
"And besides, if Captain Beatty knew about those books--" She thought about it. Her
face grew amazed and then horrified. "He might come and bum the house and the
`family.' That's awful! Think of our investment. Why should I read? What for?"
"What for! Why!" said Montag. "I saw the damnedest snake in the world the other
night. It was dead but it was alive. It could see but it couldn't see. You want to see
that snake. It's at Emergency Hospital where they filed a report on all the junk the
snake got out of you! Would you like to go and check their file? Maybe you'd look
under Guy Montag or maybe under Fear or War. Would you like to go to that house
that burnt last night? And rake ashes for the bones of the woman who set fire to her
own house! What about Clarisse McClellan, where do we look for her? The morgue!
Listen!"
The bombers crossed the sky and crossed the sky over the house, gasping,
murmuring, whistling like an immense, invisible fan, circling in emptiness.
"Jesus God," said Montag. "Every hour so many damn things in the sky! How in hell
did those bombers get up there every single second of our lives! Why doesn't
someone want to talk about it? We've started and won two atomic wars since 1960.
Is it because we're having so much fun at home we've forgotten the world? Is it
because we're so rich and the rest of the world's so poor and we just don't care if
they are? I've heard rumours; the world is starving, but we're well-fed. Is it true, the
world works hard and we play? Is that why we're hated so much? I've heard the
rumours about hate, too, once in a long while, over the years. Do you know why? I
don't, that's sure! Maybe the books can get us half out of the cave. They just might
stop us from making the same damn insane mistakes! I don't hear those idiot
bastards in your parlour talking about it. God, Millie, don't you see? An hour a day,
two hours, with these books, and maybe..."
The telephone rang. Mildred snatched the phone.
"Ann!" She laughed. "Yes, the White Clown's on tonight!"
Montag walked to the kitchen and threw the book down. "Montag," he said, "you're
really stupid. Where do we go from here? Do we turn the books in, forget it?" He
opened the book to read over Mildred's laughter.
Poor Millie, he thought. Poor Montag, it's mud to you, too. But where do you get help,
where do you find a teacher this late?
Hold on. He shut his eyes. Yes, of course. Again he found himself thinking of the
green park a year ago. The thought had been with him many times recently, but now
he remembered how it was that day in the city park when he had seen that old man
in the black suit hide something, quickly in his coat .
... The old man leapt up as if to run. And Montag said, "Wait ! "
"I haven't done anything! " cried the old man trembling.
"No one said you did."
They had sat in the green soft light without saying a word for a moment, and then
Montag talked about the weather, and then the old man responded with a pale voice.
It was a strange quiet meeting. The old man admitted to being a retired English
professor who had been thrown out upon the world forty years ago when the last
liberal arts college shut for lack of students and patronage. His name was Faber, and
when he finally lost his fear of Montag, he talked in a cadenced voice, looking at the
sky and the trees and the green park, and when an hour had passed he said
something to Montag and Montag sensed it was a rhymeless poem. Then the old
man grew even more courageous and said something else and that was a poem, too.
Faber held his hand over his left coat-pocket and spoke these words gently, and
Montag knew if he reached out, he might pull a book of poetry from the man's coat.
But he did not reach out. His. hands stayed on his knees, numbed and useless. "I
don't talk things, sir," said Faber. "I talk the meaning of things. I sit here and know I'm
alive."
That was all there was to it, really. An hour of monologue, a poem, a comment, and
then without even acknowledging the fact that Montag was a fireman, Faber with a
certain trembling, wrote his address on a slip of paper. "For your file," he said, "in
case you decide to be angry with me."
"I'm not angry," Montag said, surprised.
Mildred shrieked with laughter in the hall.
Montag went to his bedroom closet and flipped through his file-wallet to the heading:
FUTURE INVESTIGATIONS (?). Faber's name was there. He hadn't turned it in and
he hadn't erased it.
He dialled the call on a secondary phone. The phone on the far end of the line called
Faber's name a dozen times before the professor answered in a faint voice. Montag
identified himself and was met with a lengthy silence. "Yes, Mr. Montag?"
"Professor Faber, I have a rather odd question to ask. How many copies of the Bible
are left in this country?"
"I don't know what you're talking about! "
"I want to know if there are any copies left at all."
"This is some sort of a trap! I can't talk to just anyone on the phone!"
"How many copies of Shakespeare and Plato?"
"None ! You know as well as I do. None!"
Faber hung up.
Montag put down the phone. None. A thing he knew of course from the firehouse
listings. But somehow he had wanted to hear it from Faber himself.
In the hall Mildred's face was suffused with excitement. "Well, the ladies are coming
over!"
Montag showed her a book. "This is the Old and New Testament, and-"
"Don't start that again!"
"It might be the last copy in this part of the world."
"You've got to hand it back tonight, don't you know? Captain Beatty knows you've got
it, doesn't he?"
"I don't think he knows which book I stole. But how do I choose a substitute? Do I
turn in Mr. Jefferson? Mr. Thoreau? Which is least valuable? If I pick a substitute and
Beatty does know which book I stole, he'll guess we've an entire library here!"
Mildred's mouth twitched. "See what you're doing? You'll ruin us! Who's more
important, me or that Bible?" She was beginning to shriek now, sitting there like a
wax doll melting in its own heat.
He could hear Beatty's voice. "Sit down, Montag. Watch. Delicately, like the petals of
a flower. Light the first page, light the second page. Each becomes a black butterfly.
Beautiful, eh? Light the third page from the second and so on, chainsmoking, chapter
by chapter, all the silly things the words mean, all the false promises, all the secondhand
notions and time-worn philosophies." There sat Beatty, perspiring gently, the
floor littered with swarms of black moths that had died in a single storm
Mildred stopped screaming as quickly as she started. Montag was not listening.
"There's only one thing to do," he said. "Some time before tonight when I give the
book to Beatty, I've got to have a duplicate made."
"You'll be here for the White Clown tonight, and the ladies coming over?" cried
Mildred.
Montag stopped at the door, with his back turned. "Millie?"
A silence "What?"
"Millie? Does the White Clown love you?"
No answer.
"Millie, does--" He licked his lips. "Does your `family' love you, love you very much,
love you with all their heart
and soul, Millie?"
He felt her blinking slowly at the back of his neck.
"Why'd you ask a silly question like that?"
He felt he wanted to cry, but nothing would happen to his eyes or his mouth.
"If you see that dog outside," said Mildred, "give him a kick for me."
He hesitated, listening at the door. He opened it and stepped out.
The rain had stopped and the sun was setting in the clear sky. The street and the
lawn and the porch were empty. He let his breath go in a great sigh.
He slammed the door.
He was on the subway.
I'm numb, he thought. When did the numbness really begin in my face? In my body?
The night I kicked the pill-bottle in the dark, like kicking a buried mine.
The numbness will go away, he thought. It'll take time, but I'll do it, or Faber will do it
for me. Someone somewhere will give me back the old face and the old hands the
way they were. Even the smile, he thought, the old burnt-in smile, that's gone. I'm lost
without it.
The subway fled past him, cream-tile, jet-black, cream-tile, jet-black, numerals and
darkness, more darkness and the total adding itself.
Once as a child he had sat upon a yellow dune by the sea in the middle of the blue
and hot summer day, trying to fill a sieve with sand, because some cruel cousin had
said, "Fill this sieve and you'll get a dime!" `And the faster he poured, the faster it
sifted through with a hot whispering. His hands were tired, the sand was boiling, the
sieve was empty. Seated there in the midst of July, without a sound, he felt the tears
move down his cheeks.
Now as the vacuum-underground rushed him through the dead cellars of town, jolting
him, he remembered the terrible logic of that sieve, and he looked down and saw that
he was carrying the Bible open. There were people in the suction train but he held
the book in his hands and the silly thought came to him, if you read fast and read all,
maybe some of the sand will stay in the sieve. But he read and the words fell
through, and he thought, in a few hours, there will be Beatty, and here will be me
handing this over, so no phrase must escape me, each line must be memorized. I will
myself to do it.
He clenched the book in his fists.
Trumpets blared.
"Denham's Dentrifice."
Shut up, thought Montag. Consider the lilies of the field.
"Denham's Dentifrice."
They toil not-
"Denham's--"
Consider the lilies of the field, shut up, shut up.
"Dentifrice ! "
He tore the book open and flicked the pages and felt them as if he were blind, he
picked at the shape of the individual letters, not blinking.
"Denham's. Spelled : D-E.N "
They toil not, neither do they . . .
A fierce whisper of hot sand through empty sieve.
"Denham's does it!"
Consider the lilies, the lilies, the lilies...
"Denham's dental detergent."
"Shut up, shut up, shut up!" It was a plea, a cry so terrible that Montag found himself
on his feet, the shocked inhabitants of the loud car staring, moving back from this
man with the insane, gorged face, the gibbering, dry mouth, the flapping book in his
fist. The people who had been sitting a moment before, tapping their feet to the
rhythm of Denham's Dentifrice, Denham's Dandy Dental Detergent, Denham's
Dentifrice Dentifrice Dentifrice, one two, one two three, one two, one two three. The
people whose mouths had been faintly twitching the words Dentifrice Dentifrice
Dentifrice. The train radio vomited upon Montag, in retaliation, a great ton-load of
music made of tin, copper, silver, chromium, and brass. The people wcre pounded
into submission; they did not run, there was no place to run; the great air-train fell
down its shaft in the earth.
"Lilies of the field." "Denham's."
"Lilies, I said!"
The people stared.
"Call the guard."
"The man's off--"
"Knoll View!"
The train hissed to its stop.
"Knoll View!" A cry.
"Denham's." A whisper.
Montag's mouth barely moved. "Lilies..."
The train door whistled open. Montag stood. The door gasped, started shut. Only
then .did he leap past the other passengers, screaming in his mind, plunge through
the slicing door only in time. He ran on the white tiles up through the tunnels, ignoring
the escalators, because he wanted to feel his feet-move, arms swing, lungs clench,
unclench, feel his throat go raw with air. A voice drifted after him, "Denham's
Denham's Denham's," the train hissed like a snake. The train vanished in its hole.
"Who is it?"
"Montag out here."
"What do you want?"
"Let me in."
"I haven't done anything l"
"I'm alone, dammit ! "
"You swear it?"
"I swear!"
The front door opened slowly. Faber peered out, looking very old in the light and very
fragile and very much afraid. The old man looked as if he had not been out of the
house in years. He and the white plaster walls inside were much the same. There
was white in the flesh of his mouth and his cheeks and his hair was white and his
eyes had faded, with white in the vague blueness there. Then his eyes touched on
the book under Montag's arm and he did not look so old any more and not quite as
fragile. Slowly his fear went.
"I'm sorry. One has to be careful."
He looked at the book under Montag's arm and could not stop. "So it's true."
Montag stepped inside. The door shut.
"Sit down." Faber backed up, as if he feared the book might vanish if he took his
eyes from it. Behind him, the door to a bedroom stood open, and in that room a litter
of machinery and steel tools was strewn upon a desk-top. Montag had only a
glimpse, before Faber, seeing Montag's attention diverted, turned quickly and shut
the bedroom door and stood holding the knob with a trembling hand. His gaze
returned unsteadily to Montag, who was now seated with the book in his lap. "The
book-where did you-?"
"I stole it."
Faber, for the first time, raised his eyes and looked directly into Montag's face.
"You're brave."
"No," said Montag. "My wife's dying. A friend of mine's already dead. Someone who
may have been a friend was burnt less than twenty-four hours ago. You're the only
one I knew might help me. To see. To see. ."
Faber's hands itched on his knees. "May I?"
"Sorry." Montag gave him the book.
"It's been a long time. I'm not a religious man. But it's been a long time." Faber turned
the pages, stopping here and there to read. "It's as good as I remember. Lord, how
they've changed it- in our `parlours' these days. Christ is one of the `family' now. I
often wonder it God recognizes His own son the way we've dressed him up, or is it
dressed him down? He's a regular peppermint stick now, all sugar-crystal and
saccharine when he isn't making veiled references to certain commercial products
that every worshipper absolutely needs." Faber sniffed the book. "Do you know that
books smell like nutmeg or some spice from a foreign land? I loved to smell them
when I was a boy. Lord, there were a lot of lovely books once, before we let them
go." Faber turned the pages. "Mr. Montag, you are looking at a coward. I saw the
way things were going, a long time back. I said nothing. I'm one of the innocents who
could have spoken up and out when no one would listen to the `guilty,' but I did not
speak and thus became guilty myself. And when finally they set the structure to burn
the books, using the, firemen, I grunted a few times and subsided, for there were no
others grunting or yelling with me, by then. Now, it's too late." Faber closed the Bible.
"Well--suppose you tell me why you came here?"
"Nobody listens any more. I can't talk to the walls because they're yelling at me. I
can't talk to my wife; she listens to the walls. I just want someone to hear what I have
to say. And maybe if I talk long enough, it'll make sense. And I want you to teach me
to understand what I read."
Faber examined Montag's thin, blue-jowled face. "How did you get shaken up? What
knocked the torch out of your hands?"
"I don't know. We have everything we need to be happy, but we aren't happy.
Something's missing. I looked around. The only thing I positively knew was gone was
the books I'd burned in ten or twelve years. So I thought books might help."
"You're a hopeless romantic," said Faber. "It would be funny if it were not serious. It's
not books you need, it's some of the things that once were in books. The same things
could be in the `parlour families' today. The same infinite detail and awareness could
be projected through the radios and televisors, but are not. No, no, it's not books at
all you're looking for! Take it where you can find it, in old phonograph records, old
motion pictures, and in old friends; look for it in nature and look for it in yourself.
Books were only one type of receptacle where we stored a lot of things we were
afraid we might forget. There is nothing magical in them at all. The magic is only in
what books say, how they stitched the patches of the universe together into one
garment for us. Of course you couldn't know this, of course you still can't understand
what I mean when I say all this. You are intuitively right, that's what counts. Three
things are missing.
"Number one: Do you know why books such as this are so important? Because they
have quality. And what does the word quality mean? To me it means texture. This
book has pores. It has features. This book can go under the microscope. You'd find
life under the glass, streaming past in infinite profusion. The more pores, the more
truthfully recorded details of life per square inch you can get on a sheet of paper, the
more `literary' you are. That's my definition, anyway. Telling detail. Fresh detail. The
good writers touch life often. The mediocre ones run a quick hand over her. The bad
ones rape her and leave her for the flies.
"So now do you see why books are hated and feared? They show the pores in the
face of life. The comfortable people want only wax moon faces, poreless, hairless,
expressionless. We are living in a time when flowers are trying to live on flowers,
instead of growing on good rain and black loam. Even fireworks, for all their
prettiness, come from the chemistry of the earth. Yet somehow we think we can
grow, feeding on flowers and fireworks, without completing the cycle back to reality.
Do you know the legend of Hercules and Antaeus, the giant wrestler, whose strength
was incredible so long as he stood firmly on the earth. But when he was held,
rootless, in mid-air, by Hercules, he perished easily. If there isn't something in that
legend for us today, in this city, in our time, then I am completely insane. Well, there
we have the first thing I said we needed. Quality, texture of information."
"And the second?"
"Leisure."
"Oh, but we've plenty of off-hours."
"Off-hours, yes. But time to think? If you're not driving a hundred miles an hour, at a
clip where you can't think of anything else but the danger, then you're playing some
game or sitting in some room where you can't argue with the fourwall televisor. Why?
The televisor is 'real.' It is immediate, it has dimension. It tells you what to think and
blasts it in. It must be, right. It seems so right. It rushes you on so quickly to its own
conclusions your mind hasn't time to protest, 'What nonsense!'"
"Only the 'family' is 'people.'"
"I beg your pardon?"
"My wife says books aren't 'real.'"
"Thank God for that. You can shut them, say, 'Hold on a moment.' You play God to it.
But who has ever torn himself from the claw that encloses you when you drop a seed
in a TV parlour? It grows you any shape it wishes! It is an environment as real as the
world. It becomes and is the truth. Books can be beaten down with reason. But with
all my knowledge and scepticism, I have never been able to argue with a onehundred-
piece symphony orchestra, full colour, three dimensions, and I being in and
part of those incredible parlours. As you see, my parlour is nothing but four plaster
walls. And here " He held out two small rubber plugs. "For my ears when I ride the
subway-jets."
"Denham's Dentifrice; they toil not, neither do they spin," said Montag, eyes shut.
"Where do we go from here? Would books help us?"
"Only if the third necessary thing could be given us. Number one, as I said, quality of
information. Number two: leisure to digest it. And number three: the right to carry out
actions based on what we learn from the inter-action of the first two. And I hardly
think a very old man and a fireman turned sour could do much this late in the
game..."
"I can get books."
"You're running a risk."
"That's the good part of dying; when you've nothing to lose, you run any risk you
want."
"There, you've said an interesting thing," laughed Faber, "without having read it!"
"Are things like that in books. But it came off the top of my mind!"
"All the better. You didn't fancy it up for me or anyone, even yourself."
Montag leaned forward. "This afternoon I thought that if it turned out that books were
worth while, we might get a press and print some extra copies--"
" We?"
"You and I"
"Oh, no ! " Faber sat up.
"But let me tell you my plan---"
"If you insist on telling me, I must ask you to leave."
"But aren't you interested?"
"Not if you start talking the sort of talk that might get me burnt for my trouble. The
only way I could possibly listen to you would be if somehow the fireman structure
itself could be burnt. Now if you suggest that we print extra books and arrange to
have them hidden in firemen's houses all over the country, so that seeds of suspicion
would be sown among these arsonists, bravo, I'd say!"
"Plant the books, turn in an alarm, and see the firemen's houses bum, is that what
you mean?"
Faber raised his brows and looked at Montag as if he were seeing a new man. "I was
joking."
"If you thought it would be a plan worth trying, I'd have to take your word it would
help."
"You can't guarantee things like that! After all, when we had all the books we needed,
we still insisted on finding the highest cliff to jump off. But we do need a breather. We
do need knowledge. And perhaps in a thousand years we might pick smaller cliffs to
jump off. The books are to remind us what asses and fools we are. They're Caesar's
praetorian guard, whispering as the parade roars down the avenue, `Remember,
Caesar, thou art mortal.' Most of us can't rush around, talking to everyone, know all
the cities of the world, we haven't time, money or that many friends. The things you're
looking for, Montag, are in the world, but the only way the average chap will ever see
ninety-nine per cent of them is in a book. Don't ask for guarantees. And don't look to
be saved in any one thing, person, machine, or library. Do your own bit of saving,
and if you drown, at least die knowing you were headed for shore."
Faber got up and began to pace the room.
"Well?" asked Montag.
"You're absolutely serious?"
"Absolutely."
"It's an insidious plan, if I do say so myself." Faber glanced nervously at his bedroom
door. "To see the firehouses burn across the land, destroyed as hotbeds of treason.
The salamander devours his tail! Ho, God! "
"I've a list of firemen's residences everywhere. With some sort of underground "
"Can't trust people, that's the dirty part. You and I and who else will set the fires?"
"Aren't there professors like yourself, former writers, historians, linguists . . .?"
"Dead or ancient."
"The older the better; they'll go unnoticed. You know dozens, admit it ! "
"Oh, there are many actors alone who haven't acted Pirandello or Shaw or
Shakespeare for years because their plays are too aware of the world. We could use
their anger. And we could use the honest rage of those historians who haven't written
a line for forty years. True, we might form classes in thinking and reading."
"Yes! "
"But that would just nibble the edges. The whole culture's shot through. The skeleton
needs melting and re-shaping. Good God, it isn't as simple as just picking up a book
you laid down half a century ago. Remember, the firemen are rarely necessary. The
public itself stopped reading of its own accord. You firemen provide a circus now and
then at which buildings are set off and crowds gather for the pretty blaze, but it's a
small sideshow indeed, and hardly necessary to keep things in line. So few want to
be rebels any more. And out of those few, most, like myself, scare easily. Can you
dance faster than the White Clown, shout louder than `Mr. Gimmick' and the parlour
`families'? If you can, you'll win your way, Montag. In any event, you're a fool. People
are having fun"
"Committing suicide! Murdering!"
A bomber flight had been moving east all the time they talked, and only now did the
two men stop and listen, feeling the great jet sound tremble inside themselves.
"Patience, Montag. Let the war turn off the `families.' Our civilization is flinging itself
to pieces. Stand back from the centrifuge."
"There has to be someone ready when it blows up."
"What? Men quoting Milton? Saying, I remember Sophocles? Reminding the
survivors that man has his good side, too? They will only gather up their stones to
hurl at each other. Montag, go home. Go to bed. Why waste your final hours racing
about your cage denying you're a squirrel?"
"Then you don't care any more?"
"I care so much I'm sick."
"And you won't help me?"
"Good night, good night."
Montag's hands picked up the Bible. He saw what his hands had done and he looked
surprised.
"Would you like to own this?"
Faber said, "I'd give my right arm."
Montag stood there and waited for the next thing to happen. His hands, by
themselves, like two men working together, began to rip the pages from the book.
The hands tore the flyleaf and then the first and then the second page.
"Idiot, what're you doing!" Faber sprang up, as if he had been struck. He fell, against
Montag. Montag warded him off and let his hands continue. Six more pages fell to
the floor. He picked them up and wadded the paper under Faber's gaze.
"Don't, oh, don't ! " said the old man.
"Who can stop me? I'm a fireman. I can bum you!"
The old man stood looking at him. "You wouldn't."
"I could ! "
"The book. Don't tear it any more." Faber sank into a chair, his face very white, his
mouth trembling. "Don't make me feel any more tired. What do you want?"
"I need you to teach me."
"All right, all right."
Montag put the book down. He began to unwad the crumpled paper and flatten it out
as the old man watched tiredly.
Faber shook his head as if he were waking up.
"Montag, have you some money?"
"Some. Four, five hundred dollars. Why?"
"Bring it. I know a man who printed our college paper half a century ago. That was
the year I came to class at the start of the new semester and found only one student
to sign up for Drama from Aeschylus to O'Neill. You see? How like a beautiful statue
of ice it was, melting in the sun. I remember the newspapers dying like huge moths.
No one wanted them back. No one missed them. And the Government, seeing how
advantageous it was to have people reading only about passionate lips and the fist in
the stomach, circled the situation with your fire-eaters. So, Montag, there's this
unemployed printer. We might start a few books, and wait on the war to break the
pattern and give us the push we need. A few bombs and the `families' in the walls of
all the houses, like harlequin rats, will shut up! In silence, our stage-whisper might
carry."
They both stood looking at the book on the table.
"I've tried to remember," said Montag. "But, hell, it's gone when I turn my head. God,
how I want something to say to the Captain. He's read enough so he has all the
answers, or seems to have. His voice is like butter. I'm afraid he'll talk me back the
way I was. Only a week ago, pumping a kerosene hose, I thought: God, what fun!"
The old man nodded. "Those who don't build must burn. It's as old as history and
juvenile delinquents."
"So that's what I am."
"There's some of it in all of us."
Montag moved towards the front door. "Can you help me in any way tonight, with the
Fire Captain? I need an umbrella to keep off the rain. I'm so damned afraid I'll drown
if he gets me again."
The old man said nothing, but glanced once more nervously, at his bedroom. Montag
caught the glance. "Well?"
The old man took a deep breath, held it, and let it out. He took another, eyes closed,
his mouth tight, and at last exhaled. "Montag..."
The old man turned at last and said, "Come along. I would actually have let you walk
right out of my house. I am a cowardly old fool."
Faber opened the bedroom door and led Montag into a small chamber where stood a
table upon which a number of metal tools lay among a welter of microscopic wirehairs,
tiny coils, bobbins, and crystals.
"What's this?" asked Montag.
"Proof of my terrible cowardice. I've lived alone so many years, throwing images on
walls with my imagination. Fiddling with electronics, radio-transmission, has been my
hobby. My cowardice is of such a passion, complementing the revolutionary spirit
that lives in its shadow, I was forced to design this."
He picked up a small green-metal object no larger than a .22 bullet.
"I paid for all this-how? Playing the stock-market, of course, the last refuge in the
world for the dangerous intellectual out of a job. Well, I played the market and built all
this and I've waited. I've waited, trembling, half a lifetime for someone to speak to
me. I dared speak to no one. That day in the park when we sat together, I knew that
some day you might drop by, with fire or friendship, it was hard to guess. I've had this
little item ready for months. But I almost let you go, I'm that afraid!"
"It looks like a Seashell radio."
"And something more! It listens! If you put it in your ear, Montag, I can sit comfortably
home, warming my frightened bones, and hear and analyse the firemen's world, find
its weaknesses, without danger. I'm the Queen Bee, safe in the hive. You will be the
drone, the travelling ear. Eventually, I could put out ears into all parts of the city, with
various men, listening and evaluating. If the drones die, I'm still safe at home, tending
my fright with a maximum of comfort and a minimum of chance. See how safe I play
it, how contemptible I am?"
Montag placed the green bullet in his ear. The old man inserted a similar object in his
own ear and moved his lips.
"Montag! "
The voice was in Montag's head.
"I hear you! "
The old man laughed. "You're coming over fine, too!" Faber whispered, but the voice
in Montag's head was clear. "Go to the firehouse when it's time. I'll be with you. Let's
listen to this Captain Beatty together. He could be one of us. God knows. I'll give you
things to say. We'll give him a good show. Do you hate me for this electronic
cowardice of mine? Here I am sending you out into the night, while I stay behind the
lines with my damned ears listening for you to get your head chopped off."
"We all do what we do," said Montag. He put the Bible in the old man's hands. "Here.
I'll chance turning in a substitute. Tomorrow--"
"I'll see the unemployed printer, yes; that much I can do."
"Good night, Professor."
"Not good night. I'll be with you the rest of the night, a vinegar gnat tickling your ear
when you need me. But good night and good luck, anyway."
The door opened and shut. Montag was in the dark street again, looking at the world.
You could feel the war getting ready in the sky that night. The way the clouds moved
aside and came back, and the way the stars looked, a million of them swimming
between the clouds, like the enemy discs, and the feeling that the sky might fall upon
the city and turn it to chalk dust, and the moon go up in red fire; that was how the
night felt.
Montag walked from the subway with the money in his pocket (he had visited the
bank which was open all night and every night with robot tellers in attendance) and
as he walked he was listening to the Seashell radio in one car... "We have mobilized
a million men. Quick victory is ours if the war comes .. .." Music flooded over the
voice quickly and it was gone.
"Ten million men mobilized," Faber's voice whispered in his other ear. "But say one
million. It's happier."
"Faber?"
"Yes?"
"I'm not thinking. I'm just doing like I'm told, like always. You said get the money and I
got it. I didn't really think of it myself. When do I start working things out on my own?"
"You've started already, by saying what you just said. You'll have to take me on
faith."
"I took the others on faith ! "
"Yes, and look where we're headed. You'll have to travel blind for a while. Here's my
arm to hold on to."
"I don't want to change sides and just be told what to do. There's no reason to
change if I do that."
"You're wise already!"
Montag felt his feet moving him on the sidewalk.toward his house. "Keep talking."
"Would you like me to read? I'll read so you can remember. I go to bed only five
hours a night. Nothing to do. So if you like; I'll read you to sleep nights. They say you
retain knowledge even when you're sleeping, if someone whispers it in your ear."
"Yes."
"Here." Far away across town in the night, the faintest whisper of a turned page. "The
Book of Job."
The moon rose in the sky as Montag walked, his lips moving just a trifle.
He was eating a light supper at nine in the evening when the front door cried out in
the hall and Mildred ran from the parlour like a native fleeing an eruption of Vesuvius.
Mrs. Phelps and Mrs. Bowles came through the front door and vanished into the
volcano's mouth with martinis in their hands: Montag stopped eating. They were like
a monstrous crystal chandelier tinkling in a thousand chimes, he saw their Cheshire
Cat smiles burning through the walls of the house, and now they were screaming at
each other above the din. Montag found himself at the parlour door with his food still
in his mouth.
"Doesn't everyone look nice!"
"Nice."
"You look fine, Millie! "
"Fine."
"Everyone looks swell."
"Swell!
"Montag stood watching them.
"Patience," whispered Faber.
"I shouldn't be here," whispered Montag, almost to himself. "I should be on my way
back to you with the money!" "Tomorrow's time enough. Careful!"
"Isn't this show wonderful?" cried Mildred. "Wonderful!"
On one wall a woman smiled and drank orange juice simultaneously. How does she
do both at once, thought Montag, insanely. In the other walls an X-ray of the same
woman revealed the contracting journey of the refreshing beverage on its way to her
delightful stomach! Abruptly the room took off on a rocket flight into the clouds, it
plunged into a lime-green sea where blue fish ate red and yellow fish. A minute later,
Three White Cartoon Clowns chopped off each other's limbs to the accompaniment
of immense incoming tides of laughter. Two minutes more and the room whipped out
of town to the jet cars wildly circling an arena, bashing and backing up and bashing
each other again. Montag saw a number of bodies fly in the air.
"Millie, did you see that?"
"I saw it, I saw it! "
Montag reached inside the parlour wall and pulled the main switch. The images
drained away, as if the water had been let out from a gigantic crystal bowl of
hysterical fish.
The three women turned slowly and looked with unconcealed irritation and then
dislike at Montag.
"When do you suppose the war will start?" he said. "I notice your husbands aren't
here tonight?"
"Oh, they come and go, come and go," said Mrs. Phelps. "In again out again
Finnegan, the Army called Pete yesterday. He'll be back next week. The Army said
so. Quick war. Forty-eight hours they said, and everyone home. That's what the
Army said. Quick war. Pete was called yesterday and they said he'd be, back next
week. Quick..."
The three women fidgeted and looked nervously at the empty mud-coloured walls.
"I'm not worried," said Mrs. Phelps. "I'll let Pete do all the worrying." She giggled. "I'll
let old Pete do all the worrying. Not me. I'm not worried."
"Yes," said Millie. "Let old Pete do the worrying."
"It's always someone else's husband dies, they say."
"I've heard that, too. I've never known any dead man killed in a war. Killed jumping off
buildings, yes, like Gloria's husband last week, but from wars? No."
"Not from wars," said Mrs. Phelps. "Anyway, Pete and I always said, no tears,
nothing like that. It's our third marriage each and we're independent. Be independent,
we always said. He said, if I get killed off, you just go right ahead and don't cry, but
get married again, and don't think of me."
"That reminds me," said Mildred. "Did you see that Clara Dove five-minute romance
last night in your wall? Well, it was all about this woman who--"
Montag said nothing but stood looking at the women's faces as he had once looked
at the faces of saints in a strange church he had entered when he was a child. The
faces of those enamelled creatures meant nothing to him, though he talked to them
and stood in that church for a long time, trying to be of that religion, trying to know
what that religion was, trying to get enough of the raw incense and special dust of the
place into his lungs and thus into his blood to feel touched and concerned by the
meaning of the colourful men and women with the porcelain eyes and the blood-ruby
lips. But there was nothing, nothing; it was a stroll through another store, and his
currency strange and unusable there, and his passion cold, even when he touched
the wood and plaster and clay. So it was now, in his own parlour, with these women
twisting in their chairs under his gaze, lighting cigarettes, blowing smoke, touching
their sun-fired hair and examining their blazing fingernails as if they had caught fire
from his look. Their faces grew haunted with silence. They leaned forward at the
sound of Montag's swallowing his final bite of food. They listened to his feverish
breathing. The three empty walls of the room were like the pale brows of sleeping
giants now, empty of dreams. Montag felt that if you touched these three staring
brows you would feel a fine salt sweat on your finger-tips. The perspiration gathered
with the silence and the sub-audible trembling around and about and in the women
who were burning with tension. Any moment they might hiss a long sputtering hiss
and explode.
Montag moved his lips.
"Let's talk."
The women jerked and stared.
"How're your children, Mrs. Phelps?" he asked.
"You know I haven't any! No one in his right mind, the Good Lord knows; would have
children!" said Mrs. Phelps, not quite sure why she was angry with this man.
"I wouldn't say that," said Mrs. Bowles. "I've had two children by Caesarian section.
No use going through all that agony for a baby. The world must reproduce, you know,
the race must go on. Besides, they sometimes look just like you, and that's nice. Two
Caesarians tamed the trick, yes, sir. Oh, my doctor said, Caesarians aren't
necessary; you've got the, hips for it, everything's normal, but I insisted."
"Caesarians or not, children are ruinous; you're out of your mind," said Mrs. Phelps.
"I plunk the children in school nine days out of ten. I put up with them when they
come home three days a month; it's not bad at all. You heave them into the 'parlour'
and turn the switch. It's like washing clothes; stuff laundry in and slam the lid." Mrs.
Bowles tittered. "They'd just as soon kick as kiss me. Thank God, I can kick back! "
The women showed their tongues, laughing.
Mildred sat a moment and then, seeing that Montag was still in the doorway, clapped
her hands. "Let's talk politics, to please Guy!"
"Sounds fine," said Mrs. Bowles. "I voted last election, same as everyone, and I laid it
on the line for President Noble. I think he's one of the nicest-looking men who ever
became president."
"Oh, but the man they ran against him!"
"He wasn't much, was he? Kind of small and homely and he didn't shave too close or
comb his hair very well."
"What possessed the 'Outs' to run him? You just don't go running a little short man
like that against a tall man. Besides -he mumbled. Half the time I couldn't hear a
word he said. And the words I did hear I didn't understand!"
"Fat, too, and didn't dress to hide it. No wonder the landslide was for Winston Noble.
Even their names helped. Compare Winston Noble to Hubert Hoag for ten seconds
and you can almost figure the results."
"Damn it!" cried Montag. "What do you know about Hoag and Noble?"
"Why, they were right in that parlour wall, not six months ago. One was always
picking his nose; it drove me wild."
"Well, Mr. Montag," said Mrs. Phelps, "do you want us to vote for a man like that?"
Mildred beamed. "You just run away from the door, Guy, and don't make us
nervous."
But Montag was gone and back in a moment with a book in his hand.
"Guy!"
"Damn it all, damn it all, damn it!"
"What've you got there; isn't that a book? I thought that all special training these days
was done by film." Mrs. Phelps blinked. "You reading up on fireman theory?"
"Theory, hell," said Montag. "It's poetry."
"Montag." A whisper.
"Leave me alone! " Montag felt himself turning in a great circling roar and buzz and
hum.
"Montag, hold on, don't..."
"Did you hear them, did you hear these monsters talking about monsters? Oh God,
the way they jabber about people and their own children and themselves and the way
they talk about their husbands and the way they talk about war, dammit, I stand here
and I can't believe it!"
"I didn't say a single word about any war, I'll have you know," said Mrs, Phelps.
"As for poetry, I hate it," said Mrs. Bowles.
"Have you ever read any?"
"Montag," Faber's voice scraped away at him. "You'll ruin everything. Shut up, you
fool!"
"All three women were on their feet.
"Sit down!"
They sat.
"I'm going home," quavered Mrs. Bowles.
"Montag, Montag, please, in the name of God, what are you up to?" pleaded Faber.
"Why don't you just read us one of those poems from your little book," Mrs. Phelps
nodded. "I think that'd he very interesting."
"That's not right," wailed Mrs. Bowles. "We can't do that!"
"Well, look at Mr. Montag, he wants to, I know he does. And if we listen nice, Mr.
Montag will be happy and then maybe we can go on and do something else." She
glanced nervously at the long emptiness of the walls enclosing them.
"Montag, go through with this and I'll cut off, I'll leave." The beetle jabbed his ear.
"What good is this, what'll you prove?"
"Scare hell out of them, that's what, scare the living daylights out!"
Mildred looked at the empty air. "Now Guy, just who are you talking to?"
A silver needle pierced his brain. "Montag, listen, only one way out, play it as a joke,
cover up, pretend you aren't mad at all. Then-walk to your wall-incinerator, and throw
the book in!"
Mildred had already anticipated this in a quavery voice. "Ladies, once a year, every
fireman's allowed to bring one book home, from the old days, to show his family how
silly it all was, how nervous that sort of thing can make you, how crazy. Guy's
surprise tonight is to read you one sample to show how mixed-up things were, so
none of us will ever have to bother our little old heads about that junk again, isn't that
right, darling?"
He crushed the book in his fists. "Say `yes.'"
His mouth moved like Faber's.
"Yes."
Mildred snatched the book with a laugh. "Here! Read this one. No, I take it back.
Here's that real funny one you read out loud today. Ladies, you won't understand a
word. It goes umpty-tumpty-ump. Go ahead, Guy, that page, dear."
He looked at the opened page.
A fly stirred its wings softly in his ear. "Read."
"What's the title, dear?"
"Dover Beach." His mouth was numb.
"Now read in a nice clear voice and go slow."
The room was blazing hot, he was all fire, he was all coldness; they sat in the middle
of an empty desert with three chairs and him standing, swaying, and him waiting for
Mrs. Phelps to stop straightening her dress hem and Mrs. Bowles to take her fingers
away from her hair. Then he began to read in a low, stumbling voice that grew firmer
as he progressed from line to line, and his voice went out across the desert, into the
whiteness, and around the three sitting women there in the great hot emptiness:
"`The Sea of Faith
Was once, too, at the full, and round earth's shore
Lay like the folds of a bright girdle furled.
But now I only hear
Its melancholy, long, withdrawing roar,
Retreating, to the breath
Of the night-wind, down the vast edges drear
And naked shingles of the world."'
The chairs creaked under the three women. Montag finished it out:
"'Ah, love, let us be true
To one another! for the world, which seems
To lie before us like a land of dreams,
So various, so beautiful, so new,
Hath really neither joy, nor love, nor light,
Nor certitude, nor peace, nor help for pain;
And we are here as on a darkling plain
Swept with confused alarms of struggle and flight,
Where ignorant armies clash by night.'"
Mrs. Phelps was crying.
The others in the middle of the desert watched her crying grow very loud as her face
squeezed itself out of shape. They sat, not touching her, bewildered by her display.
She sobbed uncontrollably. Montag himself was stunned and shaken.
"Sh, sh," said Mildred. "You're all right, Clara, now, Clara, snap out of it! Clara, what's
wrong?"
"I-I,", sobbed Mrs. Phelps, "don't know, don't know, I just don't know, oh oh..."
Mrs. Bowles stood up and glared at Montag. "You see? I knew it, that's what I wanted
to prove! I knew it would happen! I've always said, poetry and tears, poetry and
suicide and crying and awful feelings, poetry and sickness; all that mush! Now I've
had it proved to me. You're nasty, Mr. Montag, you're nasty! "
Faber said, "Now..."
Montag felt himself turn and walk to the wall-slot and drop the book in through the
brass notch to the waiting flames.
"Silly words, silly words, silly awful hurting words," said Mrs. Bowles. "Why do people
want to hurt people? Not enough hurt in the world, you've got to tease people with
stuff like that ! "
"Clara, now, Clara," begged Mildred, pulling her arm. "Come on, let's be cheery, you
turn the `family' on, now. Go ahead. Let's laugh and be happy, now, stop crying, we'll
have a party!"
"No," said Mrs. Bowles. "I'm trotting right straight home. You want to visit my house
and `family,' well and good. But I won't come in this fireman's crazy house again in
my lifetime! "
"Go home." Montag fixed his eyes upon her, quietly. "Go home and think of your first
husband divorced and your second husband killed in a jet and your third husband
blowing his brains out, go home and think of the dozen abortions you've had, go
home and think of that and your damn Caesarian sections, too, and your children
who hate your guts! Go home and think how it all happened and what did you ever
do to stop it? Go home, go home!" he yelled. "Before I knock you down and kick you
out of the door!"
Doors slammed and the house was empty. Montag stood alone in the winter
weather, with the parlour walls the colour of dirty snow.
In the bathroom, water ran. He heard Mildred shake the sleeping tablets into her
hand.
"Fool, Montag, fool, fool, oh God you silly fool..."
"Shut up!" He pulled the green bullet from his ear and jammed it into his pocket.
It sizzled faintly. ". . . fool . . . fool . . ."
He searched the house and found the books where Mildred had stacked them behind
the refrigerator. Some were missing and he knew that she had started on her own
slow process of dispersing the dynamite in her house, stick by stick. But he was not
angry now, only exhausted and bewildered with himself. He carried the books into
the backyard and hid them in the bushes near the alley fence. For tonight only, he
thought, in case she decides to do any more burning.
He went back through the house. "Mildred?" He called at the door of the darkened
bedroom. There was no sound.
Outside, crossing the lawn, on his way to work, he tried not to see how completely
dark and deserted Clarisse McClellan's house was ....
On the way downtown he was so completely alone with his terrible error that he felt
the necessity for the strange warmness and goodness that came from a familiar and
gentle voice speaking in the night. Already, in a few short hours, it seemed that he
had known Faber a lifetime. Now he knew that he was two people, that he was above
all Montag, who knew nothing, who did not even know himself a fool, but only
suspected it. And he knew that he was also the old man who talked to him and talked
to him as the train was sucked from one end of the night city to the other on one long
sickening gasp of motion. In the days to follow, and in the nights when there was no
moon and in the nights when there was a very bright moon shining on the earth, the
old man would go on with this talking and this talking, drop by drop, stone by stone,
flake by flake. His mind would well over at last and he would not be Montag any
more, this the old man told him, assured him, promised him. He would be Montagplus-
Faber, fire plus water, and then, one day, after everything had mixed and
simmered and worked away in silence, there would be neither fire nor water, but
wine. Out of two separate and opposite things, a third. And one day he would look
back upon the fool and know the fool. Even now he could feel the start of the long
journey, the leave-taking, the going away from the self he had been.
It was good listening to the beetle hum, the sleepy mosquito buzz and delicate
filigree murmur of the old man's voice at first scolding him and then consoling him in
the late hour of night as he emerged from the steaming subway toward the firehouse
world.
"Pity, Montag, pity. Don't haggle and nag them; you were so recently one o f them
yourself. They are so confident that they will run on for ever. But they won't run on.
They don't know that this is all one huge big blazing meteor that makes a pretty fire in
space, but that some day it'll have to hit. They see only the blaze, the pretty fire, as
you saw it.
"Montag, old men who stay at home, afraid, tending their peanut-brittle bones, have
no right to criticize. Yet you almost killed things at the start. Watch it! I'm with you,
remember that. I understand how it happened. I must admit that your blind raging
invigorated me. God, how young I felt! But now-I want you to feel old, I want a little of
my cowardice to be distilled in you tonight. The next few hours, when you see
Captain Beatty, tiptoe round him, let me hear him for you, let me feel the situation
out. Survival is our ticket. Forget the poor, silly women ...."
"I made them unhappier than they have been in years, Ithink," said Montag. "It
shocked me to see Mrs. Phelps cry. Maybe they're right, maybe it's best not to face
things, to run, have fun. I don't know. I feel guilty--"
"No, you mustn't! If there were no war, if there was peace in the world, I'd say fine,
have fun! But, Montag, you mustn't go back to being just a fireman. All isn't well with
the world."
Montag perspired.
"Montag, you listening?"
"My feet," said Montag. "I can't move them. I feel so damn silly. My feet won't move!"
"Listen. Easy now," said the old man gently. "I know, I know. You're afraid of making
mistakes. Don't be. Mistakes can be profited by. Man, when I was young I shoved my
ignorance in people's faces. They beat me with sticks. By the time I was forty my
blunt instrument had been honed to a fine cutting point for me. If you hide your
ignorance, no one will hit you and you'll never learn. Now, pick up your feet, into the
firehouse with you! We're twins, we're not alone any more, we're not separated out in
different parlours, with no contact between. If you need help when Beatty pries at
you, I'll be sitting right here in your eardrum making notes!"
Montag felt his right foot, then his left foot, move.
"Old man," he said, "stay with me."
The Mechanical Hound was gone. Its kennel was empty and the firehouse stood all
about in plaster silence and the orange Salamander slept with its kerosene in its belly
and the firethrowers crossed upon its flanks and Montag came in through the silence
and touched the brass pole and slid up in the dark air, looking back at the deserted
kennel, his heart beating, pausing, beating. Faber was a grey moth asleep in his ear,
for the moment.
Beatty stood near the drop-hole waiting, but with his back turned as if he were not
waiting.
"Well," he said to the men playing cards, "here comes a very strange beast which in
all tongues is called a fool."
He put his hand to one side, palm up, for a gift. Montag put the book in it. Without
even glancing at the title, Beatty tossed the book into the trash-basket and lit a
cigarette. "`Who are a little wise, the best fools be.' Welcome back, Montag. I hope
you'll be staying, with us, now that your fever is done and your sickness over. Sit in
for a hand of poker?"
They sat and the cards were dealt. In Beatty's sight, Montag felt the guilt of his
hands. His fingers were like ferrets that had done some evil and now never rested,
always stirred and picked and hid in pockets, moving from under Beatty's alcoholflame
stare. If Beatty so much as breathed on them, Montag felt that his hands might
wither, turn over on their sides, and never be shocked to life again; they would be
buried the rest of his life in his coat-sleeves, forgotten. For these were the hands that
had acted on their own, no part of him, here was where the conscience first
manifested itself to snatch books, dart off with job and Ruth and Willie Shakespeare,
and now, in the firehouse, these hands seemed gloved with blood.
Twice in half an hour, Montag had to rise from the game and go to the latrine to wash
his hands. When he came back he hid his hands under the table.
Beatty laughed. "Let's have your hands in sight, Montag.
Not that we don't trust you, understand, but--"
They all laughed.
"Well," said Beatty, "the crisis is past and all is well, the sheep returns to the fold.
We're all sheep who have strayed at times. Truth is truth, to the end of reckoning,
we've cried. They are never alone that are accompanied with noble thoughts, we've
shouted to ourselves. `Sweet food of sweetly uttered knowledge,' Sir Philip Sidney
said. But on the other hand: `Words are like leaves and where they most abound,
Much fruit of sense beneath is rarely found.' Alexander Pope. What do you think of
that?"
"I don't know."
"Careful," whispered Faber, living in another world, far away.
"Or this? 'A little learning is a dangerous thing. Drink deep, or taste not the Pierian
spring; There shallow draughts intoxicate the brain, and drinking largely sobers us
again.' Pope. Same Essay. Where does that put you?"
Montag bit his lip.
"I'll tell you," said Beatty, smiling at his cards. "That made you for a little while a
drunkard. Read a few lines and off you go over the cliff. Bang, you're ready to blow
up the world, chop off heads, knock down women and children, destroy authority. I
know, I've been through it all."
"I'm all right," said Montag, nervously.
"Stop blushing. I'm not needling, really I'm not. Do you know, I had a dream an hour
ago. I lay down for a cat-nap and in this dream you and I, Montag, got into a furious
debate on books. You towered with rage, yelled quotes at me. I calmly parried every
thrust. Power, I said, And you, quoting Dr. Johnson, said `Knowledge is more than
equivalent to force!' And I said, `Well, Dr. Johnson also said, dear boy, that "He is no
wise man that will quit a certainty for an uncertainty.'" Stick with the fireman, Montag.
All else is dreary chaos!"
"Don't listen," whispered Faber. "He's trying to confuse. He's slippery. Watch out!"
Beatty chuckled. "And you said, quoting, `Truth will come to light, murder will not be
hid long!' And I cried in good humour, 'Oh God, he speaks only of his horse!' And
`The Devil can cite Scripture for his purpose.' And you yelled, 'This age thinks better
of a gilded fool, than of a threadbare saint in wisdom's school!' And I whispered
gently, 'The dignity of truth is lost with much protesting.' And you screamed,
'Carcasses bleed at the sight of the murderer!' And I said, patting your hand, 'What,
do I give you trench mouth?' And you shrieked, 'Knowledge is power!' and 'A dwarf
on a giant's shoulders of the furthest of the two!' and I summed my side up with rare
serenity in, 'The folly of mistaking a metaphor for a proof, a torrent of verbiage for a
spring of capital truths, and oneself as an oracle, is inborn in us, Mr. Valery once
said.'"
Montag's head whirled sickeningly. He felt beaten unmercifully on brow, eyes, nose,
lips, chin, on shoulders, on upflailing arms. He wanted to yell, "No! shut up, you're
confusing things, stop it!" Beatty's graceful fingers thrust out to seize his wrist.
"God, what a pulse! I've got you going, have I, Montag. Jesus God, your pulse
sounds like the day after the war. Everything but sirens and bells! Shall I talk some
more? I like your look of panic. Swahili, Indian, English Lit., I speak them all. A kind of
excellent dumb discourse, Willie!"
"Montag, hold on! " The moth brushed Montag's ear. "He's muddying the waters!"
"Oh, you were scared silly," said Beatty, "for I was doing a terrible thing in using the
very books you clung to, to rebut you on every hand, on every point! What traitors
books can be! You think they're backing you up, and they turn on you. Others can
use them, too, and there you are, lost in the middle of the moor, in a great welter of
nouns and verbs and adjectives. And at the very end of my dream, along I came with
the Salamander and said, Going my way? And you got in and we drove back to the
firehouse in beatific silence, all -dwindled away to peace." Beatty let Montag's wrist
go, let the hand slump limply on the table. "All's well that is well in the end."
Silence. Montag sat like a carved white stone. The echo of the final hammer on his
skull died slowly away into the black cavern where Faber waited for the echoes to
subside. And then when the startled dust had settled down about Montag's mind,
Faber began, softly, "All right, he's had his say. You must take it in. I'll say my say,
too, in the next few hours. And you'll take it in. And you'll try to judge them and make
your decision as to which way to jump, or fall. But I want it to be your decision, not
mine, and not the Captain's. But remember that the Captain belongs to the most
dangerous enemy of truth and freedom, the solid unmoving cattle of the majority. Oh,
God, the terrible tyranny of the majority. We all have our harps to play. And it's up to
you now to know with which ear you'll listen."
Montag opened his mouth to answer Faber and was saved this error in the presence
of others when the station bell rang. The alarm-voice in the ceiling chanted. There
was a tacking-tacking sound as the alarm-report telephone typed out the address
across the room. Captain Beatty, his poker cards in one pink hand, walked with
exaggerated slowness to the phone and ripped out the address when the report was
finished. He glanced perfunctorily at it, and shoved it in his pocket. He came back
and sat down. The others looked at him.
"It can wait exactly forty seconds while I take all the money away from you," said
Beatty, happily.
Montag put his cards down.
"Tired, Montag? Going out of this game?"
"Yes."
"Hold on. Well, come to think of it, we can finish this hand later. Just leave your cards
face down and hustle the equipment. On the double now." And Beatty rose up again.
"Montag, you don't look well? I'd hate to think you were coming down with another
fever..."
"I'll be all right."
"You'll be fine. This is a special case. Come on, jump for it!"
They leaped into the air and clutched the brass pole as if it were the last vantage
point above a tidal wave passing below, and then the brass pole, to their dismay slid
them down into darkness, into the blast and cough and suction of the gaseous
dragon roaring to life!
"Hey !"
They rounded a corner in thunder and siren, with concussion of tyres, with scream of
rubber, with a shift of kerosene bulk in the glittery brass tank, like the food in the
stomach of a giant; with Montag's fingers jolting off the silver rail, swinging into cold
space, with the wind tearing his hair back from his head, with the wind whistling in his
teeth, and him all the while thinking of the women, the chaff women in his parlour
tonight, with the kernels blown out from under them by a neon wind, and his silly
damned reading of a book to them. How like trying to put out fires with water-pistols,
how senseless and insane. One rage turned in for another. One anger displacing
another. When would he stop being entirely mad and be quiet, be very quiet indeed?
"Here we go!"
Montag looked up. Beatty never drove, but he was driving tonight, slamming the
Salamander around corners, leaning forward high on the driver's throne, his massive
black slicker flapping out behind so that he seemed a great black bat flying above the
engine, over the brass numbers, taking the full wind.
"Here we go to keep the world happy, Montag !"
Beatty's pink, phosphorescent cheeks glimmered in the high darkness, and he was
smiling furiously.
"Here we are!"
The Salamander boomed to a halt, throwing men off in slips and clumsy hops.
Montag stood fixing his raw eyes to the cold bright rail under his clenched fingers.
I can't do it, he thought. How can I go at this new assignment, how can I go on
burning things? I can't go in this place.
Beatty, smelling of the wind through which he had rushed, was at Montag's elbow.
"All right, Montag?"
The men ran like cripples in their clumsy boots, as quietly as spiders.
At last Montag raised his eyes and turned. Beatty was watching his face.
"Something the matter, Montag?"
"Why," said Montag slowly, "we've stopped in front of my house."

Fahrenheit 451 - Part I

05/12/2014 09:24
RAY BRADBURY
FAHRENHEIT 451
This one, with gratitude, is for DON CONGDON.
FAHRENHEIT 451:
The temperature at which book-paper catches fire and burns
PART I
IT WAS A PLEASURE TO BURN
IT was a special pleasure to see things eaten, to see things blackened and changed.
With the brass nozzle in his fists, with this great python spitting its venomous
kerosene upon the world, the blood pounded in his head, and his hands were the
hands of some amazing conductor playing all the symphonies of blazing and burning
to bring down the tatters and charcoal ruins of history. With his symbolic helmet
numbered 451 on his stolid head, and his eyes all orange flame with the thought of
what came next, he flicked the igniter and the house jumped up in a gorging fire that
burned the evening sky red and yellow and black. He strode in a swarm of fireflies.
He wanted above all, like the old joke, to shove a marshmallow on a stick in the
furnace, while the flapping pigeon-winged books died on the porch and lawn of the
house. While the books went up in sparkling whirls and blew away on a wind turned
dark with burning.
Montag grinned the fierce grin of all men singed and driven back by flame.
He knew that when he returned to the firehouse, he might wink at himself, a minstrel
man, burnt-corked, in the mirror. Later, going to sleep, he would feel the fiery smile
still gripped by his face muscles, in the dark. It never went away, that. smile, it never
ever went away, as long as he remembered.
He hung up his black-beetle-coloured helmet and shined it, he hung his flameproof
jacket neatly; he showered luxuriously, and then, whistling, hands in pockets, walked
across the upper floor of the fire station and fell down the hole. At the last moment,
when disaster seemed positive, he pulled his hands from his pockets and broke his
fall by grasping the golden pole. He slid to a squeaking halt, the heels one inch from
the concrete floor downstairs.
He walked out of the fire station and along the midnight street toward the subway
where the silent, air-propelled train slid soundlessly down its lubricated flue in the
earth and let him out with a great puff of warm air an to the cream-tiled escalator
rising to the suburb.
Whistling, he let the escalator waft him into the still night air. He walked toward the
comer, thinking little at all about nothing in particular. Before he reached the corner,
however, he slowed as if a wind had sprung up from nowhere, as if someone had
called his name.
The last few nights he had had the most uncertain feelings about the sidewalk just
around the corner here, moving in the starlight toward his house. He had felt that a
moment before his making the turn, someone had been there. The air seemed
charged with a special calm as if someone had waited there, quietly, and only a
moment before he came, simply turned to a shadow and let him through. Perhaps his
nose detected a faint perfume, perhaps the skin on the backs of his hands, on his
face, felt the temperature rise at this one spot where a person's standing might raise
the immediate atmosphere ten degrees for an instant. There was no understanding it.
Each time he made the turn, he saw only the white, unused, buckling sidewalk, with
perhaps, on one night, something vanishing swiftly across a lawn before he could
focus his eyes or speak.
But now, tonight, he slowed almost to a stop. His inner mind, reaching out to turn the
corner for him, had heard the faintest whisper. Breathing? Or was the atmosphere
compressed merely by someone standing very quietly there, waiting?
He turned the corner.
The autumn leaves blew over the moonlit pavement in such a way as to make the girl
who was moving there seem fixed to a sliding walk, letting the motion of the wind and
the leaves carry her forward. Her head was half bent to watch her shoes stir the
circling leaves. Her face was slender and milk-white, and in it was a kind of gentle
hunger that touched over everything with tireless curiosity. It was a look, almost, of
pale surprise; the dark eyes were so fixed to the world that no move escaped them.
Her dress was white and it whispered. He almost thought he heard the motion of her
hands as she walked, and the infinitely small sound now, the white stir of her face
turning when she discovered she was a moment away from a man who stood in the
middle of the pavement waiting.
The trees overhead made a great sound of letting down their dry rain. The girl
stopped and looked as if she might pull back in surprise, but instead stood regarding
Montag with eyes so dark and shining and alive, that he felt he had said something
quite wonderful. But he knew his mouth had only moved to say hello, and then when
she seemed hypnotized by the salamander on his arm and the phoenix-disc on his
chest, he spoke again.
"Of course," he said, "you're a new neighbour, aren't you?"
"And you must be"-she raised her eyes from his professional symbols-"the fireman."
Her voice trailed off.
"How oddly you say that."
"I'd-I'd have known it with my eyes shut," she said, slowly.
"What-the smell of kerosene? My wife always complains," he laughed. "You never
wash it off completely."
"No, you don't," she said, in awe.
He felt she was walking in a circle about him, turning him end for end, shaking him
quietly, and emptying his pockets, without once moving herself.
"Kerosene," he said, because the silence had lengthened, "is nothing but perfume to
me."
"Does it seem like that, really?"
"Of course. Why not?"
She gave herself time to think of it. "I don't know." She turned to face the sidewalk
going toward their homes. "Do you mind if I walk back with you? I'm Clarisse
McClellan."
"Clarisse. Guy Montag. Come along. What are you doing out so late wandering
around? How old are you?"
They walked in the warm-cool blowing night on the silvered pavement and there was
the faintest breath of fresh apricots and strawberries in the air, and he looked around
and realized this was quite impossible, so late in the year.
There was only the girl walking with him now, her face bright as snow in the
moonlight, and he knew she was working his questions around, seeking the best
answers she could possibly give.
"Well," she said, "I'm seventeen and I'm crazy. My uncle says the two always go
together. When people ask your age, he said, always say seventeen and insane.
Isn't this a nice time of night to walk? I like to smell things and look at things, and
sometimes stay up all night, walking, and watch the sun rise."
They walked on again in silence and finally she said, thoughtfully, "You know, I'm not
afraid of you at all."
He was surprised. "Why should you be?"
"So many people are. Afraid of firemen, I mean. But you're just a man, after all..."
He saw himself in her eyes, suspended in two shining drops of bright water, himself
dark and tiny, in fine detail, the lines about his mouth, everything there, as if her eyes
were two miraculous bits of violet amber that might capture and hold him intact. Her
face, turned to him now, was fragile milk crystal with a soft and constant light in it. It
was not the hysterical light of electricity but-what? But the strangely comfortable and
rare and gently flattering light of the candle. One time, when he was a child, in a
power-failure, his mother had found and lit a last candle and there had been a brief
hour of rediscovery, of such illumination that space lost its vast dimensions and drew
comfortably around them, and they, mother and son, alone, transformed, hoping that
the power might not come on again too soon ....
And then Clarisse McClellan said:
"Do you mind if I ask? How long have you worked at being a fireman?"
"Since I was twenty, ten years ago."
"Do you ever read any of the books you bum?"
He laughed. "That's against the law!"
"Oh. Of course."
"It's fine work. Monday bum Millay, Wednesday Whitman, Friday Faulkner, burn 'em
to ashes, then bum the ashes. That's our official slogan."
They walked still further and the girl said, "Is it true that long ago firemen put fires out
instead of going to start them?"
"No. Houses. have always been fireproof, take my word for it."
"Strange. I heard once that a long time ago houses used to burn by accident and
they needed firemen to stop the flames."
He laughed.
She glanced quickly over. "Why are you laughing?"
"I don't know." He started to laugh again and stopped "Why?"
"You laugh when I haven't been funny and you answer right off. You never stop to
think what I've asked you."
He stopped walking, "You are an odd one," he said, looking at her. "Haven't you any
respect?"
"I don't mean to be insulting. It's just, I love to watch people too much, I guess."
"Well, doesn't this mean anything to you?" He tapped the numerals 451 stitched on
his char-coloured sleeve.
"Yes," she whispered. She increased her pace. "Have you ever watched the jet cars
racing on the boulevards down that way?
"You're changing the subject!"
"I sometimes think drivers don't know what grass is, or flowers, because they never
see them slowly," she said. "If you showed a driver a green blur, Oh yes! he'd say,
that's grass! A pink blur? That's a rose-garden! White blurs are houses. Brown blurs
are cows. My uncle drove slowly on a highway once. He drove forty miles an hour
and they jailed him for two days. Isn't that funny, and sad, too?"
"You think too many things," said Montag, uneasily.
"I rarely watch the 'parlour walls' or go to races or Fun Parks. So I've lots of time for
crazy thoughts, I guess. Have you seen the two-hundred-foot-long billboards in the
country beyond town? Did you know that once billboards were only twenty feet long?
But cars started rushing by so quickly they had to stretch the advertising out so it
would last."
"I didn't know that!" Montag laughed abruptly.
"Bet I know something else you don't. There's dew on the grass in the morning."
He suddenly couldn't remember if he had known this or not, and it made him quite
irritable.
"And if you look"-she nodded at the sky-"there's a man in the moon."
He hadn't looked for a long time.
They walked the rest of the way in silence, hers thoughtful, his a kind of clenching
and uncomfortable silence in which he shot her accusing glances. When they
reached her house all its lights were blazing.
"What's going on?" Montag had rarely seen that many house lights.
"Oh, just my mother and father and uncle sitting around, talking. It's like being a
pedestrian, only rarer. My uncle was arrested another time-did I tell you?-for being a
pedestrian. Oh, we're most peculiar."
"But what do you talk about?"
She laughed at this. "Good night!" She started up her walk. Then she seemed to
remember something and came back to look at him with wonder and curiosity. "Are
you happy?" she said.
"Am I what?" he cried.
But she was gone-running in the moonlight. Her front door shut gently.
"Happy! Of all the nonsense."
He stopped laughing.
He put his hand into the glove-hole of his front door and let it know his touch. The
front door slid open.
Of course I'm happy. What does she think? I'm not? he asked the quiet rooms. He
stood looking up at the ventilator grille in the hall and suddenly remembered that
something lay hidden behind the grille, something that seemed to peer down at him
now. He moved his eyes quickly away.
What a strange meeting on a strange night. He remembered nothing like it save one
afternoon a year ago when he had met an old man in the park and they had talked ....
Montag shook his head. He looked at a blank wall. The girl's face was there, really
quite beautiful in memory: astonishing, in fact. She had a very thin face like the dial of
a small clock seen faintly in a dark room in the middle of a night when you waken to
see the time and see the clock telling you the hour and the minute and the second,
with a white silence and a glowing, all certainty and knowing what it has to tell of the
night passing swiftly on toward further darknesses but moving also toward a new
sun.
"What?" asked Montag of that other self, the subconscious idiot that ran babbling at
times, quite independent of will, habit, and conscience.
He glanced back at the wall. How like a mirror, too, her face. Impossible; for how
many people did you know that refracted your own light to you? People were more
often-he searched for a simile, found one in his work-torches, blazing away until they
whiffed out. How rarely did other people's faces take of you and throw back to you
your own expression, your own innermost trembling thought?
What incredible power of identification the girl had; she was like the eager watcher of
a marionette show, anticipating each flicker of an eyelid, each gesture of his hand,
each flick of a finger, the moment before it began. How long had they walked
together? Three minutes? Five? Yet how large that time seemed now. How immense
a figure she was on the stage before him; what a shadow she threw on the wall with
her slender body! He felt that if his eye itched, she might blink. And if the muscles of
his jaws stretched imperceptibly, she would yawn long before he would.
Why, he thought, now that I think of it, she almost seemed to be waiting for me there,
in the street, so damned late at night ... .
He opened the bedroom door.
It was like coming into the cold marbled room of a mausoleum after the moon had
set. Complete darkness, not a hint of the silver world outside, the windows tightly
shut, the chamber a tomb-world where no sound from the great city could penetrate.
The room was not empty.
He listened.
The little mosquito-delicate dancing hum in the air, the electrical murmur of a hidden
wasp snug in its special pink warm nest. The music was almost loud enough so he
could follow the tune.
He felt his smile slide away, melt, fold over, and down on itself like a tallow skin, like
the stuff of a fantastic candle burning too long and now collapsing and now blown
out. Darkness. He was not happy. He was not happy. He said the words to himself.
He recognized this as the true state of affairs. He wore his happiness like a mask and
the girl had run off across the lawn with the mask and there was no way of going to
knock on her door and ask for it back.
Without turning on the light he imagined how this room would look. His wife stretched
on the bed, uncovered and cold, like a body displayed on the lid of a tomb, her eyes
fixed to the ceiling by invisible threads of steel, immovable. And in her ears the little
Seashells, the thimble radios tamped tight, and an electronic ocean of sound, of
music and talk and music and talk coming in, coming in on the shore of her
unsleeping mind. The room was indeed empty. Every night the waves came in and
bore her off on their great tides of sound, floating her, wide-eyed, toward morning.
There had been no night in the last two years that Mildred had not swum that sea,
had not gladly gone down in it for the third time.
The room was cold but nonetheless he felt he could not breathe. He did not wish to
open the curtains and open the french windows, for he did not want the moon to
come into the room. So, with the feeling of a man who will die in the next hour for
lack of air,.he felt his way toward his open, separate, and therefore cold bed.
An instant before his foot hit the object on the floor he knew he would hit such an
object. It was not unlike the feeling he had experienced before turning the corner and
almost knocking the girl down. His foot, sending vibrations ahead, received back
echoes of the small barrier across its path even as the foot swung. His foot kicked.
The object gave a dull clink and slid off in darkness.
He stood very straight and listened to the person on the dark bed in the completely
featureless night. The breath coming out of the nostrils was so faint it stirred only the
furthest fringes of life, a small leaf, a black feather, a single fibre of hair.
He still did not want outside light. He pulled out his igniter, felt the salamander etched
on its silver disc, gave it a flick....
Two moonstones looked up at him in the light of his small hand-held fire; two pale
moonstones buried in a creek of clear water over which the life of the world ran, not
touching them.
"Mildred ! "
Her face was like a snow-covered island upon which rain might fall; but it felt no rain;
over which clouds might pass their moving shadows, but she felt no shadow. There
was only the singing of the thimble-wasps in her tamped-shut ears, and her eyes all
glass, and breath going in and out, softly, faintly, in and out of her nostrils, and her
not caring whether it came or went, went or came.
The object he had sent tumbling with his foot now glinted under the edge of his own
bed. The small crystal bottle of sleeping-tablets which earlier today had been filled
with thirty capsules and which now lay uncapped and empty in the light of the tiny
flare.
As he stood there the sky over the house screamed. There was a tremendous ripping
sound as if two giant hands had torn ten thousand miles of black linen down the
seam. Montag was cut in half. He felt his chest chopped down and split apart. The
jet-bombs going over, going over, going over, one two, one two, one two, six of them,
nine of them, twelve of them, one and one and one and another and another and
another, did all the screaming for him. He opened his own mouth and let their shriek
come down and out between his bared teeth. The house shook. The flare went out in
his hand. The moonstones vanished. He felt his hand plunge toward the telephone.
The jets were gone. He felt his lips move, brushing the mouthpiece of the phone.
"Emergency hospital." A terrible whisper.
He felt that the stars had been pulverized by the sound of the black jets and that in
the morning the earth would be thought as he stood shivering in the dark, and let his
lips go on moving and moving.
They had this machine. They had two machines, really. One of them slid down into
your stomach like a black cobra down an echoing well looking for all the old water
and the old time gathered there. It drank up the green matter that flowed to the top in
a slow boil. Did it drink of the darkness? Did it suck out all the poisons accumulated
with the years? It fed in silence with an occasional sound of inner suffocation and
blind searching. It had an Eye. The impersonal operator of the machine could, by
wearing a special optical helmet, gaze into the soul of the person whom he was
pumping out. What did the Eye see? He did not say. He saw but did not see what the
Eye saw. The entire operation was not unlike the digging of a trench in one's yard.
The woman on the bed was no more than a hard stratum of marble they had
reached. Go on, anyway, shove the bore down, slush up the emptiness, if such a
thing could be brought out in the throb of the suction snake. The operator stood
smoking a cigarette. The other machine was working too.
The other machine was operated by an equally impersonal fellow in non-stainable
reddish-brown overalls. This machine pumped all of the blood from the body and
replaced it with fresh blood and serum.
"Got to clean 'em out both ways," said the operator, standing over the silent woman.
"No use getting the stomach if you don't clean the blood. Leave that stuff in the blood
and the blood hits the brain like a mallet, bang, a couple of thousand times and the
brain just gives up, just quits."
"Stop it!" said Montag.
"I was just sayin'," said the operator.
"Are you done?" said Montag.
They shut the machines up tight. "We're done." His anger did not even touch them.
They stood with the cigarette smoke curling around their noses and into their eyes
without making them blink or squint. "That's fifty bucks."
"First, why don't you tell me if she'll be all right?"
"Sure, she'll be O.K. We got all the mean stuff right in our suitcase here, it can't get at
her now. As I said, you take out the old and put in the new and you're O.K."
"Neither of you is an M.D. Why didn't they send an M.D. from Emergency?"
"Hell! " the operator's cigarette moved on his lips. "We get these cases nine or ten a
night. Got so many, starting a few years ago, we had the special machines built. With
the optical lens, of course, that was new; the rest is ancient. You don't need an M.D.,
case like this; all you need is two handymen, clean up the problem in half an hour.
Look"-he started for the door-"we gotta go. Just had another call on the old earthimble.
Ten blocks from here. Someone else just jumped off the cap of a pillbox.
Call if you need us again. Keep her quiet. We got a contra-sedative in her. She'll
wake up hungry. So long."
And the men with the cigarettes in their straight-lined mouths, the men with the eyes
of puff-adders, took up their load of machine and tube, their case of liquid melancholy
and the slow dark sludge of nameless stuff, and strolled out the door.
Montag sank down into a chair and looked at this woman. Her eyes were closed now,
gently, and he put out his hand to feel the warmness of breath on his palm.
"Mildred," he said, at last.
There are too many of us, he thought. There are billions of us and that's too many.
Nobody knows anyone. Strangers come and violate you. Strangers come and cut
your heart out. Strangers come and take your blood. Good God, who were those
men? I never saw them before in my life!
Half an hour passed.
The bloodstream in this woman was new and it seemed to have done a new thing to
her. Her cheeks were very pink and her lips were very fresh and full of colour and
they looked soft and relaxed. Someone else's blood there. If only someone else's
flesh and brain and memory. If only they could have taken her mind along to the drycleaner's
and emptied the pockets and steamed and cleansed it and reblocked it and
brought it back in the morning. If only . . .
He got up and put back the curtains and opened the windows wide to let the night air
in. It was two o'clock in the morning. Was it only an hour ago, Clarisse McClellan in
the street, and him coming in, and the dark room and his foot kicking the little crystal
bottle? Only an hour, but the world had melted down and sprung up in a new and
colourless form.
Laughter blew across the moon-coloured lawn from the house of Clarisse and her
father and mother and the uncle who smiled so quietly and so earnestly. Above all,
their laughter was relaxed and hearty and not forced in any way, coming from the
house that was so brightly lit this late at night while all the other houses were kept to
themselves in darkness. Montag heard the voices talking, talking, talking, giving,
talking, weaving, reweaving their hypnotic web.
Montag moved out through the french windows and crossed the lawn, without even
thinking of it. He stood outside the talking house in the shadows, thinking he might
even tap on their door and whisper, "Let me come in. I won't say anything. I just want
to listen. What is it you're saying?"
But instead he stood there, very cold, his face a mask of ice, listening to a man's
voice (the uncle?) moving along at an easy pace:
"Well, after all, this is the age of the disposable tissue. Blow your nose on a person,
wad them, flush them away, reach for another, blow, wad, flush. Everyone using
everyone else's coattails. How are you supposed to root for the home team when you
don't even have a programme or know the names? For that matter, what colour
jerseys are they wearing as they trot out on to the field?"
Montag moved back to his own house, left the window wide, checked Mildred, tucked
the covers about her carefully, and then lay down with the moonlight on his cheekbones
and on the frowning ridges in his brow, with the moonlight distilled in each eye
to form a silver cataract there.
One drop of rain. Clarisse. Another drop. Mildred. A third. The uncle. A fourth. The
fire tonight. One, Clarisse. Two, Mildred. Three, uncle. Four, fire, One, Mildred, two,
Clarisse. One, two, three, four, five, Clarisse, Mildred, uncle, fire, sleeping-tablets,
men, disposable tissue, coat-tails, blow, wad, flush, Clarisse, Mildred, uncle, fire,
tablets, tissues, blow, wad, flush. One, two, three, one, two, three! Rain. The storm.
The uncle laughing. Thunder falling downstairs. The whole world pouring down. The
fire gushing up in a volcano. All rushing on down around in a spouting roar and
rivering stream toward morning.
"I don't know anything any more," he said, and let a sleep-lozenge dissolve on his
tongue.
At nine in the morning, Mildred's bed was empty.
Montag got up quickly, his heart pumping, and ran down the hall and stopped at the
kitchen door.
Toast popped out of the silver toaster, was seized by a spidery metal hand that
drenched it with melted butter.
Mildred watched the toast delivered to her plate. She had both ears plugged with
electronic bees that were humming the hour away. She looked up suddenly, saw
him, and nodded.
"You all right?" he asked.
She was an expert at lip-reading from ten years of apprenticeship at Seashell earthimbles.
She nodded again. She set the toaster clicking away at another piece of
bread.
Montag sat down.
His wife said, "I don't know why I should be so hungry."
"You-?"
"I'm HUNGRY."
"Last night," he began.
"Didn't sleep well. Feel terrible," she said. "God, I'm hungry. I can't figure it."
"Last night-" he said again.
She watched his lips casually. "What about last night?"
"Don't you remember?"
"What? Did we have a wild party or something? Feel like I've a hangover. God, I'm
hungry. Who was here?"
"A few people," he said.
"That's what I thought." She chewed her toast. "Sore stomach, but I'm hungry as allget-
out. Hope I didn't do anything foolish at the party."
"No," he said, quietly.
The toaster spidered out a piece of buttered bread for him. He held it in his hand,
feeling grateful.
"You don't look so hot yourself," said his wife.
In the late afternoon it rained and the entire world was dark grey. He stood in the hall
of his house, putting on his badge with the orange salamander burning across it. He
stood looking up at the air-conditioning vent in the hall for a long time. His wife in the
TV parlour paused long enough from reading her script to glance up. "Hey," she said.
"The man's THINKING!"
"Yes," he said. "I wanted to talk to you." He paused. "You took all the pills in your
bottle last night."
"Oh, I wouldn't do that," she said, surprised.
"The bottle was empty."
"I wouldn't do a thing like that. Why would I do a thing like that?" she asked.
"Maybe you took two pills and forgot and took two more, and forgot again and took
two more, and were so dopy you kept right on until you had thirty or forty of them in
you."
"Heck," she said, "what would I want to go and do a silly thing like that for?"
"I don't know," he said.
She was quite obviously waiting for him to go. "I didn't do that," she said. "Never in a
billion years."
"All right if you say so," he said.
"That's what the lady said." She turned back to her script.
"What's on this afternoon?" he asked tiredly.
She didn't look up from her script again. "Well, this is a play comes on the wall-towall
circuit in ten minutes. They mailed me my part this morning. I sent in some boxtops.
They write the script with one part missing. It's a new idea. The home-maker,
that's me, is the missing part. When it comes time for the missing lines, they all look
at me out of the three walls and I say the lines: Here, for instance, the man says,
`What do you think of this whole idea, Helen?' And he looks at me sitting here centre
stage, see? And I say, I say --" She paused and ran her finger under a line in the
script. " `I think that's fine!' And then they go on with the play until he says, `Do you
agree to that, Helen!' and I say, `I sure do!' Isn't that fun, Guy?"
He stood in the hall looking at her.
"It's sure fun," she said.
"What's the play about?"
"I just told you. There are these people named Bob and Ruth and Helen."
"Oh."
"It's really fun. It'll be even more fun when we can afford to have the fourth wall
installed. How long you figure before we save up and get the fourth wall torn out and
a fourth wall-TV put in? It's only two thousand dollars."
"That's one-third of my yearly pay."
"It's only two thousand dollars," she replied. "And I should think you'd consider me
sometimes. If we had a fourth wall, why it'd be just like this room wasn't ours at all,
but all kinds of exotic people's rooms. We could do without a few things."
"We're already doing without a few things to pay for the third wall. It was put in only
two months ago, remember?"
"Is that all it was?" She sat looking at him for a long moment. "Well, good-bye, dear."
.
"Good-bye," he said. He stopped and turned around. "Does it have a happy ending?"
"I haven't read that far."
He walked over, read the last page, nodded, folded the script, and handed it back to
her. He walked out of the house into the rain.
The rain was thinning away and the girl was walking in the centre of the sidewalk with
her head up and the few drops falling on her face. She smiled when she saw Montag.
"Hello! "
He said hello and then said, "What are you up to now?"
"I'm still crazy. The rain feels good. I love to walk in it.
"I don't think I'd like that," he said.
"You might if you tried."
"I never have."
She licked her lips. "Rain even tastes good."
"What do you do, go around trying everything once?" he asked.
"Sometimes twice." She looked at something in her hand.
"What've you got there?" he said.
"I guess it's the last of the dandelions this year. I didn't think I'd find one on the lawn
this late. Have you ever heard of rubbing it under your chin? Look." She touched her
chin with the flower, laughing.
"Why?"
"If it rubs off, it means I'm in love. Has it?"
He could hardly do anything else but look.
"Well?" she said.
"You're yellow under there."
"Fine! Let's try YOU now."
"It won't work for me."
"Here." Before he could move she had put the dandelion under his chin. He drew
back and she laughed. "Hold still!"
She peered under his chin and frowned.
"Well?" he said.
"What a shame," she said. "You're not in love with anyone."
"Yes, I am ! "
"It doesn't show."
"I am very much in love!" He tried to conjure up a face to fit the words, but there was
no face. "I am ! "
"Oh please don't look that way."
"It's that dandelion," he said. "You've used it all up on yourself. That's why it won't
work for me."
"Of course, that must be it. Oh, now I've upset you, I can see I have; I'm sorry, really I
am." She touched his elbow.
"No, no," he said, quickly, "I'm all right."
"I've got to be going, so say you forgive me. I don't want you angry with me."
"I'm not angry. Upset, yes."
"I've got to go to see my psychiatrist now. They make me go. I made up things to
say. I don't know what he thinks of me. He says I'm a regular onion! I keep him busy
peeling away the layers."
"I'm inclined to believe you need the psychiatrist," said Montag.
"Youdon't mean that."
He took a breath and let it out and at last said, "No, I don't mean that."
"The psychiatrist wants to know why I go out and hike around in the forests and
watch the birds and collect butterflies. I'll show you my collection some day."
"Good."
"They want to know what I do with all my time. I tell them that sometimes I just sit and
think. But I won't tell them what. I've got them running. And sometimes, I tell them, I
like to put my head back, like this, and let the rain fall into my mouth. It tastes just like
wine. Have you ever tried it?"
"No I--"
"You HAVE forgiven me, haven't you?"
"Yes." He thought about it. "Yes, I have. God knows why. You're peculiar, you're
aggravating, yet you're easy to forgive. You say you're seventeen?"
"Well-next month."
"How odd. How strange. And my wife thirty and yet you seem so much older at times.
I can't get over it."
"You're peculiar yourself, Mr. Montag. Sometimes I even forget you're a fireman.
Now, may I make you angry again?"
"Go ahead."
"How did it start? How did you get into it? How did you pick your work and how did
you happen to think to take the job you have? You're not like the others. I've seen a
few; I know. When I talk, you look at me. When I said something about the moon, you
looked at the moon, last night. The others would never do that. The others would
walk off and leave me talking. Or threaten me. No one has time any more for anyone
else. You're one of the few who put up with me. That's why I think it's so strange
you're a fireman, it just doesn't seem right for you, somehow."
He felt his body divide itself into a hotness and a coldness, a softness and a
hardness, a trembling and a not trembling, the two halves grinding one upon the
other.
"You'd better run on to your appointment," he said.
And she ran off and left him standing there in the rain. Only after a long time did he
move.
And then, very slowly, as he walked, he tilted his head back in the rain, for just a few
moments, and opened his mouth....
The Mechanical Hound slept but did not sleep, lived but did not live in its gently
humming, gently vibrating, softly illuminated kennel back in a dark corner of the
firehouse. The dim light of one in the morning, the moonlight from the open sky
framed through the great window, touched here and there on the brass and the
copper and the steel of the faintly trembling beast. Light flickered on bits of ruby glass
and on sensitive capillary hairs in the nylon-brushed nostrils of the creature that
quivered gently, gently, gently, its eight legs spidered under it on rubber-padded
paws.
Montag slid down the brass pole. He went out to look at the city and the clouds had
cleared away completely, and he lit a cigarette and came back to bend down and
look at the Hound. It was like a great bee come home from some field where the
honey is full of poison wildness, of insanity and nightmare, its body crammed with
that over-rich nectar and now it was sleeping the evil out of itself.
"Hello," whispered Montag, fascinated as always with the dead beast, the living
beast.
At night when things got dull, which was every night, the men slid down the brass
poles, and set the ticking combinations of the olfactory system of the Hound and let
loose rats in the firehouse area-way, and sometimes chickens, and sometimes cats
that would have to be drowned anyway, and there would be betting to see which the
Hound would seize first. The animals were turned loose. Three seconds later the
game was done, the rat, cat, or chicken caught half across the areaway, gripped in
gentling paws while a four-inch hollow steel needle plunged down from the proboscis
of the Hound to inject massive jolts of morphine or procaine. The pawn was then
tossed in the incinerator. A new game began.
Montag stayed upstairs most nights when this went on. There had been a time two
years ago when he had bet with the best of them, and lost a week's salary and faced
Mildred's insane anger, which showed itself in veins and blotches. But now at night
he lay in his bunk, face turned to the wall, listening to whoops of laughter below and
the piano-string scurry of rat feet, the violin squeaking of mice, and the great
shadowing, motioned silence of the Hound leaping out like a moth in the raw light,
finding, holding its victim, inserting the needle and going back to its kennel to die as if
a switch had been turned.
Montag touched the muzzle. .
The Hound growled.
Montag jumped back.
The Hound half rose in its kennel and looked at him with green-blue neon light
flickering in its suddenly activated eyebulbs. It growled again, a strange rasping
combination of electrical sizzle, a frying sound, a scraping of metal, a turning of cogs
that seemed rusty and ancient with suspicion.
"No, no, boy," said Montag, his heart pounding.
He saw the silver needle extended upon the air an inch, pull back, extend, pull back.
The growl simmered in the beast and it looked at him.
Montag backed up. The Hound took a step from its kennel.
Montag grabbed the brass pole with one hand. The pole, reacting, slid upward, and
took him through the ceiling, quietly. He stepped off in the half-lit deck of the upper
level. He was trembling and his face was green-white. Below, the Hound had sunk
back down upon its eight incredible insect legs and was humming to itself again, its
multi-faceted eyes at peace.
Montag stood, letting the fears pass, by the drop-hole. Behind him, four men at a
card table under a green-lidded light in the corner glanced briefly but said nothing.
Only the man with the Captain's hat and the sign of the Phoenix on his hat, at last,
curious, his playing cards in his thin hand, talked across the long room.
"Montag . . . ?"
"It doesn't like me," said Montag.
"What, the Hound?" The Captain studied his cards.
"Come off it. It doesn't like or dislike. It just `functions.' It's like a lesson in ballistics. It
has a trajectory we decide for it. It follows through. It targets itself, homes itself, and
cuts off. It's only copper wire, storage batteries, and electricity."
Montag swallowed. "Its calculators can be set to any combination, so many amino
acids, so much sulphur, so much butterfat and alkaline. Right?"
"We all know that."
"All of those chemical balances and percentages on all of us here in the house are
recorded in the master file downstairs. It would be easy for someone to set up a
partial combination on the Hound's 'memory,' a touch of amino acids, perhaps. That
would account for what the animal did just now. Reacted toward me."
"Hell," said the Captain.
"Irritated, but not completely angry. Just enough 'memory' set up in it by someone so
it growled when I touched it."
"Who would do a thing like that?." asked the Captain. "You haven't any enemies
here, Guy."
"None that I know of."
"We'll have the Hound checked by our technicians tomorrow.
"This isn't the first time it's threatened me," said Montag. "Last month it happened
twice."
"We'll fix it up. Don't worry"
But Montag did not move and only stood thinking of the ventilator grille in the hall at
home and what lay hidden behind the grille. If someone here in the firehouse knew
about the ventilator then mightn't they "tell" the Hound . . . ?
The Captain came over to the drop-hole and gave Montag a questioning glance.
"I was just figuring," said Montag, "what does the Hound think about down there
nights? Is it coming alive on us, really? It makes me cold."
"It doesn't think anything we don't want it to think."
"That's sad," said Montag, quietly, "because all we put into it is hunting and finding
and killing. What a shame if that's all it can ever know."'
Beatty snorted, gently. "Hell! It's a fine bit of craftsmanship, a good rifle that can fetch
its own target and guarantees the bull's-eye every time."
"That's why," said Montag. "I wouldn't want to be its next victim.
"Why? You got a guilty conscience about something?"
Montag glanced up swiftly.
Beatty stood there looking at him steadily with his eyes, while his mouth opened and
began to laugh, very softly.
One two three four five six seven days. And as many times he came out of the house
and Clarisse was there somewhere in the world. Once he saw her shaking a walnut
tree, once he saw her sitting on the lawn knitting a blue sweater, three or four times
he found a bouquet of late flowers on his porch, or a handful of chestnuts in a little
sack, or some autumn leaves neatly pinned to a sheet of white paper and thumbtacked
to his door. Every day Clarisse walked him to the corner. One day it was
raining, the next it was clear, the day after that the wind blew strong, and the day
after that it was mild and calm, and the day after that calm day was a day like a
furnace of summer and Clarisse with her face all sunburnt by late afternoon.
"Why is it," he said, one time, at the subway entrance, "I feel I've known you so many
years?"
"Because I like you," she said, "and I don't want anything from you. And because we
know each other."
"You make me feel very old and very much like a father."
"Now you explain," she said, "why you haven't any daughters like me, if you love
children so much?"
"I don't know."
"You're joking!"
"I mean-" He stopped and shook his head. "Well, my wife, she . . . she just never
wanted any children at all."
The girl stopped smiling. "I'm sorry. I really, thought you were having fun at my
expense. I'm a fool."
"No, no," he said. "It was a good question. It's been a long time since anyone cared
enough to ask. A good question."
"Let's talk about something else. Have you ever smelled old leaves? Don't they smell
like cinnamon? Here. Smell."
"Why, yes, it is like cinnamon in a way."
She looked at him with her clear dark eyes. "You always seem shocked."
"It's just I haven't had time--"
"Did you look at the stretched-out billboards like I told you?"
"I think so. Yes." He had to laugh.
"Your laugh sounds much nicer than it did"
"Does it?"
"Much more relaxed."
He felt at ease and comfortable. "Why aren't you in school? I see you every day
wandering around."
"Oh, they don't miss me," she said. "I'm anti-social, they say. I don't mix. It's so
strange. I'm very social indeed. It all depends on what you mean by social, doesn't it?
Social to me means talking about things like this." She rattled some chestnuts that
had fallen off the tree in the front yard. "Or talking about how strange the world is.
Being with people is nice. But I don't think it's social to get a bunch of people together
and then not let them talk, do you? An hour of TV class, an hour of basketball or
baseball or running, another hour of transcription history or painting pictures, and
more sports, but do you know, we never ask questions, or at least most don't; they
just run the answers at you, bing, bing, bing, and us sitting there for four more hours
of film-teacher. That's not social to me at all. It's a lot of funnels and a lot of water
poured down the spout and out the bottom, and them telling us it's wine when it's not.
They run us so ragged by the end of the day we can't do anything but go to bed or
head for a Fun Park to bully people around, break windowpanes in the Window
Smasher place or wreck cars in the Car Wrecker place with the big steel ball. Or go
out in the cars and race on the streets, trying to see how close you can get to lampposts,
playing `chicken' and 'knock hub-caps.' I guess I'm everything they say I am,
all right. I haven't any friends. That's supposed to prove I'm abnormal. But everyone I
know is either shouting or dancing around like wild or beating up one another. Do you
notice how people hurt each other nowadays?"
"You sound so very old."
"Sometimes I'm ancient. I'm afraid of children my own age. They kill each other. Did it
always used to be that way? My uncle says no. Six of my friends have been shot in
the last year alone. Ten of them died in car wrecks. I'm afraid of them and they don't
like me because I'm afraid. My uncle says his grandfather remembered when
children didn't kill each other. But that was a long time ago when they had things
different. They believed in responsibility, my uncle says. Do you know, I'm
responsible. I was spanked when I needed it, years ago. And I do all the shopping
and house-cleaning by hand.
"But most of all," she said, "I like to watch people. Sometimes I ride the subway all
day and look at them and listen to them. I just want to figure out who they are and
what they want and where they're going. Sometimes I even go to the Fun Parks and
ride in the jet cars when they race on the edge of town at midnight and the police
don't care as long as they're insured. As long as everyone has ten thousand
insurance everyone's happy. Sometimes I sneak around and listen in subways. Or I
listen at soda fountains, and do you know what?"
"What?"
"People don't talk about anything."
"Oh, they must!"
"No, not anything. They name a lot of cars or clothes or swimming-pools mostly and
say how swell! But they all say the same things and nobody says anything different
from anyone else. And most of the time in the cafes they have the jokeboxes on and
the same jokes most of the time, or the musical wall lit and all the coloured patterns
running up and down, but it's only colour and all abstract. And at the museums, have
you ever been? All abstract. That's all there is now. My uncle says it was different
once. A long time back sometimes pictures said things or even showed people."
"Your uncle said, your uncle said. Your uncle must be a remarkable man."
"He is. He certainly is. Well, I've got to be going. Goodbye, Mr. Montag."
"Good-bye."
"Good-bye...."
One two three four five six seven days: the firehouse.
"Montag, you shin that pole like a bird up a tree."
Third day.
"Montag, I see you came in the back door this time. The Hound bother you?"
"No, no."
Fourth day.
"Montag, a funny thing. Heard tell this morning. Fireman in Seattle, purposely set a
Mechanical Hound to his own chemical complex and let it loose. What kind of suicide
would you call that?"
Five six seven days.
And then, Clarisse was gone. He didn't know what there was about the afternoon, but
it was not seeing her somewhere in the world. The lawn was empty, the trees empty,
the street empty, and while at first he did not even know he missed her or was even
looking for her, the fact was that by the time he reached the subway, there were
vague stirrings of un-ease in him. Something was the matter, his routine had been
disturbed. A simple routine, true, established in a short few days, and yet . . . ? He
almost turned back to make the walk again, to give her time to appear. He was
certain if he tried the same route, everything would work out fine. But it was late, and
the arrival of his train put a stop to his plan.
The flutter of cards, motion of hands, of eyelids, the drone of the time-voice in the
firehouse ceiling ". . . one thirty-five. Thursday morning, November 4th,... one thirtysix
. . . one thirty-seven a.m... " The tick of the playing-cards on the greasy table-top,
all the sounds came to Montag, behind his closed eyes, behind the barrier he had
momentarily erected. He could feel the firehouse full of glitter and shine and silence,
of brass colours, the colours of coins, of gold, of silver: The unseen men across the
table were sighing on their cards, waiting.
". . .one forty-five..." The voice-clock mourned out the cold hour of a cold morning of
a still colder year.
"What's wrong, Montag?"
Montag opened his eyes.
A radio hummed somewhere. ". . . war may be declared any hour. This country
stands ready to defend its--"
The firehouse trembled as a great flight of jet planes whistled a single note across
the black morning sky.
Montag blinked. Beatty was looking at him as if he were a museum statue. At any
moment, Beatty might rise and walk about him, touching, exploring his guilt and selfconsciousness.
Guilt? What guilt was that?
"Your play, Montag."
Montag looked at these men whose faces were sunburnt by a thousand real and ten
thousand imaginary fires, whose work flushed their cheeks and fevered their eyes.
These men who looked steadily into their platinum igniter flames as they lit their
eternally burning black pipes. They and their charcoal hair and soot-coloured brows
and bluish-ash-smeared cheeks where they had shaven close; but their heritage
showed. Montag started up, his mouth opened. Had he ever seen a fireman that
didn't have black hair, black brows, a fiery face, and a blue-steel shaved but
unshaved look? These men were all mirror-images of himself! Were all firemen
picked then for their looks as well as their proclivities? The colour of cinders and ash
about them, and the continual smell of burning from their pipes. Captain Beatty there,
rising in thunderheads of tobacco smoke. Beatty opening a fresh tobacco packet,
crumpling the cellophane into a sound of fire.
Montag looked at the cards in his own hands. "I-I've been thinking. About the fire last
week. About the man whose library we fixed. What happened to him?"
"They took him screaming off to the asylum"
"He. wasn't insane."
Beatty arranged his cards quietly. "Any man's insane who thinks he can fool the
Government and us."
"I've tried to imagine," said Montag, "just how it would feel. I mean to have firemen
burn our houses and our books."
"We haven't any books."
"But if we did have some."
"You got some?"
Beatty blinked slowly.
"No." Montag gazed beyond them to the wall with the typed lists of a million forbidden
books. Their names leapt in fire, burning down the years under his axe and his hose
which sprayed not water but kerosene. "No." But in his mind, a cool wind started up
and blew out of the ventilator grille at home, softly, softly, chilling his face. And,
again, he saw himself in a green park talking to an old man, a very old man, and the
wind from the park was cold, too.
Montag hesitated, "Was-was it always like this? The firehouse, our work? I mean,
well, once upon a time..."
"Once upon a time!" Beatty said. "What kind of talk is THAT?"
Fool, thought Montag to himself, you'll give it away. At the last fire, a book of fairy
tales, he'd glanced at a single line. "I mean," he said, "in the old days, before homes
were completely fireproofed " Suddenly it seemed a much younger voice was
speaking for him. He opened his mouth and it was Clarisse McClellan saying, "Didn't
firemen prevent fires rather than stoke them up and get them going?"
"That's rich!" Stoneman and Black drew forth their rulebooks, which also contained
brief histories of the Firemen of America, and laid them out where Montag, though
long familiar with them, might read:
"Established, 1790, to burn English-influenced books in the Colonies. First Fireman:
Benjamin Franklin."
RULE 1. Answer the alarm swiftly.
2. Start the fire swiftly.
3. Burn everything.
4. Report back to firehouse immediately.
5. Stand alert for other alarms.
Everyone watched Montag. He did not move.
The alarm sounded.
The bell in the ceiling kicked itself two hundred times. Suddenly there were four
empty chairs. The cards fell in a flurry of snow. The brass pole shivered. The men
were gone.
Montag sat in his chair. Below, the orange dragon coughed into life.
Montag slid down the pole like a man in a dream.
The Mechanical Hound leapt up in its kennel, its eyes all green flame.
"Montag, you forgot your helmet!"
He seized it off the wall behind him, ran, leapt, and they were off, the night wind
hammering about their siren scream and their mighty metal thunder !
It was a flaking three-storey house in the ancient part of the city, a century old if it
was a day, but like all houses it had been given a thin fireproof plastic sheath many
years ago, and this preservative shell seemed to be the only thing holding it in the
sky.
"Here we are !"
The engine slammed to a stop. Beatty, Stoneman, and Black ran up the sidewalk,
suddenly odious and fat in the plump fireproof slickers. Montag followed.
They crashed the front door and grabbed at a woman, though she was not running,
she was not trying to escape. She was only standing, weaving from side to side, her
eyes fixed upon a nothingness in the wall as if they had struck her a terrible blow
upon the head. Her tongue was moving in her mouth, and her eyes seemed to be
trying to remember something, and then they remembered and her tongue moved
again:
" 'Play the man, Master Ridley; we shall this day light such a candle, by God's grace,
in England, as I trust shall never be put out.' "
"Enough of that!" said Beatty. "Where are they?"
He slapped her face with amazing objectivity and repeated the question. The old
woman's eyes came to a focus upon Beatty. "You know where they are or you
wouldn't be here," she said.
Stoneman held out the telephone alarm card with the complaint signed in telephone
duplicate on the back
"Have reason to suspect attic; 11 No. Elm, City. --- E. B."
"That would be Mrs. Blake, my neighbour;" said the woman, reading the initials.
"All right, men, let's get 'em!"
Next thing they were up in musty blackness, swinging silver hatchets at doors that
were, after all, unlocked, tumbling through like boys all rollick and shout. "Hey! " A
fountain of books sprang down upon Montag as he climbed shuddering up the sheer
stair-well. How inconvenient! Always before it had been like snuffing a candle. The
police went first and adhesive-taped the victim's mouth and bandaged him off into
their glittering beetle cars, so when you arrived you found an empty house. You
weren't hurting anyone, you were hurting only things! And since things really couldn't
be hurt, since things felt nothing, and things don't scream or whimper, as this woman
might begin to scream and cry out, there was nothing to tease your conscience later.
You were simply cleaning up. Janitorial work, essentially. Everything to its proper
place. Quick with the kerosene! Who's got a match!
But now, tonight, someone had slipped. This woman was spoiling the ritual. The men
were making too much noise, laughing, joking to cover her terrible accusing silence
below. She made the empty rooms roar with accusation and shake down a fine dust
of guilt that was sucked in their nostrils as they plunged about. It was neither cricket
nor correct. Montag felt an immense irritation. She shouldn't be here, on top of
everything!
Books bombarded his shoulders, his arms, his upturned face A book alighted, almost
obediently, like a white pigeon, in his hands, wings fluttering. In the dim, wavering
light, a page hung.open and it was like a snowy feather, the words delicately painted
thereon. In all the rush and fervour, Montag had only an instant to read a line, but it
blazed in his mind for the next minute as if stamped there with fiery steel. "Time has
fallen asleep in the afternoon sunshine." He dropped the book. Immediately, another
fell into his arms.
"Montag, up here! "
Montag's hand closed like a mouth, crushed the book with wild devotion, with an
insanity of mindlessness to his chest. The men above were hurling shovelfuls of
magazines into the dusty air. They fell like slaughtered birds and the woman stood
below, like a small girl, among the bodies.
Montag had done nothing. His hand had done it all, his hand, with a brain of its own,
with a conscience and a curiosity in each trembling finger, had turned thief.. Now, it
plunged the book back under his arm, pressed it tight to sweating armpit, rushed out
empty, with a magician's flourish! Look here! Innocent! Look!
He gazed, shaken, at that white hand. He held it way out, as if he were far-sighted.
He held it close, as if he were blind.
"Montag! "
He jerked about.
"Don't stand there, idiot!"
The books lay like great mounds of fishes left to dry. The men danced and slipped
and fell over them. Titles glittered their golden eyes, falling, gone.
"Kerosene! They pumped the cold fluid from the numbered 451 tanks strapped to
their shoulders. They coated each book, they pumped rooms full of it.
They hurried downstairs, Montag staggered after them in the kerosene fumes.
"Come on, woman!"
The woman knelt among the books, touching the drenched leather and cardboard,
reading the gilt titles with her fingers while her eyes accused Montag.
"You can't ever have my books," she said.
"You know the law," said Beatty. "Where's your common sense? None of those
books agree with each other. You've been locked up here for years with a regular
damned Tower of Babel. Snap out of it! The people in those books never lived. Come
on now! "
She shook her head.
"The whole house is going up;" said Beatty,
The men walked clumsily to the door. They glanced back at Montag, who stood near
the woman.
"You're not leaving her here?" he protested.
"She won't come."
"Force her, then!"
Beatty raised his hand in which was concealed the igniter. "We're due back at the
house. Besides, these fanatics always try suicide; the pattern's familiar."
Montag placed his hand on the woman's elbow. "You can come with me."
"No," she said. "Thank you, anyway."
"I'm counting to ten," said Beatty. "One. Two."
"Please," said Montag.
"Go on," said the woman.
"Three. Four."
"Here." Montag pulled at the woman.
The woman replied quietly, "I want to stay here"
"Five. Six."
"You can stop counting," she said. She opened the fingers of one hand slightly and in
the palm of the hand was a single slender object.
An ordinary kitchen match.
The sight of it rushed the men out and down away from the house. Captain Beatty,
keeping his dignity, backed slowly through the front door, his pink face burnt and
shiny from a thousand fires and night excitements. God, thought Montag, how true!
Always at night the alarm comes. Never by day! Is it because the fire is prettier by
night? More spectacle, a better show? The pink face of Beatty now showed the
faintest panic in the door. The woman's hand twitched on the single matchstick. The
fumes of kerosene bloomed up about her. Montag felt the hidden book pound like a
heart against his chest.
"Go on," said the woman, and Montag felt himself back away and away out of the
door, after Beatty, down the steps, across the lawn, where the path of kerosene lay
like the track of some evil snail.
On the front porch where she had come to weigh them quietly with her eyes, her
quietness a condemnation, the woman stood motionless.
Beatty flicked his fingers to spark the kerosene.
He was too late. Montag gasped.
The woman on the porch reached out with contempt for them all, and struck the
kitchen match against the railing.
People ran out of houses all down the street.
They said nothing on their way back to the firehouse. Nobody looked at anyone else.
Montag sat in the front seat with Beatty and Black. They did not even smoke their
pipes. They sat there looking out of the front of the great salamander as they turned
a corner and went silently on.
"Master Ridley," said Montag at last.
"What?" said Beatty.
"She said, `Master Ridley.' She said some crazy thing when we came in the door.
`Play the man,' she said, `Master Ridley.' Something, something, something."
" `We shall this day light such a candle, by God's grace, in England, as I trust shall
never be put out,"' said Beatty. Stoneman glanced over at the Captain, as did
Montag, startled.
Beatty rubbed his chin. "A man named Latimer said that to a man named Nicholas
Ridley, as they were being burnt alive at Oxford, for heresy, on October 16, 1555."
Montag and Stoneman went back to looking at the street as it moved under the
engine wheels.
"I'm full of bits and pieces," said Beatty. "Most fire captains have to be. Sometimes I
surprise myself. WATCH it, Stoneman!"
Stoneman braked the truck.
"Damn!" said Beatty. "You've gone right by the comer where we turn for the
firehouse."
"Who is it?"
"Who would it be?" said Montag, leaning back against the closed door in the dark.
His wife said, at last, "Well, put on the light."
"I don't want the light."
"Come to bed."
He heard her roll impatiently; the bedsprings squealed.
"Are you drunk?" she said.
So it was the hand that started it all. He felt one hand and then the other work his
coat free and let it slump to the floor. He held his pants out into an abyss and let
them fall into darkness. His hands had been infected, and soon it would be his arms.
He could feel the poison working up his wrists and into his elbows and his shoulders,
and then the jump-over from shoulder-blade to shoulder-blade like a spark leaping a
gap. His hands were ravenous. And his eyes were beginning to feel hunger, as if
they must look at something, anything, everything.
His wife said, "What are you doing?"
He balanced in space with the book in his sweating cold fingers.
A minute later she said, "Well, just don't stand there in the middle of the floor."
He made a small sound.
"What?" she asked.
He made more soft sounds. He stumbled towards the bed and shoved the book
clumsily under the cold pillow. He fell into bed and his wife cried out, startled. He lay
far across the room from her, on a winter island separated by an empty sea. She
talked to him for what seemed a long while and she talked about this and she talked
about that and it was only words, like the words he had heard once in a nursery at a
friend's house, a two-year-old child building word patterns, talking jargon, making
pretty sounds in the air. But Montag said nothing and after a long while when he only
made the small sounds, he felt her move in the room and come to his bed and stand
over him and put her hand down to feel his cheek. He knew that when she pulled her
hand away from his face it was wet.
Late in the night he looked over at Mildred. She was awake. There was a tiny dance
of melody in the air, her Seashell was tamped in her ear again and she was listening
to far people in far places, her eyes wide and staring at the fathoms of blackness
above her in the ceiling.
Wasn't there an old joke about the wife who talked so much on the telephone that her
desperate husband ran out to the nearest store and telephoned her to ask what was
for dinner? Well, then, why didn't he buy himself an audio-Seashell broadcasting
station and talk to his wife late at night, murmur, whisper, shout, scream, yell? But
what would he whisper, what would he yell? What could he say?
And suddenly she was so strange he couldn't believe he knew her at all. He was in
someone else's house, like those other jokes people told of the gentleman, drunk,
coming home late at night, unlocking the wrong door, entering a wrong room, and
bedding with a stranger and getting up early and going to work and neither of them
the wiser.
"Millie.... ?" he whispered.
"What?"
"I didn't mean to startle you. What I want to know is ...."
"Well?"
"When did we meet. And where?"
"When did we meet for what?" she asked.
"I mean-originally."
He knew she must be frowning in the dark.
He clarified it. "The first time we ever met, where was it, and when?"
"Why, it was at --"
She stopped.
"I don't know," she said.
He was cold. "Can't you remember?"
"It's been so long."
"Only ten years, that's all, only ten!"
"Don't get excited, I'm trying to think." She laughed an odd little laugh that went up
and up. "Funny, how funny, not to remember where or when you met your husband
or wife."
He lay massaging his eyes, his brow, and the back of his neck, slowly. He held both
hands over his eyes and applied a steady pressure there as if to crush memory into
place. It was suddenly more important than any other thing in a life-time that he knew
where he had met Mildred.
"It doesn't matter," She was up in the bathroom now, and he heard the water running,
and the swallowing sound she made.
"No, I guess not," he said.
He tried to count how many times she swallowed and he thought of the visit from the
two zinc-oxide-faced men with the cigarettes in their straight-lined mouths and the
electronic-eyed snake winding down into the layer upon layer of night and stone and
stagnant spring water, and he wanted to call out to her, how many have you taken
TONIGHT! the capsules! how many will you take later and not know? and so on,
every hour! or maybe not tonight, tomorrow night! And me not sleeping, tonight or
tomorrow night or any night for a long while; now that this has started. And he
thought of her lying on the bed with the two technicians standing straight over her,
not bent with concern, but only standing straight, arms folded. And he remembered
thinking then that if she died, he was certain he wouldn't cry. For it would be the
dying of an unknown, a street face, a newspaper image, and it was suddenly so very
wrong that he had begun to cry, not at death but at the thought of not crying at death,
a silly empty man near a silly empty woman, while the hungry snake made her still
more empty.
How do you get so empty? he wondered. Who takes it out of you? And that awful
flower the other day, the dandelion! It had summed up everything, hadn't it? "What a
shame! You're not in love with anyone !" And why not?
Well, wasn't there a wall between him and Mildred, when you came down to it?
Literally not just one, wall but, so far, three! And expensive, too! And the uncles, the
aunts, the cousins, the nieces, the nephews, that lived in those walls, the gibbering
pack of tree-apes that said nothing, nothing, nothing and said it loud, loud, loud. He
had taken to calling them relatives from the very first. "How's Uncle Louis today?"
"Who?" "And Aunt Maude?" The most significant memory he had of Mildred, really,
was of a little girl in a forest without trees (how odd!) or rather a little girl lost on a
plateau where there used to be trees (you could feel the memory of their shapes all
about) sitting in the centre of the "living-room." The living-room; what a good job of
labelling that was now. No matter when he came in, the walls were always talking to
Mildred.
"Something must be done!I"
"Yes, something must be done!"
"Well, let's not stand and talk!"
"Let's do it! "
"I'm so mad I could SPIT!"
What was it all about? Mildred couldn't say. Who was mad at whom? Mildred didn't
quite know. What were they going to do? Well, said Mildred, wait around and see.
He had waited around to see.
A great thunderstorm of sound gushed from the walls. Music bombarded him at such
an immense volume that his bones were almost shaken from their tendons; he felt
his jaw vibrate, his eyes wobble in his head. He was a victim of concussion. When it
was all over he felt like a man who had been thrown from a cliff, whirled in a
centrifuge and spat out over a waterfall that fell and fell into emptiness and emptiness
and never-quite-touched-bottom-never-never-quite-no not quite-touched-bottom ...
and you fell so fast you didn't touch the sides either ... never ... quite . . . touched .
anything.
The thunder faded. The music died.
"There," said Mildred,
And it was indeed remarkable. Something had happened. Even though the people in
the walls of the room had barely moved, and nothing had really been settled, you had
the impression that someone had turned on a washing-machine or sucked you up in
a gigantic vacuum. You drowned in music and pure cacophony. He came out of the
room sweating and on the point of collapse. Behind him, Mildred sat in her chair and
the voices went on again:
"Well, everything will be all right now," said an "aunt."
"Oh, don't be too sure," said a "cousin."
"Now, don't get angry!"
"Who's angry?"
"YOU are ! "
"You're mad!"
"Why should I be mad!"
"Because!"
"That's all very well," cried Montag, "but what are they mad about? Who are these
people? Who's that man and who's that woman? Are they husband and wife, are
they divorced, engaged, what? Good God, nothing's connected up."
"They--" said Mildred. "Well, they-they had this fight, you see. They certainly fight a
lot. You should listen. I think they're married. Yes, they're married. Why?"
And if it was not the three walls soon to be four walls and the dream complete, then it
was the open car and Mildred driving a hundred miles an hour across town, he
shouting at her and she shouting back and both trying to hear what was said, but
hearing only the scream of the car. "At least keep it down to the minimum !" he
yelled: "What?" she cried. "Keep it down to fifty-five, the minimum! " he shouted. "The
what?" she shrieked. "Speed!" he shouted. And she pushed it up to one hundred and
five miles an hour and tore the breath from his mouth.
When they stepped out of the car, she had the Seashells stuffed in her ears.
Silence. Onlv the wind blowing softlv.
"Mildred." He stirred in bed.
He reached over and pulled one of the tiny musical insects out of her ear. "Mildred.
Mildred?"
"Yes." Her voice was faint.
He felt he was one of the creatures electronically inserted between the slots of the
phono-colour walls, speaking, but the speech not piercing the crystal barrier. He
could only pantomime, hoping she would turn his way and see him. They could not
touch through the glass.
"Mildred, do you know that girl I was telling you about?"
"What girl?" She was almost asleep.
"The girl next door."
"What girl next door?"
"You know, the high-school girl. Clarisse, her name is."
"Oh, yes," said his wife.
"I haven't seen her for a few days-four days to be exact. Have you seen her?"
"No."
"I've meant to talk to you about her. Strange."
"Oh, I know the one you mean."
"I thought you would."
"Her," said Mildred in the dark room.
"What about her?" asked Montag.
"I meant to tell you. Forgot. Forgot."
"Tell me now. What is it?"
"I think she's gone."
"Gone?"
"Whole family moved out somewhere. But she's gone for good. I think she's dead."
"We couldn't be talking about the same girl."
"No. The same girl. McClellan. McClellan, Run over by a car. Four days ago. I'm not
sure. But I think she's dead. The family moved out anyway. I don't know. But I think
she's dead."
"You're not sure of it! "
"No, not sure. Pretty sure."
"Why didn't you tell me sooner?"
"Forgot."
"Four days ago!"
"I forgot all about it."
"Four days ago," he said, quietly, lying there.
They lay there in the dark room not moving, either of them. "Good night," she said.
He heard a faint rustle. Her hands moved. The electric thimble moved like a praying
mantis on the pillow, touched by her hand. Now it was in her ear again, humming.
He listened and his wife was singing under her breath.
Outside the house, a shadow moved, an autumn wind rose up and faded away But
there was something else in the silence that he heard. It was like a breath exhaled
upon the window. It was like a faint drift of greenish luminescent smoke, the motion
of a single huge October leaf blowing across the lawn and away.
The Hound, he thought. It's out there tonight. It's out there now. If I opened the
window . . .
He did not open the window.
He had chills and fever in the morning.
"You can't be sick," said Mildred.
He closed his eyes over the hotness. "Yes."
"But you were all right last night."
"No, I wasn't all right " He heard the "relatives" shouting in the parlour.
Mildred stood over his bed, curiously. He felt her there, he saw her without opening
his eyes, her hair burnt by chemicals to a brittle straw, her eyes with a kind of
cataract unseen but suspect far behind the pupils, the reddened pouting lips, the
body as thin as a praying mantis from dieting, and her flesh like white bacon. He
could remember her no other way.
"Will you bring me aspirin and water?"
"You've got to get up," she said. "It's noon. You've slept five hours later than usual."
"Will you turn the parlour off?" he asked.
"That's my family."
"Will you turn it off for a sick man?"
"I'll turn it down."
She went out of the room and did nothing to the parlour and came back. "Is that
better?"
"Thanks."
"That's my favourite programme," she said.
"What about the aspirin?"
"You've never been sick before." She went away again.
"Well, I'm sick now. I'm not going to work tonight. Call Beatty for me."
"You acted funny last night." She returned, humming.
"Where's the aspirin?" He glanced at the water-glass she handed him.
"Oh." She walked to the bathroom again. "Did something happen?"
"A fire, is all."
"I had a nice evening," she said, in the bathroom.
"What doing?"
"The parlour."
"What was on?"
"Programmes."
"What programmes?"
"Some of the best ever."
"Who?".
"Oh, you know, the bunch."
"Yes, the bunch, the bunch, the bunch." He pressed at the pain in his eyes and
suddenly the odour of kerosene made him vomit.
Mildred came in, humming. She was surprised. "Why'd you do that?"
He looked with dismay at the floor. "We burned an old woman with her books."
"It's a good thing the rug's washable." She fetched a mop and worked on it. "I went to
Helen's last night."
"Couldn't you get the shows in your own parlour?"
"Sure, but it's nice visiting."
She went out into the parlour. He heard her singing.
"Mildred?" he called.
She returned, singing, snapping her fingers softly.
"Aren't you going to ask me about last night?" he said.
"What about it?"
"We burned a thousand books. We burned a woman."
"Well?"
The parlour was exploding with sound.
"We burned copies of Dante and Swift and Marcus Aurelius."
"Wasn't he a European?"
"Something like that."
"Wasn't he a radical?"
"I never read him."
"He was a radical." Mildred fiddled with the telephone. "You don't expect me to call
Captain Beatty, do you?"
"You must! "
"Don't shout!"
"I wasn't shouting." He was up in bed, suddenly, enraged and flushed, shaking. The
parlour roared in the hot air. "I can't call him. I can't tell him I'm sick."
"Why?"
Because you're afraid, he thought. A child feigning illness, afraid to call because after
a moment's discussion, the conversation would run so: "Yes, Captain, I feel better
already. I'll be in at ten o'clock tonight."
"You're not sick," said Mildred.
Montag fell back in bed. He reached under his pillow. The hidden book was still
there.
"Mildred, how would it be if, well, maybe, I quit my job awhile?"
"You want to give up everything? After all these years of working, because, one
night, some woman and her books--"
"You should have seen her, Millie! "
"She's nothing to me; she shouldn't have had books. It was her responsibility, she
should have thought of that. I hate her. She's got you going and next thing you know
we'll be out, no house, no job, nothing."
"You weren't there, you didn't see," he said. "There must be something in books,
things we can't imagine, to make a woman stay in a burning house; there must be
something there. You don't stay for nothing."
"She was simple-minded."
"She was as rational as you and I, more so perhaps, and we burned her."
"That's water under the bridge."
"No, not water; fire. You ever seen a burned house? It smoulders for days. Well, this
fire'll last me the rest of my life. God! I've been trying to put it out, in my mind, all
night. I'm crazy with trying."
"You should have thought of that before becoming a fireman."
"Thought! " he said. "Was I given a choice? My grandfather and father were firemen.
In my sleep, I ran after them."
The parlour was playing a dance tune.
"This is the day you go on the early shift," said Mildred. "You should have gone two
hours ago. I just noticed."
"It's not just the woman that died," said Montag. "Last night I thought about all the
kerosene I've used in the past ten years. And I thought about books. And for the first
time I realized that a man was behind each one of the books. A man had to think
them up. A man had to take a long time to put them down on paper. And I'd never
even thought that thought before." He got out of bed.
"It took some man a lifetime maybe to put some of his thoughts down, looking around
at the world and life, and then I came along in two minutes and boom! it's all over."
"Let me alone," said Mildred. "I didn't do anything."
"Let you alone! That's all very well, but how can I leave myself alone? We need not to
be let alone. We need to be really bothered once in a while. How long is it since you
were really bothered? About something important, about something real?"
And then he shut up, for he remembered last week and the two white stones staring
up at the ceiling and the pump-snake with the probing eye and the two soap-faced
men with the cigarettes moving in their mouths when they talked. But that was
another Mildred, that was a Mildred so deep inside this one, and so bothered, really
bothered, that the two women had never met. He turned away.
Mildred said, "Well, now you've done it. Out front of the house. Look who's here.".
"I don't care."
"There's a Phoenix car just driven up and a man in a black shirt with an orange snake
stitched on his arm coming up the front walk."
"Captain Beauty?" he said,
"Captain Beatty."
Montag did not move, but stood looking into the cold whiteness of the wall
immediately before him.
"Go let him in, will you? Tell him I'm sick."
"Tell him yourself!" She ran a few steps this way, a few steps that, and stopped, eyes
wide, when the front door speaker called her name, softly, softly, Mrs. Montag, Mrs.
Montag, someone here, someone here, Mrs. Montag, Mrs. Montag, someone's here.
Fading.
Montag made sure the book was well hidden behind the pillow, climbed slowly back
into bed, arranged the covers over his knees and across his chest, half-sitting, and
after a while Mildred moved and went out of the room and Captain Beatty strolled in,
his hands in his pockets.
"Shut the 'relatives' up," said Beatty, looking around at everything except Montag and
his wife.
This time, Mildred ran. The yammering voices stopped yelling in the parlour.
Captain Beatty sat down in the most comfortable chair with a peaceful look on his
ruddy face. He took time to prepare and light his brass pipe and puff out a great
smoke cloud. "Just thought I'd come by and see how the sick man is."
"How'd you guess?"
Beatty smiled his smile which showed the candy pinkness of his gums and the tiny
candy whiteness of his teeth. "I've seen it all. You were going to call for a night off."
Montag sat in bed.
"Well," said Beatty, "take the night off!" He examined his eternal matchbox, the lid of
which said GUARANTEED: ONE MILLION LIGHTS IN THIS IGNITER, and began to
strike the chemical match abstractedly, blow out, strike, blow out, strike, speak a few
words, blow out. He looked at the flame. He blew, he looked at the smoke. "When
will you be well?"
"Tomorrow. The next day maybe. First of the week."
Beatty puffed his pipe. "Every fireman, sooner or later, hits this. They only need
understanding, to know how the wheels run. Need to know the history of our
profession. They don't feed it to rookies like they used to. Damn shame." Puff. "Only
fire chiefs remember it now." Puff. "I'll let you in on it."
Mildred fidgeted.
Beatty took a full minute to settle himself in and think back for what he wanted to say.
"When did it all start, you ask, this job of ours, how did it come about, where, when?
Well, I'd say it really got started around about a thing called the Civil War. Even
though our rule-book claims it was founded earlier. The fact is we didn't get along
well until photography came into its own. Then--motion pictures in the early twentieth
century. Radio. Television. Things began to have mass."
Montag sat in bed, not moving.
"And because they had mass, they became simpler," said Beatty. "Once, books
appealed to a few people, here, there, everywhere. They could afford to be different.
The world was roomy. But then the world got full of eyes and elbows and mouths.
Double, triple, quadruple population. Films and radios, magazines, books levelled
down to a sort of paste pudding norm, do you follow me?"
"I think so."
Beatty peered at the smoke pattern he had put out on the air. "Picture it. Nineteenthcentury
man with his horses, dogs, carts, slow motion. Then, in the twentieth century,
speed up your camera. Books cut shorter. Condensations, Digests. Tabloids.
Everything boils down to the gag, the snap ending."
"Snap ending." Mildred nodded.
"Classics cut to fit fifteen-minute radio shows, then cut again to fill a two-minute book
column, winding up at last as a ten- or twelve-line dictionary resume. I exaggerate, of
course. The dictionaries were for reference. But many were those whose sole
knowledge of Hamlet (you know the title certainly, Montag; it is probably only a faint
rumour of a title to you, Mrs. Montag) whose sole knowledge, as I say, of Hamlet was
a one-page digest in a book that claimed: 'now at least you can read all the classics;
keep up with your neighbours.' Do you see? Out of the nursery into the college and
back to the nursery; there's your intellectual pattern for the past five centuries or
more."
Mildred arose and began to move around the room, picking things up and putting
them down. Beatty ignored her and continued
"Speed up the film, Montag, quick. Click? Pic? Look, Eye, Now, Flick, Here, There,
Swift, Pace, Up, Down, In, Out, Why, How, Who, What, Where, Eh? Uh! Bang!
Smack! Wallop, Bing, Bong, Boom! Digest-digests, digest-digest-digests. Politics?
One column, two sentences, a headline! Then, in mid-air, all vanishes! Whirl man's
mind around about so fast under the pumping hands of publishers, exploiters,
broadcasters, that the centrifuge flings off all unnecessary, time-wasting thought!"
Mildred smoothed the bedclothes. Montag felt his heart jump and jump again as she
patted his pillow. Right now she was pulling at his shoulder to try to get him to move
so she could take the pillow out and fix it nicely and put it back. And perhaps cry out
and stare or simply reach down her hand and say, "What's this?" and hold up the
hidden book with touching innocence.
"School is shortened, discipline relaxed, philosophies, histories, languages dropped,
English and spelling gradually neglected, finally almost completely ignored. Life is
immediate, the job counts, pleasure lies all about after work. Why learn anything
save pressing buttons, pulling switches, fitting nuts and bolts?"
"Let me fix your pillow," said Mildred.
"No! " whispered Montag,
"The zipper displaces the button and a man lacks just that much time to think while
dressing at. dawn, a philosophical hour, and thus a melancholy hour."
Mildred said, "Here."
"Get away," said Montag.
"Life becomes one big pratfall, Montag; everything bang; boff, and wow!"
"Wow," said Mildred, yanking at the pillow.
"For God's sake, let me be!" cried Montag passionately.
Beatty opened his eyes wide.
Mildred's hand had frozen behind the pillow. Her fingers were tracing the book's
outline and as the shape became familiar her face looked surprised and then
stunned. Her mouth opened to ask a question . . .
"Empty the theatres save for clowns and furnish the rooms with glass walls and
pretty colours running up and down the walls like confetti or blood or sherry or
sauterne. You like baseball, don't you, Montag?"
"Baseball's a fine game."
Now Beatty was almost invisible, a voice somewhere behind a screen of smoke
"What's this?" asked Mildred, almost with delight. Montag heaved back against her
arms. "What's this here?"
"Sit down!" Montag shouted. She jumped away, her hands empty. "We're talking ! "
Beatty went on as if nothing had happened. "You like bowling, don't you, Montag?"
"Bowling, yes."
"And golf?"
"Golf is a fine game."
"Basketball?"
"A fine game.".
"Billiards, pool? Football?"
"Fine games, all of them."
"More sports for everyone, group spirit, fun, and you don't have to think, eh?
Organize and organize and superorganize super-super sports. More cartoons in
books. More pictures. The mind drinks less and less. Impatience. Highways full of
crowds going somewhere, somewhere, somewhere, nowhere. The gasoline refugee.
Towns turn into motels, people in nomadic surges from place to place, following the
moon tides, living tonight in the room where you slept this noon and I the night
before."
Mildred went out of the room and slammed the door. The parlour "aunts" began to
laugh at the parlour "uncles.",
"Now let's take up the minorities in our civilization, shall we? Bigger the population,
the more minorities. Don't step on the toes of the dog?lovers, the cat?lovers, doctors,
lawyers, merchants, chiefs, Mormons, Baptists, Unitarians, second?generation
Chinese, Swedes, Italians, Germans, Texans, Brooklynites, Irishmen, people from
Oregon or Mexico. The people in this book, this play, this TV serial are not meant to
represent any actual painters, cartographers, mechanics anywhere. The bigger your
market, Montag, the less you handle controversy, remember that! All the minor minor
minorities with their navels to be kept clean. Authors, full of evil thoughts, lock up
your typewriters. They did. Magazines became a nice blend of vanilla tapioca. Books,
so the damned snobbish critics said, were dishwater. No wonder books stopped
selling, the critics said. But the public, knowing what it wanted, spinning happily, let
the comic?books survive. And the three?dimensional sex?magazines, of course.
There you have it, Montag. It didn't come from the Government down. There was no
dictum, no declaration, no censorship, to start with, no! Technology, mass
exploitation, and minority pressure carried the trick, thank God. Today, thanks to
them, you can stay happy all the time, you are allowed to read comics, the good old
confessions, or trade?journals."
"Yes, but what about the firemen, then?" asked Montag.
"Ah." Beatty leaned forward in the faint mist of smoke from his pipe. "What more
easily explained and natural? With school turning out more runners, jumpers, racers,
tinkerers, grabbers, snatchers, fliers, and swimmers instead of examiners, critics,
knowers, and imaginative creators, the word `intellectual,' of course, became the
swear word it deserved to be. You always dread the unfamiliar. Surely you remember
the boy in your own school class who was exceptionally 'bright,' did most of the
reciting and answering while the others sat like so many leaden idols, hating him.
And wasn't it this bright boy you selected for beatings and tortures after hours? Of
course it was. We must all be alike. Not everyone born free and equal, as the
Constitution says, but everyone made equal. Each man the image of every other;
then all are happy, for there are no mountains to make them cower, to judge
themselves against. So! A book is a loaded gun in the house next door. Burn it. Take
the shot from the weapon. Breach man's mind. Who knows who might be the target
of the well?read man? Me? I won't stomach them for a minute. And so when houses
were finally fireproofed completely, all over the world (you were correct in your
assumption the other night) there was no longer need of firemen for the old
purposes. They were given the new job, as custodians of our peace of mind, the
focus of our understandable and rightful dread of being inferior; official censors,
judges, and executors. That's you, Montag, and that's me."
The door to the parlour opened and Mildred stood there looking in at them, looking at
Beatty and then at Montag. Behind her the walls of the room were flooded with green
and yellow and orange fireworks sizzling and bursting to some music composed
almost completely of trap?drums, tom?toms, and cymbals. Her mouth moved and
she was saying something but the sound covered it.
Beatty knocked his pipe into the palm of his pink hand, studied the ashes as if they
were a symbol to be diagnosed and searched for meaning.
"You must understand that our civilization is so vast that we can't have our minorities
upset and stirred. Ask yourself, What do we want in this country, above all? People
want to be happy, isn't that right? Haven't you heard it all your life? I want to be
happy, people say. Well, aren't they? Don't we keep them moving, don't we give
them fun? That's all we live for, isn't it? For pleasure, for titillation? And you must
admit our culture provides plenty of these."
"Yes."
Montag could lip?read what Mildred was saying in the doorway. He tried not to look
at her mouth, because then Beatty might turn and read what was there, too.
"Coloured people don't like Little Black Sambo. Burn it. White people don't feel good
about Uncle Tom's Cabin. Burn it. Someone's written a book on tobacco and cancer
of the lungs? The cigarette people are weeping? Bum the book. Serenity, Montag.
Peace, Montag. Take your fight outside. Better yet, into the incinerator. Funerals are
unhappy and pagan? Eliminate them, too. Five minutes after a person is dead he's
on his way to the Big Flue, the Incinerators serviced by helicopters all over the
country. Ten minutes after death a man's a speck of black dust. Let's not quibble
over individuals with memoriams. Forget them. Burn them all, burn everything. Fire is
bright and fire is clean."
The fireworks died in the parlour behind Mildred. She had stopped talking at the
same time; a miraculous coincidence. Montag held his breath.
"There was a girl next door," he said, slowly. "She's gone now, I think, dead. I can't
even remember her face. But she was different. How?how did she happen?"
Beatty smiled. "Here or there, that's bound to occur. Clarisse McClellan? We've a
record on her family. We've watched them carefully. Heredity and environment are
funny things. You can't rid yourselves of all the odd ducks in just a few years. The
home environment can undo a lot you try to do at school. That's why we've lowered
the kindergarten age year after year until now we're almost snatching them from the
cradle. We had some false alarms on the McClellans, when they lived in Chicago.
Never found a book. Uncle had a mixed record; anti?social. The girl? She was a time
bomb. The family had been feeding her subconscious, I'm sure, from what I saw of
her school record. She didn't want to know how a thing was done, but why. That can
be embarrassing. You ask Why to a lot of things and you wind up very unhappy
indeed, if you keep at it. The poor girl's better off dead."
"Yes, dead."
"Luckily, queer ones like her don't happen, often. We know how to nip most of them
in the bud, early. You can't build a house without nails and wood. If you don't want a
house built, hide the nails and wood. If you don't want a man unhappy politically,
don't give him two sides to a question to worry him; give him one. Better yet, give him
none. Let him forget there is such a thing as war. If the Government is inefficient,
top?heavy, and tax?mad, better it be all those than that people worry over it. Peace,
Montag. Give the people contests they win by remembering the words to more
popular songs or the names of state capitals or how much corn Iowa grew last year.
Cram them full of non?combustible data, chock them so damned full of 'facts' they
feel stuffed, but absolutely `brilliant' with information. Then they'll feel they're thinking,
they'll get a sense of motion without moving. And they'll be happy, because facts of
that sort don't change. Don't give them any slippery stuff like philosophy or sociology
to tie things up with. That way lies melancholy. Any man who can take a TV wall
apart and put it back together again, and most men can nowadays, is happier than
any man who tries to slide?rule, measure, and equate the universe, which just won't
be measured or equated without making man feel bestial and lonely. I know, I've tried
it; to hell with it. So bring on your clubs and parties, your acrobats and magicians,
your dare-devils, jet cars, motor?cycle helicopters, your sex and heroin, more of
everything to do with automatic reflex. If the drama is bad, if the film says nothing, if
the play is hollow, sting me with the theremin, loudly. I'll think I'm responding to the
play, when it's only a tactile reaction to vibration. But I don't care. I just like solid
entertainment."
Beatty got up. "I must be going. Lecture's over. I hope I've clarified things. The
important thing for you to remember, Montag, is we're the Happiness Boys, the Dixie
Duo, you and I and the others. We stand against the small tide of those who want to
make everyone unhappy with conflicting theory and thought. We have our fingers in
the dyke. Hold steady. Don't let the torrent of melancholy and drear philosophy drown
our world. We depend on you. I don't think you realize how important you are, to our
happy world as it stands now."
Beatty shook Montag's limp hand. Montag still sat, as if the house were collapsing
about him and he could not move, in the bed. Mildred had vanished from the door.
"One last thing," said Beatty. "At least once in his career, every fireman gets an itch.
What do the books say, he wonders. Oh, to scratch that itch, eh? Well, Montag, take
my word for it, I've had to read a few in my time, to know what I was about, and the
books say nothing! Nothing you can teach or believe. They're about non?existent
people, figments of imagination, if they're fiction. And if they're non?fiction, it's worse,
one professor calling another an idiot, one philosopher screaming down another's
gullet. All of them running about, putting out the stars and extinguishing the sun. You
come away lost."
"Well, then, what if a fireman accidentally, really not, intending anything, takes a book
home with him?"
Montag twitched. The open door looked at him with its great vacant eye.
"A natural error. Curiosity alone," said Beatty. "We don't get over?anxious or mad.
We let the fireman keep the book twenty?four hours. If he hasn't burned it by then,
we simply come and burn it for him."
"Of course." Montag's mouth was dry.
"Well, Montag. Will you take another, later shift, today? Will we see you tonight
perhaps?"
"I don't know," said Montag.
"What?" Beatty looked faintly surprised.
Montag shut his eyes. "I'll be in later. Maybe."
"We'd certainly miss you if you didn't show," said Beatty, putting his pipe in his pocket
thoughtfully.
I'll never come in again, thought Montag.
"Get well and keep well," said Beatty.
He turned and went out through the open door.
Montag watched through the window as Beatty drove away in his gleaming
yellow?flame?coloured beetle with the black, char?coloured tyres.
Across the street and down the way the other houses stood with their flat fronts.
What was it Clarisse had said one afternoon? "No front porches. My uncle says there
used to be front porches. And people sat there sometimes at night, talking when they
wanted to talk, rocking, and not talking when they didn't want to talk. Sometimes they
just sat there and thought about things, turned things over. My uncle says the
architects got rid of the front porches because they didn't look well. But my uncle
says that was merely rationalizing it; the real reason, hidden underneath, might be
they didn't want people sitting like that, doing nothing, rocking, talking; that was the
wrong kind of social life. People talked too much. And they had time to think. So they
ran off with the porches. And the gardens, too. Not many gardens any more to sit
around in. And look at the furniture. No rocking?chairs any more. They're too
comfortable. Get people up and running around. My uncle says . . . and . . . my uncle
. . . and . . . my uncle . . ." Her voice faded.
Montag turned and looked at his wife, who sat in the middle of the parlour talking to
an announcer, who in turn was talking to her. "Mrs. Montag," he was saying. This,
that and the other. "Mrs. Montag?" Something else and still another. The converter
attachment, which had cost them one hundred dollars, automatically supplied her
name whenever the announcer addressed his anonymous audience, leaving a blank
where the proper syllables could be filled in. A special spot?wavex?scrambler also
caused his televised image, in the area immediately about his lips, to mouth the
vowels and consonants beautifully. He was a friend, no doubt of it, a good friend.
"Mrs. Montag?now look right here."
Her head turned. Though she quite obviously was not listening.
Montag said, "It's only a step from not going to work today to not working tomorrow,
to not working at the firehouse ever again." ,
"You are going to work tonight, though, aren't you?" said Mildred.
"I haven't decided. Right now I've got an awful feeling I want to smash things and kill
things :'
"Go take the beetle."
"No thanks."
"The keys to the beetle are on the night table. I always like to drive fast when I feel
that way. You get it up around ninetyfive and you feel wonderful. Sometimes I drive
all night and come back and you don't know it. It's fun out in the country. You hit
rabbits, sometimes you hit dogs. Go take the beetle."
"No, I don't want to, this time. I want to hold on to this funny thing. God, it's gotten big
on me. I don't know what it is. I'm so damned unhappy, I'm so mad, and I don't know
why I feel like I'm putting on weight. I feel fat. I feel like I've been saving up a lot of
things, and don't know what. I might even start reading books."
"They'd put you in jail, wouldn't they?" She looked at him as if he were behind the
glass wall.
He began to put on his clothes, moving restlessly about the bedroom. "Yes, and it
might be a good idea. Before I hurt someone. Did you hear Beatty? Did you listen to
him? He knows all the answers. He's right. Happiness is important. Fun is everything.
And yet I kept sitting there saying to myself, I'm not happy, I'm not happy."
"I am." Mildred's mouth beamed. "And proud of it."
"I'm going to do something," said Montag. "I don't even know what yet, but I'm going
to do something big."
"I'm tired of listening to this junk," said Mildred, turning from him to the announcer
again
Montag touched the volume control in the wall and the announcer was speechless.
"Millie?" He paused. "This is your house as well as mine. I feel it's only fair that I tell
you something now. I should have told you before, but I wasn't even admitting it to
myself. I have something I want you to see, something I've put away and hid during
the past year, now and again, once in a while, I didn't know why, but I did it and I
never told you."
He took hold of a straight?backed chair and moved it slowly and steadily into the hall
near the front door and climbed up on it and stood for a moment like a statue on a
pedestal, his wife standing under him, waiting. Then he reached up and pulled back
the grille of the air?conditioning system and reached far back inside to the right and
moved still another sliding sheet of metal and took out a book. Without looking at it
he dropped it to the floor. He put his hand back up and took out two books and
moved his hand down and dropped the two books to the floor. He kept moving his
hand and dropping books, small ones, fairly large ones, yellow, red, green ones.
When he was done he looked down upon some twenty books lying at his wife's feet.
"I'm sorry," he said. "I didn't really think. But now it looks as if we're in this together."
Mildred backed away as if she were suddenly confronted by a pack of mice that had
come up out of the floor. He could hear her breathing rapidly and her face was paled
out and her eyes were fastened wide. She said his name over, twice, three times.
Then moaning, she ran forward, seized a book and ran toward the kitchen
incinerator.
He caught her, shrieking. He held her and she tried to fight away from him,
scratching.
"No, Millie, no! Wait! Stop it, will you? You don't know . . . stop it!" He slapped her
face, he grabbed her again and shook her.
She said his name and began to cry.
"Millie! "' he said. "Listen. Give me a second, will you? We can't do anything. We
can't burn these. I want to look at them, at least look at them once. Then if what the
Captain says is true, we'll burn them together, believe me, we'll burn them together.
You must help me." He looked down into her face and took hold of her chin and held
her firmly. He was looking not only at her, but for himself and what he must do, in her
face. "Whether we like this or not, we're in it. I've never asked for much from you in
all these years, but I ask it now, I plead for it. We've got to start somewhere here,
figuring out why we're in such a mess, you and the medicine at night, and the car,
and me and my work. We're heading right for the cliff, Millie. God, I don't want to go
over. This isn't going to be easy. We haven't anything to go on, but maybe we can
piece it out and figure it and help each other. I need you so much right now, I can't
tell you. If you love me at all you'll put up with this, twenty?four, forty?eight hours,
that's all I ask, then it'll be over. I promise, I swear! And if there is something here,
just one little thing out of a whole mess of things, maybe we can pass it on to
someone else."
She wasn't fighting any more, so he let her go. She sagged away from him and slid
down the wall, and sat on the floor looking at the books. Her foot touched one and
she saw this and pulled her foot away.
"That woman, the other night, Millie, you weren't there. You didn't see her face. And
Clarisse. You never talked to her. I talked to her. And men like Beatty are afraid of
her. I can't understand it. Why should they be so afraid of someone like her? But I
kept putting her alongside the firemen in the house last night, and I suddenly realized
I didn't like them at all, and I didn't like myself at all any more. And I thought maybe it
would be best if the firemen themselves were burnt."
"Guy! "
The front door voice called softly:
"Mrs. Montag, Mrs. Montag, someone here, someone here, Mrs. Montag, Mrs.
Montag, someone here."
Softly.
They turned to stare at the door and the books toppled everywhere, everywhere in
heaps.
"Beatty!" said Mildred.
"It can't be him."
"He's come back!" she whispered.
The front door voice called again softly. "Someone here . . ."
"We won't answer." Montag lay back against the wall and then slowly sank to a
crouching position and began to nudge the books, bewilderedly, with his thumb, his
forefinger. He was shivering and he wanted above all to shove the books up through
the ventilator again, but he knew he could not face Beatty again. He crouched and
then he sat and the voice of the front door spoke again, more insistently. Montag
picked a single small volume from the floor. "Where do we begin?" He opened the
book half?way and peered at it. "We begin by beginning, I guess."
"He'll come in," said Mildred, "and burn us and the books!"
The front door voice faded at last. There was a silence. Montag felt the presence of
someone beyond the door, waiting, listening. Then the footsteps going away down
the walk and over the lawn.
"Let's see what this is," said Montag.
He spoke the words haltingly and with a terrible selfconsciousness. He read a dozen
pages here and there and came at last to this:
" `It is computed that eleven thousand persons have at several times suffered death
rather than submit to break eggs at the smaller end."'
Mildred sat across the hall from him. "What does it mean? It doesn't mean anything!
The Captain was right! "
"Here now," said Montag. "We'll start over again, at the beginning."

La Terre et la Lune

01/11/2014 14:06

La Terre et la Lune sont âgées de 4.5 milliards d'années. La Lune est le satellite naturel de la Terre.

Origine: collision entre deux corps célestres.

Pourquoi les planètres sont-elles rondes? À cause de la force d'attraction.

 

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Deux types de planètes

01/10/2014 11:22
  • Tellurique (solide) comme la terre
  • Gazeuze comme Jupiter, Saturne
 
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Les systèmes planétaires

01/10/2014 10:18
  • Ils comportent une étoile en leur centre.
  • Des corps célestres (planètes) tournent autour de cette étoile sur des trajectoires appelées orbites.
Notre système planétaire se nomme système solaire.
  • Son étoile est le Soleil
Notre système solaire est âgé de 4,5 milliards d'années. Huit planètes sont en orbite autour du Soleil.
 
 
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Les galaxies

13/09/2014 13:19
  • Ce sont des regroupements d'étoiles, de gaz et de poussières.
  • Les étoiles se forment à partir de ces nuages de gaz et de poussières.
  • Elles ont des formes diverses:
  1. Spirales
  2. Lenticulaires
  3. Irrégulières
  • Notre Glaxie se nomme: La Voie Lactée. Elle est de forme spirale et âgée de 11 milliards d'années.
  • La force de gravitation est responsable de la forme et du mouvement de la galaxie.
 
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L'univers

01/09/2014 16:06
  • Il est âgé de 13,7 milliards d'années.

Milliards d'années (symbole): Ga.

  • La formation de l'univers est le résultat du Big Bang: une gigantesque explosion.
  • L'univers comprends des milliards de galaxies.

Notre galaxie: La Voie Lactée

Forme: en spirale.

 

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La musique

01/09/2014 15:58

La musique a d'étonnants pouvoirs sur le comportement des humains. Parfois, elle peut être bénéfique, parfois néfaste. Somme toute, la musique influence nos comportements tant sur le plan psychologique que social.

 

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L'obésité

01/09/2014 15:14

L'importance acordée à l'apparence physique par les jeunes est un phénomène qui s'amplifie depuis plusieurs années. Les magazines font étalage de corps d'une minceur exagérée et ces modèles influencent beaucoup les jeunes. Pourtant, les problèmes reliés à l'obésité s'accentuent. En effet, la proportion de jeunes trop gros a presque doublé au Canada de 1981 à 1996. On peut donc se demander quelles sont les causes reliées au problème de l'obésité.

 

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Ankylosaure

01/09/2014 14:38

Ce dinosaure se servait de sa longue queue comme d'une arme puisqu'elle se terminait par une massue. Le corps de l'ankylosaure était recouvert de plaques osseuses et d'épines. Ce la formait une véritable armure. Le mot ankylosaure signifie «lézard rigide». L'ankylosaure était un paisible herbivore.

Photo: https://cms.valeriebeaulieu.webnode.com/galerie-photos/#ankylosaure-jpg

 

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Antilope saïga

01/09/2014 11:31

Cette antilope, qui n'a pas changé depuis la préhistoire, vit dans les steppes russes. Ces steppes russes sont des plaines immenses, sans arbres et avec peu de végétation. Le climat y est sec et froid. En hiver, la fourrure de l'antilope saïga devient blanche. Son museau en forme de trompe lui permet de s'adapter à la température et de filtrer la poussière.

Photo: https://cms.valeriebeaulieu.webnode.com/galerie-photos/#antilope-sa%c3%afga-jpg

 

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Archelon

24/08/2014 10:28

Cette tortue de mer est la plus grande qui ait jamais vécu! Le plus grand fossile d'archelon retrouvé avait une carapace aussi haute que deux grans hommes. Cette tortue apparaît dans une des aventures du dinosaure Petit Pied.

https://cms.valeriebeaulieu.webnode.com/galerie-photos/#telechargement-jpg

 

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Toumaï

18/08/2014 09:41

(Sahelanthtopus tchadensis)

Âge des ossements: 7 millions d'années.

Découverte: au Tchad (Afrique), en 2001. Comme on n'a retrouvé qu'un crâne, un morceau de mâchoire et des dents de Toumaï, son mode de vie est mal connu. Était-il bipède? Est-ce le plus vieil ancêtre connu de l'humain ou des grands singes?

Description physique: les dents, l'épaisseur de l'émail et la forme de la face de Toumaï ressemblent à celles des hominidés. Par contre, sa taille (1,15 m à 1,25 m) et le volume de son crâne ressemblent à ceux des grands singes.

Habitat: bords des lacs, savanes parsemées d'arbres et forêts peu denses.

Régime alimentaire: inconnu.

Outils: inconnus.

https://cms.valeriebeaulieu.webnode.com/galerie-photos/#telechargement-1-jpg
 

 

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Saturne

12/08/2014 10:15

Cette planète qu'on peut voir à l'oeil nu doit sa belle couleur caramel à la brume qui se trouve au-dessus de ses nuages. Cette planète est célèbre grâce à ses anneaux faits de petits morceaux de glace et de poussière.

https://cms.valeriebeaulieu.webnode.com/galerie-photos/#saturne-jpg
 
 
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Capsules Soyouz

21/07/2014 13:33

La première capsule Soyouz a été envoyée dans l'espace en 1967. Depuis, ces véhicules n'ont pas beaucoup changé. Ils servent aussi à amener des gens et de l'équipement jusqu'à la Station spatiale internationale. Lorsqu'une capsule Soyouz revient sur Terre, un petit parachute s'ouvre d'abord à 10 kilomètres du sol et la ralentit. Puis, à 5,5 kilomètres du sol, un second parachute, plus grand, s'ouvre et ralentit encore plus la fusée.

 

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Le poisson-scie

21/07/2014 13:16

Le poisson-scie est un proche parent des requins. Comme ces derniers, c'est un poisson dont le squelette est fait de cartilage et non d'os. Le poisson-scie utilise sont museau pour tuer des petits poissons, se défendre contre un ennemi et aussi pour fouiller le sable à la recherche de petits animaux. Il peut mesurer jusqu'à 7 mètres de long.

 

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Moyens contraceptifs

21/07/2014 12:33
  • Pilule du lendemain (COU)
  • Pilule anovulant
  • Condom
  • Stérilet (peu utilisé)
  • Ligature des trompes
  • Vasectomie
 
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Procréation assistée

21/07/2014 12:26

Trois méthodes:

  1. Insémination artificielle
  2. Fécondation in vitro
  3. Injection intracytoplastique d'un spermatozoïde
 
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L'accouchement

21/07/2014 12:16

C'est une hormone, l'ocytocine qui déclenche les contractions utérines. L'accouchement s'effectue en quatre étapes:

  1. Contractions utérines, dilatation du col de l'utérus
  2. Engagement du bébé dans le vagin
  3. Naissance
  4. Expulsion du placenta
 
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Fécondation et grossesse

25/06/2014 11:20

La fécondation a lieu dans les trompes de Fallope.

On appelle nidation l'implantation de l'ovule fécondé (oeuf) dans l'utérus.

La grossesse dure 40 semaines.

L'embryon est nourri et oxygéné par l'intermédiaire du placenta dans l'utérus.

Le cordon ombilical assure le lien entre le foetus et l'utérus (placenta) de la mère.

 

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Ménopause

25/06/2014 11:16

La ménopause correspond avec la fin des cycles menstruels chez la femme.

Elle a lieu vers la cinquantaine (variable).

 

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Comment repérer le moment de l'ovulation?

25/06/2014 11:05

Le cycle ovarien se divise en deux phases:

  1. La phase folliculaire est variable en nombre de jours.
  2. La phase lutéinique est invariable: elle est de 14 jours.
L'ovulation a lieu le 14e jour avant le premier jour de menstruations.
Exemple: Une femme a un cycle d'une durée de 30 jours. Son premier jour de menstruations est le 31 mai. Quelle est la date de son ovulation? Le 17 mai.
 
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Cycle ovarien

25/06/2014 10:48

Un processus au cours duquel un follicule produit un ovule sous l'effet d'une hormone, FSH, produit par l'hypophyse.

Plus il y a de FSH, plus le taux d'oestrogènes augmente.

Cela déclenche la production de LH (par l'hypophyse) et provoquera l'ovulation.

Le follicule (dans l'ovaire) se rompt, libère un ovule.

Le follicule se transformera en corps jaune.

Ce dernier produit de la progestérone.

Si l'ovule n'est pas fécondé, le corps jaune disparaît, la progestérone diminue et entraînera le début des menstruations.

Un autre cycle recommence.

Durée moyenne du cycle: 28 jours.

Si l'ovule est fécondé, le corps jaune persiste, il y a sécrétion de progestérone et l'embryon peut s'implanter dans l'utérus.

C'est le début d'une grossesse.

C'est une hormone (HCG), sécrétée par l'enveloppe de l'embryon qui maintient le taux de progestérone élevé.

Cette hormone (HCG) peut être détectée dans l'urine après deux semaines (aussi dans le sang).

On peut détecter sa présence pour faire un test de grossesse.

 

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Puberté chez l'adolescente

25/06/2014 10:41

L'ovogénèse correspond à la production d'ovules. L'ovaire produit habituellement un seul ovules à la fois. L'ovule est une cellule haploïde (23) (c'est le gamète femelle).

 

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L'andropause

25/06/2014 10:38

Correspond à des changements physiologiques (diminution d'hormones).

 

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Période de fertilité chez l'homme

25/06/2014 10:35

Va de l'adolescence jusqu'à un âge avancé.

 

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Spermatozoïdes

25/06/2014 10:32

Les spermatozoïdes sont les cellules reproductrices mâles (gamètes mâles).

 

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Les spermatozoïdes

25/06/2014 10:25

Les spermatozoïdes sont produits à partir de cellules souches dans les tubes séminifères (testicules).

Ces cellules diploïdes (ont 46 chromosomes) se divisent par méîose et deviennent des spermatocytes haploïdes à 23 chromosomes.

 

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Division cellulaire

25/06/2014 10:23

La testostérone déclenche la division cellulaire dans les testicules.

 

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Cycle de fertilité

25/06/2014 10:21

Il n'y a pas de cycle de fertilité chez l'homme.

Spermatogénèse

25/06/2014 10:16

Des hormones (FSH, LH) sécrétées par l'hypophyse de façon continuelle, stimulent les texticules à produire de la testostérone et des millions de spermatozoïdes.

 

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Changements physiques

20/06/2014 11:04
  • Poussée de croissance
  • Mue de la voix
  • Pilosité
  • Développement des organes génitaux
  • Changements corporels (peau, muscles)
  • Élargissement du bassin (filles)
  • Développement des seins (filles)
Ce sont des caractères sexuels secondaires.
Ces changements sont causés par les variations hormonales produites par les ovaires et les testicules.
 
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Qu'est-ce qui déclenche la période de puberté?

20/06/2014 10:34

C'est la glande hypophyse qui sécrète FHS et LH (deux hormones). Elles stimulent les glandes sexuelles (gonades)

  • les ovaires
  • les testicules

Pour sécréter les oestrogènes et la testostérone (deux hormones).

 

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Puberté

20/06/2014 10:23

Période au cours de laquelle les garçons et les filles subissent des changements

  • physiques
  • sexuels
  • psychologiques
L'âge moyen: 13-14 ans
Peut varier à cause de notre propre horlonge biologique située dans l'hypothalamus (situé sur le cerveau).
 
 
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Maladies - Affections

19/06/2014 09:08
  1. Tendinite et bursite
  2. Arthrose
  3. Polyarthrite rhumatoïde
  4. Paralysie
  5. Parkinston (système nerveux / système musculaire)
 
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Quel gaz est essentiel à l'activité musculaire?

19/06/2014 09:06

L'oxygène est le gaz essentiel à l'activité musculaire.

 

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Quel est le principal déchet produit dans les muscles?

19/06/2014 09:03

L'acide lactique est le principal déchet produit dans les muscles. C'est la cause principale des courbatures musculaires.

 

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Propriétés des muscles

19/06/2014 09:01
  1. Élasticité
  2. Contractibilité
  3. Excitabilité
  4. Tonicité
 
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La fatigue musculaire

19/06/2014 08:58

La fatigue musculaire est causée par:

  • Le manque d'oxygène
  • Le manque de glycogène
  • L'accumulation de CO2
 
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Quelle est la principale source d'énergie des muscles?

19/06/2014 08:56

C'est le glycogène, un glucide complexe.

 

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Qu'est-ce qui déclenche une contraction musculaire?

19/06/2014 08:51

C'est l'arrivée d'un influx nerveux dans le muscle.

D'autres excitants causant des contractions musculaires:

  • Choc (coup) sur le muscle ou un tendon
  • L'électricité
  • Certaines substances chimiques (acides)
  • Sels
 
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Qu'est-ce qu'un muscle antagoniste?

19/06/2014 08:45

Ce sont des muscles qui agissent de façon contraire. (flexion et extension, par exemple)

Le biceps et le triceps du bras sont des muscles antagonistes. Losrque le biceps se contracte, le triceps de décontracte.

 

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Aponévrose

19/06/2014 08:42

Les muscles possèdent une enveloppe appelée aponévrose.

 

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Mouvements

18/06/2014 11:38

La majorité des muscles agissent par paires. Leur action est contraire: ils ont une action antagoniste.

 

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Lien du muscle avec le squelette

18/06/2014 11:31

Les muscles sont liés aux os par des tendons.

 

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Contraction du muscle

18/06/2014 11:27

Lorsqu'un muscle se contracte, il se raccourcie, sans changer de volume.

 

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Le Deltoïde, un muscle de l'épaule

18/06/2014 11:21
  • Situation: Articulation du bras et de l'épaule
  • Fonction: Abduction du bras
 
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Le triceps brachial

18/06/2014 11:17
  • Situation: Derrière le bras
  • Fonction: Extension du bras
 
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Le biceps brachial

18/06/2014 11:13
  • Situation: Partie avant du bras
  • Fonction: Flexion du bras
 
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Ventre

14/06/2014 16:18

La partie centrale (renflée) d'un muscle s'appelle ventre.

 

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Types de mouvements

14/06/2014 16:16

Les muscles du squelette permettent cinq types de mouvement.

  1. Flexion
  2. Extension
  3. Adduction (rapproche)
  4. Abduction (éloigne)
  5. Rotation
 
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Rôles des muscles striés

14/06/2014 16:12
  1. Mouvements volontaires du corps
  2. Circulation sanguine
  3. Digestion
  4. Production de chaleur
 
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Trois types de muscles

14/06/2014 16:08
  1. Striés (volontaires, squelettique)
  2. Lisses involontaires (estomac, intestin)
  3. Cardiaque
 
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Prévention des blessures du squelette - muscles

14/06/2014 16:06
  • Exercice régulier
  • Échauffement avant l'activité physique
  • Poids santé
  • Matériel sportif adéquat
 
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Blessures du squelette - muscles

14/06/2014 12:11
  • Entorse: très douloureuse, ligaments étirés ou déchirés
  • Foulure: entorse légère, ligaments un peu étirés
  • Luxation: déplacement (sortie) de l'os de sa position normale dans l'articulation (déboitée)
 
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Liaison des articulations

14/06/2014 12:08

Les os sont reliés par des ligaments. Ce sont des bandelettes de tissu conjonctif très solides.

 

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Trois types d'articulations

14/06/2014 12:02
  • Articulations fixes (crâne, bassin), mouvement impossible
  • Articulations semi-mobiles (vertèbres), mouvement possible, mais limité
  • Articulations mobiles (épaule, hanche, main), mouvement très ample, facile
 
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Les articulations

14/06/2014 12:00

Une articulation, c'est la jonction entre deux ou plusieurs os. Elles rendent le corps mobile et flexible.

 

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Fractures

08/06/2014 21:00

Il y a quatre types de fractures:

  • simples
  • ouvertes
  • comminutives
  • bois vert
 
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Tableau synthèse

08/06/2014 20:42

Principales structures du squelette

Structure de l'os Situation Fonctions
Périoste Autour de l'os Croissance de l'os en diamètre
Os compact Sous le périoste Rigidité des os
Canal médullaire Partie centrale des os longs Réservoir de moelle jaune
Moelle jaune Dans le canal médullaire Réserve d'énergie
Os spongieux Dans les épiphyses Production de la moelle rouge
Moelle rouge Dans les épiphyses Production des cellules sanguines
Cartilage de croissance Dans les épiphyses Allongement des os
Cartilage articulaire Sur l'extrémité des os Liaison et articulation des os

 

 

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Tissus Osseux

08/06/2014 20:34

Le tissus osseux se renouvelle et se répare toute notre vie.

 

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Où a lieu la croissance des os?

26/05/2014 18:55

La croissance des os a lieu dans la zone de la plaque épiphysaire.

 

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Période de croissance des os

26/05/2014 18:53

La période de croissance des os s'étale sur une période d'environs vingt ans.

 

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Croissance des os

26/05/2014 18:50

Deux hormones sécrétées par les deux glandes hypophyse et thyroïde assurent la croissance du squelette.

 

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La composition des os

26/05/2014 18:46

Les cellules osseuses se nomment: ostéocytes.

Les deux principaux minéraux: Calcium et Phosphore.

Protéine: l'osséine.

La vitamine D est essentielle aux os.

 

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Anatomie d'un os long

26/05/2014 18:39

L'os long comprend:

  • Deux épiphyses (extrémités)
  • Un diaphyse (partie centrale)
  • Un canal médulaire (au centre) remplie de moelle jaune
Les épiphyses sont de l'os spongieux contenant de la moelle rouge.
Le périoste: couche extérieure, sert à la croissances en diamètre.
Plaque épiphysaire: C'est la zone de croissance en longueur des os.
 
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Pied

26/05/2014 18:35

Les os du pied se nomment:

  • Tarses (Chevilles)
  • Métatarses
  • Phalanges
 
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Jambes

26/05/2014 18:32

Les os de la jambe se nomment:

  • Tibia
  • Fibulé (péroné)
 
 
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Genou

26/05/2014 18:30

L'os du genou se nomme: Rotule.

 

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Cuisse

26/05/2014 18:29

L'os de la cuisse se nomme: Fémur.

 

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Mains

26/05/2014 18:26

Les os des mains se nomment:

  • Carpes (Poignets)
  • Métacarpes
  • Phalanges
 
 
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Avant-bras

26/05/2014 18:23

Les os de l'avant-bras se nomment:

  • Radius
  • Ulna (cubitus)
 
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Bras

26/05/2014 18:22

L'os du bras se nomme: Humérus.

 

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Les membres

26/05/2014 18:19
  • Bras
  • Avant-bras
  • Mains
  • Cuisse
  • Genou
  • Jambes
  • Pied
 
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Cage thoracique

26/05/2014 18:16
  • 12 paires de côtes
  • Le sternum
  • Deux omoplates
  • Deux clavicules
 
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Colonne Vertbébrale

26/05/2014 18:13

Elle est composée de 33 vertèbres et elle est divisée en cinq régions:

  1. Cervicale
  2. Thoracique (dorsale)
  3. Lombaire
  4. Sacrée
  5. Coccyx
 
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Le tronc

26/05/2014 18:09

Il comprend la colonne vertébrale et la cage thoracique.

 

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La tête

16/02/2014 09:38

Elle comprend 22 os plats incluant les os de la face et du crâne.

Rôle: Protection de l'encéphale et des yeux.

 

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Anatomie du squelette

16/02/2014 09:28

Le squelette humain est divisé en trois parties.

  1. La tête (face, crâne)
  2. Le tronc (cage thoracique, colone vertébrale)
  3. Les membres (bras, jambes)
 
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Liaisons des os

16/02/2014 09:13

Les os sont reliés entre eux soit par:

 

1. Des sutures

Le mouvement est impossible.

Ex. Les os du crâne

 

2. Des ligaments

Le mouvement est possible.

Ex. Genous, coudes, doigts

 

N.B. Certains os sont soudés entre eux

Ex. Le bassin (chez l'homme seulement)

 

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4 sortes d'os

16/02/2014 09:07
  • Longs
  • Courts
  • Plats
  • Irréguliers
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Nombre d'os

16/02/2014 09:01

Le squelette humain est composé de 206 os.

 

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Rôles du squelette

16/02/2014 08:54
  • Déplacements
  • Protection de certains organes (cerveau, coeur, poumons)
  • Supporte et articule le corps (mouvements)
  • Réserve de minéraux (calcium, phosphore)
  • Produit les éléments figurés du sang (globules rouges, globules blancs, plaquettes)
 
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Le squelette

16/02/2014 08:39

Le squelette constitue la charpente solide de votre corps.

 

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Ptéranodon

17/11/2013 17:07

Le ptéranodon était un reptile volant qui utilisait son long bec dépourvu de dents pour attraper des poissons. Certains croient qu'il est l'ancêtre de nos oiseaux actuels, mais les scientifiques croient plutôt qu'un petit dinosaure en serait l'ancêtre.

Coelacanthe

20/10/2013 15:51

Le coealacanthe, qui est apparu il y a 350 millions d'années, existe toujours. Ce poisson a très peu évolué depuis son apparition. Cest pourquoi on lui donne le nom de fossile vivant. Après la découverte du premier spécimen en 1938, le coealacanthe fit l'objet d'un avis de recherche. Une récompense était offerte par des scientifiques à quiconque rapportait un de ces poissons!

 

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Glyptodon

20/10/2013 15:39

Ce tatou géant avait la taille d'une petite voiture. Il mesurait plus de trois mètres et pesait jusqu'à deux tonnes. C'est aussi lourd qu'un rhinocéros de Java. Cet animal existait à l'époque des hommes préhistoriques. Ces derniers mangeaient la chair du glyptodon. Ils se confectionnaient aussi des abris avec la carapace qui couvrait son corps. Le glyptodon a disparu il y a 10 000 ans.

 

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Meganeura

20/10/2013 15:11

Il mesurait environ un mètre de long et 80 cm d'un bout d'une aile à l'autre. On estime son poids à 0,15 kg. Cet insecte géant a disparu il y a environ 230 millions d'années. Le meganeura attrapait ses proies avec sa bouche. Il se nourrissait d'insectes et de petits amphibiens. Il habitait les forêts tropicales, près des rivières ou d'autres points d'eau.

 

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Old Orchard Beach

02/10/2013 21:42

Les premiers documents du domaine de l'Old Orchard Beach remontent à 1653. Le premier colon, Thomas Rogers, a établie le "Garden by the Sea" en 1657. Quelques années plus tard, dix miliciens ont repoussé 150 Indiens qui les attaquaient près de la plage, mais une partie des habitants venus secourir les miliciens ont étés tués dans une embuscade, et la maison de Roger a été brûlée.

En 1820, le Maine qui était une partie du Massachusetts, est devenue un État par un acte du Congrès. In that same year the first Publick House (inn) was opened serving coach travelers and other transients year round. Au cours de cette même année, la première Publick House (INN) a été ouverte au service des voyageurs de passage.

1842 a apporté le premier chemin de fer à vapeur de Boston à Portland avec une station à seulement 2 miles à l'ouest de la ville. The first restaurant to sell seafood treats and "shore dinners" opened in 1851 near Staples Street. Le premier restaurant à vendre des produits de la mer traite a ouvert en 1851 près de Staples Street. Le Grand Tronc de chemin de fer inauguré en 1853 relie Montréal à Old Orchard Beach, permettant aux visiteurs canadiens de ce rendre à cette plage sans faire de long voyage en voiture.

1900 a introduit le premier hôtel de ville et 1902 la première zone de divertissement avec des patins à roulettes, manège, promenades, jeux, rafraîchissement et cantines.

 

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Les Américains aussi ont leur IMAX

02/10/2013 21:40

Le cinéma Simons IMAX, vous permettra non seulement de regarder un film, mais vous serez là-bas, grâce à l’étonnante technologie IMAX 3D. C'est le plus grand écran de la Nouvelle-Angleterre.

 

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Hé! Regardez les pingouins

02/10/2013 21:39

Manchot du Cap

 

Le manchot du Cap est un manchot sud-africain que l'on retrouve le long des cotes suivantes : Afrique du Sud, Angola, Congo, Gabon, Mozambique, Namibie et en République démocratique du Congo.

Ces pingouins font un son qui est très similaire à celui d'un âne qui braie.

 

Taille 23-25 cm de hauteur; 5-9 livres


 

Diète petits poissons, comme le hareng, l'anchois et la sardine


 

Durée de vie de 10-15 ans


 

Habitat les eaux côtières de l'Afrique et des îles, de la Namibie par l'Afrique du Sud. Les manchots pondent leurs œufs sur les rochers et les îles côtières de sable, mais vont se nourrir dans les courant d’eau froide riche en nourriture en haute mer


 

Prédateurs Les requins et les phoques chassent les manchots dans l'eau, les mouettes, les mangoustes et les félins s’attaquent aux œufs des manchots et à leurs bébés.


 

L'état de conservation ils sont confrontés à un risque élevé d'extinction dans la nature. Les raisons principales sont l'épuisement de leur nourriture du à la pêche et la pollution par les incidents tels que les déversements de pétrole. La plupart des manchots nichent sur les îles, où ils devraient être à l'abri de prédateurs, mais les félins, les mangoustes et d'autres prédateurs sont désormais présents sur plusieurs de ces îles.

 

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Wow! Un corail

02/10/2013 21:36

Animaux qui vivent dans les récifs coralliens 

Il y a des requins chats, des requins épaulettes, des unicornes, des girelles et des poissons à rayure bleue.

 

Habitat

Les récifs coralliens sont parmi les habitats les plus diversifiés au monde, et les récifs coralliens du Pacifique tropical sont les plus étonnants de tous. Les scientifiques pensent que le corail est d’origine de l'océan Pacifique tropical, parce que les récifs coralliens y sont plus variés et plus complexes que n'importe où ailleurs dans le monde.

 

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L'aquarium de boston

02/10/2013 21:34

Le « New England Aquarium », est l'un des plus éminents et populaires aquariums aux États-unis. Fondée en 1969 sur le bord de la mer, il est considéré comme l'un des premiers aquariums publics modernes et il révolutionne l'expérience pour les visiteurs en mettant l'accent sur un cadre naturel de la vie aquatique. Avec la mission «de présenter, promouvoir et protéger le monde de l'eau», elle demeure l'une des rares institutions à faire de la recherche et de la conservation ainsi que de l'éducation et du divertissement. En plus du bâtiment principal de l'aquarium, il y a des attractions tel que le cinéma IMAX et l’observation de baleines, qui fonctionne d'avril à Octobre. Plus de 1,5 millions de personnes visitent l'aquarium et le théâtre chaque année.

 

Au « New England Aquarium », on s’amuse beaucoup! Cet aquarium est plus grand que celui de Québec! Il y a énormément de poisson! Des poissons, on en voit plus la bas qu’à Québec.

 

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Boston

02/10/2013 21:31

Boston est la capitale et plus grande ville du Massachusetts. Elle est l'une des villes les plus anciennes aux États-Unis. En 1630, les colons Puritan d'Angleterre ont fondé la ville, sur la péninsule Shawmut. Au cours de la fin du 18ieme siècle, Boston a été l'emplacement de plusieurs événements majeurs au cours de la Révolution américaine, y compris le massacre de Boston et de la Boston Tea Party.

 

La Boston Tea Party a été un acte de protestation par les colons américains contre le gouvernement britannique, dans lequel ils ont détruit de nombreuses caisses de thé appartenant à la British East India Company dans le port de Boston. L'incident, qui a eu lieu le 16 Décembre, 1773, a été un événement important de la Révolution américaine.

 

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Three months in jail for an homeless

02/10/2013 21:13

Yesterday, a man was arrested and condemned for three months in jail for loitering. Soapy was homeless. He needed to have a bed to sleep in, he was hungry and in jail there is food and he wanted to have company. He tried to get arrested a few times.

 

First of all, Soapy tried to eat in an expensive restaurant and to say that he was broke after his meal. When he came in the restaurant, his jacket and his tie were O.K, but the waiter saw his ripped trousers and worn-out shoes. He didn't let him eat in the restaurant.

 

After, Soapy broke a store window with a rock. He stayed there and said to the policeman that the guy who broke the window was him. He didn't believe Soapy because he didn't try to escape.

 

Next, he saw a young lady and he planned to «make a pass» to her. Soapy thought she would call the policeman but she didn't. She knew him. They were at a benefit for the charity at the park.

 

After his failure with the lady, Soapy went in a drugstore. He saw a man with an umbrella. He grabbed the umbrella. He grabbed the umbrella and walked away with it. The man let Soapy the umbrella. He takes it in a restaurant, it wasn't his umbrella.

 

Last, Soapy was doing nothing in a halt. He wanted to change his life, to find a work. He was thinking about it when a policeman came and arrested him for loitering.

 

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I will answer to everyone! :)

London

02/10/2013 21:11

Time zone : Greenwich mean time

Population : * London : 8,174,100

* Density : 5,206/km2

Banknotes and coins

*It takes 100 pence (p) to make one pound.

*Notes are in denominations of £ 5, £ 10, £ 20 and £ 50.

*The parts can be of 1p, 2p, 5p, 10p, 20p, 50p, £1 and £2

*Conversion sterling / Canadian dollars (exchange rate 1 GBP = 1.5888 CAD)

Climat:

[hide]Climate data for London (Greenwich)

Month

Jan

Feb

Mar

Apr

May

Jun

Jul

Aug

Sep

Oct

Nov

Dec

Year

Record high °C (°F)

18.5
(65.3)

19.7
(67.5)

25.3
(77.5)

29.8
(85.6)

32.8
(91.0)

35.6
(96.1)

36.5
(97.7)

38.5
(101.3)

35.4
(95.7)

29.9
(85.8)

21.1
(70.0)

17.7
(63.9)

38.5
(101.3)

Average high °C (°F)

8.3
(46.9)

8.5
(47.3)

11.4
(52.5)

14.2
(57.6)

17.7
(63.9)

20.7
(69.3)

23.2
(73.8)

22.9
(73.2)

20.1
(68.2)

15.6
(60.1)

11.4
(52.5)

8.6
(47.5)

15.2
(59.4)

Average low °C (°F)

2.6
(36.7)

2.4
(36.3)

4.1
(39.4)

5.4
(41.7)

8.4
(47.1)

13.2
(55.8)

14.2
(57.6)

14.0
(57.2)

11.2
(52.2)

8.3
(46.9)

5.1
(41.2)

2.8
(37.0)

7.5
(45.5)

Record low °C (°F)

10
(14.0)

9
(15.8)

8
(17.6)

2
(28.4)

1
(30.2)

5.0
(41.0)

7.0
(44.6)

6.0
(42.8)

3.0
(37.4)

4
(24.8)

5
(23.0)

7
(19.4)

10
(14.0)

Precipitation mm (inches)

51.6
(2.031)

38.2
(1.504)

40.5
(1.594)

45.0
(1.772)

46.5
(1.831)

47.3
(1.862)

41.1
(1.618)

51.6
(2.031)

50.4
(1.984)

68.8
(2.709)

58.0
(2.283)

53.0
(2.087)

591.8
(23.299)

humidity

91

89

91

90

92

92

93

95

96

95

93

91

92.3

Avg. rainy days (≥ 1.0 mm)

10.8

8.5

9.6

9.4

9.0

8.3

8.0

7.6

8.5

10.7

10.1

9.9

110.4

Avg. snowy days

4

4

3

1

0

0

0

0

0

0

1

3

16

Mean monthly sunshine hours

49.9

71.4

107.1

159.8

181.2

181.0

192.1

195.1

138.9

108.1

58.5

37.4

1,480.5

Source #1: Record highs and lows from BBC Weather,[108] except August and February maximum from Met Office[109] [110]

Source #2: All other data from Met Office,[111] except for humidity and snow data which are from NOAA[112]



 

London is the capital and the biggest town of England. It has been the most populous city in the world. Unfortunately it doesn't today, but it is still a major city.

 

There is a lot of things to do at London! There is five of these things.

 

Museums

London has a large number of museums (nearly 170!) And among the richest in the world. Major museums have recently revamped, enjoying the heavenly manna revenue collected by the state on the National Lottery Game. Exhibition spaces have been redesigned, offering visitors a better readability of works and objects presented, and many audiovisual tools now flesh out the old academic texts.

Most major public collections are free. Other museums are very expensive or even unaffordable, as Madame Tussauds and Tower Hill. All monuments managed by the Crown (Tower of London, Kensington Palace, Hampton Court Palace) are expensive.

 

Monuments and walks

London is a collection of distinct neighbourhoods and old villages. It is important to understand the shifts from one area to another to get better at identifying this metropolis with complex ramifications.

It is not uninteresting to choose a thematic tour of one of the many associations that offer guided walks. There's something for everyone: "Jack the Ripper" in Whitechapel; "Jewish Quarter" "The Beatles", "Shakespeare and Dickens," "Diana, Princess of Wales," "Sherlock Holmes," "The pubs of the Thames "," City of Ghosts "," Little Venice "... Roughly 2 hours walk and 6 to £ 10 per person.

 

Real estate

Land in the historic heart of London for centuries belong to some wealthy families.

Today it is very difficult or impossible for the simple chap, acquire life a house or land, the length of the property is limited to 99 years! The owners have, in addition, all commercial activities on their land.

If the queen and the wealthy aristocratic families own much land in the capital, the Anglican Church has whole streets around Hyde Park. This quasi-feudal adds to the picture of aristocratic tradition of English society, but seems increasingly anachronistic.

 

Parks

One of the proudest moments of London lies in its parks. They carry almost all the name of Royal Parks because they belong to the Crown.

The most famous Hyde Park, in the center, the largest and most popular extended by Kensington Gardens. We can swim and rent boats in summer. Regent's Park, North Green Park and St. James's Park, near Buckingham, are the most enjoyable. This recalls the French gardens designed by Le Nôtre.

Do not forget the many small parks dependent terraced houses, these alignments Georgian houses built in the eighteenth century to meet the population growth of the capital.

 

Pubs

Typically British tradition, the pub is the meeting place par excellence. People come here to spend a relaxing and joyful discussion. The pub, in general, offers several lounges, the differences are less sensitive: public bar, lounge bar, saloon bar, private bar (the latter is reserved for a club). We practice an activity so few pubs in French that the word does not even exist in our language is "socialized." It talks about everything and nothing.

You will feel the extraordinary atmosphere of merging classes, here are left in the cloakroom social origin and spawn with the enemy.

 

Itinerary:

From a ride on the London Eye to dinner overlooking Tower Bridge, see London's iconic attractions in one fun-packed day.

Morning: The London Eye and the London Aquarium

You can see many of London's top attractions from the EDF Energy London Eye, including theHouses of ParliamentBig Ben and St Paul's Cathedral. So it's a good starting point for your day of sightseeing – especially as the earlier you go, the shorter the queue!

After seeing London from above, walk along the River Thames to the SEA LIFE London Aquarium, which is less than a minute away. The aquarium has one of Europe's largest collections of global marine life, including sharks, crocodiles, penguins and sea horses. Don't miss the daily feeding times and talks - you can sometimes help out with the feed, but keep your fingers away from the piranhas!

 

Lunch: St Paul's Cathedral

From the London Aquarium, take the bus or Tube to St Paul's Cathedral on the north side of the river. If you're feeling energetic, why not go on foot? 

The walk will take you past many more top London sights, including the Tate Modern art gallery. At St Paul's, you can enjoy your lunch in either the café or the restaurant, which both specialise in traditional, seasonal British fare. You'll need to pay an entrance fee if you want to access the main cathedral.

 

Afternoon: Madame Tussauds or the London Dungeon

You don't have to be an A-lister to have your photo taken with Brad Pitt or the Queen. Simply hop on the Tube to Baker Street station and visit Madame Tussauds. This famous London attraction is full of realistic wax figures of celebrities, world leaders and sports stars.

If you'd prefer something a bit gorier, spend your afternoon at the spooky London Dungeon. Located right by London Bridge station, this popular attraction includes scary rides and fascinating exhibits about London's gruesome history. Book your London Dungeon tickets in advance and you'll get priority access on the day as well as great discounts.

While you're in the area, why not take the five-minute walk to Tower Bridge. If you time it well, you can take a beautiful photo of London's most famous bridge at sunset.

 

Evening: Dinner with a View

Finish your day with dinner at a restaurant along London's picturesque riverside, just a short walk from London Bridge or a Tube ride from Madame Tussauds. For great food and an even better view, try Pont de la Tour or The Oxo Tower.

Pont de la Tour is situated close to Tower Bridge and known for its modern French cuisine and excellent wine list. 

The Oxo Tower Restaurant & Brasserie, meanwhile, offers a bird's-eye view over the river as well as top-quality, modern British food.

 

Des questions? Écrivez-moi au vaaaalerie.beaulieu@gmail.com

Je répondrai à chacune de vos questions :)

 

Questions? E-mail me: vaaaalerie.beaulieu@gmail.com

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Nocardiose

02/10/2013 21:08

Des maladies, on n'en manque pas. Qu'est-ce que la nocardiose? Pour répondre à cette question, vous devez savoir sa définition, ses symptômes et ses traitements. Mais avant tout, la raison qui nous a poussée à la choisir plutôt qu'une autre est la suivante: le grand-père de Marie-Soleil a eu cette maladie il y a 3 trois ans et nous voulions vous faire découvrir cette maladie rare.

 

Tout d'abord, qu'est-ce que la nocardiose? C'est une maladie infectieuse rare qui peut affecter les poumons, le cerveau ou tout le corps en entier. Les bactéries du genre Nocardia, en particulier Nocardia Astéroïde et Nocardia Brasiliensis, sont principalement responsables de la survenue de cette inffection. Elles pénètrent dans l'organisme par contact cutané (plaie, excoriation) ou par voie aérienne. Elles vivent dans le sol. Les personnes dont l'immunité est faible en raison de certains problèmes de santé sont plus a risque de développer cette infection bactérienne. Cette maladie peut également affecter les chats, les chiens, les oiseaux, les poissons et le bétail. Heureusement, elle n'est pas contagieuse donc personne ne peut la contracter parce que quelqu'un a cette maladie. Elle s'étale sur une période a long terme.

 

Ensuite, les symptômes de la Nocardioses sont:

  1. Les symptômes du corps entier sont de la fièvre récurrente, un inconfort ou un malaise général ainsi que des sueurs nocturnes.

  2. Les symptômes pulmonaires sont de la toux avec expectoration (expulsion par la bouche des sécrétions des voies respiratoires, toux, crachat, crachement), une respiration rapide, des douleurs à la poitrine (qui ne sont pas liées à des troubles cardiaques), de l'essoufflement ainsi que des crachats de sang.

  3. Les symptômes cérébraux sont de la fièvre, des saisies, des maux de tête ainsi que des abcès au cerveau.

  4. Les symptômes de la peau sont des nodule (petite nodosité, petite tumeur en forme de boule, dure et bien délimitée, renflement) ou des éruptions cutanée, des abcès ou des plaies de la peau ainsi qu'un gonflement des ganglions.

  5. Les symptômes du sistème nerveux sont de la confusion, des vertiges, des saisies et des modifications de l'état mental.

  6. Les symptômes des muscles et des articulations sont des articulaires.

  7. Les symptômes gastro-intestinal sont des nausées, une perte de poid inexpliquée, une gonflement du foie et de la rate et des vomissements.

 

Finalement, les traitements pour cette maladie peuvent être longs. Ils se répende sur une période de six mois à un an en fonction de la gravité de l'infection et des parties du corps concernées. Ça peut durer plus longtemps dans les cas plus grave. Un traitement suppressif chronique à faible dose ou une thérapie à long terme d'antibiotiques sont souvent nécessaires pour guérir la maladie. Ceux qu'on utilise le plus souvent sont le Triméthoprime et le sulfaméthoxazole. La nocardiose est habituellement guérie par les antibiotiques, mais il existe d'autres traitements. La pénicilline n'est pas utilisée dans ce traitement, car la bactérie Nocardia y résiste. Parfois, la chirurgie peut être nécessaire pour le drainage ou l'enlèvement d'abcès causés par l'infection. L'opération peut également être effectuée par l'élimination des tissus malades.

 

Pour conclure, la Nocardiose est une maladie non-contagieuse rare. Il y a beaucoup de symptômes, mais peu de traitements. S'il vous plaît, ne niaisez pas avec cette maladie, car elle peut toucher les gens de votre entourage comme mon papi qui en a été atteint il y a trois ans. C'est tres difficile à accepter le fait que quelqu'un de sa famille risque de mourir.

 

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Le rôle de la société civile et des organisations non gouvernementales (ONG)

02/10/2013 21:05

La société civile et les organisations non gouvernementales ont le pouvoir d’influencer les comportements individuels et les institutions qui œuvrent pour une alimentation saine et pour la promotion de l’activité physique.

En collaborant avec des partenaires nationaux et internationaux, elles peuvent soutenir la Stratégie mondiale pour l’alimentation, l’exercice physique et la santé.

La société civile et les organisations non gouvernementales peuvent:

  • mobiliser la communauté et plaider pour que l’alimentation saine et l’activité physique des enfants figurent à l’ordre du jour de l’action de santé publique; 

  • contribuer à une large diffusion de l’information sur la prévention des maladies non transmissibles chez les enfants moyennant une alimentation saine et équilibrée et une activité physique; 

  • constituer des réseaux et des groupes d’action qui s’emploient à développer l’offre d’aliments sains et les possibilités d’activité physique pour les enfants; 

  • encourager et soutenir les programmes de promotion de la santé et les campagnes d’éducation visant les enfants; 

  • surveiller l’action d’autres partenaires comme les entités du secteur privé et collaborer avec eux;

  • contribuer à mettre en pratique les connaissances et les données factuelles.

 

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Le rôle du secteur privé

02/10/2013 21:03

Certains acteurs du secteur privé peuvent jouer un rôle important dans la promotion d’une alimentation saine et de l’activité physique, ainsi que dans la sensibilisation des enfants à des modes de vie sains. Ce sont:

  • l’industrie alimentaire;

  • les détaillants;

  • l’industrie de la restauration;

  • les fabricants d’articles de sport;

  • les firmes publicitaires et les entreprises de loisirs;

  • les laboratories pharmaceutiques;

  • les médias.

La responsabilité du secteur privé

La stratégie encourage l’industrie alimentaire et les fabricants d’articles de sport à:

  • promouvoir une alimentation saine et l’activité physique pour les enfants conformément aux recommandations nationales et aux normes internationales ainsi qu’aux objectifs généraux de la Stratégie mondiale pour l’alimentation, l’exercice physique et la santé; 

  • limiter la teneur en graisses saturées, en acides gras trans, en sucre et en sel dans les produits alimentaires transformés, ainsi qu’à réduire la taille des portions; 

  • mettre sur le marché davantage de nouveaux produits sains et nutritifs destinés aux enfants; 

  • revoir les pratiques de commercialisation actuelles qui visent les enfants: notamment en ce qui concerne la promotion et la commercialisation d’aliments riches en graisses saturées, en acides gras trans, en sucre ou en sel; 

  • donner aux enfants et aux jeunes des informations adéquates et compréhensibles sur les produits et la nutrition; 

  • aider à élaborer et à mettre en œuvre des programmes concernant l’activité physique.

 

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Le rôle de l'OMS

02/10/2013 21:02

Comme il est indiqué dans la Stratégie mondiale pour l’alimentation, l’exercice physique et la santé, l’OMS joue le rôle de chef de file, fait des recommandations reposant sur des bases factuelles et plaide en faveur d’une action internationale visant à améliorer les pratiques alimentaires et à développer l’activité physique, notamment:

  • en tenant des discussions avec l’industrie alimentaire transnationale et d’autres représentants du secteur privé à l’appui des objectifs de la stratégie mondiale et en vue de la mise en œuvre des recommandations dans les pays; 

  • en appuyant la mise en œuvre des programmes demandés par les États Membres; 

  • en encourageant la recherche dans les domaines prioritaires afin de faciliter la mise en œuvre et l’évaluation des programmes, en étroite collaboration avec les institutions des Nations Unies et d’autres organisations intergouvernementales (FAO, UNESCO, UNICEF, Université des Nations Unies et autres), des instituts de recherche et d’autres partenaires; 

  • en collaborant avec la FAO et d’autres organisations du système des Nations Unies, la Banque mondiale et des instituts de recherche à l’évaluation des conséquences de la stratégie pour d’autres secteurs; 

  • en continuant à travailler avec ses centres collaborateurs pour mettre en place des réseaux qui visent à développer la recherche et la formation, à mobiliser des ressources auprès d’organisations non gouvernementales et de la société civile, ainsi qu’à faciliter une recherche coordonnée qui apporte aux pays en développement ce dont ils ont besoin pour mettre en œuvre la stratégie.

 

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Le rôle des États Membres

02/10/2013 21:00

La Stratégie mondiale pour l’alimentation, l’exercice physique et la santé favorise l’élaboration et la promotion de politiques, de stratégies et de plans d’action nationaux visant à améliorer l’alimentation et encourager l’exercice physique.

Le rôle des gouvernements est crucial pour obtenir des changements durables en matière de santé publique. C’est avant tout à eux qu’il incombe de diriger et d’administrer le lancement et le développement de la stratégie, en veillant à ce qu’elle soit mise en œuvre et en assurant son suivi à long terme.

Les institutions nationales pour la santé publique, l’alimentation et l’activité physique peuvent apporter les compétences nécessaires, suivre les développements, aider à coordonner, participer à des collaborations au niveau international et conseiller les décideurs.

 

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Le rôle de l'école

02/10/2013 20:59

Il est essentiel de promouvoir une alimentation saine et la pratique d’activités physiques à l’école pour lutter contre l’épidémie d’obésité de l’enfant.

Comme les enfants et les adolescents passent une grande partie de leurs jeunes vies dans le milieu scolaire, il s’agit de l’endroit idéal pour acquérir les connaissances et les compétences permettant de faire des choix favorables à la santé et d’avoir davantage d’activité physique.

En donnant l’exemple, les enseignants peuvent avoir une influence durable sur le mode de vie de leurs élèves.

Suggestions en vue de promouvoir une alimentation saine à l’école

  • dispenser une éducation à la santé qui aide les élèves a acquérir les connaissances, attitudes, convictions et compétences leur permettant de prendre des décisions judicieuses, d’adopter des comportements sains et de créer des conditions favorable à la santé; 

  • assurer des programmes d’alimentation qui offrent davantage d’aliments sains dans les écoles (petit-déjeuner, déjeuner et/ou collations à prix réduit); 

  • n’installer des distributeurs automatiques que s’ils vendent des produits sains tels que de l’eau, du lait, des jus, des fruits et des légumes, des sandwiches et des encas à faible teneur en matières grasses; 

  • veiller à ce que les aliments servis dans les écoles respectent des normes nutritionnelles minimales; 

  • faire en sorte que les services de santé scolaires et le personnel d’encadrement de l’école aident à promouvoir la santé et le bien-être ainsi qu’à prévenir, réduire, surveiller, traiter et orienter les problèmes de santé importants qui pourraient concerner les élèves et le personnel scolaire; 

  • utiliser les jardins scolaires pour faire prendre conscience de l’origine des aliments;

  • susciter l’engagement des parents. 

Suggestions en vue de promouvoir l’activité physique

  • offrir des cours quotidiens d’éducation physique comportant des activités variées, afin de tenir compte le plus possible des besoins, des intérêts et des capacités des écoliers; 

  • offrir des activités extrascolaires: sports et programmes scolaires non-compétitifs (p.ex. vacances actives); 

  • encourager le recours à des modes de transport sûrs et non-motorisés pour se rendre à l’école et pour aller pratiquer d’autres activités sociales; 

  • faire en sorte que les écoliers et la collectivité en général aient accès à des installations sportives appropriées; 

  • encourager les écoliers, les enseignants, les parents et la collectivité toute entière à faire de l’exercice.

 

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Le rôle des parents

02/10/2013 20:57

La promotion d’une alimentation saine et de la pratique régulière d’une activité physique appropriée constitue un facteur important dans la lutte contre l’épidémie d’obésité de l’enfant.

Les parents peuvent influer sur le comportement de leurs enfants en mettant à leur disposition des aliments et des boissons sains, ainsi qu’en leur donnant des occasions d’avoir une activité physique et en les encourageant à le faire.

Il est également conseillé aux parents d’adopter et de promouvoir des modes de vie sains, car le comportement des enfants est souvent façonné par l’observation et l’adaptation.

Suggestions en vue de promouvoir une nutrition saine à la maison

Pour les nourrissons et les jeunes enfants
  • allaiter au sein exclusivement;

  • éviter d’ajouter des sucres et des féculents dans les préparations destinées aux nourrissons;

  • accepter que l’enfant soit capable de réguler lui-même ce qu’il mange plutôt que de le forcer jusqu’à ce que l’assiette soit vide;

  • assurer l’apport en micronutriments nécessaire à une croissance optimale.

Pour les enfants et les adolescents
  • leur faire prendre tous les jours un petit déjeuner sain avant d’aller à l’école;

  • servir aux écoliers des collations saines (céréales complètes, légumes, fruits);

  • promouvoir la consommation de fruits et de légumes;

  • limiter la consommation d’aliments très énergétiques et pauvres en micronutriments (p.ex. aliments à grignoter emballés);

  • limiter la consommation de boissons auxquelles contenant du sucre ajouté;

  • donner l’occasion de prendre des repas en famille;

  • limiter l’exposition aux pratiques commerciales (p. ex. à la télévision);

  • apprendre aux enfants à résister aux tentations et aux stratégies de commercialisation;

  • fournir des informations qui permettent d’être capable de choisir des aliments sains.

Suggestions en vue de promouvoir l’activité physique à la maison

  • réduire le temps passé à des activités sédentaires (p.ex. devant le téléviseur ou l’ordinateur);

  • encourager les enfants à aller à pied ou à utiliser le vélo pour se rendre à l’école et pour participer à d’autres activités sociales;

  • inclure des activités physique dans l’emploi du temps quotidien de la famille, notamment en prévoyant des promenades ou des activités ludiques familiales;

  • veiller à ce que l’activité soit adaptée à l’âge et fournir des équipements de protection tels que casques, protège-poignets et genouillères.

 

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Que peut-on faire pour lutter contre l'épidémie d'obésité de l'enfant?

02/10/2013 20:54

Le surpoids et l’obésité, aussi bien que les maladies non transmissibles qui les accompagnent sont dans une grande mesureévitables.

Il est admis que la prévention constitue le meilleur moyen d’enrayer l’épidémie d’obésité de l’enfant, car les traitements courants visent essentiellement à mettre le problème sous contrôle plutôt qu’a assurer une guérison.

Le but de la lutte contre l’obésité de l’enfant consiste à atteindre un équilibre énergétique susceptible d’être maintenu pendant toute la vie de l’individu.

Recommandations générales

  • consommer davantage de fruits et de légumes, ainsi que de légumineuses, de céréales complètes et de fruits secs;

  • limiter l’apport énergétique provenant de la consommation de graisses et réduire la consommation des graisses saturées au profit de graisses non-saturées;

  • limiter la consommation de sucres; et

  • avoir une activité physique modérée à intense, au moins 60 minutes par jour, qui soit appropriée au point de vue du développement et qui implique diverses activités. Davantage d’activité peut être nécessaire pour contrôler son poids.

Recommandations sociétales

Pour enrayer l’épidémie d’obésité de l’enfant il faut un engagement politique soutenu et la collaboration de nombreux intervenants publics et privés.

Les gouvernements, les partenaires internationaux, la société civile, les ONG et le secteur privé ont des rôles vitaux à jouer pour créer des environnements sains et faire en sorte que les options alimentaires plus saines proposées aux enfants et aux adolescents soient abordables et facilement accessibles.

L’OMS a donc pour objectif de mobiliser ces partenaires et des les inciter à mettre en œuvre la Stratégie mondiale pour l’alimentation, l’exercice physique et la santé.

L’OMS est favorable à la définition, la mise en œuvre, la conduite et le suivi d'interventions. Une approche multisectorielle s’impose pour réaliser des progrès durables: elle mobilise l’énergie, les ressources et les compétences de tous les intervenants mondiaux impliqués.

 

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Pourquoi se préoccuper du surpoids et de l'obésité de l'enfant?

02/10/2013 20:53

Les conséquences d’un mode de vie défavorable à la santé pendant l’enfance

L’obésité de l’enfant est associée à un risque accru de décès prématuré et d’incapacité à l’âge adulte.

Les enfants en surpoids et obèses risquent davantage de rester obèses une fois arrivés à l’âge adulte et de contracter des maladies non transmissibles telles que diabète et maladies cardiovasculaires à un âge plus précoce.

Dans le cas de la plupart des maladies non transmissibles provoquées par l’obésité, les risques dépendent en partie de l’âge auquel l’obésité est apparue et de sa durée.

Les enfants et les adolescents obèses en subissent à la fois des conséquences sanitaires à court terme et à long terme.

Les conséquences les plus graves du surpoids et de l’obésité de l’enfant, qui souvent ne se manifestent pas avant l’âge adulte, sont notamment:

  • maladies cardiovasculaires (surtout cardiopathies et accidents vasculaires cérébraux);

  • diabète;

  • troubles musculo-squelettiques, surtout ostéoarthrite;

  • certains types de cancer (de l’endomètre, du sein et du colon).

Des données de 2005 révèlent les conséquences à long terme d’un mode de vie malsain:

Le surpoids et l’obésité font au moins 2.6 millions de morts par an.

La double charge: un risque sérieux

De nombreux pays à revenu faible et intermédiaire doivent désormais affronter une "double charge" de maladie: tout en continuant à lutter contre les problèmes qu’engendrent les maladies infectieuses et la sous-nutrition, ils connaissent dans le même temps une augmentation rapide des facteurs de risque de maladies non transmissibles tels qu’obésité et surpoids, surtout en milieu urbain. Il n’est pas rare de voir cohabiter sous-nutrition et obésité dans le même pays, au sein de la même collectivité, voire sous le même toit.

Cette double charge est causée par une nutrition inadéquate de la femme enceinte, du bébé et du jeune enfant, suivie par la consommation d’aliments à forte teneur en graisses, très énergétiques et pauvres en micronutriments, ainsi que par un manque d’activité physique lorsque l’enfant grandit.

 

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Surpoids et Obésité: définitions

02/10/2013 20:50

Le surpoids et l’obésité sont définis comme ''une accumulation anormale ou excessive de graisse qui présente un risque pour la santé''.

Mesurer le surpoids et l’obésité

Il est difficile d’élaborer un indice simple qui permette de mesurer le surpoids et l’obésité chez les enfants et les adolescents car leur organisme subit un certain nombre de changements physiologiques en cours de croissance. En fonction de l’âge, on dispose de différentes méthodes de mesure du poids corporel:

Pour les enfants entre 0 et 5 ans

Les Normes OMS de croissance de l’enfant, lancées en avril 2006, comportent des mesures du surpoids et de l’obésité pour les des enfants de moins de 5 ans.

Pour les 5-19 ans

L’OMS a élaboré des données de référence sur la croissance pour les 5-19 ans. Il s’agit d’une reconstruction des données de référence National Center for Health Statistics (NCHS)/WHO de 1977 qui utilise les données originales du NCHS complétées par des données tirées de l’échantillon des normes OMS de croissance de l’enfant pour les moins de 5 ans.

Pour les adultes

La mesure du surpoids et de l’obésité la plus communément utilisée est l’indice de masse corporelle (IMC) - un indice simple qui permet d’estimer le surpoids et l’obésité chez les populations et les individus adultes.

Il correspond au poids en kilogrammes divisé par le carré de la taille exprimée en mètres (kg/m2).

L’IMC s’applique aux deux sexes et à toutes les tranches d’âge adultes. Il doit toutefois être considéré comme une indication approximative car il ne correspond pas nécessairement au même pourcentage de masse graisseuse selon les individus. L’IMC n’est pas encore utilisable dans le cas des enfants.

 

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Surpoids et obésité de l'enfant

02/10/2013 20:48

L’excès pondéral et l’obésité des enfants sont en augmentation

L’obésité des enfants constitue l’un des plus grands défis pour la santé publique au 21e siècle. Il s’agit d’un problème mondial qui affecte de nombreux pays à revenu faible et intermédiaire, en particulier en milieu urbain.

La prévalence s’est accrue à un rythme alarmant. On estime qu’en 2010 le monde comptait plus de 42 millions d’enfants en surpoids. Près de 35 millions de ces enfants vivent dans des pays en développement. Les enfants en surpoids et obèses risquent de rester obèses une fois adultes et sont plus susceptibles de contracter des maladies non transmissibles telles que diabète et maladies cardiovasculaires à un âge plus précoce.

Le surpoids et l’obésité, ainsi que les maladies qui leur sont liées, sont en grande partie évitables. La prévention de l’obésité de l’enfant doit donc se voir accorder un haut degré de priorité.

Publications

Stratégie mondiale pour l’alimentation, l’exercice physique et la santé

Les principales causes de l'augmentation de l'obésité infantile se trouvent dans un changement de régime alimentaire avec une consommation accrue d'aliments énergétiques riches en graisses et en sucres mais pauvres en vitamines, minéraux et autres micro-nutriments sains, et une tendance à la diminution de l'activité physique.

L’OMS a élaboré une stratégie mondiale pour l’alimentation, l’exercice physique et la santé à la demande de ses États Membres approuvée par l'Assemblée mondiale de la Santé en mai 2004.

Cette stratégie basée sur la prévention vise à réduire sensiblement la prévalence des maladies non transmissibles et leurs facteurs de risque communs, principalement une mauvaise alimentation et la sédentarité.

 

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Activité physique pour les jeunes

02/10/2013 20:46

Recommandations pour les jeunes âgés de 5 à 17 ans

 

Pour les enfants et les jeunes gens, l’activité physique englobe notamment le jeu, les sports, les déplacements, les tâches quotidiennes, les activités récréatives, l’éducation physique ou l’exercice planifié, dans le contexte familial, scolaire ou communautaire.

Afin d'améliorer leur endurance cardio respiratoire, leur état musculaire et osseux et les marqueurs biologiques cardio vasculaires et métaboliques,

  • Les enfants et jeunes gens âgés de 5 à 17 ans devraient accumuler au moins 60 minutes par jour d’activité physique d’intensité modérée à soutenue.

  • Le fait de pratiquer une activité physique pendant plus de 60 minutes apporte un bénéfice supplémentaire pour la santé.

  • L’activité physique quotidienne devrait être essentiellement une activité d’endurance. Des activités d’intensité soutenue, notamment celles qui renforcent le système musculaire et l’état osseux, devraient être incorporées au moins trois fois par semaine.

Activité physique pour tous

Ces recommandations s'appliquent à tous les enfants en bonne santé ayant de 5 à 17, sous réserve de contre-indications médicales spécifiques.

Le concept d'accumulation prévoit d'atteindre l'objectif de 60 minutes d'activité physique quotidienne en pratiquant de multiples activités de plus courte durée sur une journée (par ex. 2 activités de 30 minutes), le principe étant ensuite d'additionner le temps consacré à chacune de ces activités.

Autant que faire se peut, les enfants et jeunes gens atteints d'incapacités devraient suivre ces recommandations en prenant toutefois soin de consulter au préalable le personnel de santé qui les a en charge pour comprendre les type et quantité d'activité physique qui leur correspondent compte tenu de leur incapacité.

Ces recommandations s'appliquent à tous les enfants et les jeunes, quel que soit leur sexe, race, ethnie ou revenu. Pour les enfants et les jeunes qui sont sédentaires, il est recommandé d'augmenter progressivement leur activité physique pour atteindre à terme l'objectif précité. Il convient de commencer par de petites plages d'activités physiques et d'augmenter progressivement leur durée, fréquence et intensité. Il faut également noter que si les enfants sont sédentaires, mieux vaut pour eux qu'ils bougent un peu --même en-dessous des niveaux recommandés-- que de ne rien faire du tout.

Les bienfaits de l'activité physique chez les jeunes

 

Une activité physique pratiquée de manière appropriée aide les jeunes à:

  • développer un appareil locomoteur sain (os, muscles et articulations);

  • développer un appareil cardiovasculaire sain (cœur et poumon);

  • développer une conscience neuromusculaire (coordination et contrôle des mouvements);

  • garder un poids approprié.

On a aussi montré que l'activité physique avait des effets psychologiques bénéfiques car elle aide les jeunes à mieux surmonter anxiété et dépression.

De même, la participation à une activité physique peut contribuer au développement social des jeunes en leur fournissant des occasions de s'exprimer, en améliorant leur confiance en eux ainsi que l'interaction et l'intégration sociales.

Il semble également que les jeunes qui pratiquent une activité physique adoptent plus volontiers des comportements sains (comme éviter le tabac, l'alcool et la consommation de drogues) et ont de meilleurs résultats scolaires.

 

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Quelles sont les causes du surpoids et de l'obésité chez les jeunes?

02/10/2013 20:43

Pourquoi les enfants et les adolescents deviennent obèses

 

La principale cause du surpoids et de l’obésité de l’enfant est un déséquilibre énergétique entre les calories consommées et les calories dépensées.

L’augmentation mondiale des cas de surpoids et d’obésité chez les enfants est imputable à un certain nombre de facteurs:

  • un changement de régime alimentaire observé sur le plan mondial qui se traduit par une consommation accrue d’aliments très énergétiques à haute teneur en graisses et en sucres mais contenant trop peu de vitamines, de minéraux et d’autres micronutriments bons pour la santé; 

  • une tendance à la diminution de l’activité physique en raison de la nature sédentaire de nombreuses formes de loisirs, du changement de modes de transport et de l’urbanisation galopante.

Les causes sociétales de l’épidémie d’obésité de l’enfant

L’OMS reconnaît que la prévalence croissante de l’obésité de l’enfant est le résultat de changements survenus dans la société. L’obésité de l’enfant est essentiellement associée à une alimentation malsaine et au manque d’activité physique, bien que le problème ne réside pas seulement dans le comportement des enfants mais aussi, de plus en plus, dans le développement social et économique ainsi que dans les politiques mises en œuvre dans les domaines de l’agriculture, des transports, de la planification urbaine, de l’environnement, de la préparation, de la distribution et de la commercialisation des aliments, sans oublier l’éducation.

Le problème est d’ordre sociétal et requiert donc une approche multisectorielle, pluridisciplinaire et culturellement pertinente au niveau de la population.

Contrairement à la plupart des adultes, les enfants et les adolescents ne sont pas en mesure de choisir le milieu dans lequel ils vivent ni les aliments qu’ils mangent. Ils ne comprennent pas pleinement non plus les conséquences à long terme de leur comportement. Il faut donc leur consacrer une attention particulière lorsqu’on combat l’épidémie d’obésité.

 

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Sortilège

02/10/2013 20:41

Bonjour!

J'ai récemment lu un très bon livre dans le cadre d'un travail de français. Il s'intitulait Sortilège. C'est le roman ayant inspiré le film du même nom. Alex Flinn, l'auteur, a beaucoup d'imagination pour inventer cette histoire qui sort de l'ordinaire avec une histoire d'amour entre monstre et humaine. C'est en 2009 que, grâce à la maison d'édition HACHETTE Jeunesse le livre sort en librairie.

 

Les deux personnages dont j'ai choisi de vous parler sont les principaux, Kyle Kingsbury et Lindy Owens, c'est entre eux que l'histoire d'amour se passe. Je vais commencer par vous décrire le Kyle du début. Kyle a seize ans. Il est extrêmement beau et riche. Toutes les filles rêvent de lui. Il est très arrogant. Cet étudiant se croit au dessus de tout le monde. Il attache beaucoup d'importance à son apparence. Il rejette tous ceux qui n'ont pas eu de chance côté beauté. C'est un être si méchant qu'on pourrait le qualifier de monstre. Durant le livre, Kyle change beaucoup. Il devient quelqu'un de plus sensible. À la fin, il est beau et riche, mais pour la première fois de sa vie, il tombe vraiment amoureux. Grâce à l'amour, il change tout comme les valeurs auxquelles il attache de l'importance. La fille dont il est amoureux, Lindy, n'est pas super belle, mais ça n'a plus aucune importance. Kyle ne regarde plus que la beauté intérieure des gens. Lindy, quant à elle, a le même âge que Kyle. Elle est d'apparence normale. Son père, un drogué, est prêt à tout pour ne pas aller en prison, même à donner sa fille à un parfait étranger. Elle n'accorde aucune importance à la beauté extérieure. Elle tient à connaître les personnes avant de les juger. Personne ne la remarque, car elle discrète, d'apparence normale et boursière.

 

Les deux lieux principaux où se déroule l'action sont surtout les deux maisons de Kyle. Celle en ville et celle en campagne. Elles sont toutes les deux très spacieuses et très belles. Il y a beaucoup trop d'espace pour un adolescent, une bonne et un professeur. Ces endroits servent de lieux de transformation pour Kyle. Il passe de méchant et arrogant à gentil et sympathique. Ce lieu nous fait apprécier le personnage.

 

L'histoire se passe dans les années d'aujourd'hui. J'ai déduit le temps, car il n'est pas indiqué nul part. L'histoire dure deux ans, le temps que prend Kyle pour rompre le sortilège et reprendre son apparence normale.

 

Kyle vit seul avec son père. Ce dernier lui a appris à n'aimer que lui-même. Le soir du bal des finissants, l'adolescent se fait jeter un sort par une sorcière. Sa beauté intérieure ressort alors à l'extérieur : Kyle se transforme en monstre. Il a deux ans pour faire tomber une fille amoureuse de lui, sinon il restera un monstre pour la fin de ses jours. Selon moi, le moment que j'ai trouvé le plus palpitant c'est à la fin, quand on apprend s'il a réussit ou non à rompre le sort.

 

J'ai adoré ce roman! J'aimerais ne jamais l'avoir lu pour le relire encore et encore. Je le recommande à tout le monde! Oui, c'est une histoire d'amour, mais il y a quand même quelques scènes d'action pour ceux qui préfère ce style d'écriture. Finalement, je lui donne un 10/10!

 

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Les îles Galapagos

02/10/2013 20:38

Les îles Galapagos

 

Les îles Galapagos sont dans une bien drôle position. Leur faune et leur flore sont en danger, car si on ne fait pas attention, elles pourraient disparaître (la faune et la flore). Il y a tant d’immigration et de tourisme, que l’humain

devient le danger principal des îles. Il faut faire attention, car elles risquent de perdre leur beauté.

 

 

Que de problèmes!

Au paragraphe précédant, je vous ai présenté l’enjeu des Galapagos qui est les humains et tout le ravage qu’ils font. En fait, il y a eu un temps ou l’Équateur, le pays dont fait partie l’ensemble d’îles que sont les îles Galapagos, ne s’occupait pas de ces dernières. Dans ce temps là, le seul problème des îles était les marins qui faisaient escale sur les îles et mangeait toutes les tortues géantes de pinta. C’était bien mieux pour l’ensemble des îles sauf pour les tortues. Voici quelques exemples de problèmes dont la majorité ont été causés par les humains.

 

 

Georges…

Premièrement, les tortues géantes de pinta. Il n’en reste qu’une seule, George. On a essayé de le faire accoupler avec des femelles d’une autre sorte puisqu’il est le dernier, mais il leur faisait peur. On a donc essayé une autre stratégie, Mme George. Elle devait ramasser du sperme de Georges, mais n’a pas réussit.

 

Surpêche

La surpêche du concombre de mer est aussi un gros problème. Il est d’ailleurs très recherché dans le monde, vous savez pourquoi. Comme il y en avait beaucoup aux Galapagos, les habitants se sont dit: « Pourquoi ne pas en pêcher?», alors, ils se sont mis a en pêcher. Ils en pêchaient trop. Il a fallu que les autorités contrôlent la pêche du concombre de mer avec des quotas.

 

Des chèvres?

Hé oui! Les chèvres qui étaient importées par l’homme est un problème, soit dit en passant, énorme. Elles mangeaient la nourriture des tortues géantes et contribuaient à la disparition de tortues de l’île d’Espagnola. Pour s’en débarrasser, Il a fallu prendre les grands moyens et engager un tireur d’élite pour toutes les tuer.

 

Et mon opinion dans tout ça

Je trouve qu’on est un problème énorme, nous les humains sur ces îles! Les trois problèmes que je vous ai présentés aujourd’hui sont trois des moins majeurs. On doit réagir et vite!

 

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Lettre de Robinson Crusoë à sa famille

02/10/2013 20:35

Chère famille,

Ne vous en faites pas pour moi, je suis toujours vivant et je vais bien. Depuis que je me suis échoué sur cette île, j'ai compris beaucoup de choses et je me sentais plus jeune que je ne l'étais vraiment. Oui, j'ai décidé de rester vivre ici, non pas parce que je ne vous aime plus, bien au contraire! Je vais vous expliquer tout ce qui c'est passé depuis que je suis parti de la maison. Vous comprendrez sûrement les raisons de mon choix. Tant d'années passées ici, comment quitter l'île?

 

Tout a commencé le vingt-neuf septembre 1759. Nous étions tous à bord de la Virginie, les membres de l'équipage et moi. Tout allait bien. Le capitaine buvait son rhum et moi, jeune comme j'étais, j'avais hâte d'arriver, bref, j'étais impatient. Une petite tempête s'était levée. Je me suis un peu inquiété, mais le capitaine m'a assuré que tout allait bien. J'avais quand même un doute puisque les vagues étaient de plus en plus grosses, elles étaient très imposantes. C'est à ce moment là que la catastrophe est arrivée. Une vague nous apportait à droite et une autre à gauche. Là, j'ai paniqué. J'ai entendu:

-«Plus personne sur le pont!»

Puis, plus rien.

 

Lorsque je me suis réveillé, je me suis aperçu que j'étais sur une île déserte. Nous avions fait naufrage. C'est alors que j'ai réalisé que j'étais seul sur la plage. Un sentiment de crainte m'a gagné. J'ai décidé d'explorer cette île. En marchant tranquillement dans la forêt, j'ai rencontré un bouc. J'ai pu m'en approcher très près. Il ne m'attaquait pas. J'en suis donc venu à cette conclusion: les animaux ne connaissaient pas l'homme. J'ai subvenu à mes besoins. J'ai trouvé de la nourriture et de l'eau. Bien entendu, je n'aimais pas être là, je voulais quitter cet endroit au plus vite. J'ai réussit à faire des signaux de détresse. C'est alors que je me suis dis que si je faisais un bateau, je pourrais quitter l'île! Pour cela, ça me prenait des outils. Je me suis construit un radeau avec ce que javais pour l'instant pour pouvoir aller dans l'épave de la Virginie.

 

Après plusieurs jours où je rapportais des matériaux, des outils et des vêtements de la Virginie, j'ai enfin commencé mon bateau. Il fallait que je lui trouve un nom. J'ai pensé à l'Évasion. Ça allait bien avec le contexte. Quand j'ai eu fini mon bateau, j'ai voulu le mettre à la mer. J'ai essayé plusieurs tentatives, mais impossible de mettre cet engin à l'eau. Il était trop lourd!

 

J'allais souvent dans la boue, je faisais comme les cochons. Quand j'y étais, tout était beau. J'étais avec vous, à York. Je me sentais si bien! Puis, un jour, j'ai vu un bateau passer sur le bord de la rive. Il ne s'est pas arrêté. Une petite fille qui était à bord m'envoyait la main. Je l'avais déjà vu quelque part, mais où? Plus tard dans la soirée, j'ai repensé à la petite fille. C'est alors que je l'ai reconnue. C'était ma sœur, morte depuis longtemps. Je me disais qu'il fallait que j'arrête d'aller dans la boue. Ça me rendait fou!

 

Je me sentais si seul, je voulais tellement retourner dans cette étendue vaseuse! Un jour, je me suis aperçu que je n'étais pas seul sur cette île. Des buissons bougeaient, j'avais peur! Puis, Tenn, le chien du bateau en est sorti! Comment avait-il pu rester si longtemps dans ce trou perdu sans que je ne m'en aperçoive? C'est grâce à lui, ce chien fidèle, que j'ai décidé de prendre les choses en main. J'ai construit une maison, fabriqué une horloge qui fonctionne à l'eau et fait un calendrier! J'étais très motivé! J'ai décidé d'écrire un texte de lois, comme s'il y avait d'autres gens avec moi. Ce que je ne savais pas, c'est que j'avais des visiteurs. Des indigènes. J'en savais assez sur ces gens pour dire qu'ils faisaient une cérémonie où une vieille femme désignait un coupable pour quelque chose de malheureux qui se serait passé, comme du mauvais temps. C'était affreux. Ils démembraient la personne choisie et jetaient ses résidus dans un feu. Ils sont partis tout de suite, après. Ouf!

 

J'ai eu beaucoup de problèmes avec les rats. Ils mangeaient toutes mes céréales! Heureusement, je me suis débarrassé d'eux rapidement. Un jour, j'ai sortis un miroir que j'avais apporté de la Virginie. Quand je me suis regardé dans la glace et que j'ai essayé de sourire, je n'en étais plus capable. J'ai regardé Tenn et on aurait dis qu'il me souriait. Ne vous en faites pas! Je n'étais pas retourné dans la boue! C'est grâce à Tenn que j'ai réappris à sourire! Ce chien est exceptionnel!

 

Il y avait une grotte que je voulais absolument visiter. Un jour, je me suis lancé. Je l'ai visité jusqu'au bout. J'y suis resté plusieurs jours et le dernier, je voyais tout en blanc. J'avais peur que ce soit la paresse qui me traîne dans la grotte. Pour me garder hors de ce trou noir, je me suis construit une rizière et j'ai écrit un peu partout sur Speranza (C'est comme ça que j'ai appelé l'île) des almanachs de Benjamen Francklin.

 

J'ai aussi vu un autre groupe d'indigène. Ce n'était pas la même tribu que la dernière fois. La vieille femme a fait deux victimes. La deuxième a réussit à s'enfuir. Bien sûr, il (c'est un homme) s'est fait poursuivre par deux hommes de sa tribu. Avec l'arme à feu que j'avais apporté avec moi, j'ai tiré sur l'un d'eux. L'autre, alarmé par le bruit et par son compagnon qui s'effondrait sur le sol, a rebroussé chemin. Le «coupable» est venu me rejoindre. Il a dormi chez moi, ce soir là. Le lendemain, l'Indien et moi sommes allés où j'avais laissé l'Évasion. Je me disais qu'avec son aide, je pourrais mettre le bateau à la mer. C'est ce jour là que j'ai ris pour la première fois depuis mon arrivé sur Speranza. Tenn a sauté à l'intérieur du bateau qui s'est effondré. L'Évasion était rongé par des termites! C'était hilarant!

 

Il fallait absolument que je trouve un nom pour cet Indien. D'après mon calendrier, nous étions vendredi le jour où je l'ai rencontré. Alors, c'est comme ça que je l'ai appelé. Il était mon serviteur. Il a construit une magnifique pirogue! Je ne comprenais pas la manière de faire de cet indigène et vice-versa. Vendredi avait accueillit un couple de rats. Comme j'avais eu plusieurs problèmes avec ces bestioles, auparavant. J'ai été cruel et je les ai jetés à la mer à l'insu de Vendredi. J'étais impressionné par les armes que faisait l'Indien avec ce qu'il trouvait. À l'aide d'une carapace de tortue, il a fait un bouclier. Mon compagnon avait aussi adopté un bébé vautour que la mère avait abandonné. Je ne l'ai pas touché celui-là.

 

Une nuit, je m'ennuyait réellement et j'avais une sacrée envie de retourner dans la grotte. J'y suis donc allé. Quand j'en suis sorti, Vendredi n'était plus là. Tenn fidèle comme il était, m'attendais à l'entrée de la grotte. On aurait dit qu'il comprenait que je me demandais où mon «serviteur» était passé. Il m'a emmené où Vendredi avait fait plusieurs bêtises. J'étais vraiment en colère! Le lendemain matin, mon chien et moi sommes partis à sa recherche. Nous l'avons retrouvé dans la forêt. Heureusement pour lui, je n'étais plus fâché, je m'étais calmé.

 

Ce que je ne savais pas, c'est que Vendredi fumait de la pipe en cachette. Un jour, quand j'ai découvert son secret, il était dans la grotte et il fumait. Je l'ai appelé. Il est venu jusqu'à moi, mais avant, il a jeté la pipe encore fumante derrière lui, où les tonneaux de poudre étaient. Dès qu'il est sorti d'où il se cachait, les tonneaux de poudre ont explosés. À ce moment, j'ai perdu connaissance.

 

Quand je me suis réveillé, une deuxième explosion s'est produite. Elle était moins forte, cette fois. La maison n'était plus que des cendres. Tenn est décédé. Ça m'attriste beaucoup. Lorsque la nuit est tombée, le vent s'est levé. Vendredi et moi avons dormi sous l'ombre d'un palmier lourdement endommagé. Il s'est effondré peu de temps plus tard.

 

Vendredi était assez lâche! Pour chasser la volaille, il restait allongé, immobile, couché sur un hamac. Les oiseaux venaient donc se poser près de lui. Tout à coup, PAF! Il tirait dessus. Il s'amusait à fabriquer des arcs à flèches. Il ne le faisait pas pour tuer, mais pour s'amuser. Il n'était plus mon serviteur. L’affranchis me montrais comment il cuisinait dans sa tribu indienne.

 

On s'est disputé, un jour. Vendredi est allé se réfugier dans la forêt. Quand il est revenu, il a fait un mannequin de moi avec un cactus. Quelque temps plus tard, j'ai fais la même chose, mais c'était à son image. J'avais fabriqué son mannequin avec du sable. Vendredi a trouvé un jeu super amusant. On changeait de personnalité. Je devenais lui et il devenait moi. C'est une sorte de thérapie pour nous.

 

Un jour, mon ami a découvert un tonneau de poudre que j'avais enterré pour qu'en cas de danger, je puisse le faire exploser à distance. Nous avons fait brûler les arbres morts à l'aide de la poudre et de résine de pin.

 

Il y a eu une grosse pluie qui s'abattait sur Speranza. Pour passer le temps, nous avons joués aux devinettes, un jeu très amusant.

 

Nous avons eu une invasion de perroquets. Je n'en avais jamais vu. Les oiseaux verts répétaient tout ce que nous disions. Vendredi disais que c'était une leçon. Il disait qu'on parlait trop. Il m'a appris plusieurs signes pour qu'on puisse discuter, en silence!

 

Vendredi avait inventé un jeu. Il se battait avec les boucs. Quand il gagnait, il accrochait un collier autour du cou de la bête. Un jour, lors de la chasse aux boucs, il a trouvé une jeune chevrette qui avait une patte avant cassée. Il l'a hébergée et l'a soignée. Ça n'a pas été facile! Un profond lien d'amitié s'est tissé entre eux. Un jour, Vendredi s'est aperçu que son amie n'était plus là. Il est donc parti à sa recherche. Il l'a retrouvée, mais elle était avec le roi des boucs. Vendredi avait décidé de se battre avec lui pour qu'il puisse porter le même collier que la plupart de ses congénères. Pendant la bagarre, le bouc a gravement blessé Vendredi à l'épaule. L'indigène a, sans le vouloir, monté le bouc. Mon ami pensait qu'en cachant les yeux de l'animal, il s'arrêterait, mais le bouc n'était pas du même avis. L'animal qui ne voyait plus ou il allait et qui courait comme un fou les a entraînés, lui et Vendredi, dans le vide. Je croyais que je ne reverrais plus jamais mon ami.

 

J'étais affolé, car j'avais tout vu. J'ai décidé de descendre dans la crevasse où ils étaient tombés. Il y a un petit sentier qui y mène. Quand je suis arrivé, j'ai vu le collier autour du cou du bouc, mais pas de Vendredi. Je me suis retourné pour voir où il aurait pu atterrir et je l'ai vu debout, derrière moi, tout heureux. J'étais vraiment soulagé. Il m'a expliqué que le roi des boucs était sous lui, lors de la chute et qu'il l'a protégé.

 

Nous avons déplacé le cadavre de l'animal sur la plage. Dès que nous l'avons déposé, Vendredi a commencé à défaire la dépouille de l'animal que nous avons nommé Androar. Il n'a gardé que la peau (il avait enlevé tous les poils) et les intestins qu'il avait lavé et laissé sécher. Il n'arrêtait pas de dire qu'il allait faire voler Androar.

 

Depuis quelques temps, j'essayais d'arrêter d'être sujet au vertige. Pour ce faire, je montais dans un arbre. Un jour, pendant que je faisait cette activité «amusante», j'ai vu que mon ami tenait sa promesse. Il avait transformé Androar en cerf-volant et le faisait voler. Il l'a laissé dans les airs jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de vent, bref, plusieurs jours plus tard. Quand il s'est réveillé, Vendredi est allé chercher le crâne d'Androar qu'il avait mis dans une fourmilière pour que les fourmis mangent toute la viande qu'il y avait dessus. Il l'a transformé en harpe éolienne et il a fait «chanter» Androar. Aujourd'hui, il y a un arbre réservé à lui. Son cerf-volant et son harpe éolienne y sont accrochés.

 

En cette belle journée, un bateau est arrivé sur Speranza. Dès qu'ils ont accostés, les marins ont fait un ravage sur l'île. La première chose que j'ai demandé au capitaine est:

- «Quel jour sommes-nous?»

Il semblait très étonné par cette question, mais il a tout de même répondu:

- «Le samedi vingt-deux décembre 1787.»

Cela voulait dire que j'étais sur l'île depuis plus de vingt-huit ans! J'ai donc calculé que j'avais 50 ans! Pourtant, sur l'île, je me sentais de plus en plus jeune. J'ai bien fait comprendre aux membres de l'équipage que je voulais rester sur l'île. C'est ma maison. Vendredi et moi avons quand même visité le Whitebird. Comme les bateaux ont évolués depuis mon naufrage!

 

Vous comprenez maintenant pourquoi j'ai fait ce choix? Ne parlez surtout pas de cette lettre à personne, sinon tout le monde partira à ma recherche. J'aimerais bien que ce paradis terrestre reste secret. J'espère que vous ne m'en voulez pas! Je vous aime fort. Dès que le Whitebird partira, je commencerai déjà à écrire une autre lettre pour que le prochain bateau (s'il y en aura un) vous l'apporte.

 

Je vous embrasse. XXX

 

________________________

Robinson Crusoë

 

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Squelette

07/09/2013 15:36

Le squelette constitue la charpente solide de votre corps.

 

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Monoxyde de carbone

07/09/2013 15:29

Une substance gazeuse qui est un neurotoxique puissant, mortel: le monoxyde de carbone (gaz).

 

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Les drogues qui faussent le système nerveux central

07/09/2013 15:26

Voici une liste de drogues qui faussent le système nerveux central:

  • Le cannabis
  • Le hashish
  • Les champignons
  • Les solvants
  • Le crack
  • L'ecstasy

 

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Les drogues qui stimulent le système nerveux central

07/09/2013 15:23

Voici une liste des drogues qui stimulent le système nerveux central:

  • La caféine
  • La nicotine
  • La cocaïne
  • Le cannabis
  • Le speed

 

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Les drogues qui réduisent l'activité du système nerveux central

07/09/2013 15:19

Voici une liste des drogues qui réduisent l'activité du système nerveux central:

  • L'alcool
  • Les tranquilisant, les somnifères
  • Les antihistaminiques
  • L'héroïne
  • La morphine
  • Le PCP

 

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Les drogues et l'encéphale

07/09/2013 15:17

Il y a trois catégories de drogues. Celles qui réduisent l'activité du système nerveux central, celles qui le stimulent et celles qui le faussent.

 

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Système nerveux autonome

07/09/2013 15:12

Les centres de contrôle de ce système sont le tronc cérébral et l'hypothalamus. Ils sont responsables de fonctions automatiques corporelles vitales comme la faim et la soif, les pulsions sexuelles, l'activité des glandes, le sommeil, les émotions, l'activité cardiaque et la température corporelle.

 

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Trajet de l'influx nerveux

07/09/2013 15:08

Le trajet de l'influx nerveux sera: un nerf sensitif ==> la moelle épinière ==> un nerf moteur ==> un muscle (ou une glande, les yeux, le coeur). ex: le genou

 

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L'arc réflexe

07/09/2013 15:06

Un réflexe est une action produite sans le contrôle du cerveau (involontaire).

 

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Acte volontaire

07/09/2013 15:04

C'est une action volontaire déclanchée  par des influx nerveux. Par exemple: marcher, parler.

 

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La synapse

24/08/2013 19:41

La synapse est la région de «contact» entre l'axone d'un neurone et le dendrites d'un autre neurone. Elle permet le passage des influs nerveux entre les neurones (neurotransmetteurs). Le passage s'effectue toujours dans le même sens: Dendrites --> Corps cellulaires --> Axone. À l'extrémité axonale, il y a libération d'un neurotransmetteur. Exemple: Noreadrénaline, Sérotonine, Dopamine, Gaba, Acétylcholine, Adrénaline.

 

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Nerfs mixes

24/08/2013 19:36

L'influx peut aller dans les deux sens.

 

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Nerfs moteurs

24/08/2013 19:31

L'influx va du cerveau vers les muscles.

 

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Nerfs sensitifs

24/08/2013 19:28

L'influx se dirige vers le cerveau.

 

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Influx nerveux

24/08/2013 19:24

Qu'est-ce qu'un influx nerveux? C'est un phénomène électrochimique. Le sens (la direction) varie selon le type de nerfs: (3 types différents).

 

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Neurone (la cellule nerveuse)

24/08/2013 19:20

Les principales parties sont:

  • Dentrites
  • Corps cellulaires
  • Axone
  • Terminaisons axonales

Sa longueur peut varier de 1 Mm à 1 M. Les neurones communiquent entre eux par des influx nerveux.

 

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Nerfs crâniens - Nerfs rachidiens

24/08/2013 19:14
  • Le 12 paires des nerfs crâniens contrôlent la tête et le cou.
  • Les 31 paires de nerfs rachidiens en lien avec la moelle épinière et les parties inférieures du corps.

 

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La moelle épinière

17/08/2013 14:52

Située dans la colone vertébrale, elle sert à transmettre les influx nerveux. La moelle épinière est aussi responsable des réflexes.

 

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Liquide céphalorachidien

17/08/2013 14:50

Un liquide circule entre les méninges, c'est le liquide céphalorachidien.

 

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Méninges

17/08/2013 14:46

Ce sont trois membranes qui recouvrent les structures du système nerveux:

  • Dure-mère
  • Arachnoïde
  • Pie-mère

Rôle: protection

 

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Matière blanche

17/08/2013 14:44
  • Assure la communication dans le système nerveux central
  • Assure les influx nerveux

 

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Matière grise

17/08/2013 14:42
  • Commandes les mouvements
  • Fonctions intellectuelles
  • Analyse

 

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Matières

17/08/2013 14:39

L'encéphal et la moelle épinière sont constitués de deux couches de tissus:

  • Matière grise
  • Matière blanche

 

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Le bulbe rachidien

17/08/2013 14:35

Il est responsable est responsable de fonctions vitales comme:

  1. Rythme cardiaque
  2. Rythme respiratoire
  3. Pression artérierielle

 

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Le tronc cérébral

17/08/2013 14:32

Il fait le lien entre le cerveau et la moelle épinière. Il comprend le bulbe rachidien.

 

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Le cervelet

17/08/2013 14:29

Il est situé dans la partie postérieure du cerveau. Il participe à l'équilibre et il coordonne l'activité musculaire.

 

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Le cerveau

17/08/2013 14:25

Il est composé de deux hémisphères. Chacun contrôlele côté opposé du corps. Chaque hémisphère est divisé en quatre lobes (frontal, pariétal, occipital, temporal)

 

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L'encéphal

17/08/2013 14:21

Il est protégé par les os du crâne, il comprend trois parties.

  1. Cerveau
  2. Cervelet
  3. Tronc cérébral

 

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Système nerveux central

17/08/2013 14:12

Il comprend l'encéphal, le tronc cérébral et la molle épinière. C'est le système le plus complexe du corps humain. Il gère, décode, perçois, analyse, se souvient...

 

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Système nerveux

17/08/2013 14:10

Il est divisé en deux:

  1. Système nerveux central
  2. Système nerveux périphérique

 

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Sensations douloureuses

02/08/2013 16:13

Elles perçoivent les brûlures, les écrasements et les coupures. Elles sont détectées par les nocirécepteurs (les terminaisons nerveuses libres).

 

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Sensations thermiques

02/08/2013 16:11

Elles perçoivent la température du milieu, des objets. Elles sont détectées par les terminaisons nerveuses libres.

 

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Sensations tactiles

02/08/2013 16:02

La pression, l'effleurement avec des objets sont des sensations tactiles. Ces choses sont détectées par:

  • Corpuscules de Meissner (pression)
  • Corpuscules de Pacini (vibrations)
  • Corpuscules de Ruffini (chaleur)
  • Disques de Merkel (contacts légers)
  • Corpuscules de Krauss (froid)
  • Récepteurs des follicules pilleux

 

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Perception des sensations liées au toucher

02/08/2013 16:00

Il y a trois catégories de sensations liées au toucher.

  1. Sensations tactiles
  2. Sensations thermiques
  3. Sensations douloureuses

 

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L'hypoderme

02/08/2013 15:57

C'est la couche profonde. Elle comprend du tissus adipeux (du gras). L'hypoderme a deux rôles:

  1. Réserve énergique
  2. Protection

 

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Le derme

02/08/2013 15:53

C'est la couche intermédiaire. Elle est composée de collagène. Le derme a quatre rôles:

  1. Protection
  2. Croissance des glandes et des poils
  3. Vaisseaux sanguins (nutrition, protection)
  4. Perception (toucher)

 

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L'épiderme

02/08/2013 15:50

C'est la partie externe (où il y a contact). Elle comprend:

  • la couche cornée
  • la couche vivante
  • la couche basale

Elle a deux rôles:

  1. Protection
  2. Imperméabilise

 

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Trois couches de tissus

02/08/2013 15:49

La peau est composée de trois couches de tissus.

  1. L'épiderme
  2. Le derme
  3. L'hypoderme

 

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Le toucher

02/08/2013 15:48

La peau est responsable du sens du toucher.

 

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Les saveurs

02/08/2013 15:45
  • Sucré
  • Salé
  • Amer
  • Acide

 

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Odorat et gustation?

02/08/2013 15:43

L'odorat et la gustation sont deux sens qui fonctionnent en interaction.

 

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Quatres conditions

02/08/2013 15:40

Il faut quatre conditions pour percevoir une saveur:

  1. Substance soluble dans la salive
  2. Concentration suffisante
  3. Contact avec les bourgeons gustatifs
  4. Substance sapide (qui a du goût)

 

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Cellules gustatives

02/08/2013 15:38

Des cellules gustatives perçoivent la saveur et envoient l'information au cerveau.

 

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Les sortes de papilles

02/08/2013 15:08

On distingue 4 sortes de papilles:

  1. Caliciformes
  2. Foliées
  3. Fongiformes
  4. Filiformes

Ces papilles contiennent des bourgeons gustatifs.

 

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Perception des saveurs

02/08/2013 15:06

Des papilles gustatives sont disposées à différents endroits sur la langue.

 

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La langue

02/08/2013 15:03

La langue assure trois fonctions très importantes:

  1. Articulation des sons (parole)
  2. Déglutition (avaler)
  3. Perception des saveurs

 

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Mouvement conjoint

02/08/2013 14:50

Série de notes qui se suivent. Exemple: Do, Ré, Mi, Fa, Mi, Fa, Sol, Fa.

 

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Chiffres indicateurs

02/08/2013 14:46

Ils se placent après la clé. Le chiffre supérieur indique le nombre de temps et le chiffre inférieur indique la figure rythmique qui vaut un temps.

  • 8 = Croche
  • 4 = Noire
  • 2 = Blanche
  • 1 = Ronde

 

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La clé de sol

02/08/2013 14:42

Signe qui se place au début de la portée. Sert à indiquer la hauteur des sons et le nom des notes.

 

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Double barre de mesure

02/08/2013 14:40

C'est une double ligne verticale que l'on place à la fin de la pièce.

 

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Barre de mesure

02/08/2013 14:39

C'est la ligne verticale qui divise le morceau en parties égales. Ne jamais dépasser la ligne.

 

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La mesure 2/4

02/08/2013 14:36

Dans la mesure 2/4, il y a 2 noires par mesures, ou l'équivalent.

 

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Tempo: la définition

02/08/2013 14:33

Vitesse d'exécution selon l'armure. Se trouve au dessus de la portée, au début de la pièce.

  • Lento = très lent (40 - 60 BPM)
  • Moderato = vite (108 - 120 BPM)
  • Alegro = très vite (120 - 168 BPM)

 

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Altération accidentelle

02/08/2013 14:30

C'est une altération qui n'est pas à l'armure et que l'on rencontre dans la partition. Cette altération affecte la note pendant la mesure au complet seulement.

 

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Altération à l'armure

02/08/2013 14:28

Lorsqu'il y a des altérations à l'armure, les notes concernées seront toujours altérées dans la pièce.

 

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Altération

02/08/2013 13:55
  1. Dièse = Hausse la note d'un demi ton.
  2. Bémol = baisse la note d'un demi ton
  3. Bécarre = Annule l'effet de l'altération.

 

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Notes de musique anglais --> français

02/08/2013 13:51
Anglais (English) Français (French)
A La
B Si
C Do
D
E Mi
F Fa
G Sol

 

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Clepto ou Klepto, et après?

02/08/2013 13:35

La cleptomanie est une maladie mentale qui se caractérise par une obession à voler. La cleptomanie se caractérise par des vols impulsifs, sans organisation, portant la plupart du temps sur des objets sans valeur. Le voleur kleptomane n'est pas motivé par la valeur du produit dérobé, ses vols n'ont pas de motifs financiers.

La jouissance se trouve dans l'acte, dans le fait même de dérober. La nature même de l'objet du vol et son caractère compulsif font que le kleptomane se fait fréquemment arrêter, par exemple aux portiques de sécurité qu'il franchit sans aucune précaution, parfois animé par un sentiment de culpabilité le poussant à se faire prendre.

Une personne concernée par ce trouble ne peut se retenir de dérober des objets, la plupart du temps sans aucune valeur (des pièces, des couverts, des pin's, ...). Souvent, elles ne se rendent compte d'avoir effectué ce vol que quelque temps après.

La personne atteinte de cette maladie est souvent une personne aisée qui n'a nul besoin matériel de voler.

 

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Peace

31/07/2013 17:41

If money could buy peace, I think we'd be there by now. Think of the amount of money that governments have spent over the years in the name of «peace». Has it worked? Nope. Peace isn't something you buy. I think peace only comes from acting fairly, humanely, and treating others (people and countries) as we would want to be treated. And even then, it might not be possible. But for sure money won't buy it.

 

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Wattheure

31/07/2013 17:37

Unité servant à la mesure de l'énergie électrique.

 

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Turbine

31/07/2013 17:33

Machine qui transmet l'énergie mécanique d'un fluide (eau, gaz comprimé, vapeur, etc.) au rotor de l'alternateur pour le faire tourner et produire ainsi de l'électricité.

 

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Transformateur

31/07/2013 17:32

Appareil servant à abaisser ou à élever la tension.

 

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Support

31/07/2013 17:30

Terme général s'appliquant à tout dispositif (poteau, pylône, etc.) conçu pour supporter les conducteurs d'une ligne aérienne.

 

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Réchauffement climatique

31/07/2013 17:27

Hausse de la température moyenne à la surface de la Terre due à l'augmentation des gaz à effet de serre dans l'atmosphère.

 

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Pylone

31/07/2013 17:26

Structure métallique de grande dimension servant de support aux conducteurs d'une ligne à haute tension.

 

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Poteau électrique

31/07/2013 17:25

Support d'une ligne aérienne.

 

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Fillière énergétique

31/07/2013 17:23

Ensemble des sources d'une forme d'énergie et des moyens de l'exploiter, de la transporter et de l'utiliser.

 

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Environnementaliste

31/07/2013 17:21

Spécialiste de l'étude de l'environnement.

 

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Ennoiement

31/07/2013 17:19

Action d'inonder une zone terrestre de façon permanente (ex.: ennoiement d'une vallée par suite de la création d'un réservoir).

 

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Énergie verte

31/07/2013 17:17

Énergie dont la production a un effet limité sur l'environnement.

 

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Énergie renouvlable

31/07/2013 17:16

Énergie renouvelée ou régénérée naturellement et indéfiniment.

 

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Effet de serre

31/07/2013 17:11

Phénomène naturel de réchauffement de l'atmosphère causé par la présence de certains gaz (appelés gaz à effet de serre) qui retiennent la chaleur, comme la vitre d'une serre. Les principaux gaz à effet de serre (GES) sont la vapeur d'eau, le dioxyde de carbone (CO2) et le méthane.

 

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Digue

31/07/2013 17:09

Ouvrage construit sur le pourtour d'un réservoir ou le long d'un cours d'eau pour retenir les eaux ou faire obstacle à des mouvements d'eau.

 

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Combustible fossile

31/07/2013 17:04

Terme général désigant l'ensembledes combustibles constitués par des végétaux ou des animaux qui se sont fossilisés (c'est-à-dire décomposés dans le sol pendant des dizaines de millions d'années). Ce sont principalement le charbon, le pétrole et le gaz naturel.

 

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Centrale thermique

31/07/2013 17:02

Centrale produisant de l'électricité à partir de la combustrion de combustible fossile.

 

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Centrale nucléaire

31/07/2013 17:00

Centrale produisant de l'électricité à partir d'un réacteur nucléaire.

 

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Centrale hydraulique

31/07/2013 16:58

Centrale produisant de l'électricité à partir de l'énergie de l'eau.

 

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Centrale éolienne

31/07/2013 16:55

Centrale produisant de l'électricité à partir de l'énergie du vent.

 

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Centrale

31/07/2013 16:53

Usine qui comprend les installations nécessaires à la production d'électriciter.

 

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Barrage

31/07/2013 16:49

Ouvrage construit en travers du lit d'un cours d'eau pour en retenir les eaux. Dans le cas d'une installation hydroélectrique, il sert à créer ou à aménager une chute en vue d'actionner les turbines d'une centrale.

 

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Les filières énergétiques dans le monde

31/07/2013 16:21

Les tableaux suivants donnent des informations sur les filières utilisées en 2002 dans différents pays pour produire de l'électricité.

Afrique Combustibles fossiles Hydraulique Nucléaire Autres renouvlables
Afrique du Sud 92,90% 1,15% 5,83% 0,12%
Algérie 98,78% 0,22% 0% 0%
Égypte 82,76% 0% 16,96% 0,27%
République démocratique du Congo 0,34% 99,66% 0% 0%
Amérique du Nord Combustibles fossiles Hydraulique Nucléaire  Autres renouvlables
Canada 26,65% 59,67% 13,36% 1,45%
Québec 0,96% 96,68% 2,27% 0,09%
États-Unis 70,60% 6,84% 20,17% 2,39%
Mexique 80,57% 12,13% 4,55% 2,75%
Amérique du Sud Combustibles fossiles Hydraulique Nucléaire Autres renouvlables
Argentine 48,06% 43,78% 6,64% 1,52%
Brésil 9,39% 82,09% 4,42% 4,10%
Asie Combustibles fossiles Hydraulique Nucléaire Autres renouvlables
Arabie saoudite 100% 0% 0% 0%
Chine 80,94% 17,31% 1,60% 0,15%
Inde 84,86% 11,26% 3,15% 0,73%
Japon 62,39% 7,87% 27,05% 2,69%
Vietnam 47,87% 52,13% 0% 0%
Europe Combustibles fossiles Hydraulique Nucléaire Autres renouvlables
Allemagne 62,26% 4,17% 28,54% 5,03%
Danemark 80,62% 0,08% 0% 19,30%
Espagne 58,60% 9,91% 26,02% 5,47%
France 9,27% 11,33% 78,42% 0,98%
Norvège 0,40% 99,31% 0% 0,29%
Russie 64,14% 20,64% 14,86% 0,36%
Océanie Combustibles fossiles Hydraulique Nucléaire Autres renouvlables
Australie 91,24% 7,48% 0% 1,27%
Nouvelle-Zélande 28,01% 61,98% 0% 10,01%

 

Notes:

Combustibles fossiles: charbon, gaz naturel et pétrole

Nucléaire: uranium

Hydraulique: eau

Autres renouvlables: énergie éolienne (vent), solaire (soleil), géothermique (chaleur de la terre), de la biomasse (matières organiques) et marémotrice (marées)

 

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Les cinq principales filière énergétiques permettant de produire de l'électricité

31/07/2013 16:12
Filière énergétique Pour produire de l'électricité, cette fillière utilise...
Hydraulique ... la force de l'eau qui tombe.
Éolienne ... la force du vent.
Nucléaire ...la force de la vapeur que dégage l'eau chauffée par la fission nucléaire.
Combustibles fossiles ... la force de la vapeur que dégage l'eau chauffée par la combustion du pétrole, du charbon ou du gaz naturel.
Solaire ... l'énergie des rayons du soleil.

 

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Produire de l'électricité

31/07/2013 16:01

Pour produire de l'électricité, on fait généralement tourner une turbine reliée à un alternateur. Pour y arriver, on peut, entre autres, employer:

  • la force motrice de l'eau;
  • la force de la vapeur sous pression que dégage l'eau chauffée par des combustibles fossiles (pétrole, gaz naturel, charbon) ou par la fission nucléaire.

On parle de «fillière énergétique» pour décrire l'ensemble des sources d'une forme d,énergie particulière et des moyens d'exploiter, de transporter et d'utiliser celle-ci.

On compte actuellement cinq grandes fillière énergétique dans le monde: combustibles fossiles, hydraulique, nucléaire, solaire et éolienne.

 

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Schéma sur l'effet de serre

31/07/2013 15:21
  1. L'énergie solaire traverse l'atmosphère.
  2. Une partie de l'énergie est réfléchie vers l'espace.
  3. La surface de la Terre est réchauffée par la chaleur du Soleil qu'elle réemet ensuite vers l'espace.
  4. Les gaz à effet de serre (GES) emprisonnent une partie de la chaleur dans l'atmosphère.
  • Au Québec, la principale source d'émission de gaz à effet de serre est l'automobile, suivie de près par l'industrie et le chauffage au gaz naturel et au mazout.

 

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Notes sur les combustibles fossiles

31/07/2013 15:14

Définition des combustibles fossiles:

On parle de «combustibles» parce qu'ils peuvent brûler.

On les dit «fossiles» parce qu'ils sont formés profondément dans le sol, pendant des dizaines de millions d'années, par la décomposition de matieres organiques (animaux) ou végétales (arbres, plantes).

 

Exemples de combustibles fossiles:

Le pétrole, le charbon et le gaz naturel. L'essence et le mazout (huile de chauffage) sont des produits dérivés du pétrole.

 

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Trajet de la perception d'une odeur

16/07/2013 16:08
  1. Les narines (air).
  2. L'aire effleure l'épithélium olfactif.
  3. Contact avec le mucus.
  4. Les cils activent le mucus.
  5. Les cellules olfactives détectent l'odeur.
  6. Le nerf olfactif transmet l'influx nerveux au cerveau.

 

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Quatre conditions

16/07/2013 16:03

Il faut quatre conditions  pour percevoir une odeur:

  1. La substance doit être volatile (gazeuse)
  2. Concentration suffisante (variable)
  3. Contact avec l'épithélium olfactif
  4. La substance doit être odorante

N.B: Une odeur stable cesse d'être perçue après quelques minutes.

 

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L'humain et les odeurs

16/07/2013 16:00

L'humain peut percevoir plusieurs milliers d'odeurs.

 

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Les cellules olfactives

16/07/2013 15:51

Ce sont des cellules chimiorécepteurs. Elles sont situées dans bulbe olfactif. Les cellules olfactives sont reliéesau cerveau par le nerf olfactif. Le rôle des chimiorécepteurs est de capter les odeurs pour les transmettre au bulbe olfactif par des influx nerveux.

 

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Épithélium olfactif

16/07/2013 15:44

C'est une muqueuse située dans les fosses nasales: c'est la tache jaune olfactive. On y retrouve les cellules olfactives. L'épithélium olfactif a pour rôle la détection des molécules odorantes.

 

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Le nez

16/07/2013 15:40

Le nez est responsable de l'olfaction (odorat). Les parties solides du nez sont faites d'os et de cartilage.

 

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Défauts de la vision

16/07/2013 15:12

1. Myopie

Difficulté pour voir les objects éloignés.

Cause: Oeil trop profond (oval).

Correction: On corrige la myopie avec des verres divergeants.

 

2. Hypermétropie

Difficulté pour voir les objects rapprochés.

Cause: Oeil pas assez profond (aplati).

Correction: On corrige avec des verres convergeants.

 

3. Presbytie

Difficulté pour voir les objects rapprochés.

Cause: Cristallin manque de souplesse (âge).

Correction: On corrige avec des verres convergeants.

 

4. Astigmatisme

Une région de l'image est floue.

Cause: Déformation de la cornée ou du cristallin.

Correction: On corrige avec des verres cylindriques.

 

Anomalies de la vision:

  • Daltonisme
  • Cataractes
  • Glaucome: pression anormale dans le globe oculaire.
  • Strabisme: yeux qui louchent.
  • Décollement de la rétine

 

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La tache aveugle

16/07/2013 15:10

C'est le point de contact avec le nerf optique.

 

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Comment communiquent les yeux et le cerveau?

16/07/2013 15:05

L'information (vision) se rend (nerf optique) au cerveau (lobe occipital) par des influx nerveux.

 

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Les cellules visuelles

16/07/2013 15:00

Il y a deux sortes de cellules visuelles sur la rétine.

  1.  Les cônes (responsables de la vision des couleurs) sont concentrés sur la tache jaune.
  2. Les bâtonnets (responsables de la vision en noir et blanc) occupent plusn de 90% de la rétine.

 

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Mise au point de l'image (vision nette)

16/07/2013 14:39

C'est le cristallin qui permet une vision juste (nette) en variant son épaisseur. Quelle est la cause de la variation du cristallin? C'est la distances entre l'oeil et l'object que l'on regarde.

 

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Contrôle de l'intensité de la lumière

16/07/2013 14:32

L'iris, c'est la partie colorée située à l'avant de l'oeil. Au centre de l'iris, un trou (noir), c'est la pupille.

Rôle de l'iris: C'est l'ouverture de la pupille qui ajuste la quantité de lumière qui pénètre dans l'oeil.

 

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Structures annexes de l'oeil

16/07/2013 14:22

1. Glandes lacrymales

Elles sont situées au dessus de chaque oeil

Rôle: Elles sécrètent des larmes pour lubrifier l'oeil et produisent un antibactérien.

 

2. Muscles oculaires

Rôle: Mouvements de l'oeil

 

3. Conjonctive

Rôle: Elle prévient l'assèchement de l'oeil.

 

4. Paupières

Rôle: Elles protègent contre l'intrusion d'objects solides et liquides.

 

5. Sac lacrymal

Rôle: Il récupère les larmes et les dirige dans le nez.

 

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Deux points particuliers dans l'oeil

16/07/2013 14:16

1. La tache jaune

Elle est située en arrière de l'oeil sur la rétine. On y retrouve une concentration de cellules visuelles: les cônes.

Rôle: Elle permet une vision nette.

 

2. La fovéa

C'est une petite dépression au centre de la tache jaune.

Rôle: permet une meilleure vision de jour.

 

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Les milieux transparents de l'oeil

16/07/2013 14:01

L'oeil comprend quatre milieux transparents:

 

1. Cornée

C'est un prolongement transparent de la sclère, située en avant de l'oeil.

Rôle: elle protège l'oeil et permet la vision

 

2. Cristallin

C'est une petite lentille élastique située derrière l'iris. Il est fixé aux muscles ciliaires.

Rôle: il ajuste la vision en changeant de forme (d'épaisseur) selon la distance des objects.

 

3. Humeur aqueuse

C'est un liquide transparent situé entre la cornée et le cristallin.

Rôle: elle nourrit le cristallin et enlève les déchets.

 

4. Humeur vitrée

C'est une substance gélatineuse, transparente qui remplit le globe oculaire.

Rôle: elle maintient une pression dans l'oeil, elle maintient la rétine collée à la choroïde et elle donne une forme sphérique à l'oeil (à cause de la pression)

 

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L'anatomie de l'oeil

16/07/2013 13:58

L'oeil est composé de membranes, de milieux transparents et de structures annexes.

 

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L'équilibre

16/07/2013 13:52

Quelles parties de l'oreille internes sont responsables de l'équilibre? Ce sont le vestibule et les canaux semi-circulaires. Un liquide qui se déplace dans les canaux semi-circulaires et indique au cerveau les mouvements de la tête. Des cellules ciliées dans les canaux perçoivent le déplacement du liquide. L'information est transmise au cerveau par la nerf vestibulaire.

 

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Perception des sons

12/07/2013 14:44

Les sons sont des vibrations de l'air. Elles (les vibrations) sont dirigées dans le conduit auditif par le pavillon. Elles font vibrer le tympan. À son tour, le tympan fait vibrer les osselets. L'étrier fait vibrer les liquide dans l'oreille interne (cochlée). Le liquide transmet ses vibrations aux cellules ciliées. Les cellules ciliées transforment les vibrations en influx nerveux. Les influx nerveux sont dirigés au cerveau par le nerf auditif dans la zone auditive puis analysés. La zone auditive est située dans le lobe temporal du cerveau.

 

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L'oreille interne

12/07/2013 14:37

Sa fonction est de transformer les sons pour les acheminer au cerveau. Elle est située dans l,os temporal. Elle est remplie de liquide. Elle comprend:

  • La cochlée (le limaçon)
  • Le vestibule
  • Les canaux semi-circulaires
  • Le nerfs auditif (le nerf cochléaire)
  • Le nerf de l'équilibre

 

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L'oreille moyenne

12/07/2013 14:34

Elle transmet les sons à l'oreille interne. Elle comprend les trois osselets: le marteau, l'enclume et l'étrier.

 

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Le cérumen

12/07/2013 14:33

Le cérumen est une substance cireuse, jaune-brune, qui empêche les particules de progresser vers le tympan.

 

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L'oreille externe

12/07/2013 14:29

Elle est formée du:

  • pavillon
  • conduit auditif
  • tympan

Sa fonction est de capter et de diriger les sons.

On y retrouve des poils et des glandes à cérumen.

 

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Anatomie de l'oreille

12/07/2013 14:27

L'oreille est constituée de trois parties:

  1. L'oreille externe
  2. L,oreille moyenne
  3. L'oreille interne

 

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L'oreille

12/07/2013 14:18

L'oreille assure deux fonctions très importantes:

  • L'audition: elle transforme et envoie les sons au cerveau
  • C'est aussi l'organe de l'équilibre.

 

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Nocardiose

12/07/2013 13:32

Des maladies, on n'en manque pas. Qu'est-ce que la nocardiose? Pour répondre a cette question, vous devez savoir sa définition, ses symptômes et ses traitements. Mais avant tout, la raison qui m'a poussée à la choisir plutôt qu'une autre est la suivante: le grand-père de mon amie a eu cette maladie il y a trois ans et je voulais vous faire découvrir cette maladie rare.

 

Tout d'abord, qu'est-ce que la nocardiose? C'est une maladie infectieuse rare qui êut affecter les poumons, le cerveau ou tout le corps en entier. Les bactéries du genre Nocardia, en particulier Nocardia Astéroïde et Nocardia Brasiliensis, sont principalement responsables de la survenue de cette infection. Elles pénètrent dans l'organisme par contact cutané (plaie, excoriation) ou voie aérienne. Elles vivent dans le sol. Les personnes dont l'immunité est faible en raison de certains problèmes de santé sont plus a risque de développer cette infection bactérienne. Cette maladie peut également affecter les chats, les chiens, les oiseau, les poissons et le bétail. Heureusement, elle n'est pas conatgieuse donc personne ne peut la contracter parce que quelqu'un d'autre a cette maladie. C'est une maladie à long terme.

 

Ensuite, les symptômes de la Nocardiose sont:

  1. Les symptômes du corps entier sont de la fièvre récurrente, un inconfort ou un malaise général anisi que des sueurs nocturnes.
  2. Les symptômes pulmonaires sont de la toux avec expectoration (expulsion par la bouche des sécrétions des voies respiratoires, toux, crachats, crachement), une respiration rapide, des douleurs à la poitrine (qui ne sont pas liées à des troubles cardiaques), de l'essouflement ansi que des crachats de sang.
  3. Les symptômes cérébraux sont de la fièvre, des saisies, des maux de tête ainsi que des abcès au cerveau.
  4. Les symptômes de la peau sont des nodules (petite nodosité, petite tumeur en forme de boule, dure et bien délimitée, renflement) ou des éruptions cutanées, des abcès ou des plaies de la peau ainsi qu,un gonflement des ganglions.
  5. Les symptômes du système nerveux sont de la confusion, des vertiges, des saisies et des modifications de l'état mental.
  6. Les symptômes des muscles et des articulations sont des douleurs articulaires.
  7. Les symptômes gastro-intestinaux sont des nausées, une perte de poid inexpliquée, un gonflement du foie et de la rate et des vomissements.

 

Finalement, les traitements pour cette maladie peuvent être longs. Ils se répendent sur une période de six mois à un an en fonction de la gravitéde l'infection et des parties concernées. Ça peut durer plus longtemps dans les cas plus graves. Un traitement suppressif chronique à faible dose ou une thérapie à long terme d'antibiotiques sont souvent nécessairez pour guérir la maladie. Ceux qu'on utilise le plus souvent sont le triméthoprime et le sulfaméthoxazole. La nocardiose est habituellement guérie par les antibiothiques, mais il existe d'autres traitements. La pénicilline n'est pas utilisée dans ce traitement, car la bactérie Nocardia y résiste. Parfois, la chirurgie peut être nécessaire pour le drainage ou l'enlèvement d'abcès causés par l'infection. L'opération peut également être effectuée pour l'élimination des tissus malades.

 

Pour conclure, la Nocardiose est une maladie non-contagieuse rare. Il y a beaucoup de symptômes, mais peu de traitements. S'il vous plait, ne niaisez pas avec cette maladie, car elle peut toucher les gens de votre entourage comme le papi de mon amie qui en a été atteint il y a trois ans. C'est très difficile d'accepter le fait que quelqu'un de sa famille risque de mourir.

 

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Nuage de points et relation entre deux grandeurs

05/07/2013 16:27

Les valeurs associées à une situation faisant intervenir deux variables ne montrent pas toujours une régularité parfaite. Ainsi, une situation ne peut pas toujours être représentée par une droite ou une courbe parfaite. On utilise alors un nuage de points pour modéliser la relation étudiée. Le lien établi peut être représenté par une fonction dont le comportement est à la fois connu et prévisible:

  • Une fonction linéaire: f(x)=ax+k
  • Une fonction inversement proportionnelle: (y=p/x)

 

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La 2e Guerre Mondiale: un résumé

05/07/2013 13:54

1 Les débuts victorieux de l'Axe

1.1 La guerre-éclair ou Blitzkrieg

La blitzkrieg commence avec l'invasion de la Pologne le 1er septembre 1939. C'est une guerre de mouvement efficace grâce à l'action conjointe des chars et de l'aviation. La pologne, attaquée également sur le front est par l'URSS capitule en un mois et disparait une nouvelle fois de la carte. C'est le pacte de non-agression germano-soviétique. Sur le front ouest, les armées franco-anglaises ont une stratégie attentiste et attendent l'attaque allemande, se croyant protégées par la ligne Maginot. C'est la «drôle de guerre». Le 10 mai 1940, les Pays-Bas, la Belgique puis la France sont attaqués et subissent une véritable débâcle. L'armistice avec la france est signé le 22 juin à Rethondes et le pays collabore avec l'Allemagne sous les ordres du maréchal Pétain. La zone nord est occupée par l'Allemagne et la zone sud, appelée «France Libre» connaît le régime de Vichy.

 

1.2 La Bataille d'Angleterre

Il reste, pour Hitler, à anéantir le Royaume-Uni. En juin 1940, il ordonne le bombardement de Londres et le sud du pays afin de faire céder les Anglais lors de la première étape de l'opération «Lion de Mer». Cependant, la population anglaise, soutenue par Winston Churchill résiste et durant tout l'été, les Spitfire de la Royal Air Force, guidés par une nouvelle invention, le radar, affrontent les avions allemands au-dessus de l'Angleterre, la Manche et la France. Hitler stoppe les raids aériens en octobre, ne voyant aucun progrès des forces allemandes. La Royal Air Force bénéficie d'un répit pour regrouper et augmenter ses forces alors au bord de l'effondrement. Il s'agit la du premier échec pour l'Allemagne qui se lance alors au bord de l'effondrement. Il s'agit là du premier échec pour l'Allemagne qui se lance alors dans la guerre sous-marine; la bataille de l'Atlantique au cours de laquelle 20 000 sous-mariniers sur 30 000 ne reviendront pas en raison de la découverte du code secret de communication allemand et sa machine «Enigma» et de l'utilisation d'une invention: le sonar.

 

1.3 La mondialisation du conflit

L'Italie entre à son tour dans le conflit et tente d'envahir les Balkans mais échoue devant les yougoslaves et les grecs. L'Allemagne intervient et envahit les deux pays en avril 1941. Les allemands déjà présents en Lybie pénètrent en Égypte pour couper la route des Indes aux anglais. De plus, le 22 juin, Hitler attaque l'URSS: c'est «l'Opération Barbarossa» qui amène l'armée allemande jusqu'en Ukraine et aux portes de Leningrad et de Moscou même si ces deux villes ne sont pas prises, sauvées par l'hiver. Dans le Pacifique, l.attaque de Pearl Harborle 7 décembre 1941 par les japonais provoque l'entrée en guerre des états-Unis. Les Japonais avancent vers la Birmanie et menacent l'Australie. La guerre devient donc mondiale et totale puisque toutes les ressources humaines et matérielles sont mises en jeu. Toute la production est destinée aux armées et la population, pour sa part est soumise au rationnement.

 

1.4 La domination de l'Axe et du Japon en Europe et en Asie

L'Europe est organisée autour du grand Reich. On distingue le Grand Reich constitué de l'Allemagne agrandie des territoires annexés (Luxembourg, Alsace, Autriche). Autour, il y a les territoires occupés comme la partie nord de la France. Enfin, il y a les pays alliés ou satellites de l'Allemagne (Hongrie, Roumanie, Bulgarie). Certains États comme l'Espagne, le Portugal, la Suède, l'Irlande ou la Suisse sont restés neutres tout au long du conflit.  Dans les pays conquis, aussi bien en Europe qu'en Asie, les régimes d'occupation sont très durs. En Europe notamment, à partir de 1942, les Allemands mettent en place une politique d'extermination des juifs (6 millions) et des tziganes. Au total, 11 millions de personnes dites «indésirables» sont ainsi éliminées dans les camps d'extermination: écrivains, intellectuels, opposants au régime, handicapés, homosexuels, socialiste, communistes. Cependant, à partir de 1942, la résistance s'organise dans les pays conquis, ce qui facilitera la libération de ces pays, notamment dans les maquis.

 

 

2 La contre-attaque et la victoire des Alliés

2.1 Le tournant de la guerre

En Afrique du nord, le général anglais Montgomery et l'Américain Patton (Opération Torch) triomphent de l'Allemand Rommel à la bataille d'El Alamein

(Libye) et débarque en Sicile (Italie). En URSS, les Allemands perdent la bataille de Stalingrad en février 1943. Dans le Pacifique, les Américains gagnent la bataille de Midway face aux Japonais. Les moyens mis en oeuvre pas les «grands pays» (États-Unis, URSS) au niveau humain et matériel commencent à payer.

 

2.2 La victoire en Europe

Les Russes progressent rapidement à l'est après leur victoire à Kourks, où a lieu la plus grande bataille de blindés de l'histoire. Les anglo-américains remontent le long de la botte italienne et ouvrent un deuxième front en débarquant en Normandie le 6 juin 1944 (Opération Overlord). Les alliés débarquent également en Provence le 15 août 1944. Hitler se suicide le 30 avril 1945 et l'Allemagne signe l'armistice le 8 mai 1945.

 

2.3 La défaite du Japon

Alors que la guerre se termine en Europe, les Japonais résistent avec acharnement (Bushido) aux armées américaines. Ces derniers, sous le commandement du général Mac Arthur progressent lentement et le coût humain d'un débarquement au Japon promet d'être important. Deux bombes atomiques sont lancées sur le Japon le 6 et le 9 août 1945 sur les villes de Hiroshima et de Nagasaki. Le Japon capitule le 2 septembre 1945 et signe sa reddition sur le pont du duirassé «Missouri» dans la baie de Tokyo.

 

 

3 Les conséquences de la 2e Guerre Mondiale

3.1 Conséquences Humaines

  • La 2e Guerre Mondiale fait environ 60 millions de morts dont 2/3 sont des non combattants (femmes, enfants, non soldats, vieillards). Des milions d'autres personnes sont réfugiées, ayant dû quitter leur lieu de résidence.
  • La pratique du génocide a fait 11 millions de victimes dans une centaine de camps.
  • Les femmes ont dû remplacer les hommes dans les usines de fabrication d'armement, les hommes étant partis au combat, de gré ou de force.
  • Des millions d'enfants sont orphelins.

 

3.2 Conséquences politiques

  • Redécoupage de la carte de l'Europe et de l'Asie du Pacifique. Soviétiques et autres alliés ne s'entendent pas sur le sort de l'Allemagne: division de celle-ci et début de la guerre froide.
  • Les USA et l'URSS sortent du conflit avec le statut de superpuissance.
  • Création de l'Organisation des Nations-Unies (ONU).
  • Signature de la Charte des Droits Humains à Paris en 1948

 

3.3 Conséquences économiques

  • Tous les pays impliqués sortent du conflit endettés (pour les vainqueurs) ou ruinés (pour les vaincus).
  • Les infrastructures de transport (ponts, routes, voies ferrés) sont à toutes fins pratiques détruites.
  • Les villes sont en ruines de même que plusieurs zones agricoles: jonchées de bombes non explosées, de mines ou de cratères de bombes.
  • Un vaste plan de reconstruction financé par un prêt sans intérêt (Plan Marshall) aux pays qui en font la demande. Offre refusée par Moscou au nom de l'Allemagne de l'Est.
  • Reconversion des usines de guerre en usines de production de biens de consommation.

 

3.4 Conséquences matériellex/technologiques

  • Invention de l'arme nucléaire (Projet Manhattan).
  • Invention du moteur à réaction (inventé en 1936 par un britannique, mais appliqué par les allemands sur les V-1) et utilisation sur un avion à réaction (Me-262)
  • Invention du missile balistique (V-2) par Werner Von Braun, qui émigrera aux USA pour devenir le père de la fusée spatiale du programme Apollo.
  • Développement et application du radar et du sonar.
  • Découverte accidentelle de l'utilité des micro-ondes.
  • Invention du scooter pour les troupes US en Italie et récupération par Vespa.
  • Développement fibre textiles synthétiques (nylon pour parachutes).
  • Invention du caoutchouc synthétique et de l'essence synthétique.
  • Invention de l'encryptage électronique.
  • Invention de la construction modulaire (Port Churchill pour le débarquement)

 

3.5 Conséquences humaines

  • Total de morts: 66 millions
  • Civils alliés: 58%: 38,28 millions
  • Militaires alliés: 25%: 16, 5 millions
  • Civils de l'Axe: 4%: 2,64 millions
  • Militaires de l'Axe: 13%: 8,58 millions

 

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Classic Ballet and I

21/06/2013 22:42

Hi! My name is Valérie and I do classic ballet. I dance with the ADRS: Académie de Danse Rive-Sud. I began  to dance nince years ago. It'S my dream to be the main dancer in a ballet.

I love to dance! There is not a lot of people who dance classic ballet. Ninety percent of the dancers are women. We need man to dance classic ballet! I think dancing helps me in the ordinary life. My back is more right, for example. I have a better social life too. I have friends at my dance classes.

Last year, my teacher was Carmen Bouchard. She was in the newspaper, one time. This year, my teacher is named Marie-Mélanie Cloutier. My dance classes are every Thuesdays from 8:00 pm to 10:00 pm. They are at Saint-Rédempteur. We have a show in May. It's at the CEGEP Lévis-Lauzon.

I won't stop dancing because I love it! Don't say: «it's easy to do classic ballet» because it's not.

 

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I'll answer to all! :)

London

21/06/2013 21:51

Time zone: Greenwich mean time

Population:

  • London: 8,174,100
  • Density: 5,206/km2

Banknotes and coins:

  • It takes 100 pence (p) to make one pound.
  • Notes are in denominations of £5, £10, £20v and £50.
  • The parts can be of 1p, 2p, 5p, 10p, 20p, 50p, £1 and £2.
  • Conversion sterling / canadian dollars (exchange rate 1 GBP = 1.5888 CAD).

London is the capital and the biggest town of England. It has been the most populous city in the world. Unfortunately, it doesn't today, but it still a major city.

 

There is a lot of things to do at London! There is five of these things.

 

Museums

London has a large number of museums (nearly 170!) and among the richst in the world. Major museums have recently revamped, enjoying the heavenly manna revenue collected by the state on the National Lottery Game. Exhibition spaces have been redesigned, offering visitors a better readability of works and objects presented, and many audiovisual tools now flesh out the old academic texts. Most major public collections are free. Other museums are very expensive or even unaffordable, as Madame Tussauds and Tower Hill. All monuments managed by the Crown (Tower of London, Kensington Palace, Hampton Court Palace) are expensive.

 

Monuments and walks

London is a collection of distinct neighboourhoods and old villages. It is important to understand the shifts from one area to another to get better at identifying this metropolis with complex ramifications. It is not uninteresting to choose a thematic tour of one of the many associations that offer guided walks. There's something for everyone: «Jack the Ripper» in Withechapel; «Jewish Quarter», «The Beatles», «Shakespeare and Dickens», «Diana, Princess of Wales», Sherlock Holmes», The pubs of the Thames», «City of Ghosts» ,«Little Venice»... Roughly 2 hours walk and 6 to £10 per person.

 

Real estate

Land in the the historic heart of London for centuries belong to some wealthy families. Today it is very difficult or impossible for the simple chap, acquire life a jouse or land, the lenght of the property is limited to 99 years! The owners have, in addition, all commercial activities on their land. If the Queen and the wealthy aristocratic families own much land in the capital, the Anglican Church has whole streets around Hyde Park. This quasi-feudal adds to the picture of aristocratic tradition of English society, but seems increasingly anachronistic.

 

Parks

One of the proudest moments of London lies in its parks. They carry almost all the name of Royal Parks because they belong to the Crown. The most famoust Hyde Park, in the center, the largest and most popular extended by Kensigton Gardens. We can swim and rent boats in summer. Regent's park, North Green Park and St. James's Park, near Buckingham, are the mort enjoyable. This recalls the French gradens designed by Le Nôtre. Do not forget the many samll parks dependent terraced houses, these alignments Georgian houses buuilt in the eightennth century yo meet the population growth of the capital.

 

Pubs

Typicallly British tradition, the pub is the meeting place by excellence. People come here to spend a relaxing and joyful discussion. The pub, in general, offers several lounges, the differences are less sensitive: public bar, lounge bar, saloon bar, private bar (the latter is reserved for a club). We practice an activity so few pubs in French that the word does not even exist in our language is «socialized». It talks about everything and nothing. You will feel the extraordinary atmosphere of merging classes, here are the left in the cloackroom social origin and spawn with the enemy.

 

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Beer Show

21/06/2013 21:24

Interviewer: Hello everyone! Elcome to the Beer Show! I'm Valérie Beaulieu and today, our special guest is the barman at Moe's, his bar. He plays in the episode «Homer the Moe». Hi Moe! How are you?

Moe: I'm good and you?

Int: I'm good, thank you. So, why did you renovate you bar?

Moe: Well, I didn't feel good in my bar. I didn't have tips and it was always the same customers. Everyday, it was the same routine. I oponed the bar, the regular customers came in, they ordered beer, they drank and talked, they paid, they leaved and I closed the bar. I wanted to change something.

I: Did you like the result? Did you like your new bar?

M: At the beginnig, I thought it was cool. There was a lot of models. But I didn't have more tips. I lost my friends because they weren't «in». I didn'T likke this anymore.

I: What was your reaction when you lost your friends?

M: I felt sad and alone. My new customers weren't sociable. I had nobody to talk with.

I: What did Homer?

M: He opened his own bar in his garage. My ancient regular customers rated his bar to mine. I lost them.

I: What did you do?

M: I renovated my bar again. Now, it's like before that storie. My regular customers and my friends are back. There are no more models, but it's ok. Everything is like before and it's awesome like that.

I: Thank you, Moe! Bye! See you!

M: Thank you! Bye!

 

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The Magical Llama

20/06/2013 11:34

Once upon a time, a little girl named Laura worked at her llama farm. She lived alone because her parents were dead. She felt so alone! She didn't have friends. She talked with her llamas, because they were the only ones who listened to her. They never replied.

 

One day, she was feeding her llamas and she was talking to them when Vladislav, her favorite one, replied to her.

-You can talk? she said.

-Yes, I do, Vladislav replied.

-Why can you talk? When did you begin? Can you do something else? Why didn't you talk before?

-Calm down, darling! I don't know why I can talk. I talked with your parents when I was a little llama. Yes, I can do a lot of things. I can fly, I can shot lasers with my eyes, I'm very strong and I can run as fast as the light. And I didn't talk before because your parents said: «Only talk if Laura is in danger.»

-I'm not in security?

-We are in danger. There is a witch who...

Vlam! The doors of the cowshed opened and a very old woman came in.

-Oh! Laura! You're a beautiful girl! You're very tall, now! When we met, you were a baby. And you, Vladislav, you're not a baby llama anymore! Said the woman.

-Who are you? asked Laura.

-You don't reconize me? Well... I'm Martina. I was a friend of your parents, she replied.

-No! It's false! Martina wasn't one of your parent's friend. She is a witch, an evil witch, said Vladislav.

-What?! said the scared girl.

-Come with me! We'll go somewhere else, told Vladislav.

She sat on the llama's back. He shot lasers with his eyes and destroyed a wall. He ran outside began to fly.

 

Vladislav explained Laura everything she needed to know to understand what was going on. When Vladislav was a baby llama, Contrang and Colette, Laura's parents, discovered the difference of the newborn baby llama. He had superpowers. One day, an old woman cam on the farm and said she wnated to see the magical llama. Gontrang and Colette didn't talk about it. It was a secret. They replied: «You're a crazy woman!» and they kicked her out. Before to leave, she said: «I'm Martina! The witch! I'll be back!»  A few years later, she came back and killed Laura's parents. She was back again to take Vladislav.

-What will we do? asked Laura.

-Fight, replied the llama.

They flied very high and landed on a cloud. There was a beautiful boy named Caspar.

-He will teach you how to fight, explained the llama.

 

After few weeks of practice, Laura was ready. They came back at the farm, where Martina was waiting for them. They fighted and killed the witch. Laura had two friends now, Vladislav and Caspar, who came to live on the farm and became her boyfriend.

 

The end.

 

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The Cop and the Anthem

20/06/2013 11:19

The cop and the anthem

Yesterday, a man was arrested and doomed for three months in jail for loitering. Soapy was homeless. He needed to have a bed to sleep in, he was hungry and in jail the is food and he wanted  to have company. He tried to get arrested a few times.

First of all, Soapy tried to eat in a restaurant and to say that he was broke after his dinner. When he came in the restaurant, his jacket and his tie were acceptable, but the waiter saw his ripped trousers and worn-out shoes. He didn't let him eat in the restaurant.

After, Soapy broke a store window with a rock. He stayed there and said to the policeman that the guy who broke the window was him. He didn't believe Soapy because he didn't try to escape.

Next, he saw a young lady and he planned to «make a pass» to her. Soapy thought she would call the policeman but she didn't. She knew him. They were at a benefit for the charity at the park.

After his failure with the lady, Soapy went in a drugstore. He saw a man with an umbrella. He grabbed the umbrella and walked away with it. The man let Soapy the umbrella. He tooked it in a restaurant, it wasn't his umbrella.

Last, Soapy was doing nothing in a halt. He wanted to change his life, ti find a work. He was thinking about it when a policeman came and arrested himfor loitering.

 

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Paycheck (2003)

20/06/2013 11:02

Paycheck (2003)

 

Cast: Ben Affleck, Aaron Eckhart, Uma Thurman

Directed by: John Woo

 

Synopsis:

Micheal Jennings (Ben Affleck) is a scientific who works for Allcom Corporation. He must create a machine to see the future. It's top secret so his memory must be erased. When he was working on his machine, he met a woman named Rachel (Uma Thurman) and he felt in love with her. But when his memory was erased, he didn't remember his life with her. After he finished his machine, he was purchased by people who want his death. His friend, Jimmy (Aaron Eckhart) and Rachel, who love hi, like never before, helped him to save his life.

 

Review:

I liked the movie. The music and the actors were awesome. If you love action and plot, you'll love it.

The actors are very good. They made the scenes of action better. For exemple, Ben Affeck (Micheal Jennings) really looked affraid when Micheal was purchased. And Uma Thurman (Rachel) really looked like she was in love with Micheal.

The music is very good too. The music of the cute moments was different than the music of the action moments.

The movie wasn't difficult to understand. Sometimes, the time goes back and fath but it's easy to follow.

I loved this movie! I wish you'll love it too!

 

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Letter to Lieutenant Briggs

20/06/2013 10:47

Oct.29.1905

 

Lieutenant Briggs

Elmore Police Dept.

101, Police Plaza

Elmore, Ak

56001

 

Dear Lieutenant, I let Jimmy Valentine walks away and continue his life as Ralph Spencer because he has changed. He is not the Jimmy Valentine we know. He stopped cracking safes. He is set to marry the banker's daughter named Annabel. Her niece was inside a bank safe and jimmy saved her! Ralph passed away! Jimmy used his past to do something good.

You know lieutenant, now, Jimmy has friends and a family. He opened a shoe-shop. He lives a normal life. Now, he is a normal man with a normal job, a normal family ans normal friends. Now, he is happy and in the right way.

I think we can let him go because he began a new life. Ralph is a better man than Jimmy! You know, lieutenant, people can change and Jimmy is an example of that. He is a good man, now. He was a safecracker and he stopped that to marry Annabel. Now, Jimmy, or Ralph, is a good person, believe me. He can live as a normal person. Jimmy won't take the place of Ralph. The last time he was Jimmy, that was to save a little girl. I believe in second chances.

Thank you for reading,

Ben Price

 

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Le commerce des fourrures

18/06/2013 21:40

Depuis le dernier voyage de Jacques Cartier, le roi de France s'interresse peu à ses possessions en Amérique du Nord. Ce n'est donc qu'au 17e siècle que les Français viennent s'établir en permanence en Amérique, c'est-à-dire en Nouvelle-France. Au début, c'est la pêche à la morue qui attire les Français, puis au contact des Amérindiens, c'est la traite des fourrures qui devient prioritaire, car c'est un produit beaucoup plus rentable; mais ce produit exige peu de main d'oeuvre et attire peu de monde. Les métropole eurôpéennes ont donc deux choix pour le développement de leurs colonies: établir une colonie de comptoire (peu de budget, peu peuplée, surtout des hommes) ou une colonie de peuplement (beaucoup de budget, économie diversifiée, hommes et femmes, population nombreuse).

Quelques définitions:

  • Métropole: Pays qui possède et contrôle plusieurs territoires
  • Colonie: Territoire conquis et exploité par un pays
  • France: Métropole de la Nouvelle-France
  • Empire: Ensemble des territoires contrôlés par une métropole
  • 13 colonies, Nouvelle-Angleterre: Colonie de l'Angleterre en Amérique du Nord

 

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Voyages de Cartier

18/06/2013 21:28

1er voyage (1534):

  • Trouver un passage vers l'Asie: Non
  • Rapporter or, argent et épices: Non, Quartz et Pyrite de fer
  • Découvrir de nouveaux territoires: Oui, prise de possession de la Nouvelle-France

2e voyage (1535, 1536):

  • Poursuivre l'exploration: Exploration du Fleuve Saint-Laurent
  • Découvrir des richesses: Non

3e voyage (1541, 1542):

  • Établir une colonie: Non
  • Poursuivre l'exploration: Non
  • Convertir les Amérindiens: Non

En somme, voici les trois principaux buts des voyages de Cartier:

  1. Trouver une route vers l'Asie
  2. Trouver des nouveaux territoires et les coloniser
  3. Trouver des richesses

Quant aux buts fixés, ces voyages furent un échec, mais nous pouvons en faire un bilan positif: il y a eu prise de possession pour la France de la Nouvelle-France (croix à Gaspé).

 

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Les voyages en Amérique

18/06/2013 21:19

Plusieurs sont venus en Amérique avant Cartier:

  • Vers l'an 1000, les Vikings ont tenté d'y vivre.
  • Les pêcheurs basques, normands et bretons venaient régulièrement aux bancs de morues près de Terre-Neuve.
  • En 1497, Cabot aurait longé Terre-Neuve.
  • Mais c'est Cartier (1534) qui nous fait connaître le Canada et en prend possession au nom de la France.

 

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La religion

18/06/2013 21:13

Chez les Algonkiens et les Iroquoïens, la religion tient une place de premier plan. Le chaman (sorcier) fait le lien entre les vivants et les esprits. On l'appelle aussi prêtre, guérisseur, devin, magicien, sage. Selon les Algonkiens, les dieux se manifestent dans la nature, ils sont présents aussi dans chaque chose. La religion des Autochtones se nomme animisme (croyance aux esprits).

 

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Occupation des Algonkiens

18/06/2013 21:10

Voici une liste des occupation des Algonkiens.

1. Hommes:

  • Chasser et pêcher
  • Construire des canots

2. Femmes:

  • Construire la tente
  • Confectionner les vêtements
  • Ramasser du bois de chauffage

 

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Les algonkiens et la poterie

18/06/2013 21:07

Leur mode de vie les prive d'utiliser la poterie. C'est parce que c'est trop lourd et trop cassant.

 

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Quel milieu physique du Québec favorise la façon de s'alimenter des Algonkiens?

18/06/2013 21:04
  • Forêts pleines de gibiers
  • Rivières poissonneuses

 

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Occupation des Iroquoïens

18/06/2013 21:01

1. Femmes:

  • Élire les chefs
  • Cultiver
  • Participer à la décision de faire la guerre

2. Hommes:

  • Chasser et pêcher
  • Faire la guerre
  • Participer à la décision de faire la guerre

 

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Connaissance des autochtones

18/06/2013 20:57

Chez les autochtones, il n'y a pas d'écriture, on dit alors que la culture et les connaissances sont transmises oralement. Voilà pourquoi les aînés sont très importants.

 

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Quel milieu physique favorise la façon de s'alimenter des Iroquoïens?

18/06/2013 20:55

Les terres fertiles des Basses-Terres du Saint-Laurent et des Grands-Lacs.

 

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Organisation sociale

18/06/2013 20:48

Chez les Iroquoïens, c'est la mère qui définit les règles, les droits et les privilèges; il s'agit d'une société matriarcale. On appelle société patriarcale celle dont les règles sont définis par le père. Ce type de société caractérise le groupe des Algonkiens.

 

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Trois familles linguistiques

18/06/2013 20:35

Les Amérindiens se divisent en trois groupes. Voici les principales caractéristiques:

1. Algonkiens:

  • Mode de vie: Nomade
  • Alimentation: Chasse/Pêche (75%), Cueillette (25%)
  • Organisation sociale: Patrilinéaire, Patriarcale
  • Habitation: Wigwam (Tentes de peaux ou d'écorces)
  • Territoire occupé: Bouclier Canadien, Appalaches, Forêts, Lacs, Rivières

2. Iroquoïens:

  • Mode de vie: Sédentaire «que ça pousse»
  • Alimentation: Agriculture (surtout) (75%), Autre (25%)
  • Organisation sociale: Matrilinéaire, Matriarcale
  • Habitation: Maisons longues
  • Territoire occupé: Basses-Terres du Saint-Laurent et des Grands Lacs

3. Inuits:

  • Mode de vie: Nomade
  • Alimentation: Chasse/Pêche (100%)
  • Organisation sociale: Très souples
  • Habitation: Igloo (Hiver), Tentes de peaux (Printemps, Été)
  • Territoire occupé: Nord du Qc

 

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Les origines

18/06/2013 20:31

Vers -10 000, des groupes de chasseur de gros gibier traversent le Détroit de Béring et arrivent en Amérique du Nord. Ils chassaient.

Sibérie  ==>  Détroit de Béring  ==>  Alaska  ==>  Canada  ==>  Qc

 

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Membranes de l'oeil

17/06/2013 17:40

Le globe oculaire est composé de trois couches (membranes).

1. Sclère: Enveloppe extérieure, blanche, rigide. Fonction: Protection.

2. Choroïde: Membrane située entre la rétine et la sclère, contient beaucoup de vaisseaux sanguins, sert de point d'attache aux muscles cilliaires de l'oeil. Fonction: Nutrition de l'oeil, maintient le cristallin.

3. Rétine: Membrane interne qui contient les photorécepteurs, ce sont les cellules visuelles. Fonction: transforme la lumière en influx nerveux, c'est la vision.

 

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Glandes sudoripares

17/06/2013 17:22

Ce sont des glandes eccrines. Nous avons environ 2,5M de glandes sudoripares.

Rôle: Sécrètent la sueur composée:

  • d'eau,
  • de sels minéraux (NaCI),
  • d'urée,
  • d'anticorps (petite quantité) et
  • d'acide gras.

Nous avons aussi des glandes apocrines qui sécrètent aussi de la sueur. Les sécrétions contiennent en plus des protéines et des lipides. Leur décomposition par les bactéries est responsable de la mauvaise odeur. La sudation contribue à régulariser la température corporelle.

 

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Maladies du rein

17/06/2013 17:16
  • Présence de glucose  dans l'urine: glucosurés, diabète
  • Présence d'albumine: albuminurée
  • Excès d'acide Urique: goutte
  • Calcul urinaire (léthiase): sont des cristaux
  • Augmentation du taux d'urée: urémie

 

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Facteurs qui font varier la quantité d'urine

17/06/2013 17:14
  • L'eau consommée
  • Sel dans les aliments
  • Caféine
  • Stress
  • Alcool
  • Transpiration

 

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Trois systèmes (organes) su système excréteur

17/06/2013 17:11
  1. Système urinaire (reins)
  2. Système respiratoire (Co2)
  3. Glandes sudoripares (sueur)

 

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D'où proviennent les déchets?

17/06/2013 17:09
  1. De la respiration cellulaire
  2. De l'activité musculaire
  3. Du métabolisme des protéines

 

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Quels sont les déchets produits par notre organisme?

17/06/2013 17:04
  • Dioxyde de carbone (poumons)
  • L'ammoniac
  • L'urée
  • Créatine

Les déchets azotés (ammoniac, urée, créatine) proviennent de la décomposition des protéines. La grande majorité des déchets azotés est éliminée par le foie et les reins.

 

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Anatomie du système excréteur

17/06/2013 16:57

Ce système sert à éliminerles déchets de votre corps et maintenir l'équilibre sanguin.

 

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Compatibilité

17/06/2013 16:49

La compatibilité, c'est la possibilité de mélanger deux groupes sanguins sans provoquer d'agglutination. Pour effectuer une transfusion sanguine, il est essentiel de tenir compte du groupe sanguin du receveur et du donneur.

Possibilité de donneur:

O => O, A, B, AB

A => A, AB

B => B, AB

AB => AB

Possibilité de receveur:

O => O

A => O, A

B => O, B

AB => O, A, B, AB

Pour l'antigène D, la compatibilité est:

Rh- ===> Rh-

Rh- ===> Rh+

Rh+ ===> Rh+

Rh+ =X=> Rh-

 

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Les groupes sanguins

17/06/2013 16:34

On retrouve quatre grands groupes sanguins chez les humains. Le système A B O permet l'indentification des quatre groupes: A B AB O. C'est la présence ou l'absence d'antigènes, appelés agglutinogènes à la surface des globules rouges qui déterminent notre groupe sanguin. Il existe deux agglutinogènes: A et B. De plus, dans le plasma, il y a des anticorps (anti-A et anti-B), appelés agglutinines. Si vous avez un agglutinogène A sur vos globules rouges, votre plasma contient des anticorps B (anti-B). Si vous appartenez au groupe B, vous avez l'agglutinogène B et l'anticorps A. En plus du système A B O, il faut tenir compte d'un autre agglutinogène, c'est le système Rhésus (Rh). On l'appelle antigène D. Si vous avex cet antigène, vous êtes RH-. Rhésus = Rh+ ou Rh-.

 

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Les vaccins

17/06/2013 16:29

Un vaccin, c'est l'injection ou l'ingestion d'un antigène entrainant la formation d'anticorps pour neutraliser et/ou détruire l'antigène. Les anticorps demeurent dans le système sanguin.

Trois catégories de vaccins:

  1. Vivant atténué
  2. Inactivé
  3. Conjugué

Composition: Il contient un micro-organisme responsable d'une maladie. Il entraine la production d'anticorps qui demeurent dans l'organisme.

 

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L'immunodéficience

17/06/2013 16:27

Affaiblissement majeur ou disparission de l'immunité innée ou acquise. (SIDA)

 

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Hypersensiblité

17/06/2013 16:22

C'est le système immunitaire qui cause des lésions (dommages) en luttant contre un antigène.

 

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Maladies auto-immunes

17/06/2013 16:15

Ce sont des réactions aux antigènes naturels dans l'organisme.

  • Diabète de type 1
  • Arthrite rhumatoïde
  • Sclérose en plaques
  • Hypersensibilité (allergie sévère)

 

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Qu'est-ce qu'une inflammation?

17/06/2013 16:09

C'est une réaction de défense dont les signes sont:

  • Rougeur
  • Chaleur
  • Enflure
  • Douleur

L'inflammation, c'est la défense interne qui s'attaque à l'agent pathogène:

  1. Des globules blancs sortent des capillaires: c'est la DIAPÉDÈSE.
  2. Ils entourent les corps étrangers et les détruisent: PHAGOCYTOSE.

 

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Réaction de défense

17/06/2013 16:05

Nos premières lignes de défenses:

  • La peau
  • Les muqueuses
  • Les enzymes
  • La fièvre

La première ligne de défense externe franchie provoquera l'inflammation.

 

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Antigène/Anticorps

17/06/2013 16:02

Un antigène est un corps étranger qui provoque une réaction du système immunitaire.

Un anticorps est une protéine qui neutralise une substance étrangère (antigène). Ils peuvent demeurer très longtemps dans l'organisme.

 

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L'immunité

17/06/2013 15:55

C'est cette capacité qu'a un organisme de résister, lutter, contre un infection en neutralisant les agents patogènes (virus, bactéries, champignons, pollen, poisons, toxines..). L'immunité peut être innée, c'est-à-dire que l'organisme combat tous les corps étrangers de la même façon. Elle n'est pas spécifique. Ex: Les piqûres d'insectes, blessures. L'immunité peut être acquise. C'est l'organisme qui conserve des anticorps après une infection. Ex: La varicelle, rougeole (on peut en être  atteint qu'une seule fois).

 

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Circulation lymphatique

17/06/2013 15:52
  • Ce sont des contractions musculaires qui font circuler la lymphe (très lentement)
  • Présence de valvules pour empêcher le reflux (recul)
  • Les lymphocytes, des globules blancs, peuvent atteindre n'importe quelle partie du corps (défense)

 

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Les organes secondaires du système lymphatique

17/06/2013 15:48

Le système lymphatique comprend des organes secondaires:

  1. La rate
  2. Les agmydales
  3. Le thymus
  4. L'appendice

 

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Ganglions lymphatiques

17/06/2013 15:44

Ce sont des renflements regroupés à certains endroits (cou, les aines, aisselles, l'abdomen)

Leurs fonctions:

  • Filtrer la lymphe
  • Activer les mécanismes de défense

S'il y a infection, les ganglions enflent, sont palpables, deviennent sensibles.

 

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Qu'est-ce qui fait circuler la lymphe?

17/06/2013 15:42

Ce sont les contractions musculaires.

 

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La lymphe

17/06/2013 15:36
  • Liquide composé de plasma
  • Contient des nutriments, des déchets
  • Entoure les cellules

Quantité: 3 litres

Fonctions:

  1. Absorption de nutriments provenant du système digestif.
  2. Transporte les nutriments vers les cellules.
  3. Récupère les déchets.
  4. Détecte les corps étrangers.
  5. Stimule les ganglions pour la lutte contre les infections.

La lymphe circule dans dans les vaisseaux lymphatiques.

 

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Le système lymphatique

17/06/2013 15:27

Il joue un rôle très important dans la défence de l'organisme.

 

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Qu'est-ce qui peut faire varier la fréquence cardiaque (battements)?

17/06/2013 15:22
  • La condition physique (état de santé)
  • Type d'activité (marcher, patiner, dormir...)
  • L'âge

 

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Que permet le système circulatoire?

17/06/2013 15:17

Le système cicrculatoire permet des échanges avec les cellules:

  • De nutriments,
  • De dioxygène,
  • D'hormones et
  • La récupération des déchets dans tout l'organisme

 

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Cycle cardiaque

17/06/2013 15:07

Il s'effectue en deux phases:

1. Systole (phase de travail du coeur)

Durée: 0,4 seconde

Les deux oreillettes se contractent en même temps - le sang est poussé dans les deux ventricules. Immédiatement après, les ventricules se contractent en même temps, le sang est poussé vers les poumons et tout le reste de l'organisme.

 

2. Diastole

0.4 sec de repos

 

La durée du cycle: 0,8 seconde

Le pouls moyen: 72/minutes

Au cours du cycle, des valvules s'ouvrent et se ferment selon l'étape du cycle.

 

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Trajet de la grande circulation

17/06/2013 15:05

Circulation systémique

  1. Oreillette gauche
  2. Ventricule gauche
  3. Aorte
  4. Sang dirigé dans tout l'organisme sauf les poumons

 

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Trajet de la petite circulation

17/06/2013 15:02
  1. Oreilette droite
  2. Ventricule droit
  3. Artère pulmonaire
  4. Poumons
  5. Veines pulmonaires

Fonction: Oxygéner le sang, retirer le dioxyde de carbone.

 

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Fonctionnement du système circulatoire

17/06/2013 14:57

La circulation du sang se divise en deux:

  • Petite circulation (c'est la circulation pulmonaire)
  • Grande circulation (c'est la circulation dans tout l'organisme)

 

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Veines

17/06/2013 14:54
  1. Rammènent le sang des organes
  2. Paroi musculaire mince
  3. Dans les jambes, elles sont munies de valvules pour empêcher le reflux du sang.

Ce sont les contraction musculaires qui assurent le retour du sang dans les veines (avec le travail du coeur).

 

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Capillaires

17/06/2013 14:51
  1. Extrêmement fins
  2. Parois très mince
  3. Pression sanguine moyenne
  4. Permettent les échanges des dioxygène et de nutriments avec les cellules: sont perméables

 

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Les caractéristiques des artères

17/06/2013 14:48
  1. Parois épaisses et élastiques
  2. Recouvertes de muscles
  3. Transportent le sang oxygéné du coeur vers les organes
  4. Pression sanguine élevée

 

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L'anatomie du coeur

17/06/2013 14:41

Comprend quatre cavités

Le côté droit du coeur reçoit le sang pauvre en oxygène et l'envoie aux poumons. Le côté gauche reçoit des poumons le sang riche en dioxygène et l'envoie dans tout l'organisme (sauf les poumons). Les principaux vaisseaux du coeur sont l'artère aorte, l'artère pulmonaire, les veines pulmonaires et les veines caves. Le coeur est irrigué par des artères et veines coronaires.

 

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Le coeur

17/06/2013 14:37

Un muscle appelé myocarde.

Masse: 300g

Rôle: une pompe qui fait circuler le sang dans les vaisseaux.

Chaque partie comprend deux cavités appelées oreillettes et ventricules et sont séparées en valves.

 

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Le plasma

17/06/2013 14:33
  • Partie liquide du sang
  • Représente 55% du volume sanguin
  • Principalement composé d'eau (92%)
  • Contient des anticorps

Fonctions:

  1. Fluidité du sang
  2. Transport des éléments figurés
  3. Transport des nutriments
  4. Transport des déchets
  5. Coagulation (fibrine) du sang

 

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La coagulation

17/06/2013 14:28

Formation d'un caillot au site des vaisseaux brisés pour bloquer la perte de sang.

Mécanisme:

  1. Les plaquettes se fixent sur la lésion
  2. Puis, la fibrine, une protéine du plasma, forme un réseau pour fermer  la lésion (caillot)

 

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Les plaquettes

17/06/2013 14:26
  • 4% des éléments figurés 
  • Sont des fragments de cellules
  • Incolores
  • Durée de vie: 5 à 9 jours

Fonction: la coagulation

 

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Les globules blancs

17/06/2013 14:23
  • Possèdent un noyau
  • Représentent moins de 1% du sang (1 globule blanc pour 650 globules rouges)
  • Ont un rôle de protection de notre organisme (système de défense)
  • Plusieurs types différents 
  • Durée de vie: variable

Fonction: Défense de l'organisme

 

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Les globules rouges

17/06/2013 14:17
  • 95% des éléments figurés
  • Disques biconcaves
  • N'ont pas de noyau
  • Contiennent une protéine, l'hémoglobine et du fer
  • Durée de vie: 4 mois
  • Usés, ils sont détruits par la rate et le foie
  • Les résidus (fer) sont retenus par le foie, le reste est éliminé par le côlon

Fonction: Transportent le dioxygène et une partie du dioxyde de carbone.

 

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Combien de litres de sang chez l'adulte?

17/06/2013 14:16

Environ 5 litres de sang.

 

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D'où proviennent les cellules du sang?

17/06/2013 14:14

Elle proviennent de la moelle osseuse rouge.

 

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Le sang

17/06/2013 14:11

Le sang est composé d'une partie liquide, le plasma (55% du sang) et de parties solides, ce sont des cellules (globules rouges, globules blancs, plaquettes). On appelle ces cellules «éléments figurés» du sang.

 

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Troubles/Maladies

17/06/2013 14:04

Hyperventilation: Taux d'O2 trop élevé dans le sang

Pneumonie: Infection grave des poumons (bactien ou viral)

Emphysème: Destruction de la paroi des alvéoles (fumeur)

Grippe: Infection des voies respiratoires (viral)

Cancer: principalement causé par le tabagisme et certaines substances comme la poussière d'amiante

 

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Proportion des gaz

17/06/2013 14:00
  • Diazote (N2) inspiré: 78% expiré: 78%
  • Dioxygène (O2) inspiré: 21% expiré: 16%
  • Dioxyde de carbone (CO2) inspiré: 0,04% expiré: 4%
  • Vapeur d'eau (H2O) inspiré: 0,96% expiré: 2%

 

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Résumé du dossier 10

17/06/2013 13:57

L'oxygène inspiré quitte les alvéoles puis se dissout dans le sang. Le dioxyde de carbone fait le chemin inverse: il sort du sang et va dans les alvéoles, puis est expiré.

 

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Échanges gazeux

17/06/2013 13:55

C'est un phénomène de diffusion qui assure les échanges gazeux. Les deux gaz échangés sont le dioxygène ( O2 ) et le dioxyde de carbone ( CO2 )

 

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Le rythme respiratoire

17/06/2013 13:46

Varie selon certains facteurs:

  1. La condition physique
  2. Le niveau d'activité
  3. L'âge
  4. Le tabagisme
  5. La pression atmosphérique (l'altitude)
  6. Le poid

Le contrôle du rythme, c'est l'augmentation de la concentration de dioxyde de carbone dans le sang qui augmente le rythme. Ce gaz agit sur le bulbe rachidien près du cerveau. Ce dernier envoie un message aux muscles respiratoires pour ajuster le rythme.

Ventilation pulmonaire!

Phase active appelée inspiration

  • Le diaphragme s'abaisse
  • Les muscles intercostaux soulèvent les côtes
  • L'air entre dans les poumons
  • Cela provoque l'augmentation du volume des poumons

Phase passive: c'est l'expiration (phénomène inverse)

  • Muscles respiratoires se relâchent
  • La cage thoracique s'abaisse
  • L'air est expulsée des poumons

 

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Le fonctionnement du sytsème respiratoire

17/06/2013 13:42

La principale fonction: absorption du dioxygène et élimination de dioxyde de carbone

Deux muscles respiratoires assurent la ventilation (inspiration et expiration)

  • Le diaphragme
  • Les muscles intercostaux

Les échanges gazeux ont lieu dans les alvéoles par un phénomène de diffusion.

 

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La trachée

17/06/2013 13:39
  • Se divise en deux bronches principales
  • Qui se divisent en bronches de plus en plus petites: secondaires et tertiaires
  • Bronchioles (sans cils)

L'ensemble forme l'arbre bronchique

 

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Fonctions voies respiratoires

17/06/2013 13:37
  1. Conduire l'air dans les poumons
  2. Purifier l'air inspiré
  3. Humidifier l'air
  4. Réchauffer l'air (par temps froid)

 

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Les poumons

17/06/2013 13:33
  • Divisés en lobes (2 côté gauche, 3 côté droit)
  • Sont dans une enveloppe: les plèvres (2 feuilles minces)
  • Chaque lobe est divisé en sacs alvéolaires
  • Les sac alvéolaires sont divisés en milions d'alvéoles
  • Les alvéoles sont entourées d'un réseau dense de vaisseaux sanguins
  • Présence de globules blancs dans les alvéoles

 

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Les voies respiratoires

17/06/2013 13:31
  1. Fosses nasales
  2. Pharynx
  3. Larynx (cordes vocales)
  4. Trachée (tube en cartillage)
  5. Bronches
  6. Bronchioles
  7. Alvéoles

 

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Le système respiratoire

17/06/2013 13:18

Il comprend deux parties:

  • Les voies respiratoires
  • Les poumons

 

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L'élimination

17/06/2013 13:13

Le reste du chyle arrive dans le côlon. Il y a présence de bactéries. Les résidus forment les matières fécales (fèces) et sont éliminés par le rectum.

 

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L'absorption

17/06/2013 13:06

Elle a lieu dans l'intestin grêle. C'est le péristaltisme qui fait avancer le chyle dans l'intestin. Les protides, les glucides et les lipides sont décomposés en nutriments.

  • Les protides deviennent des acides aminés
  • Les glucides en des sucres simples (glucose)
  • Les lipides en acides gras et en glycérol

L'eau, les vitamines et minéraux sont absorbés sans transformation dans l'intestin grêle. Les nutriments passent de l'intestin au sang et la lymphe (circulation).

 

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La digestion

17/06/2013 12:59

La digestion de l'amidon est faite dans la bouche. La digestion des protides et des glucides et faite dans l'estomac. La digestion des protides, des glucides et des lipides est faites dans l'intestin grêle. La bile et le suc pancréatique se déversent dans le duodénum (début de l'intestin grêle). La durée de la digestion est d'environ 4 à 7hrs. Le résultat est un mélange homogène appelé chyme (dans l'estomac) et chyle (dans l'intestin).

 

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L'ingestion

17/06/2013 12:57
  • Mastication
  • Salivation
  • Déglutition du bol alimentaire

 

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Les quatres étapes de la transformation des aliments

17/06/2013 12:54
  1. Ingestion
  2. Digestion
  3. Absorption (des nutriments)
  4. Élimination

 

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Les glandes digestives

17/06/2013 12:37

Intégrées:

1. Glandes gastriques

(situées à l'intérieur de l'estomac)

Rôle: sécrètent le suc gastrique pour la digestion de protides

Contient des enzymes (pepsine, protéases)

2. Glandes intestinales

Rôles: A) Sécrètent le suc intestinal

B) Terminent la digestion des glucides, des protides et des lipides

Le foie (glande annexée):

Ce gros organe a plusieurs rôles:

  1. Emmagasine les glucose, le fer, les vitamines
  2. Élimine les toxines
  3. Fabrique le cholestérol
  4. Produit la bile pour la digestion des lipides

La bile émulsionne (fractionne) les lipides

Pancréas (glande annexée):

Rôles:

  1. Sécrète le suc pancréatique
  2. Sécrète l'insuline
  3. Sécrète le glucagon

Le suc pancréatique (PH 7,6) sert à la digestion des: glucides, protides, lipides.

Les lipides sont transformées en acides gras et en glycérol.

Les protides sont transformée en acides aminés.

 

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Le gros intestin

17/06/2013 12:33

Il est long de 1,5 à 2m. Il contient beaucoup de bactéries. Il absorbe l'eau. La synthèse de la vitamine K y est faite. La partie terminale forme le rectum. Il élimine les résidus (fèces).

 

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L'intestion grêle

17/06/2013 12:26

C'est un tube long de 4 à 5m. La bile (foie) et le suc pancréatique se déversent au début du duodénum. L'intérieur est recouvert de villosités (absorption des nutriments par le système) par le sang. Une muqueuse sécrète le suc intestinal (digestion). Le péristaltisme est actif.

N.B: La value iléo-caecale sépare l'intestin grêle du côlon.

 

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L'estomac

17/06/2013 12:21
  • Grand sac de 2 à 4 litres
  • Ouverture supérieure: cardia
  • Ouverture inférieure: pylore
  • Composé de trois couches de muscles
  • Des sphincters ferment l'entrée et la sortie
  • Acide chlorhydrique, sécretion du suc gastrique (digestion) qui contient de l'acide, des enzymes, du mucus.

 

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L'oesophage

17/06/2013 12:18

C'est un canal long de 25cm allant du pharynx à l'estomac. Ses contractions se nomment péristaltisme.

 

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La bouche

17/06/2013 12:01
  • Entrée des aliments
  • Site des glandes salivaires

Dentition:

  • L'adolescents a 28 dents permanentes alors que l'adulte en a 32.
  • Il existe quatre types de dents: 8 incisives, 4 canines, 8 prémolaires, 12 molaires.
  • Nous avons une dentition d'omnivores

Langue:

  • Organe musculaire
  • Aide à la déglutition (avaler)
  • Capte les saveurs

Luette:

  • Petit muscle
  • Bloque les fosses nasales lorsqu'on avale

Pharynx:

  • Carrefour des voies respiratoires et digestives
  • L'épiglotte ferme la trachée lorsqu'on avale.

 

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Le système digestif

17/06/2013 11:56

Le système digestif est un tube de 8m. Il comprend plusieurs organes ayant des rôles précis.

  • La bouche
  • L'oesophage
  • L'estomac 
  • L'intestin grêle
  • Le gros intestion (côlon)

Il comprend aussi:

1. Les glandes digestives annexes

  • Les glandes salivaires
  • Le fois
  • Le pancréas

2. Les glandes digesttives intégrées

  • Les glandes gastriques (estomac)
  • Les glandes salivaires (intestin grêle)

 

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Pasteurisation

17/06/2013 11:46

La pasteurisation est un procédé de stérilisation. L'opération consiste à chauffer les aliments à une température de 65°C à 100°C pour détruire les bactéries restantes de se développer. Son rôle est d'éliminer les contaminants.

 

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Suralimentation

17/06/2013 11:44

C'est la personne qui consomme plus d'énergie qu'elle en dépense.

  • Embonpoint... Obésité
  • Athérosclérose (artères)
  • Fatigue le coeur
  • Risque accru de diabète
  • Mobilité réduite

 

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Sous-alimentation

17/06/2013 11:41
  • Diminution de la masse musculaire
  • Arythmie cardiaque
  • Hypothension artérielle
  • Hypothermie
  • Affaiblissementdu système immunitaire

 

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Calcul de son poid santé

17/06/2013 11:37

IMC veut dire Indice de Masse Corporelle

IMC = Masse en kg / (taille en mètres)2

Résultats:

  • Si moins de 18,5 => maigreur
  • Si de 18,5 à 25 => normal
  • Si de 25,1 à 30 => surpoid
  • Si plus de 30 => obésité

 

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Poid santé (IMC)

17/06/2013 11:34

IMC veut dire Indice de Masse Corporelle. Qu'est-ce  que le poid santé? C'est le poid à maintenir pour réduire les problèmes de santé. Pour cela, il faut:

  • Bien s'alimenter
  • Faire de l'exercice
  • Ne pas fumer

 

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Le nombre de portions

17/06/2013 11:32

Il varie selon:

  • Le sexe
  • L'âge
  • L'activité physique
  • La température ambiante

 

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Quatre grands groupes d'aliments

17/06/2013 11:30
  1. Fruits et légumes (7 à 8 portions)
  2. Produits céréaliers (6 à 7 portions)
  3. Produits laitiers (3 à 4 portions)
  4. Viandes et substituts (2 à 3 portions)

 

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Saine alimentation

17/06/2013 11:27

C'est maintenir un poid santé. Voir guide alimentaire canadien: https://www.hc-sc.gc.ca/fn-an/food-guide-aliment/order-commander/index-fra.php

 

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Métabolisme

17/06/2013 11:20

Le métabolisme, c'est l'ensemble des réactions biochimiques qui ont lieu dans notre organisme (dans nos cellules). Cest la respiration cellulaire qui en assure le rôle principal.

Équation de la respiration cellulaire:

C6H12O6 (glucose) + 6O2 (dioxygène) => 6CO2 (dioxyde de carbone) + 6H20 (eau) + Énergie (en kilojoules)

Même pendant le repos/sommeil, on a besoin d'énergie pour:

  • Température du corps
  • Contractions musculaires
  • Respiration
  • Digestion/Élimination

C'est le métabolisme basal

Il nécessite 7000KJ/24hrs

 

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Valeur énergitique des aliments

17/06/2013 11:16

La plupart des aliments libèrent de l'énergie. Cette énergie provient de la transformation des aliments. On mesure cette énergie en kilojoules (KJ). La calorie (cal) est une autre unité de mesure de l'énergie. 1 cal = 4,184 kj.

Ex: Deux tranches de pain fournissent 300 cal. Combien de kilojoules cela fait-il? 300 cal x 4,184 kj = 1255,2 kj.

 

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Les sels minéraux

17/06/2013 11:11

Rôles:

  • Développement du squelette
  • Construction musculaire
  • Composition d'hormones
  • Transport de l'O2

On les trouve dans l'eau, les viandes, les substituts, les fruits et les légumes.

 

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Les vitamines

17/06/2013 11:06

Rôles:

  • Survie de l'organisme
  • Croissance
  • Antioxydants pour les cellules

On les identifie par une lettre. Il y a les vitamines A, B, C, D, E et K. Certaines (A, D, E, K) sont liposolubles, elles sont solubles dans les graisses. D'autres (B, C) sont hydrosolubles, elles sont solubles dans l'eau. La plupart des aliments en contiennent une ou plusieurs.

 

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Protides (protéines)

17/06/2013 11:01

Rôles:

  • Composition des organes
  • Assurent la croissance, réparation
  • Participent au transport de l'O2
  • Forment les anticorps

Elles sont 10 à 15% de l'apport alimentaire. On les trouve dans les oeufs, les viandes, les poissons, les noix, les légumineuses, le lait et les fromages.

 

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Les lipides (graisses)

17/06/2013 10:58

Elles sont composées d'acide gras et de glycérol. Elle sont 25 à 30% de l'apport alimentaire.

Rôles:

  • Forment les tissus adipeux (gras)
  • Formation des membranes
  • Isolation thermique
  • Entrent dans les hormones
  • Très riches en énegie
  • Assimilation des vitamines

On les retrouve dans les viandes, les poissons, les fromages, les noix et les huiles.

 

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Les glucides

17/06/2013 10:51
  • Ils fournissent l'énergie
  • Maintiennent notre température  à 37°C

On les trouve dans les fruits, les légumes, le pain, le lait, les viandes (glycogène), les pâtes alimentaires et le riz.

Elles sont 50% de l'apport alimentaire.

Il y a deux sortes de glucides:

  • Glucides simples (fruits, lait) sont absorbées en moins de 15 minutes.
  • Gucides complexes (pain, riz, pâtes...) sont absorbées en 30 minutes.

Les fibres sont des glucides non-digestibles, ni absorbables. Elles sont décomposées par des bactéries dans le colon. Elle facilitent l'élimination.

 

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L'eau

17/06/2013 10:45
  • Permet les réactions chimiques
  • Transporte les nutriments
  • Élimination des déchets (urine)
  • Régularise votre température.

On trouve l'eau dans les aliments et les breuvages

Quelle quantité d'eau doit-on consommer par jour?

Deux à trois litres par jours (variable)

 

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Quelles sont les substances nutritives essentielles à notre organisme?

17/06/2013 10:39
  1. L'eau
  2. Les glucides (sucres naturels)
  3. Les lipides (graisses)
  4. Les protides (protéines)
  5. Les vitamines
  6. Les minéraux

***Chaque substance joue des rôles différents.

 

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Dossier 3, les cellules du corps humain

17/06/2013 09:16

***La cellule est l'unité de structure et fonctionnelle de tout vivant.

 

***Composition (de la cellule)

#Membrane cellulaire

Composée de lipides

Une barrière sélective qui:

Contrôle les entrées (nutrition) et sorties de substance (sécretion, déchets)

#Noyau

Contient l'ADN

Il gère toutes les activités de la cellule

#Cytoplasme

Composé du cytosol, un liquide gélatineux contenant tous les organites et des protéines.

 

***Organites

Éléments spécialisés, inclus dans le cytoplasme de la cellule:

1. Mitochondries

Assurent la respiration cellulaire pour donner de l'énergie

2. Vacuoles

Réservoir de liquide (eau)

3. Appareil de Golgie

  • Emmagasine les protéines fabriquées
  • Activités sécrétrices

4. Réticulum endoplasmique et les ribosomes

Rôle dans la fabrication des protéines

 

***Nos cellules accomplissent un grand nombre de réactions biochimiques:

***C'est le métabolisme

 

***Noyau

Centre de commande

Dans le noyau de nos cellules, il y a 46 chromosomes sauf nos cellules reproductrices qui en ont 23.

A la forme d'une double hélice

Un chromosome est constitué d'ADN

Acide Désoxyribo Nucléique

***Définition: (ADN)

L'ADN est une longue molécule enroulée en spirale composée de 5 éléments: carbone, oxygène, hydrogène, azote, phosphore

**L'ADN constitue le matériel génétique appelé génome.

Il correspond à l'ensemble des gènes de chaque individu:

Il est responsable de chacun de nos caractères.

***C'est notre code génétique

Ex: La couleur des yeux, de la peau, notre sexe, etc...

***Donc, pour chaque caractère, il y a un GÈNE QUI EN EST responsable.

***Un gène est un fragment d'ADN.

**Chez l'humain, l'ADN comprend environ 30 000 gènes.

**L'ENSEMBLE DE vos gènes constitue ton GÉNOME

***Génome: (définition)

*Qu'est-ce qu'un OGM?

Un OGM est un Organisme Génétiquement Modifié.

On insère ou enlève un gène dans le génome d'un vivant.

Exemple:

On peut modifier le génome d'une bactérie pour lui faire fabriquer de l'insuline.

Applications: en agriculture, alimentation, médecine

 

**Il y a deux sortes de cellules:

1. Cellules somatiques:

Sont diploïdes (46 chromosomes)

Elles assurent le bon fonctionnement du corps.

Mode de division: mitose

#Cellules différenciées (spécialisées)

Ex: globules rouges

#Cellules souches (non spécialisées)

Ex: moëlle osseuse

2. Cellules reproductrices:

On les appelle gamètes mâles et femelles

  • Spermatozoïdes
  • Ovule

Sont haploïdes (23 chromosomes)

Fonction: reproduction

Mode de division: méiose

 

***La division cellulaire

Les cellules doivent se reproduire pour:

  1. Assurer la croissance.
  2. La réparation (usure, blessures).
  3. La reproduction des organismes

**Il existe deux modes de division cellulaire:

  1. La mitose
  2. La méiose

***Mitose:

  • La cellule mère se divise en deux cellules filles génétiquement identiques
  • Les cellules sont diploïdes, 46 chromosomes.
  • Les chromosomes des cellules filles sont identiques a ceux de la cellule mère.
  • La mitose permet la régénerescence des tissus, la croissance de l'individu et la reproduction des cellules

***Méiose:

  • La cellule mère se divise en quatre cellules filles génétiquement différentes.
  • Les cellules sont haploïdes, 23 chromosomes.
  • Chaque chromosome d'une cellules filles est différent de celui de la cellule mère.
  • La méiose sert à la reproduction de l'individu.

**Des cellules en division mitose:

4 phases:

  1. Prophase
  2. Métaphase
  3. Anaphase
  4. Télophase

 

***Les tissus

Lorsqu'un ensemble de cellules identiques sont regroupés, elles forment un tissus.

**Elles assurent la même fonction

**Le corps humain comprend quatre tissus de base:

  1. Tissus musculaires: muscles
  2. Tissus épithélial: paroi des organes
  3. Tissus nerveux: cerveau nerfs
  4. Tissus conjonctifs: sang, graisses...

 

**Organe

Partie du corps assurant une fonction (coeur)

Regroupe les quatre tissus (voir juste avant)

 

**Le cancer

** Les cellules cancéreuses sont des cellules qui ont perdu leur spécialisation.

Elle se multiplient de façon incontrôlée et forment une tumeur et sont responsables de mauvais fonctionnements de l'organisme.

Des cellules tumorales peuvent quitter la tumeur et aller à d'autres organes; ce sont des métastases

*Causes: (facteurs mutagènes)

  • Tabagisme
  • Mauvaise alimentation (surplus de poid)
  • Virus
  • Produits chimiques (ex: pesticides)
  • Rayonnement (UV, Nucléaire)
  • Oncogènes (gène précurseur possible d'un cancer)
  • Vieillissement...

**Traitements:

  1. Chimiothérapie
  2. Chirurgie
  3. Radiothérapie
  4. Anticorps monoclonaux
  5. Antiangiogéniques

 

***Organigramme d'un organisme vivant

Cellules --> tissus --> organes --> systèmes (ensemble d'organes) --> organisme (inclus tous les systèmes)

 

***Les fonctions et les systèmes

Un système est composé d'organes qui assurent une fonction

Ex: Coeur, sanf, vaisseaux, artères...) font partie du système circulatoire.

L'ensemble des systèmes assure le bon fonctionnement de l'organisme

*** Les trois fonctions vitales de l'organisme sont:

  1. Nutrition
  2. Relation
  3. Reproduction

Fonction:

  • Nutrition

Systèmes:

  • Digestif
  • Respiratoire
  • Circulatoire
  • Excréteur

Rôles:

  • Digestion
  • O2/Co2
  • Transport
  • Élimination

 

Fonction:

  • Relation

Systèmes:

  • Nerveux
  • Musculaire
  • Squelettique

Rôles:

  • Contrôle
  • Mouvement
  • Support

 

Fonction:

  • Reproduction

Système:

  • Reproducteur

Rôle:

  • Donner des descendants

 

*L'ADN est constitué de 4 bases azotées:

  • Adénine
  • Thymine
  • Clystosine
  • Guanine

 

**Métabolisme = l'ensemble des réactions biochimiques dans notre organisme.

 

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Premier message

17/06/2013 03:23

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  217. Antigène
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  219. Réaction de défense
  220. Peau
  221. Muqueuse
  222. Enzymes
  223. Fièvre
  224. Inflammation
  225. Diapédèse
  226. Phagocytose
  227. Diabète
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  230. Hypersensibilité
  231. Immunodéficience
  232. Vaccin
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  235. Système A B O
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  237. Agglutinines
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  240. Agglutination
  241. Transfusion sanguine
  242. Dossier 13
  243. Système excréteur
  244. Équilibre sanguin
  245. Ammoniac
  246. Urée
  247. Créatine
  248. Déchets azotés
  249. Reins
  250. Activité musculaire
  251. Système urinaire
  252. Glandes sudoripares
  253. Sueur
  254. Urine
  255. Sel
  256. Caféine
  257. Stress
  258. Alcool
  259. Glucosurés
  260. Albumine
  261. Albuminurée
  262. Acide urique
  263. Goutte
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  266. Taux urée
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  268. Glandes eccrines
  269. Glandes apocrines
  270. Sudation
  271. Température corporelle
  272. Dossier 14 (oeil)
  273. Oeil
  274. Membrane
  275. Globe oculaire
  276. Sclère
  277. Choroïde
  278. Rétine
  279. Muscles ciliaires
  280. Cristallin
  281. Photorécepteurs
  282. Cellules visuelles
  283. Lumière
  284. Influx nerveux
  285. Vision
  286. Amérindiens
  287. Algonkiens
  288. Iroquoïens
  289. Inuits
  290. Matriarcale
  291. Matrilinéaire
  292. Patriarcale
  293. Patrilinéaire
  294. Autochtones
  295. Transmition orale
  296. Aînés
  297. Occupations des Iroquoïens
  298. Alimentation des Algonkiens
  299. Poterie
  300. Mode de vie des Algonkiens
  301. Occupation des Algonkiens
  302. Religion
  303. Chaman
  304. Esprits
  305. Dieux
  306. Animisme
  307. Amérique
  308. Jacques Cartier
  309. Vikings
  310. Basques
  311. Normands
  312. Bretons
  313. Terre-Neuve
  314. Cabot
  315. Cartier
  316. Canada
  317. France
  318. 1000
  319. 1497
  320. 1534
  321. Voyages de Cartier
  322. 1535
  323. 1536
  324. 1541
  325. 1542
  326. Colonie
  327. Nouvelle-France
  328. Asie
  329. Richesse
  330. Croix
  331. Gaspé
  332. Commerce des fourrures
  333. Amérique du Nord
  334. 17e siècle
  335. Métropoles
  336. Colonie de comptoir
  337. Colonie de peuplement
  338. Empire
  339. Angleterre
  340. Treize colonies
  341. Nouvelle-Angleterre
  342. English
  343. Lettre
  344. Jimmy Valentine
  345. Paycheck
  346. Ben Affleck
  347. Aaron Eckhart
  348. Uma Thurman
  349. John Woo
  350. The cop and the anthem
  351. Journal
  352. Interview
  353. Simpson
  354. London
  355. Londres
  356. Ballet classsique
  357. Carmen Bouchard
  358. ADRS
  359. Deuxième guerre mondiale
  360. Blitzkrieg
  361. Bataille Angleterre
  362. Guerre-éclair
  363. Mondialisation conflit
  364. Domination axe japon europe asie
  365. Contre-attaque
  366. Victoire alliés
  367. Tournant guerre
  368. Victoire europe
  369. Défaite japon
  370. Conséquences
  371. Mathématiques
  372. Nuage de points
  373. Fonction linéaire
  374. Fonction inversement proportionnelle
  375. Nocardiose
  376. Dossier 14 (oreille)
  377. Oreille
  378. Audition
  379. Équilibre
  380. Oreille externe
  381. Oreille moyenne
  382. Oreille interne
  383. Pavillon
  384. Conduit auditif
  385. Tympan
  386. Sons
  387. Poils
  388. Glandes à cérumen
  389. Cérumen
  390. Marteau
  391. Enclume
  392. Étrier
  393. Cerveau
  394. Cochlée
  395. Limaçon
  396. Vestibule
  397. Canaux semi-circulaires
  398. Nerfs auditif
  399. Os temporal
  400. Nerf de l'équilibre
  401. Nerf cochléaire
  402. Perception des sons
  403. Osselets
  404. Cellules ciliées
  405. Lobe temporal
  406. Nerf vestibulaire
  407. Milieux transparents
  408. Structures annexes
  409. Cornée
  410. Humeur aqueuse
  411. Humeur vitrée
  412. Tache jaune
  413. Cônes
  414. Fovéa
  415. Glandes lacrymales
  416. Muscles oculaires
  417. Conjonctive
  418. Paupières
  419. Sac lacrymal
  420. Larmes
  421. Nez
  422. Iris
  423. Pupille
  424. Bâtonnets
  425. Nerf optique
  426. Lobe occipital
  427. Tache aveugle
  428. Myopie
  429. Hypermétropie
  430. Presbytie
  431. Astigmatisme
  432. Daltonisme
  433. Cataractes
  434. Glaucome
  435. Strabisme
  436. Décollement de la rétine
  437. Verres
  438. Lunettes
  439. Dossier 14 (nez)
  440. Olfaction
  441. Odorat
  442. Épithélium olfactif
  443. Tache jaune olfactive
  444. Cellules olfactives
  445. Molécules
  446. Bulbe olfactif
  447. Nerf olfactif
  448. Chimiorécepteurs
  449. Odeurs
  450. Humain
  451. Narine
  452. Mucus
  453. 6e année
  454. Combustibles fossiles
  455. Pétrole
  456. Charbon
  457. Gaz naturel
  458. Essence
  459. Mazout
  460. Effet de serre
  461. Énergie solaire
  462. Atmosphère
  463. Espace
  464. Terre
  465. Soleil
  466. GES
  467. Chaleur
  468. Québec
  469. Automobiles
  470. Industrie
  471. Électricité
  472. Fission nucléaire
  473. Filière énergétique
  474. Hydraulique
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  476. Solaire
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  491. Centrale nucléaire
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  495. Énergie renouvlable
  496. Énergie verte
  497. Environnement
  498. Ennoiement
  499. Environnementaliste
  500. Poteau électrique
  501. Ligne aérienne
  502. Pylone
  503. Ligne à haute tension
  504. Réchauffement climatique
  505. Support
  506. Poteau
  507. Transformateur
  508. Tension
  509. Turbine
  510. Énergie mécanique
  511. Gaz comprimé
  512. Vapeur
  513. Wattheure
  514. Énergie électrique
  515. Secondaire 2
  516. Peace
  517. Cleptomanie
  518. Maladie mentale
  519. Kleptomanie
  520. Musique
  521. Français
  522. Notes de musique
  523. Altération
  524. Dièse
  525. Bémol
  526. Bécarre
  527. Tempo
  528. Mesure
  529. 2/4
  530. Barre de mesure
  531. Double barre de mesure
  532. Clé de sol
  533. Chiffres indicateurs
  534. Mouvement conjoint
  535. Dossier 14 (langue)
  536. Perception des saveurs
  537. Papilles gustatives
  538. Caliciformes
  539. Foliées
  540. Fongiformes
  541. Filiformes
  542. Bourgeons gustatifs
  543. Cellules gustatives
  544. Saveur
  545. Soluble
  546. Salive
  547. Sapide
  548. Gustation
  549. Sens
  550. Sucré
  551. Salé
  552. Amer
  553. Acide
  554. Dossier 14 (peau)
  555. Toucher
  556. Tissus
  557. Épiderme
  558. Derme
  559. Hypoderme
  560. Courche cornée
  561. Couche vivante
  562. Couche basale
  563. Collagène
  564. Glandes
  565. Tissus adipeux
  566. Gras
  567. Sensations tactiles
  568. Sensations thermiques
  569. Sensations douloureuses
  570. Pression
  571. Corpuscules de Meissner
  572. Corpuscules de Pacini
  573. Vibration
  574. Corpuscules de Ruffini
  575. Disques de Merkel
  576. Corpuscules de Krauss
  577. Froid
  578. Récepteurs des follicules pilleux
  579. Température
  580. Terminaisons nerveuses libres
  581. Brûlures
  582. Écrasement
  583. Coupures
  584. Nocirécepteurs
  585. Dossier 15
  586. Système nerveux
  587. Système nerveux central
  588. Système nerveux périphérique
  589. Encéphal
  590. Tronc cérébral
  591. Moelle épinière
  592. Crâne
  593. Cervelet
  594. Lobe frontal
  595. Lobe Pariétal
  596. Hémisphère
  597. Fonctions vitales
  598. Rythme cardiaque
  599. Pression artérielle
  600. Matières
  601. Matière grise
  602. Matière blanche
  603. Méninges
  604. Dure-mère
  605. Arachnoïde
  606. Pie-mère
  607. Liquide céphalorachidien
  608. Colone vertébrale
  609. Réflexes
  610. Nerfs crâniens
  611. Nerfs rachidien
  612. Neurone
  613. Cellule nerveuse
  614. Dentrites
  615. Corps cellulaires
  616. Axone
  617. Terminaisons axonales
  618. Types de nerfs
  619. Nerfs sensitifs
  620. Nerfs moteurs
  621. Nerfs mixes
  622. Synapse
  623. Neurotransmetteurs
  624. Acte volontaire
  625. Arc réflexe
  626. Trajet de l'influx nerveux
  627. Système nerveux autonome
  628. Hypothalamus
  629. Drogue
  630. Tranquilisants
  631. Somnifères
  632. Antihistaminiques
  633. Héroïne
  634. Morphine
  635. PCP
  636. Nicotine
  637. Cocaïne
  638. Cannabis
  639. Speed
  640. Hashish
  641. Champignon
  642. Solvant
  643. Crack
  644. Ecstasy
  645. Neurotoxique
  646. Monoxyde de carbone
  647. Dossier 16
  648. Squelette
  649. Mythes
  650. Eros
  651. Psyché
  652. Robinson Crusoë
  653. Îles Galapagos
  654. Livre
  655. Sortilège
  656. Alex Flinn
  657. Obésité
  658. Obésité juvénile
  659. OMS
  660. Activité physique
  661. Surpoid
  662. Boston
  663. Boston Tea Party
  664. New England Aquarium
  665. Corail
  666. Manchot du Cap
  667. Meganeura
  668. Animaux préhistoriques
  669. Glyptodon
  670. Coelacanthe
  671. Ptéranodon
  672. Charpente
  673. Minéraux
  674. Os
  675. Suture
  676. Ligament
  677. Tête
  678. Tronc
  679. Membres
  680. Face
  681. Yeux
  682. Cage thoracique
  683. Vertèbre
  684. Cervicale
  685. Thoracique
  686. Dorsale
  687. Lombaire
  688. Sacrée
  689. Coccyx
  690. Côte
  691. Sternum
  692. Omoplates
  693. Clavicules
  694. Bras
  695. Avant-bras
  696. Mains
  697. Cuisse
  698. Genou
  699. Jambes
  700. Pied
  701. Humérus
  702. Radius
  703. Ulna
  704. Cubitus
  705. Carpes
  706. Poignets
  707. Métacarpes
  708. Phalanges
  709. Fémur
  710. Rotule
  711. Tibia
  712. Fibulé
  713. Péroné
  714. Tarses
  715. Chevilles
  716. Métatarses
  717. Os long
  718. Épiphyse
  719. Diaphyse
  720. Canal médulaire
  721. Moelle jaune
  722. Périoste
  723. Croissance
  724. Plaque épiphysaire
  725. Cellules osseuses
  726. Ostéocytes
  727. Calcium
  728. Phosphore
  729. Osséine
  730. Vitamine D
  731. Vitamine
  732. Glande hypophyse
  733. Glande thyroïde
  734. Tissus osseux
  735. Tableau synthèse
  736. Structures du squelette
  737. Os compact
  738. Os spongieux
  739. Cartilage
  740. Fracture
  741. Fracture simple
  742. Fracture ouverte
  743. Fracture comminutive
  744. Fracture bois vert
  745. Articulations et muscles
  746. Articulations
  747. Articulations fixes
  748. Articulations semi-mobiles
  749. Articulations mobiles
  750. Liaison
  751. Tissu conjonctif
  752. Blessures
  753. Entorse
  754. Foulure
  755. Luxation
  756. Muscles striés
  757. Muscles lisses
  758. Muscle cardiaque
  759. Circulation sanguine
  760. Ventre
  761. Biceps brachial
  762. Triceps brachial
  763. Deltoïde
  764. Épaule
  765. Tendons
  766. Antagoniste
  767. Aponévrose
  768. Enveloppe du muscle
  769. Muscle antagoniste
  770. Choc
  771. Glycogène
  772. Fatigue musculaire
  773. Élasticité
  774. Contractibilité
  775. Excitabilité
  776. Tonicité
  777. Acide lactique
  778. Courbature musculaire
  779. Affections
  780. Tendinite
  781. Bursite
  782. Arthrose
  783. Polyarthrite rhumatoïde
  784. Paralysie
  785. Parkinston
  786. Système musculaire
  787. Dossier 17
  788. Puberté
  789. Garçon
  790. Fille
  791. Physique
  792. Sexuel
  793. Psychologique
  794. 13 ans
  795. 14 ans
  796. Horloge biologique
  797. FHS
  798. LH
  799. Glande sexuelle
  800. Gonade
  801. Ovaires
  802. Testicules
  803. Oestrogène
  804. Testostérone
  805. Voix
  806. Pilosité
  807. Organe génitaux
  808. Changement corporel
  809. Bassin
  810. Seins
  811. Variation hormonale
  812. Spermatogénèse
  813. FSH
  814. Hypophyse
  815. Spermatozoïde
  816. Cycle de fertilité
  817. Fertilité
  818. Homme
  819. Division cellulaire
  820. Cellules souches
  821. Tubes séminifères
  822. Cellule diploïde
  823. Chromosome
  824. méïose
  825. Spermatocyte haploïde
  826. Cellule reproductrice mâle
  827. Gamète mâle
  828. Période de fertilité
  829. Adolescence
  830. Andropause
  831. Changement physiologique
  832. Diminution d'hormones
  833. Adolescente
  834. Ovogénèse
  835. Production d'ovules
  836. Ovule
  837. Ovaire
  838. Cellule haploïde
  839. Gamète femelle
  840. Cycle ovarien
  841. Follicule
  842. Ovulation
  843. Corps jaune
  844. Progestérone
  845. Menstruations
  846. Embryon
  847. Utérus
  848. Grossesse
  849. HCG
  850. Test de grossesse
  851. Phase folliculaire
  852. Phase lutéinique
  853. Ménopause
  854. Cycle menstruel
  855. Femme
  856. Fécondation
  857. Trompes de Fallope
  858. Nidation
  859. Ovule fécondé
  860. Oeuf
  861. Placenta
  862. Cordon ombilical
  863. Foetus
  864. Accouchement
  865. Ocytocine
  866. Contractions utérines
  867. Col de l'utérus
  868. Dilatation
  869. Bébé
  870. Vagin
  871. Naissance
  872. Expulsion
  873. Procréation assistée
  874. Insémination artificielle
  875. Insémination
  876. Fécondation in vitro
  877. Injection intracytoplastique
  878. Moyens contraceptifs
  879. Contraception
  880. Pilule du lendemain
  881. COU
  882. Pilule anovulant
  883. Condom
  884. Stérilet
  885. Ligature des trompes
  886. Vasectomie
  887. Poissons
  888. Poisson-scie
  889. Requin
  890. Exploration spatiale
  891. Capsules Soyouz
  892. Station spatiale internationale
  893. Parachute
  894. Fusée
  895. Système solaire
  896. Saturne Planète
  897. Brume
  898. Nuages
  899. Glace
  900. Poussière
  901. Toumaï
  902. Hominidés
  903. Sahelanthropus tchadensis
  904. Tchad
  905. 2001
  906. Mâchoire
  907. Dents
  908. Bipède
  909. Singes
  910. Émail
  911. Lacs
  912. Savanes
  913. Forêts
  914. Archelon
  915. Tortue
  916. Tortue de mer
  917. Fossile
  918. Petit Pied
  919. Antilope saïga
  920. Antilope
  921. Animaux
  922. Préhistoire
  923. Steppes russes
  924. Climat
  925. Fourrure
  926. Museau
  927. Trompe
  928. Ankylosaure
  929. Dinosaure
  930. Queue
  931. Arme
  932. Galaxies
  933. Spirale
  934. Dossier 1
  935. Étoiles
  936. Corps célestres
  937. Planète
  938. Secondaire 4
  939. Anglais
  940. Fahreneit 451
  941. Part I
  942. Part II
  943. Part III
  944. Fahrenheit 451
  945. Questions
  946. Reading log
  947. Éthique
  948. Homosexualité
  949. Pluralisme
  950. Lithosphère
  951. Hydrosphère
  952. UV
  953. Noyau
  954. Photosynthèse
  955. Vie
  956. Dossier 2
  957. L'histoire du vivant
  958. Roches sédimentaires
  959. Couche stratigraphique
  960. Temps géologiques
  961. Éons
  962. Ères
  963. Périodes
  964. Datation des roches
  965. Roche
  966. Datation relative
  967. Datation absolue
  968. Hardéen
  969. Archéen
  970. Protérozoïque
  971. Procaryote
  972. Eucaryotes
  973. Cytoplasme
  974. Membrane cellulaire
  975. Nutrition
  976. Mitochondries
  977. Vacuoles
  978. Appareil de Golgie
  979. Réticulum endoplasmique
  980. Ribosomes
  981. Réaction biochimique
  982. Cellule reproductrice
  983. Cellules somatiques
  984. Reproduction
  985. Graisse
  986. Systèmes
  987. Relation
  988. Alimentation
  989. Protides
  990. Apport alimentaire
  991. Fruits
  992. Légumes
  993. Pain
  994. Lait
  995. Viande
  996. Pâtes alimentaires
  997. Riz
  998. Fromage
  999. Noix